Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Grayle le pérégrin

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- Ha....

Après plus d'un mois seul dans les terres sauvages, se retrouver comme ça, la bite à l'air, astiquée violemment par une petite terranide en chaleur... que demander de plus ? Il y avait quelque chose de naturel, d'établi dans les lois de la nature. Une terranide femelle, essayant de bien faire plaisir à un mâle humain... la belle sait y faire, pressant son vit gonflé et caressant sa peau fine avec suffisamment de force pour délicieusement impacter son gland, envoyant des petites décharges électriques dans le bassin de l'homme. Les mains bleutées d'Estelle sont trop petites pour empoigner la verge en totalité, qui est aussi épaisse et longue que l'avant bras de la chamane.

L'odeur forte, virile, un peu puante du mâle excité, commence déjà à envahir la tente, alors qu'il continue d'embrasser à pleine bouche son hôte. C'est lui même qui met fin au baiser, tirant la chamane par les cheveux avec autorité. Un mince filet de salive reliait leurs deux lèvres.

- Pas à la hauteur ? Estelle, je suis capable de vous baiser jusqu'à  l'évanouissement puis culbuter l'intégralité des femelles de votre petit village...

Ca sonnait presque comme une menace. Il se leva, son vit se retrouvant face au visage d'Estelle. Il plaqua son visage contre le membre turgescent, qui était bien plus long que son visage.

- Je m'en voudrais de faire atteindre mon ainée...

Il s'écarta et poussa Estelle contre le lit. La chamane se retrouva allongée contre ce dernier, et avant même qu'elle ne puisse se retourner, la main chaude de l'homme se trouva autour de sa nuque. Un bruit de tissu, alors qu'il remonte la robe de la chamane, dévoilant sa croupe, et une intimité minuscule et rouge vif, excitante et déjà dégoulinante. Son sang ne fait qu'un tour en la voyant, et son sexe gonfle encore plus, agité comme un chien n'attendant que d'être lancé sur sa proie.

Tenant fermement la terranide par la queue, il la fesse, administrant une claque vibrante sur sa croupe, faisant rebondir la fesse.

- Même pas de culotte, tout comme j'aime... Il la tire legèrement vers elle.

- Ne vous retenez-pas, dit-il d'un ton poli avant, sans sommation, de s'enfoncer en elle. Il serre les dents, grogne, tant elle est serrée, mais il s'enfonce tout de même en elle comme dans du beurre, déformant l'intimité à l'extrême. D'une impulsion, il la remplit déjà entièrement, mais n'est enfonce qu'à moitié. Qu'à cela ne tienne... il se recule, et se renfonce encore, enchaînant les coups de boutoir, la tenant fermement en plus. A chaque coup de rein, un claquement, depuis de son bassin contre ses fesses, alors que ses couilles pleines percutent le bas-ventre de la belle.

Après une bonne demi-minute d'effort, la tâche est accomplie : il est entièrement enfoncé dans la minuscule terranide, dont le ventre est déformé par la protubérance masculine brûlante enfoncée en elle.

- Ah... ca va ? dit-il d'une voix rauque et souriante, voyant la chamane remuer contre le lit. Ainsi prostrée, la robe relevée, elle ressemble à une fille de joie vulgairement prise par un soudard. Il sourit, et s'enfonce en elle, encore, et encore, et encore. A chaque impulsion, des fluides sont projetés hors de la chatte de la créature, souillant ses cuisses et le lit, qui bouge légèrement, alors que les coups de rein, de plus en plus forts, deviennent audibles même en dehors de la tente...

Elle s'est offerte, et il compte bien la prendre dans son intégralité.

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Prélude / Re : Qui ça, moi ? Non, je n'ai rien de spéciale... [Anéa]
« le: jeudi 24 février 2022, 08:36:10 »
Bienvenue à toi jeune fille ! :)

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- Bon... Maintenant que nous avons passés les présentations, je vais avoir besoin que tu me donnes un peu plus de détails. Saches que les rituels que je pratique, ne sont pas non plus gratuits. Pour faire court, ça peut te couter soit de l'argent, des objets ou des ingrédients de différentes valeurs. Mais surtout, cela coute généralement de devoir passer en même temps, un rite sexuel...

Grayle lève un sourcil et fronce l'autre. Il ne s'y attendait pas, mais... en vrai, il n'était pas surpris. Il avait vu beaucoup de choses et de personnes, et dans un monde où les succubes existent, la présence de rite sexuel ne le surprend pas. Il sait à quel point la magie rose est puissante, et, vu l'attitude particulièrement promiscuiteuse de la chamane, quelque chose lui dit qu'elle doit être particulièrement adepte et puissante dans ce domaine... Il lui sourit d'un air charmeur, s'asseyant sur le lit. Sa tente est impressionnante. Si elle n'était pas là, à onduler devant lui, il passerait bien son temps à regarder tout son barda d'objets.

- Un rite sexuel, mon dieu, quelle horreur... dit-il avec sarcasme, le regard brillant. Il voit clair dans le petit jeu de la terranide, même s'il n'a aucun mérite, tant elle ne fait guère de mystère sur ses intentions ou ses envies. Même assis, il est plus grand qu'elle, et il y a quelque chose de grisant de voir une créature si petite et vulnérable, lui faire un numéro de charme.

