Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Jigoku tsūshin

Pages: [1] 2
1
Prélude / Re : La justice ne connait pas la loi.
« le: dimanche 09 novembre 2014, 00:21:13 »
Tiens, une des personnes que l'ont suit souvent. Beaucoup ont voulu se venger de toi, mais aucun n'a tiré la ficelle.

Bienv'nue !

2
Les terres sauvages / Re : Un autre pacte? (pv Jigoku tsùshin )
« le: dimanche 15 juin 2014, 18:53:58 »
Normalement ça ne ce fait pas de demander l'age d'une jeune fille, mais puisque tu es comme moi je te pardonne.

Ren fit un Désolé... gêné, avant qu'elle continue à parler :

J'ai environ 2 000 ans... Et toi?
Deux mille...

L'homme en était bouche bée. Deux mille ans ! C'était plus que six fois son age ! Et elle qui se targue d'être jeune ! C'était... Surprenant.

Jeune... fit-il pour lui-même.

Non, Angurva n'était pas jeune, même bien au contraire. Si elle rejoignait le groupe, elle serait même la plus âgée, certainement même plus qu'Enma Ai elle-même. Whoah... Cela lui fit un choc.

Mais il se reprit plutôt vite, et il entendit la "jeune" femme dire qu'elle aimerait bien regarder ce qu'ils faisaient. Par chance, c'est exactement ce que Ren lui avait proposé quelques secondes auparavant, se placer en simple spectatrice. Mais Wanyūdō était déjà parti avec Mademoiselle, et il était hors de question de faire tout le trajet à pied. Tout le trajet... Non, il y avait un portail non loin qui les emmèneraient pas loin de leur cible ! Ils pourraient ainsi retrouver les autres membres du groupe, et elle pourrait faire la spectatrice. Manque de chance, cette fois-ci, le contrat se déroulait sur Terre, un lieu qu'elle ne connaissait peut-être pas. Quoique...

Eh bien... Le contrat actuel est sur Terre, je ne sais pas si tu connais. C'est un autre monde, où la magie et les êtres non-humains dotés d'intelligence n'existent pas. Du coup, pour le moment, je vais te rendre invisible aux yeux des autres jusqu'à ce que Mademoiselle te donne un moyen de cacher tes cornes. Pas que ce n'est pas joli, mais ça va faire peur à tout le monde là-bas.

Il pointa du doigts les bois environnants.

Par là, il y a un portail qui nous permettra de rejoindre la Terre.

Il fit quelques pas avant d'ajouter :

Et pour info, je n'ai "que" trois cent ans...

3
Les terres sauvages / Re : Un autre pacte? (pv Jigoku tsùshin )
« le: jeudi 22 mai 2014, 17:58:28 »
Ichimoku Ren regardait la fille sabre. Il semblait qu'elle était un peu perdue, malgré ses explications. Elle lui en fit part d'ailleurs :

Bon euh... D'accord... Je.. J'essaie de tout comprend là... Pourquoi veut elle que je rejoigne vos rangs? Je.. Je sais que j'ai des cornes qui me donnent une allure démoniaque. Mais je n'ai aucun lien avec les enfers. Je ne comprend pas quel est la vrai nature du travail dont vous parlez.... Je suis un peu perdue à vraie dire. Co Comment voulez vous que je vous donnes une réponse alors que même pas une minute avant j'étais toute seule avec Kusanagi sous la pluie?

Il resta silencieux une seconde avant d'éclater de rire. Un rire frais, pas moqueur. Il avait été amusé par cette réaction de totale incompréhension, car cela lui rappelait des souvenirs. Lui-même avait été confronté à ce même choix, sauf qu'il n'avait pas eu d'explications comme elle... Peut-être que finalement, Mademoiselle avait raison en ne disant strictement rien. C'est vrai qu'il est assez moche lorsqu'on en parle, ce boulot. Il faut vraiment le vivre pour voir de quoi il en retourne. Mais pour le voir, il faut d'abord qu'elle accepte la proposition... Dans un premier temps en tout cas. Elle aurait ensuite tout le loisir de changer d'avis. Il lui fit d'une voix faussement vexée :

Parce que tu crois que moi, j'ai un lien avec les enfers peut-être ?

Il continua à rire un peu avant de se calmer. Au moins, cela avait détendu l'atmosphère. Il l'espérait en tout cas.

Plus sérieusement... Mademoiselle n'est pas la personne qui explique le mieux au monde. Moi à l'époque, j'étais juste une épée fichée dans un rocher quand elle m'a tendu la main. Je l'ai prise et je ne le regrette pas. C'est le genre de travail qu'on ne peut pas vraiment expliquer. Jamais fixe, mais il y a quelques ressemblances. Et j'imagine que tu auras une meilleure conversation qu'avec une épée inanimée non ?

Ren avait deviné sans mal que Kusanagi était le nom qu'elle donnait à son katana puisque lui aussi étant une arme, il avait longtemps considéré les autres comme ses égaux, avant de se rendre compte que sa véritable famille se trouvait autour de lui. Certes il y avait encore quelques zones d'ombres comme la vieille dame qu'Enma appelle "Grand-mère", mais ils étaient ses confidents.

Et il se peut que tu trouves plus qu'une simple occupation... Juste par pure curiosité, tu as quel age ?

4
Les terres sauvages / Re : Un autre pacte? (pv Jigoku tsùshin )
« le: mercredi 14 mai 2014, 17:35:05 »
Je.. Je ne comprend pas bien, répondit celle qui s'appelait Angurva. Vous voulez que je vous accompagne où? Je.. Qu'est ce que vous racontez?
Ton chemin est peut-être solitaire. Je te propose juste qu'il croise le mien pendant le temps que tu désires. Ce que tu sais pourrait nous...