- Tu sais, de toi à moi, je mentirais en disant qu'ils sont obligatoires mais... Ils sont souvent plus accessibles et ils allègent grandement la plupart des conditions, qui sont nécessaires. Sans ce genre de rite, qui demande la participation du corps en lui-même et qui me connecte directement aux esprits, la communication peut parfois avoir plus de mal à passer, dans d'autres circonstances. A moins que tu ne préfères un rituel basé sur la souffrance, avec une bonne grosse malédiction à devoir te trimbaler pour le restant de ta vie, en échange? Mais vu le beau garçon auquel j'ai affaire juste devant-moi et qui s'est tant donné de mal pour me rencontrer, j'en aurais sincèrement le coeur brisé...

- Oh, aucune inquiétude
, répond le beau garçon en question. La terranide, sauvage, à la fourrure bleuté, mais habillée d'une robe civilisée rouge, éveille des instincts de mâle chez l'humain, qui sent une douce chaleur se diffuser dans son bas-ventre, alors qu'elle s'approche de lui. Entre la souffrance et le plaisir, j'ai vite fait mon choix... ils vous plaisent ? reprend-t-il alors que la main de la petite terranide s'arrête sur ses pectoraux. Il saisit la main minuscule, et la pose sur son entrejambe, déjà chaud, déjà un peu gonflé. Même bien écartés, les doigts de la belle auraient bien du mal à saisir toute sa hampe, et elle peut sentir le membre gonfler peu à peu, déformant le pantalon de manière grossière.

L'autre main du jeune homme se pose sur la chevelure rose de la chamane, l'attirant doucement vers lui. Il a écarté les jambes, et, même debout, elle peut sentir ces dernières se refermer derrière elle, comme pour l'emprisonner. Ses doigts passent dans les cheveux de la terranide, avant de glisser sur son épaule... pour descendre le long de son dos, et, sans ambage, prendre sa croupe à pleine main, ses doigts s'enfonçant dans la chair de son cul, avant de serrer ce dernier avec autorité.

- J'ai une question, toutefois... dit-il d'un air mystérieux, sa main s'écartant de sa croupe pour passer lentement sous sa robe, revenant capter ses fesses à nu. Il approche son visage du sien, la fixant de ses yeux bleus. Son autre main lâche celle d'Estelle, toujours placée contre sa verge grossissant à vue d’œil. Il en a presque mal. Il le voit dans son regard. Elle est presque en train de baver sur lui. Les mouvements de sa queue la trahisse. Comment un si petit corps pourra supporter mes assauts. J'ai besoin d'être rassuré.... finit-il, venant caresser un des petits seins de la terranide.

Il a envie de se jeter sur elle... mais elle lui a parlé de rituel. Pas de partie de jambes en l'air. Les choses risquent d'être plus compliquées que prévu... et plus elle fera attendre le mâle... plus elle sera surprise de sa vigueur inépuisable.

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Grayle était d'ordinaire doux et attentionné. Mais face aux charmes et aux désirs coquins de la fausse innocente paysanne, il avait laissé parlé l'aspect violent et vicieux présent en tout homme. Il la sent sous lui, contre lui, toute brûlante, palpitante, vivante. Oui, c'est pour ce genre d'instant que l'on vit. Pour serrer une belle femme dans ses bras et lui faire l'amour.

Et soudainement, la douleur. Vive, mais pas handicapante. Il sent sa chair se faire enfoncer, un os grincer, dans son dos, et un "GBLAAf! " sonore. Il pousse un cri, qui n'est ni de jouissance, ni de plaisir. Un bruit, alors qu'un autre coup l'atteint, cette fois au visage. Le gourdin clouté s'enfonce dans ses cheveux et son crâne. Grayle cogne sa tête contre le front de Marguerite, qui pousse un cri de douleur sonore, puis de panique alors que se dresse la silhouette d'un de ses anciens agresseurs.

La maison, autrefois remplie des cris de plaisir du couple, est soudainement vrillée par la voix de la jeune femme, alors qu'un troisième coup atteint Grayle en plein visage, pulvérisant son nez et son arcade sourcilière. Les seins crasseux de sperme et de sueur se retrouvent éclaboussés par le sang du pérégrin, alors que ce dernier est projeté contre le mur près du lit.

- Alors connard, tu fais moins le fier ?! hurla le bandit comme un fou furieux, avant de fixer Marguerite avec l'oeil injecté de sang.

- Toi, je vais pas te rater ma mignonne ! Un coup de gourdin, dans le vide, pour la forcer à reculer et à se terrer dans un coin. Il reporte son attention sur le jeune homme, probablement...

Le regard bleuté de Grayle est toujours aussi vif.

Il n'est pas mort.

Et tant qu'il n'est pas mort, Grayle est en pleine forme. Il se précipite sur l'intrus, comme un animal sauvage bondissant. Le gourdin le ceuille en pleine tête dans un bruit de craquement absolument ignoble.

Il ne s'arrête pas pour autant. Saisissant le bandit à bras-le-corps, Grayle le soulève au dessus du sol, avant de le projeter contre ce dernier, brutalement, comme un lutteur. Au-dessus de son adversaire, Grayle pisse le sang, le liquide carmin se répandant sur le sol et le visage du malfrat, qui geint, encore sonné par le choc. Grayle se penche en avant, se saisit du gourdin, et le lance à l'extérieur, à travers la porte. Un coup de pied, vif, au visage du moche, qui recule et grogne.

Grayle se dirige vers le lit, vers Marguerite, et... se saisit de la couverture et la lance sur elle, afin de la couvrir à l'abri des regards pervers du bandit.

-J'aurais du te tuer crache le jeune homme, un œil à moitié desaxé et la voix grave, rauque, d'une machôire quasiment brisée.

A travers ses larmes passées et actuelles, Marguerite peut remarquer une chose.

Il n'y a plus de trace de griffure sur les bras de Grayle. Le brigand se saisit d'un tabouret et le lance sur Grayle, qui encaisse le choc, avant de lui bondir dessus. Ils roulent au sol. Grayle se cogne la tête contre le lit, avant de se prendre un coup de poing. Du pied, il repousse son adversaire contre une armoire, puis le plaque contre un mur, avant de lui administrer un formidable coup de tête.

Le sexe et l'amour ont laissé place au pugilat et à la haine, alors que les deux hommes se rendent coup pour coup dans un bruit mat et sonore. Le feu projette des ombres dans toute la pièce, transformant les deux mâles en géants, magnifiant les coups, sublimant le corps nu et brillant de Grayle, donnant une dimension épique, quasi-mythologique à ce combat. Mais, alors que le bandit, simple humain qu'il est, ralentit et montre des signes de fatigue, Grayle ne semble pas affecté par les coups. Son oeil est revenu à la normale, son crâne se reforme lentement. Après une demi-minute qui semble durer une éternité, il commence à prendre l'avantage, et plaque le bandit au sol, posant son genou contre sa nuque, essayant de le maintenir face contre terre.

Il fixe Marguerite de ses yeux bleus, soufflant avec force, le visage plein de sang.

- Que veux-tu que j'en fasse ?

Pour la première fois de sa vie, Marguerite a une vie entre les mains.

Et un homme prêt à tuer pour elle.

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Les terres sauvages / Re : Un rituel bien chaud pour ce grand garçon [Grayle]
« le: dimanche 16 janvier 2022, 19:53:37 »
A situation urgence, la réponse devait être appropriée.

Grayle faisait face à un problème : il avait besoin de quitter Terra. Une de ses connaissances était passée à travers un portail temporaire vers une réalité parallèle, laissant Grayle derrière. Pour secourir son ami, le pérégrin devait trouver un portail, mais hélas ! Il n'en connaissait pas la localisation. Désemparé, il avait alors entendu parler, lors de ses pérégrinations dans les bas-fonds de Tekhos, à la recherche d'informateurs et d'informatrices, d'une personne pouvant l'aider. Une femme nommée Estelle, une chaman d'une tribu terranide à plusieurs semaines de marche de Tekhos, savait où se trouvaient les portails dimensionnels, mais, selon la rumeur, la femme demandait un prix colossal.

Peu importe. C'était sa seule piste, et Grayle était prêt à toutes les extrémités et les épreuves qu'elle lui imposerait. S'équipant et s'habillant pour l'occasion, avec des bottes épaisses, un pantalon chauffé et des vêtements d'hivers, il avait alors quitté la ville.

Presque un mois de marche à travers les contrées sauvages, à esquiver patrouilles Tekhanes et animaux, avaient été nécessaires pour trouver le petit village isolé. L'immortel avait préféré prendre la route la plus rapide, ignorant les villages en chemin. Il arriva devant la porte en bois du village, et on le laissa entrer.

- Bienvenue étranger. Je suis Estelle, grande chamane de ce modeste village. Mais... Laisse-moi d'abord te regarder d'un peu plus près... Je vois beaucoup plus de choses, que tu ne peux l'imaginer...

Il... ne s'attendait pas à ca. C'était donc elle, Estelle ? Il imaginait une vieille furry ridée, mais voilà qu'il était face à une adorable créature, ne lui arrivant même pas aux pectoraux. Ses cheveux roses contrastaient avec une fourrure bleue qu'il pouvait deviner douce au toucher. Elle semblait jeune, presque adolescente, et sa tunique, légèrement fendue au niveau des jambes, soulignaient un corps élancé et athlétique. Il fut impossible pour le jeune homme de ne pas hasarder un oeil dans son décolleté. Rien qu'à cause de la différence de taille, ce dernier s'offrait à ses regards.

Elle tournait autour de lui, avec un air... avide. Elle le dévorait des yeux, portant d'étranges lunettes. Il remarqua qu'elle regardait beaucoup son bassin, ses fesses, et son entrejambe... elle était... assez originale, mais il se sentait rassuré. Après un mois de solitude, il avait besoin de tout sauf d'une vieille acariâtre et sérieuse. Elle enleva ses lunettes, avant de lui lancer un regard qui... attendez... c'est plus que de la curiosité là. Il connait ce genre de regard. Il a voyagé assez longtemps pour identifier cette attitude. La shaman a des yeux qui crient braguette. Et il doit avouer qu'elle ne lui déplait pas... petite, fine, élancée, mais avec une croupe et une poitrine opulentes, pour sa petite taille... et après un mois de voyage solitaire, l'idée ne lui déplaisait pas...

- Dis-moi ce que nous pouvons faire pour toi, mon garçon? Il parait que tu voulais personnellement me voir? Et bien je suis juste devant-toi... J'espère que le tableau te plait?

Il lui répondit en souriant d'un air un peu canaille, ses yeux bleus glace plongeant dans ceux de la shaman.