Juste derrière la jeune fille, l'air se brouilla un instant, et un vieil homme apparut derrière elle. Il s'adressa directement à Enma :

Mademoiselle. On a une requète.

Celle-ci se leva et se retourna vers le nouvel arrivant.

Très bien. Elle fixa ensuite Ren de ses deux yeux rouges. Ren, je n'aurai pas besoin de toi.

Celui-ci fut surpris. C'était bien rare qu'elle dise cela, surtout depuis que les deux autres étaient partis.

D'accord...

La petite fille et le vieil homme disparurent tout deux, avant qu'on puisse entendre un espèce de rire s'éloignant rapidement au-dehors. Ren se retrouvait donc seul avec Angurva. Celle-ci devait avoir plus de questions que lui, c'est pourquoi il décida d'abord de lui répondre un peu plus précisément que Enma Ai.

Est-ce que tu as entendu parler de la légende de la Jigoku Shoujo ? Celle qui, si tu l'appelles à minuit, avec un sentiment de haine, viendra te venger en ton nom ? Eh bien ce n'est pas qu'une légende... C'est Enma Ai.

Il soupira et s'assit, avant de continuer :

Elle passe sa vie à accomplir des vengeances et à envoyer des personnes en enfer. C'est pas un boulot facile, et surtout qu'elle n'a pas le choix. On ne sait pas pourquoi elle est obligée de le faire, mais elle l'est, c'est tout. Wanyudo, l'homme que tu as vu derrière elle, est persuadé qu'elle n'a pas toujours été aussi froide, et qu'on lui a conseillé de mettre ses sentiments entre parenthèses. ça doit être vraiment difficile pour elle de tenir en voyant défiler la vie des gens devant ses yeux, les menant vers leur destination finale. Les autres et moi l'aidons pour qu'elle puisse tenir le coup. On est ses assistants en quelque sorte... Elle te proposait de devenir sa quatrième assistante, avec Hone Onna, Wanyudo et moi. Mais t'es obligée de rien, hein ! C'est toi qui décide, de si tu veux le faire, et quand tu veux t'arrêter. Si tu veux, tu peux juste venir au prochain contrat juste pour regarder et te faire une idée. Enfin je pense...


[HRP : Sorry, panne d'inspi'...]

5
Les terres sauvages / Re : Un autre pacte? (pv Jigoku tsùshin )
« le: vendredi 09 mai 2014, 16:41:26 »
Ren observait la rencontre avec son pouvoir, celui de déplacer son oeil sur n'importe quelle surface, et de faire en sorte qu'il ait la taille voulue. Ici, il l'avait créé au plafond, et il lisait sur les lèvres des deux femmes. Celle qui était supposée être une arme comme lui semblait croire qu'Enma Ai était juste une apparition, contrainte à rester à cet endroit pour pouvoir y trouver le sommeil éternel. Il ne put s'empêcher de sourire. Il est vrai qu'elle n'est pas la personne la plus chaleureuse du monde. Enfin, des mondes, vu qu'il y en avait deux. Il était curieux, et voulait parler à cette personne ayant l'apparence d'une femme avec deux longues cornes, la faisant ressembler à une démone. Quelle arme pouvait-elle bien être ? Un sabre ? Une épée ? Ou une arme à distance comme un pistolet, ou même un arc ? Elle se leva et sembla sur le point de partir, s'excusant auprès de la Jigoku Shoujo de l'avoir dérangée. Ah non ! Maintenant qu'il venait de rencontrer pour la première fois quelqu'un de la même nature que lui, il était absolument hors de question qu'il la laisse partir comme ça ! L'oeil gigantesque au plafond se ferma sans bruits et Ren reprit le contrôle de son corps, marchant rapidement vers l'endroit où se trouvait les deux filles.

Où tu vas ?
Je vais lui parler.
Mais...

Wanyudo posa sa main sur l'épaule de Hone Onna en lui faisant :

Laisse-le y aller. Mademoiselle sait ce qu'elle fait. Elle ne lui aurait jamais dit sinon.
Tu dois avoir raison...

C'est ainsi que Ren entra à son tour dans la maison. Il était à présent derrière l'inconnue. Sauf qu'il ne savait pas quoi dire. Bonjour, je suis comme toi, je suis une arme ! On fait ami-amie ? Il était allé trop vite, comme d'habitude. Il se gratta nerveusement l'arrière de la tête et lui dit :

Euh, salut ! Je... Je m'appelle Ren. Et je... Enfin...

Il était gêné, gêné de ne pas savoir du tout quoi lui dire, ni même comment lui révéler ce qu'il était. Il remarqua juste qu'elle portait une épée sur elle. Étrange... Lui-même n'en avait jamais éprouvé le besoin. C'est vrai qu'il était toujours avec les autres assistants d'Enma, mais il ne savait pas qu'une arme pouvait vouloir porter une autre arme sur elle... Soit. Ce n'était pas vraiment le problème pour l'instant. Il ne savait toujours pas quoi dire. Heureusement, on vint à son secours.

Dis-lui. fit la jeune fille.
D'accord. En fait, moi aussi je suis une arme... Et, euh... Excuse-moi, continua-t-il en ricanant nerveusement, c'est la première fois que je rencontre quelqu'un comme moi.

Enma Ai laissa l'inconnue répondre, avant de reprendre la parole :

Tu recherches la solitude, ou c'est elle qui te veux ? Si tu le désires, tu peux nous accompagner.

6
Les terres sauvages / Re : Un autre pacte? (pv Jigoku tsùshin )
« le: mardi 06 mai 2014, 16:43:02 »
Elle a l'air seule...
Qui ? Elle ?
Oui... Je sens un grand pouvoir en elle. Elle est comme Ren.
Comme moi ? C'est à dire ?
Une arme...