- Il dépasse mes attentes... votre portrait est bien plus flatteur que ce que j'imaginais. Mais je me présente, je m'appelle Grayle, dit-il en s'inclinant, entendant distinctement les villageoises piailler devant ce genre de aller à leurs commentaires au mieux grivois, au pire carrément déplacés. Il décida d'en rajouter un peu. Il se mit sur un genou, afin d'être à la hauteur de la Shaman.

- J'ai marché tout seul dans le froid pendant plus d'un mois pour vous trouver dit-il en prenant ses mains entre les siennes. On m'a dit que vous pouviez localiser les portails interdimensionnels avec de puissants rituels. j'ai besoin de votre aide, je suis prêt à vous faire tout ce qui est nécessaire...

Sa langue avait-elle fourchée ? N'aurait-il pas voulu dire "faire tout ce qui est nécessaire ?"

- ... pour vous convaincre.

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Il la dévore des yeux. L'homme s'est devenu bête, et l'ange est devenue succube. Elle s'agrippe à lui, et il fait de même, la prenant avec force. Les cris de la belle et ses supplications l'excitent... il n'est plus excité. Il est en rut. Sa verge, épaisse, brûlante, pulsante, ravage les entrailles de la fausse innocente, plaquée contre le lit. Il agrippe sa poitrine, tire sur ses seins. Elle crie, le griffe. La douleur est sourde, éloignée, le sang qui coule est réel. Il riposte, la punissant de coups de boutoirs dantesques. La poitrine de la belle remue dans tous les sens.

Elle a l'air presque possédée, criant ainsi, un vrai brame, animal. Elle ne se retient pas, lui non plus, répondant par des grognements à chacun de ses gémissements. Il l'observe avec obsession, changeant subtilement chacun de ses gestes, leur intensité, leur angle, en fonction des réactions de la paysanne. Il se penche vers elle, parvint à capter ses lèvres, violant presque sa bouche, et gronde.

- Ah, femme, moi aussi je veux que le monde entier nous entende... chuchote-t-il d'une voix rauque. Il ne la laisse pas répondre, s’enfonçant en elle, la remplissant entièrement. Si elle était attentive, elle verrait son bas-ventre gonfler et dégonfler légèrement à chaque allez-retour du sexe du pérégrin. A chaque coup, le bruit mat des corps, du lit contre le mur, de la mouille qui gicle, l'odeur de la sueur, des fluides et du sexe empestant la pièce, du sang aussi, qui coule sur les bras de l'homme. Son rythme frénétique devient inhumain, si vif que le bruit de ses coups devient continu.

Après une durée incertaine, il grogne, et cède. Le plaisir explose, vrille son corps et son cerveau sous le plaisir. Son vit gonfle, tressaute. Il s'extrait d'elle au dernier moment, et un jet blanc s'écrase contre le visage exténué de Marguerite, suivi de plusieurs autres, souillant sa poitrine et son ventre. Il y en a tellement qu'une bonne partie coule le long de son corps pour s'écraser contre les draps, définitivement ruinés. Il perçoit la petite déception dans les yeux de sa partenaire au corps souillé.

- Aaaah... oui... tu as raison... dit-il, la comprenant instinctivement.

Il saisit ses jambes, les soulevant, les pressant contre le lit et la femme, exposant son intimité. Il revient en elle, sans sommation, se plaquant contre elle, torse contre seins poisseux de sperme. Ses coups de reins, vifs, sont cette fois de haut en bas, alors que son visage se perd dans la chevelure brune de Marguerite, dont il sent le souffle contre son oreille. Ainsi prise, la pauvre est prisonnière, piégée dans cette position animale où l'envie de faire l'amour est chassée par le besoin primal de se reproduire.

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Territoire de Tekhos / Re : Echange de bons procédés (Grayle-Enmoïra)
« le: mardi 11 janvier 2022, 22:57:52 »
Le mâle pousse un grognement, suivi d'un râle sonore alors que la bichetauresse se met à jouir. Son intimité puissante et musclée ressere son pénis comme un étau, semblant aspirer l'homme en elle. Elle ne tremble pas, elle vibre presque alors qu'il peut sentir, contre ses cuisses, une éruption de cyprine. Elle en fout partout, et rapidement, Grayle et Enmoïra se retrouvent souillés des fluides de cette dernière. Il continue de la pilonner pendant son orgasme, la faisant repartir une seconde fois. C'est une minute de frénésie qui se joue, alors que la créature, qui continue de gémir et de couiner, se remet à jouir, défoncée par l'homme qui parvient à la secouer dans tous les sens à grand coups de reins.

Une sensation brûlante envahit le corps du pérégrin, qui serre les dents, et se retire de la belle, laissant derrière lui une trainée odorante de fluides. Il l'entend gémir de désespoir alors qu'il se retire, laissant son intimité béante et dégoulinante. Il fit le tour avec précipitation, et se saisit des cornes d'Enmoïra, la forçant à se redresser.

- Ouvre la bouche dit-il avec une fureur à peine contenue. Elle obéit sans discuter, et, sans sommation, il enfonça sa verge épaisse entre ses deux lèvres. Pas de lente et langoureuse fellation ici. Il la baisait, purement et simplement, continuant de la tenir par les cornes, enfonçant son pénis jusqu'à la garde, déformant sa gorge, étouffant sa respiration, ses bourses épaisses et pleines de cyprine et de sperme cognant contre son menton, laissant des marques blanches contre ce dernier.

Il ne faut que peu de temps pour que ce traitement de choc face céder Grayle. L'humain s’enfonça en Enmoïra jusqu'à la garde, expulsant son foutre chaud en grandes quantités, au point que les joues de la bichetauresse ses gonflèrent et que le fluide se mit à dégouliner de ses narines, manquant de l'étouffer. Dans un râle de plaisir, il se retira d'elle, et se branla devant elle, envoyant un long jet de semence sur son visage, suivi d'un autre, avant qu'il ne se finisse sur sa poitrine. La digne diplomate et politicienne de la nature ressemblait à une catin s'étant faite passer dessus par toute une bande

- Aaaah.... dit-il en soupirant, regardant sa partenaire. Alors, satisfaite ? Il se doutait qu'elle en demanderait encore plus. Il jeta un oeil discret à la sacoche de la belle. Il avait bien envie de lui faire tester sa propre potion. Perverse comme elle l'était, elle deviendrait probablement une incroyable salope avec...

Il désigna son sexe, maculé de fluide, encore dur et brûlant.

- Car moi, j'ai encore plein de trucs à te faire...

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Prélude / Re : Polite as fuck [Anéa]
« le: dimanche 09 janvier 2022, 12:38:00 »
Quelle bien triste histoire... bienvenue !

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Humain ? Oui, il l'était, techniquement. Techniquement, imbibé du pouvoir toujours latent de sa déesse, il pourrait également prétendre être un demi-dieu, voir une divinité mineure. Mais ce serait arrogant, n'est-ce pas ?

Il décida donc de rester mystérieux, lui renvoyant un sourire franc, alors qu'il se penchait en avant pour la prendre sous les bras et la remettre debout.

- Pour toi, je serais ce que tu veux. Sans prévenir, il la souleva alors, la tenant solidement par la croupe. Bien qu'opulente, la belle n'était pas grosse. Serrée dans ses bras, pleine de sueur et encore puante de sperme, elle était toute légère, alors qu'elle s'accrochait à lui. Il l'embrassa fougueusement, avant de marcher un peu au sein de sa maison, la transportant sans difficulté, pour la projeter doucement sur son propre lit, la faisant rebondir dans une tornade de cheveux bruns. Il enleva définitivement son pantalon et nu comme au premier jour, l'Adam vint voir son Eve, qu'il dévorait des yeux.

Un autre baiser, alors qu'il la plaque contre le matelas. Les corps se frottent l'un contre l'autre, pectoraux contre poitrine, vit contre bas ventre. Les mains masculines remontent le long des bras féminins, avant que les doigts ne s'entrecroisent. Il n'a rien de séduisant, de bravache, de romantique ou de malin à dire. Cette fois, le silence est d'or, et les souffles, les soupirs, les gémissements, le bruit des chairs l'une contre l'autre, des corps contre le tissu du lit, suffisent à communiquer ce qui est nécessaire. Il l'embrasse encore, à pleine bouche, sans hésitation, alors qu'une main s'égare vers son ventre. Doucement, elle se glisse dans le creux du dos de Marguerite, soulevant cette dernière, glissant un oreiller dessous, pour son confort.

Il tire la langue, lèche sa gorge, puis ses seins, la tête comme un bébé, fait doucement glisser les dents contre la peau pâle. Il ne cache pas son avidité pour cette poitrine pleine, qu'il a envie de dévorer. Les mains rejoignent, puis remplacent sa bouche, pétrissant les deux blanches collines avec envie. Re dressé sur ses genoux, il écarta ses jambes, présentant son vit à son jardin secret.

Ils s'accordèrent muettement. Chacun crevaient d'envie de l'autre. D'un mouvement fluide, il s'enfonça en elle, serrant les dents tant elle était brûlante et étroite, écartant les chairs, ses mains pressant sa poitrine avec envie, tirant sur un mamelon. Un mouvement du bassin, vif, puissant fut suivi du "boum" caractéristique du lit cognant doucement contre le mur.

-Aaaaah...

Éclairé par l'âtre encore enflammé, il se mord la lèvre inférieur alors que les deux paires d'yeux se retrouvent.

- Crie si tu as mal...

Sourire.

- Crie plus fort si tu es bien.

Se retirant d'elle, presque intégralement, il revint vigoureusement en elle, ses bourses épaisses claquant contre elle, faisant rebondir sa poitrine épaisse pressée par les mains avides du mâle. Grondant d'envie, le preux chevalier part à l'assaut.

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A genoux devant lui, sa charmante partenaire inspire de nombreuses remarques, tantôt séduisantes, tantôt grasses, mais il a la bonne idée de rester coït, exprimant son affection par des gestes simples. Un sourire, une douce caresse de sa joue, puis de ses cheveux lorsqu'elle est trop basse. La vision de son beau visage, rouge, les yeux brillants d'envie, au sourire à réchauffer le cœur du pire des salopards, sa poitrine, pleine, opulente, entière, n'était pas qu'excitante, elle était inspirante. C'est pour ce genre de vision et de moment, qu'il continuait sa course infinie et défie les éons. Les humains, dans leur vie fugace et leur mémoire faillible, oublient de chérir ce moment. Marguerite ne le sait pas -et serait-elle charmée de le savoir ? - mais cet instant présent, alors qu'elle défroque le pérégrin, restera gravé dans la mémoire de Grayle pour les millénaires à venir, bien longtemps après que tout souvenir du royaume dans lequel elle vit soit effacé de la mémoire collective.