Un quatuor insolite étaient perché sur un arbre, en train d'observer une maison dans un village abandonné. Il pleuvait à verse, mais les gouttes semblaient ne pas les déranger outre mesure. Il y avait un vieil homme dans la force de l'age, une très belle femme habillée avec une magnifique robe, un homme d'une vingtaine d'années avec l’œil gauche caché par ses cheveux, et une petite fille dans un uniforme d'écolière d'un style datant de plusieurs siècles déjà. Les quatre se connaissaient depuis de très nombreuses années, en dépit de leur age apparent. En effet, la plus jeune, qui était l'ancienne geisha, avait plus de 200 ans.

Comment ça ? Une arme qui a pris une forme humaine ? Comme moi ?
Sauf que elle a ses deux formes depuis sa création.
Que comptez-vous faire Mademoiselle ?
Je vais lui parler.

Elle sauta à terre, un saut de plus de dix mètres, et se réceptionna parfaitement, sans même fléchir les jambes, avant d'avancer tranquillement vers la maison ciblée et de disparaître à mi-chemin. En même temps que les trois autres personnes.



Elle marchait sans bruit. En vérité, Enma Ai se trouvait derrière la jeune femme qu'elle avait repéré, celle avec des cornes. Elle semblait seule et mélancolique. Comme elle en fait. Depuis le départ de ses deux derniers assistants, la maison semblait bien vide et silencieuse. Et puis, pour les missions sur Terra, avoir quelqu'un qui connaissait bien ce monde serait beaucoup plus pratique, car elle ne saisissait pas vraiment les mœurs des gens de ce monde étrange. En fait, ce monde ressemblait à une allégorie, il y avait de tout emmêlé. Elle continua à avancer et la dépassa, entrant ainsi dans son champ de vision. Elle continua sur quelques mètres et elle s'arrêta. Ses cheveux volaient au vent s'engouffrant dans la fissure béante qu'il y avait dans le mur, lui donnant un air sauvage de dos. Puis elle se retourna et s'assit en face d'elle, les genoux surélevées. Son regard centenaire reflétait une tristesse infinie, de ceux qui n'ont pas le droit au repos, de ceux qui ont vu des horreurs qui n'auraient jamais dû arriver. Deux yeux rouges comme le sang qui coulait dans ses veines.

Bonjour.

Sa voix était douce, mais semblait assez monotone, comme si aucune émotion ne se dégageait d'elle. On lui avait conseillé de fermer ses émotions, et c'est une habitude qu'elle avait de parler avec froideur. Après tout, conduire des personnes jusqu'aux enfers n'était pas une tâche de tout repos...

7
[HRP : Musique d'ambiance : ♪♫♪♪♫]

Pourquoi devait-il se taper toujours les personnes les plus étranges de Terra ? Cette fois-ci, il était tombé sur un... Euh... Couple, dont le petit appelle la grande "Maîtresse", et celle-ci s'évanouit au moindre orgasme ? En ajoutant le fait qu'il ait un sexe féminin... Il était vraiment tombé sur un duo unique. Il ne pourrait pas faire grand chose d'eux, à part d'abuser d'eux sexuellement, ce qui finirait par le lasser un jour. Mais pas aujourd'hui.

Lorsque Anastasia avait jouit, il avait senti son anus se resserrer autour de son membre, rendant la pénétration encore plus violente bien que légèrement moins rapide. Il avait prit ses hurlements comme un dû, comme s'il avait mérité ce doux son. Entre douleur, colère et plaisir, les trois si bien entremêlés qu'il est impossible de les discerner. Il sent bien qu'elle ne se contrôle plus, car elle est entièrement en son pouvoir. C'est lui qui mène la danse, et personne d'autre. Et putain, qu'est-ce qu'elle est bonne !

Puis elle s'était effondrée sur le sol. Plus de cris, plus de gémissements de jouissances, plus rien. Elle avait donc dit la vérité : après avoir jouit, elle est aussi fugace qu'un poulpe en plein désert sans eau. Dommage, il aurait bien voulu s'amuser encore un peu avec elle. Il aurait voulu qu'elle pénètre durement le petit Dimtry, qu'elle lui fasse mal, et que ça lui fasse du bien. Car rien de plus jouissif que le moment où les cris de douleurs deviennent des hurlements de plaisir sincères. Mais tant pis, il s'en occuperait lui-même. Après tout, sa verge dégoulinante de sperme était encore prête à l'action... Avant même qu'il ait pu s'approcher de lui, il rampa jusqu'à celle qu'il considérait comme sa maitresse afin de la protéger. Il proposa même de se sacrifier pour elle. Mais ce qu'il n'avait pas déjà compris, c'est qu'ils étaient déjà tout deux ses prisonniers, même sans barreaux ! Prisonniers de sa maladie, qui rongerait petit à petit leurs forces s'ils s'éloignaient ou se rebellaient. Ce qu'ils ne pouvaient pas faire pour l'instant. Mais il leur expliquera les règles.

Il le prit par les aisselles avant de lever son visage au même niveau que le sien pour lui déclarer :

De toute façon, c'est avec toi que je vais continuer...

Il le retourna ensuite, le tenant maintenant par le torse et la jambe gauche, son pénis effleurant son anus. Elle ne l'avait pas lubrifié... Tant pis pour lui. Il aura mal. Très mal. Au début du moins...