- .. Surtout ne vous retenez pas mon beau prince. Ce soir, vous ferez de moi ce qui vous voulez.

Il souffle du nez, tout sourire, apaisé, l’œil brillant d'excitation. Ses doigts se referment doucement sur les cheveux de la brune, alors qu'elle l'avale doucement. Il avait aimé qu'elle reprenne ses formulations pour présenter ses "hommages". Elle avait de l'esprit.

- Ce soir seulement ? Dit-il d'un air malin, la voix charmante. Une nuit est bien trop courte pour tout ce que j'ai envie de te dire et te faire, Marguerite, hm... pourquoi pas une semaine ? reprend-t-il, sincère. Sa poigne douce est devenue puissante, et la belle paysanne à genoux, même si elle souhaitant répondre, ne le peut pas, le mâle l'empêchant de reculer trop son visage. Seule solution pour elle, la fuite en avant. Et alors que son vit rempli la belle bouche de sa modeste partenaire, il ne peut s'empêcher de parler, ses phrases s'accompagnant de coups de bassins doux et langoureux, gagnant lentement et progressivement en intensité.

- Le temps qu'il faut, je peux t'aider à la ferme et aux champs... pêcher, garder les moutons, couper le bois, faire à manger... et bien m'occuper de toi... hum... matin, midi et soir... je peux être... très dévoué... ah...

Elle est douée. Ses lèvres sont accueillantes, sa langue est un délice. Son sexe est en feu, une délicieuse chaleur, et une envie pressante, presque douloureuse, remontant de ses fesses jusqu'à son bassin, aiguë, irrésistible. Les coups de bassin de Grayle deviennent puissants mais pas brutaux, alors que subtilement, il devient celui dictant le rythme, le nez de la belle cognant sans douleur contre son bas ventre musclé. Les gargouillis rejoignent les soupirs, et les grognements, alors que le chevalier se transforme en pillard et que l'hôte devient captive de raid. Elle doit s'accrocher à lui, respirant du nez.

- J'avais envie d'être doux, mais tu m'excite trop... promis... 
je me rattraperais... dit-il d'un air faussement peiné. La fellation s'est transformée en irrumation, alors que le vit se perd jusque dans les tréfonds de la gorge de la belle, poliment utilisée et manipulée par l'homme, qui continue de caresser ses cheveux et sa nuque.

A peine quelques minutes après son agenouillement, la jeune femme put sentir la verge masculine se durcir et se tendre, puis pulser, alors qu'un liquide brûlant, et surprenamment savoureux, ne se répande contre sa langue. Grayle, à demi-enfoncé, pour pouvoir contempler le visage de la Grayle, semblait à la fois soulagé et en proie à une délicieuse douleur. Un second soupir annonça un autre jet, puis un troisième.

La jeune Marguerite le découvrait maintenant seulement, mais l'immortalité du pérégrin se traduisait également par une endurance de l'ordre du divin, et surtout, une vigueur surnaturelle. L'humain foutrait comme un minotaure. Rapidement, la pression força l'homme à reculer, et c'est le menton, puis le cou, qui furent aspergée. Une partie des fluides coulèrent paresseusement sur la poitrine de la belle. Il vit son regard, trahissant multiples exclamations et interrogations, et ne put s'empêcher de pousser un rire clair.

- Tu m'avais bien dit de ne pas me retenir... il se mit à sourire, soupirant, comme délivré d'un poids trop lourd pour lui, le visage rouge, plein de sueur, et le sexe toujours et dressé, pulsante et menaçante matraque de chair dirigée vers la fermière comme une arme.

- Ah... par la déesse, Marguerite... il se mordit la lèvre inférieure je serais prêt à te défendre contre une armée entière...

Il avait déjà envie de la soulever et de la prendre ici, contre le mur, sans ambage, ou de jouer de sa force pour la projeter contre le lit, et de baptiser ce dernier de leurs amours... car il ne comptait pas s'arrêter de si tôt. Le chevalier était lancé en croisade.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Trempée jusqu'aux os ( Pv Grayle )
« le: dimanche 02 janvier 2022, 12:10:43 »
Leur baiser avait été lent, timide, un peu maladroit, comme deux puceaux n'osant pas vraiment franchir le pas. La fraîcheur de Crystal collait des frissons à Grayle. C'était clairement surnaturel. Elle n'était pas humaine. Vampire peut-être ? Heureusement pour elle, et pour lui, la nature d'immortel de Grayle fait qu'il ne ressentait pas le froid aussi crûment qu'un humain normal. Aussi, alors qu'elle l’enlaçait doucement, il se laissa faire, et se coula contre elle, là ou quelqu'un d'autre l'aurait repoussée pour aller chercher une couverture et se plaquer contre un radiateur.

Ils se retrouvèrent l'un contre l'autre, le torse de Grayle écrasant la poitrine opulente de Crystal. Il l'embrasse encore, se frottant contre elle, un bras dans son dos se finissant dans les cheveux de la belle, tandis que l'autre saisit une hanche pleine et un peu grasse. Cette fille est un vrai appel au sexe, et Grayle était à l'écoute.

- On devra faire une enquête. Je te ferais aucun mal, promis...

Elle n'était pas humaine, c'était sûr. Mais lui non plus, et avait déjà du lever le voile sur bien des mystères. Il était confiant dans sa capacité à l'aider. Mais là, tout de suite, son esprit avait d'autres préoccupations. Il l'embrassa encore, avant de lécher sa gorge.

- Prends tes aises. Détend toi. Laisse moi faire... chuchota t-il d'une voix chaude, avant de lécher ses seins, gobant un mamelon et sucant sa poitrine comme un enfant, pétrissant ces deux blanches collines avec envie, avant de se laisser glisser, se retrouvant à genoux devant elle. Ses mains puissantes passèrent sous les genoux, et il la tira un peu vers lui, exposant sa fente solitaire.

La langue  darda encore, léchant l'entrejambe de la gelée avec envie, avec ardeur, avec chaleur. Il allait voir si elle était aussi froide que ca...

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Le quartier de la Toussaint / Re : Prélude à l'héroisme (Grayle-Sanaé)
« le: vendredi 31 décembre 2021, 11:30:01 »
Les deux hommes ricanent, alors que l'auteur du coup de poing saisit la jeune fille par la peau du cou, la soulevant sans la moindre difficulté.

- Bah alors, elle est ou ta justice ?

Son rire prend fin lorsque la brune lui décoche un coup de poing en plein visage. La douleur explose entre ses tempes, alors qu'il pousse un grognement de rage. La conne lui a explosé l'arcade sourcilière, et du sang coule sur son visage. Son pote pousse un grand rire.

- HAHAHA, tu te fais cogner par une gosse !

Il en faut toutefois plus pour étaler un grand lascar plein d’adrénaline et bien décidé à se taper la donzelle. Il la projette violemment contre le mur, avant de lui enfoncer son poing dans l'estomac, prenant à grand plaisir à voir la jeune ado se tordre de douleur, avant de vomir des filets de liquide par terre. Bave, repas d'hier ? Il s'en fout en vrai, ça rendra la pipe encore plus facile. Il la rattrape par les cheveux, avant de lui administrer un formidable coup de boule. Il a mal calculé son coup toutefois, et au lieu de pulvériser le nez de Sanaé, les deux fronts se percutent, et il pousse un hurlement, alors que le bandeau métallique s'enfonce dans son front.

- Putain, ca fait mal ! rage t-il, le front rougit et légèrement ensanglanté. Il fout un coup de pied à la jeune fille encore sonnée, sa semelle sale s'écrasant contre son épaule, puis sa cage thoracique.

- Salope !

- Hey, mec, l'abime pas trop, on pourra pas en profiter si elle est défoncée... rappelle son très raisonnable compagnon au couteau, avant d'ouvrir les yeux étonnés lorsque la petite se relève, en sale état, mais toujours prête à se battre.

- Oh, délicieuse petite dit-il d'un air mauvais, avant de lécher la lame de son couteau, les yeux fixés sur le poitrail de la brune, s'imaginant déjà le découper pour exposer sa poitrine.

- Salut dit une voix derrière eux. Ils répondent d'un air machinal un "Salut" presque aimable, avant de réaliser qu'une autre personne est sur les lieux. Ils se retournent. C'est juste un gosse. Un jeune homme lambda, qui passe dans le coin, pas vraiment dangereux d'apparence, tenant quelque chose dans sa main. Un téléphone ? On dirait un baton de relais. Ils sont d'humeur généreuse.

- Mec, si tu cherche des putes, le bordel c'est juste à droite près de la sortie.

- Oh, mais c'est exactement ce que je cherchais répond le jeune homme, dont les yeux bleus semblent briller dans le noir. Et je viens de tomber sur deux petites putes, justement. reprend-t-il avec une voix condescendante à l'extrême.

L'un d'entre eux se prend quelques coups de la brune, qui semble en redemander. Il riposte en la giflant, attirant l'attention de son comparse au couteau. Grayle profite de ce bref instant de confusion pour frapper. Son baton s'allonge soudainement, de plusieurs mètres. Le bout percute dans un "craquement sonore le front déjà ensanglanté du mec s'était battu avec Sanaé, le plaquant contre le mur. Il fixe Sanaé d'un regard vide et torve, un filet de bave coulant des lèvres, complètement KO, glissant lentement sur le sol.

- Pardon répond le mystérieux sauveur alors qu'il fait glisser le baton le long du flanc de Sanaé avant de la projeter au loin sur le côté. Premier type, neutralisé. Victime sécurisée. Bien. Deuxième type...

Déjà en train de courir. He ben, c'est pas le courage qui l'étouffe. Grayle jette un rapide coup d'oeil vers la jeune fille. Elle a l'air jeune, encore une ado, et... habillée comme... mince, comment elle s'appelle, il a passé quelques années sur Terre, mais les super-héros c'est pas son truc... wonder-female ? Wonder Woman ! Que fout une fille habillée comme Wonder Woman ici ?

Quoi qu'il en soit, cette vision l'avait inspiré. Il lacha son baton magique, qui reprit sa taille initiale de 30 cm, et fit glisser son sac sur le côté. Il plongea son bras dedans, et en sorti le lasso magique qui lui avait été donné en récompense par des amazones après qu'il ait sauvé leur reine d'une embuscade d'orcs. Il agita son poignet, faisant claquer la corde sur le sol, puis détendit son bras. Le lasso doré parti à toute vitesse et s'enroula autour du corps de l'homme, le saucissonnant avec une facilité surnaturelle qui ne venait de toute évidence, pas de l'expertise de son utilisateur. Le malandrin poussa un "gné?" complètement con avant de se ramasser avec violence contre le bitume, s'écrasant le visage sur le sol.