Un bruit se fit entendre à l'extérieur, arrêtant le violeur dans son geste. La poignée se mit à tourner et un jeune homme d'une vingtaine d'années fit son apparition, l'air horrifié. Il portait une poupée noire dans les mains, décorée d'un joli fil rouge attaché autour de son cou avec un nœud qui menaçait de se défaire. Il fit à haute voix :

Alors j'avais raison...
Quoi ? Tu sais surtout que tu ne peux rien contre moi. RIEN ! répondit-il à sa question muette.
Au moins, tu ne feras plus de mal à personne...

Avant même que le faux médecin puisse esquisser le moindre geste, l'homme avait retiré la ficelle rouge. Ce premier disparût alors, laissant tomber le jeune garçon sur la fille, tout deux nus.


Dans une autre dimension...

Vous êtes où ?

Le petit avait disparu, tout comme l'autre amoureux transi. Où étaient-ils, c'était une bonne question, parce que lui n'avait pas l'air d'avoir bougé. Quand ce fichu gamin avait retiré l'espèce de ficelle qu'il y avait autour de cette poupée, tout avait disparu autour de lui. Enfin, les deux garçons. Les objets autour de lui y étaient encore. Il essaya de concentrer son pouvoir, mais il ne sentait personne de contaminé autour de lui. Pourtant, il avait bien une portée d'une cinquantaine de kilomètres avec son pouvoir !... Que se passait-il donc ? Quelle était cette mascarade ?

Il essaya de bouger, mais il fut retenu par une espèce de... chose, sur le sol. On aurait dit de la mélasse qui s'accrochait à ses pieds, l'empêchant de le retirer du sol. Mais comment était-ce possible ? Le sol était parfaitement dur il y a moins de dix secondes, et strictement rien n'était entré ! Et il ne pouvait plus bouger... Pourquoi ? Qu'arrivait-il autour de lui de si étrange ? Qui en était le responsable ? Il regarda autour de lui, et capta du regard son couteau, à moins de deux mètres de lui. Malheureusement, ses bras ne faisaient pas cette longueur, et il posa ses mains par terre, les emprisonnant à leur tour dans cette espèce de mélasse, ainsi que ses jambes.

Au secours !

Il sentait qu'il s'enfonçait petit à petit, sans pouvoir bouger. Seule sa tête était en dehors désormais. On aurait dit des sables mouvants. Il s'était remis à la verticale tout simplement parce que ses pieds s'enfonçaient plus vite que sa tête, mais il ne pouvait plus rien faire d'autre que d'appeler à l'aide. Puis sa tête coula juste après qu'il prit une grande respiration.

Étrangement, lorsqu'il fut entièrement recouvert, il put à nouveau bouger et respirer. Sauf que tout autour de lui était noir. Et ses appels sonnaient dans le vide. Il n'y avait personne pour lui répondre. Sauf lorsqu'il eut la bonne idée de se retourner, pour la quatrième fois au moins. Une jeune femme y était apparu. Une belle jeune femme, très appétissante... Mais ce n'était pas le plus urgent. Il fallait qu'il sorte d'ici au plus vite, avant d'avoir à nouveau des mauvaises surprises !

Où sommes-nous ?
Oh, ne vous inquiétez pas... Nous sommes juste à l'intérieur de ce que vous infligez à ces pauvres personnes... La terreur noire.
Hein ? Comment ça........

Il s'interrompit dans sa remarque, car la femme venait de se transformer en squelette. Sans peau, ni muscles. Juste les vêtements qui restaient. Il fit un bond en arrière en hurlant de peur, mais percuta une autre personne. Lorsqu'il se retourna pour voir de qui il s'agissait, il vit une espèce de roue géante enflammée à quelques centimètres à peine de lui ! Et... Au milieu de... Il y avait le visage d'un vieil homme. Un visage qui souriait, malgré l'horreur qu'il devait subir à cause des flammes ! Et il riait... Il riait aux éclats !

C'en était trop pour l'homme. Il tourna les talons et se mit à fuir. Le plus vite possible. Pour sortir de ce cauchemar. Malheureusement, comme il le savait, fuir ne réglait aucun problème, car il vit une jeune fille flotter juste à coté de lui. Attend... Flotter ? Oui, elle ne courrait pas, elle flottait ! Et elle lui parlait !

Yami ni madoishi awarena kage yo
... Hito o kizutsuke otoshimete
Tsumi ni oboreshi gō no tama
Ippen... shinde miru?
                Ô misérable petite ombre enfermée dans les ténèbres,
… méprisant les gens allant jusqu'à les blesser…
Âme noyée dans un karma immonde…
Veux-tu goûter à la mort, cette fois ?

La fille... Elle avait un kimono plein de fleurs... Comment avait-il pu ne pas les voir plus tôt ? Maintenant, il ne voyait plus qu'elles. Plus que les fleurs de son costume. Puis plus rien.



Il se réveilla dans une barque. Enfin, il croyait que c'était une barque... Lorsqu'il essaya de se lever, il n'y arriva pas. Il se sentait mal, très mal... Comme s'il allait vomir au moindre mouvement. Et il se sentait faible... Tellement faible... Il regarda la jeune fille, toujours avec son kimono à fleurs, qui était en train de ramer, doucement, silencieusement, à travers une brume épaisse qui laissait entrevoir quelques bougies sur l'eau.

Comment... ?

Elle ne lui répondit même pas, et il n'essaya plus de parler, car la moindre respiration lui faisait extrêmement mal. Comment était-ce possible ? Son pouvoir ne fonctionnait-il donc plus ? N'était-il plus immunisé contre les maladies ?

La vengeance est accomplie...

Il était allongé dans la barque, et il vit les Portes Torii.


A Nexus :

La poupée avait disparu. Il ne restait dans ses mains plus que la ficelle rouge, qui venait de sceller le destin post-mortem des deux hommes. L'Enfer... Mais ce n'était pas ce qu'il regrettait le plus. Il tomba à genoux, et se posa sur ses talons, regardant les deux corps l'un sur l'autre avec une infinie tristesse.

Si j'avais tiré cette ficelle plus tôt, vous ne seriez pas...

Il ne termina pas sa phrase, conscient que, de toute façon, elle était assez explicite pour définir la mort. Car oui, lorsqu'on tue cet homme, la maladie se répand dans les corps, tuant ses victimes dans d'atroces souffrances. Mais il ne voulait pas leur avouer. Il ne POUVAIT pas leur avouer, tout simplement. Il avisa juste le couteau qu'il y avait près des deux personnes. Il se leva, le prit et s'assit sur l'espèce de lit, là où IL avait torturé sa femme. Il contempla longuement son arme, hermétique à toute intervention extérieure. On pouvait lire de la tristesse sur son regard, ainsi que des regrets. Beaucoup de regrets. Au bout d'un certain temps, il leva son visage vers le jeune homme et lui dit :

Si tu croises la famille de ma femme, dis-leur que j'ai payé ma dette...

Sans lui laisser le temps de réagir, il se trancha la gorge, s'offrant ainsi une mort lâche mais rapide.



Enma Ai...?

Il se retrouvait dans la barque de la Jigoku Shoujo, qui portait un magnifique kimono à fleurs pour l'occasion. Il était triste en pensant à toutes ces personnes qui mourraient à petit feu, mais il ne pouvait pas supporter une nouvelle fois la douleur lancinante qui lui arrachait les os à chaque fois qu'il osait contester SES ordres.

Je vais te révéler une chose : la maladie meurt avec celui qui la répand...
Donc ils ne mourront pas ?...

Contre toute attente, il était loin de vouloir lui reprocher de ne pas lui avoir dit plus tôt. Au contraire, il était content pour les autres. Ils vivraient. Ils avaient le droit à cette vie.

[HRP : Les paroles en japonnais sont cliquables !]

8
Le Docteur ne se contrôlait plus vraiment. Il enfonçait sa bite dans ce vagin... d'homme. C'était assez troublant, mais il avait vu des choses un peu étranges, donc un peu plus ou un peu moins... Rencontrer des femmes dotées de pénis était plus courant pour lui, que cela soit de provenance magique, opératoire ou naturelle. Mais c'était la première fois qu'il rencontrait l'inverse, et il devait avouer que la chatte de ce jeune homme était très... Accueillante. On aurait dit qu'il avait fait ça toute sa vie. En y réfléchissant bien, cela était fort possible, puisque c'était un esclave sexuel à l'anus déjà bien utilisé. On avait pas dû être tendre avec lui. Et malheureusement pour lui, ce petit trou n'allait pas chômer non plus.

Cependant, la résistance du Docteur commençait à s'effacer tout doucement, et l'orgasme le rattrapa au galop. Peu avant, il avait croisé le regard de la femme : elle adorait ça ! On aurait dit qu'elle aurait voulu continuer jusqu'à la mort !! Encore avant, il avait senti la main de Valentina effleurer la sienne tandis qu'il la doigtait, qu'il la préparait à la suite. C'était la seule préparation auquel elle aurait droit. Cette fois-ci en tout cas. Encore avant, c'était les gémissements qui Dimtry poussait à chacun de ses coups de butoir, incitant celui-ci à continuer encore plus vite.

Puis ce fut la jouissance. Poussant des râles de plaisir, son pénis se gonfla et cracha quelques jets de sa substance blanchâtre, au fond de l'intimité du gamin, qui semblait en redemander. En effet, cela avait été trop rapide pour que lui aussi ait atteint l'orgasme qu'il voulait lui faire subir. Mais il avait tout le temps. Il modifia son flux sanguin pour que celui-ci soit constant au niveau de son cinquième membre et se retira enfin de cette intimité pourtant si chaude et si visqueuse du fruit de leur ébat.

Pu... C'était trop bon, lâcha-t-il.

Il prit ensuite Valentina par les hanches et força celle-ci à reculer.

Viens par là toi !

Il la tira pour que sa tête soit à peu près au même niveau que l'intimité du jeune garçon. Il donna ensuite un ordre à sa nouvelle esclave :

Prépare-le.

Pour lui, l'ordre était on ne peut plus explicite. Après Valentina, ce serait au tour de Dimtry. D'ailleurs, juste après avoir ordonné cela, avant même lui avoir laissé le temps de pouvoir acquiescer, il écarta légèrement les deux globes qu'il avait autour de lui et commença à pénétrer la femme par la porte de derrière, s'enfonçant d'un coup entièrement, sans ménagement. Il poussa un autre râle de plaisir. Il avait l'impression que les sensations étaient décuplées par rapport à d'habitude, mais il pensait que c'était juste son imagination. Ou alors la vue du jeune garçon avec un vagin, souillé par sa semence. Il n'était pas bisexuel à la base, mais tout ce qui possédait un vagin méritait son attention. Il resta ainsi quelques secondes, savourant sa position dominante, puis commença à bouger. Pas aussi rapidement que précédemment, puisque son orgasme avait calmé un peu ses ardeurs. Il était lent à bouger lorsqu'il s'agissait de reculer, et elle rentrait violemment à chaque fois, faisant claquer ses hanches sur les fesses de la belle. Mais elle avait déjà été lubrifiée, non ?


De l'autre coté de la porte, il n'y avait plus personne depuis un petit moment déjà.

9
Euh... Je suis en train d'halluciner là ? Je contrôle plus la maladie dans mon corps ou quoi ?... Ben si pourtant ! Eh bien comment ça se fait qu'elle prenne vraiment du plaisir aussi rapidement, sans même avoir besoin de la briser mentalement ? A moins qu'elle soit si fragile que je l'ai déjà détruite... Mais à ce point ! Elle ne voulait pas que le petit soit une victime et elle voulait faire barrage, mais là, elle accepte de bon cœur le traitement qu'il lui inflige ! Et putain, quel traitement !