Il essaya de se dégager, mais Grayle était bien plus fort. Calé sur ses jambes épaisses, il tira le type en arrière, sur un bon mètre. Il reporta son attention sur la brune, qui s'était relevée.

- Hey, ca va ? T'es pas blessée ?

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Le quartier de la Toussaint / Prélude à l'héroisme (Grayle-Sanaé)
« le: mardi 28 décembre 2021, 08:53:36 »
Le quartier de la Toussaint est probablement un des plus mal famés de Seikusu, et la concurrence est rude. On y trouve de nombreuses personnes plus ou moins (plutôt moins d'ailleurs) recommandables, qui évoluent tels des poissons dans l'eau formé par un labyrinthe de ruelles mal éclairées, sinistres et tortueuse, où même le plus innocent des commerces renferme quelques lourds secrets et un fusil à pompe planqué près de la caisse. Les flics y sont rares, les touristes, inexistants.

Sauf un. Pour Grayle, la Toussaint n'est même pas un sujet d'inquiétude. Après avoir visité les vaisseaux esclavagistes des Gorsh, s'être aventuré au coeur de la citadelle de la peur, vécu dans l'enfer de la jungle des skarns, affronté le roi barbare Krull au sein de la cité maudite de Morshleib, croisé morts-vivants, vampires, démons, pirates intergalactiques et créatures instraplanaires, le danger posé par un cocaïnomane ou un malfrat des bas-fonds oscille entre "très léger" et "inexistant". Pour l'immortel, les risques auxquels il s'expose dans cet endroit sont plus l'occasion d'anecdotes que de blessures de guerres, qui, de toute façon, finiront inévitablement par disparaître.

Ainsi, il se baladait, vêtu d'habits communs -jean, t-shirt long, col roulé gris, veste en cuir marron, écharpe orange-, son sac sur le dos, ses chaussures épaisses s'enfonçant dans la boue blanchâtre qu'une neige timide mélangée avec une pluie dégueulasse avait laissée. Bien qu'on soit au japon, l'esprit de Noël était présent, et certains habitants avaient accrochés quelques décorations.

Globalement, tout le monde laissa Grayle tranquille. Son visage beau, mais juvénile, ainsi que son air insouciant, en aurait normalement fait une cible de choix. Mais l'assurance presque insultante avec laquelle il se baladait douchait instinctivement toute envie d'agression chez les malfrats potentiels, qui se disaient qu'un type aussi tranquille était forcément dangereux.

L'oeil vif et les sens aux aguets, Grayle percut, sur sa droite, un bruit étouffé, suivi du mouvement d'air typique créé par des mouvements vifs, pas très loin. Avec l'intuition poussée de celui qui trouve les emmerdes partout où il va, il s'engagea dans la ruelle. 

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Territoire de Tekhos / Re : Echange de bons procédés (Grayle-Enmoïra)
« le: lundi 27 décembre 2021, 17:15:05 »
Toujours enfoncé dans la gourmande bichetauresse, Grayle ondule doucement du bassin. Il aurait mal à ce dernier s'il 'était un humain normal, après tant d'efforts, mais l'immortel avait de l'énergie à revendre. Doucement, il enleva sa chemise, se retrouvant quasiment nu, avec seulement son pantalon accroché autour de ses chevilles.

Sa main gauche continuait de caresser la douce fourrure de sa partenaire, la griffant un peu, s'amusant de voir les réflexes nerveux de son cul lorsqu'il la fessait. Un autre coup de rein, arrachant un gémissement à la femelle. Puis, une plainte, alors qu'il enfonce son pouce dans son cul, en même temps que son sexe dans sa pauvre petite vulve. Il la sent toute proche de la jouissance, la lui ayant refusée sans le vouloir. Or, il est ici pour ça... la faire jouir, encore et encore.

Rapidement, l'humain se remet à la besogne. Son sexe, toujours aussi dur, s'enfonce violemment au fond de l'intimité de la politicienne, qui peut sentir son cul animal se faire pénétrer en même temps, alors que, minute après minute, Grayle lui administre une levrette doublée d'un fisting du tonnerre. Les grognements de plaisir de Grayle, de plus en plus animaux, couvrent à peine les hurlements d'Enmoïra, qu'il ravage joyeusement, alors que du sperme et de la cyprine coulent généreusement le long des jambes de la belle, un de ses bras tirés en arrière par l'humain. Le claquement de son bassin contre le cul épais de la bichetauresse est désormais mêlé d'un bruit de percussion humide, la baisant comme le ferait un minotaure, sans répit, encore et encore, avant de détailler la suite du programme.

- Ah... ah... quand t'aura joui, tu me pompera jusqu'à l'étouffement... j'ai envie de baiser ta petite bouche, ma chère...

Plus que lui remplir les entrailles, il avait envie de souiller ce beau visage et cette poitrine. Elle était belle, et son instinct primal lui demandait de la ruiner.

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Prélude / Re : Annabella, mamie coquine
« le: vendredi 24 décembre 2021, 00:09:47 »
Bienvenue ici, vénérable dame !

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