L'homme avait une main occupée à se masturber tandis que l'autre était sur le fessier du jeune homme, le pouce en train de le pénétrer par l'anus. Lorsque Valentina avait commencé à parler à Dimtry en lui disant qu'il se débrouillait bien, il avait arrêté de bouger ce pouce, stoppant ainsi cette torture anale. En réalité, il était surpris de voir qu'elle aimerait ça aussi vite. Elle qui avait opposé une farouche résistance se laissait maintenant totalement faire sans qu'il ait besoin de sévir plus fortement. Apparemment, il l'avait déjà fait craquer, pour son plus grand plaisir. Elle commençait à pousser des petits gémissements de plaisir qui semblaient sincères. Elle s'était donc perdue dans le royaume de la lubricité pour éviter sa torture, ce qui était exactement ce que l'homme recherchait. Maintenant, il pourrait profiter d'elle autant qu'il le voulait, et le gamin n'allait pas tarder à la suivre. D'ailleurs, ses prévisions s'avérèrent exactes plus tôt que prévu : son antre intime commençait à s'humidifier alors qu'il donnait juste des coups de langue. Décidément, il était tombé sur deux phénomènes extra-ordinaire aujourd'hui, et il n'avait pas l'intention de les laisser partir de sitôt, de quelque façon que ce soit, par la mort ou par la fuite. Il allait les guider vers un monde où seule la lubricité comptait, pour qu'ils le satisfassent dès qu'il en a envie.

Son étonnement monta encore d'un cran lorsqu'elle s'adressa à lui :

Mon-sieur... si je jouis, je perds conscience !...
Appelle-moi Docteur, fit-il d'une voix moins ferme qu'il l'aurait voulu. A vrai dire, l'ambiance totalement lubrique commençait à le dominer aussi, et il se sentait un peu dépassé par les évènements, bien que totalement ravi.

Attend, il a bien compris ? Si elle jouit, elle sera inutilisable pour un certain temps ? C'est quoi ce délire ? En fait, elle le manipule ! Elle lui fait croire qu'elle le veut, alors qu'elle veut seulement s'épargner ! Oh non, cela ne se passera pas comme ça ! Surtout qu'elle décolle le visage de Dimtry de son intimité ! Cependant, la parole qui suivit montra qu'il s'était trompé sur toute la ligne et lui fit perdre le regard dur qu'il lui lançait :

Je ne pourrais plus vous satisfaire...

L'homme était là, la bouche légèrement entr'ouverte sous l'effet de la surprise la plus totale. Elle s'offrait à lui ? Vraiment ? Après avoir subi cette torture, après lui avoir expliqué qu'elle serait dans les pommes pendant un certain temps ? Non, il n'en croyait pas ses oreilles ! Ni même ses yeux d'ailleurs, car elle se retourna et se positionna juste au-dessus de l'adolescent, sa poitrine contre son dos, offrant un spectacle de toute beauté au Docteur, qui en avait retiré son doigt de l'anus de Dimtry sans même s'en rendre compte. La salope...

Je ne vous serais d'aucune utilité une fois inerte... laissez moi vous servir ! Je vous en supplie !...

Il secoua la tête pour reprendre ses esprits. Ce n'était pas le moment de se laisser aller, il avait deux personnes s'offrant à lui juste à portée de bite ! Certes l'intimité de la femme semblait plus accueillante et dégoulinante de jus intime, mais celle du jeune adolescent le captivait beaucoup plus, si bien qu'il hésitait encore sur l'intimité à posséder en premier. Grâce à la maladie qu'il s'est inoculée, l'homme avait un certain contrôle sur son corps, si bien qu'il pouvait gérer assez bien le flux sanguin passant dans son pénis, si bien que, lors d'une éjaculation, il pouvait garder son érection. Et il n'allait pas se priver ! Le spectacle était trop joli !

Je vois... fit-il assez difficilement. Quand j'en aurais fini avec vous, vous serez morts de plaisir !

Certes il ne le pensait pas une seconde, car il craquerait bien avant les deux autres. Son envie semblait proche de son paroxysme, et il ne pouvait plus vraiment contrôler cette main qui le branlait frénétiquement, si bien qu'il semblait presque au bord de la jouissance. Il retira fébrilement son pantalon ainsi que son sous-vêtement, sans même prendre la peine d'enlever les chaussures de facture terrienne qu'il portait aux pieds et se positionna devant la croupe des deux jeunes gens. Devant lui, il y avait quatre trous, et il plongea sa tige dans le premier qu'il avait remarqué, soit le vagin de l'adolescent. Pour cela, il avait dû relever légèrement le fessier de son amante, ainsi que celui de Dimtry pour que la pénétration soit plus aisée.

Aaaaahhhh... Putain, que c'est BON ! gémit-il. Depuis le temps que tu me nargues toi...

Il commença de rapides vas-et-viens au fond de cette intimité contre-nature, sans pouvoir vraiment se contrôler. Ses coups de reins étaient puissants, et s'enfonçaient le plus loin possible, faisant claquer son bassin contre celui de sa proie, le tenant d'une main par la hanche pour pas qu'il soit poussé. En parallèle, il plongea deux doigts dans l'intimité ruisselante de la femme au-dessus, recueillant ainsi son précieux liquide qu'il utilisait ensuite pour dilater l'anus de Valentina. Il répéta cette action plusieurs fois, ses doigts s'enfonçant de plus en plus loin dans son fondement, jusqu'à ce qu'il réussisse à y insérer un troisième.

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Elle viens de se faire torturer physiquement de la pire des manière qu'il connaisse, et elle lui obéissait. Cela était tout à fait normal. Cependant, elle ne connaissait pas encore la torture mentale qu'il pourrait lui infliger. Voir l'autre souffrir est souvent bien pire que de souffrir soi-même, car on se sent responsable de sa douleur, et on se place ainsi en tant que bourreau, alors qu'on est qu'une simple victime. Il connaissait bien ce sentiment pour l'avoir ressenti lui-même et, depuis qu'il a découvert cette capacité coulant en lui comme le sang dans ses veines, il n'hésitait pas à infliger cette douleur mentale aux autres avec le plaisir de se sentir puissant. Ce sentiment de puissance est, de son point de vue, ce qu'il y a de meilleur, car on domine d'autres êtres humains, qui sont réduit à néant. A ne plus espérer d'autre que leur maître, lui, ne soit pas trop brutal la prochaine fois.

Elle commença à baisser son pantalon, difficilement car encore sous le choc émotionnel de ce qu'elle viens de vivre. Et encore, il ne l'avait fait durer qu'une seconde. Il se souvenait, pour une personne vraiment récalcitrante, l'avoir laissé agoniser pendant une bonne minute. Elle a fini totalement brisée émotionnellement, tel un légume prêt à être épluché, réduite à un orifice vaginal où il avait pris énormément de plaisir. Elle n'était pas vraiment morte puisqu'il l'entendait encore gémir lors de ses jouissances, mais elle avait refusé de s'alimenter correctement, ce qui l'avait conduit à une mort rapide. Malheureusement, car il aurait bien profité de ce corps quelques mois supplémentaires. Valentina commença à se masturber à travers sa culotte, stimulant certainement son clitoris, pour enfin baisser ce vêtement inutile jusqu'aux genoux. Elle fut obligée de lubrifier son entrée intime en humidifiant ses doigts avec de la salive, puisqu'elle ne mouillait pas. Pas encore. Se masturbant maintenant avec ses deux mains, elle essayait à tout prix de se donner du plaisir, apparemment sans succès puisqu'elle lâcha :


S'il vous plait... laissez moi plus de temps... je ferais tout ce que vous voudrez ! Je vous en supplie !

L'homme, quant à lui, se masturbait tranquillement, satisfait de ce qu'il voyait. Cela le dégoûtait au plus haut point, et il avait bien envie de rentrer pour lui foutre son poing dans sa gueule, mais cela était impossible. Mademoiselle aurait encore eut des problèmes, et Ren ne voulait pas que cela arrive encore. Hone Onna lui demandait ce qu'il se passait, mais il refusait de répondre. Cela était trop immonde pour être raconté à haute voix. Un viol n'est jamais simple à voir, surtout lorsqu'on ne peut rien faire pour l'empêcher et qu'il soit en direct, juste devant ses yeux. Le porc bougea, la main toujours en train de se branler doucement, jusqu'au lit du malade, toujours allongé.

Tu veux de l'aide hein ? Vas-y, aide ta copine ! A moins que ça soit ta sœur, ce qui change pas grand chose.

En disant cela, il portait le jeune garçon et le posa la tête devant l'entrejambe de la femme, à portée de coup de langue, puis passa un doigt autour de son anus.

Tu aimes l'anal on dirait ! Pourtant, tu as un vagin alors que tu es un homme. Tu doit être un esclave non ?

Sans aucune pitié, il le pénétra à sec avec son pouce, l'enfonçant jusqu'à la première phalange.

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Il put voir l'adolescent tenter de capter l'attention de leur cible, pour laisser un répit à son amie. C'était assez touchant de sa part, mais l'esprit doutait fort de l'utilité réelle de son action.

nooon...

Il n'arrivait plus à se mouvoir correctement après le traitement, magique certainement, de l'autre. Il semblait qu'il allait faire une nouvelle victime, sauf si son client retirait la ficelle au plus tôt. Mais il doutait aussi de la réelle efficacité de cette action. S'il avait dit vrai, les deux mourraient quand même de la maladie inoculée. A vrai dire, Ren avait de la compassion pour ces deux humains qui n'avaient rien demandé et qui se retrouvaient face à un destin mortel, manipulé par un habile faux médecin, mais il ne pouvait pas agir sans compromettre sérieusement leur mission et leur rôle. Ils n'étaient pas des justiciers, seulement des vengeurs. D'ailleurs, il est arrivé plus d'une fois à Mademoiselle d'emporter sur sa barque un total innocent ayant capté la jalousie d'un autre sans même l'avoir désiré, ou s'en rendre compte. Telle était la mission qui l'incombait, et il avait juré de l'aider pour apaiser les souffrances quotidiennes auxquelles elle avait pu avoir droit lorsqu'elle était seule avec Wanyūdō. Et puis, elle faisait désormais partie intégrante de sa vie en tant que maîtresse, même s'il ne l'avouerait jamais.

Tiens, il peut encore parler lui ? Intéressant... Il pourrait m'être utile dans le futur si jamais j'arrive à le convertir à ma cause, mais pour cela, il faudrait qu'il assiste à la mort de l'autre chieuse, et qu'il reconnaisse à jamais mon autorité. Ou alors il peut servir de défouloir, à loisir. Je me demande quelle sera la sensation quand je l'embrocherai avec mon sexe, si c'est exactement comme une femme, ou alors si c'est encore mieux. Ahh, ça me fait bander tout ça... Ou alors... Bonne idée tiens !

Il se décolla du mur et saisit le menton de la jeune femme pour la regarder dans les yeux.

Non, j'ai mieux... C'est toi qui va te masturber. Si tu n'arrives pas à jouir dans les dix minutes, je le viole. Compris ?

Il la lâcha et se retourna vers l'adolescent.

Elle est libre de partir, mais elle agonisera seule en plein milieu de la rue, et toi tu finiras souillé encore une fois. C'est vraiment ce que tu veux ?

Reculant légèrement, il attrapa la chaise et s'assit, tout en baissant son pantalon et son sous-vêtement, dévoilant ainsi une bite d'une taille respectable.

Allez, j'attends ! fit-il tout en commençant à se caresser doucement.

Euh, est-ce qu'il...
Oui, il commence à se branler. Notre client avait raison, c'est un charlatan qui profite des pauvres personnes qu'il rencontre. Et je n'aurai aucun scrupule à tirer la ficelle si j'avais été à sa place.

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Décidément, elle n'avait pas vraiment compris leur situation. Ils étaient totalement à sa merci, dépendant de lui. Il avait plein contrôle sur la maladie imprégnant leurs corps. Celui du petit était extrêmement faible, et celui de l'autre était encore normal, mais il pouvait décider rapidement qu'il devienne tout aussi impuissant, voire jouer sur la douleur en imprégnant ses nerfs. C'est d'ailleurs cette dernière solution qu'il sélectionna lorsqu'elle s'élança vers lui avec son arme improvisée. Dans la seconde qui suivit, elle lâcha ce qu'elle avait dans la main et tomba à la renverse pour mieux hurler de douleur. Qu'est-ce qu'il avait fait ? Il avait tout simplement stimulé tout son système nerveux, pour qu'elle ait l'impression d'avoir mal à chaque parcelle de son corps, comme si sa peau était à vif et qu'on lui avait donné une centaine de coups de fouets simultanément sur chaque millimètre carré de son corps.

Il ne fit pas durer le supplice bien longtemps, à peine une seconde, mais cela lui montrait qu'il avait désormais plein pouvoir sur elle. Mais le pire était à venir si jamais elle désobéissait à nouveau. Ceux qu'il avait déjà manipulé pourraient en témoigner s'ils ne reposaient pas tous dans une tombe.


Mauvaise réponse... fit-il avec son sourire. Allez debout ! Et sache que t'échapper ne te sauvera pas !

Il eut un rapide coup d'oeil vers la porte derrière laquelle se trouvait les deux observateurs, qui se demandaient ce qu'il avait bien pu se passer pour qu'elle s'effondre ainsi.

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Il devait avouer qu'il avait rarement vu une personne aussi obéissante que ce jeune garçon. Certes il était presque dans les vapes, terrassé par la maladie courant dans ses veines, mais il continuait tout de même à essayer d'obéir lorsqu'une personne normale lui aurait demandé des explications. Il a même commencé à se masturber, ou du moins à essayer, avant de se rendre compte qu'il était trop faible pour cela. Un parfait petit pantin...

Je.. ne peux pas, je suis trop fatigué pour me masturber. Je n’ai plus de forces monseigneur…Il n'y a vraiment pas d'autre moyens?
Malheureusement non. La maladie infecte votre sang et votre liquide sexuel de manière différente, si bien que lorsqu'on unit les deux, on peut voir le mélange noircir. Plus cette couleur est foncée, et plus la maladie en est à un stade avancé. Au vu de votre faiblesse, je pense que...

Il fut interrompu par une Valentina qui brandit une chaise au-dessus sa tête, dans une mimique un peu ridicule d'une posture de combat. Il fut assez surpris d'une réaction aussi offensive de sa part, pensant qu'elle allait seulement protester et demander des explications, mais apparemment, il semblait qu'elle avait découvert le pot aux roses. Trop tard, beaucoup trop tard. Le diffuseur est maintenant implanté en eux si bien que, même s'il devait aller à l'autre bout de Terra, la maladie continuerait à se répandre et sonnerait leur fin. A vrai dire, il était maintenant leur seul espoir.

E-éloignez vous de lui ! hurla-t-elle presque.

Hone Onna sursauta, tandis que Ren fut seulement un peu surpris. Il avait reprit l'observation de la scène, et avait bien vu la fille brandir la chaise par-dessus sa tête. Il s'était donc attendu à l'entendre crier.

Qu'est-ce qui se passe !? le pressa-t-elle, assez bas pour ne pas se faire entendre.
Elle menace notre cible avec une chaise, et elle n'a pas l'air rassurée. Elle doit se douter qu'il y a un truc de louche avec ce gars, car j'ai jamais entendu parler d'une telle maladie, même sur Terra. Peut-être qu'on aurait besoin d'un natif de ce monde pour nous aider pour ce genre de missions...
Tu sais bien que Mademoiselle ne choisit pas les personnes comme ça...
Ouais, mais ce serait pratique... Attend... Il sourit ! Il est donc bien derrière tout ça !

En effet, Ren pouvait voir leur cible aborder un sourire cruel envers la fille qui le menaçait. Mais il ne bougea pas pour autant et se contenta de parler :

De toute façon, même si je meurs, vous me suivrez dans la tombe. Vous êtes tous les deux bien trop infectés pour avoir une chance de survivre sans moi, et si vous ne lâchez pas immédiatement cette chaise, je vous jure que vous vous étoufferez avec votre vomi en crevant !

Son ton était de plus en plus dur, et il n'avait plus rien de sympathique. Il s'agissait certainement d'un de ces magiciens, comme il y en avait tellement dans ce monde. Il avait dû les infecter avec une maladie quelconque. Après un silence théâtral, il reprit la parole :

Mais si vous m'obéissez, je pourrais vous épargnez...

Il se retourna et alla s'adosser à un mur, ayant pleine vue sur l'intimité du garçon allongé, abordant toujours ce sourire insolent et sadique.

Déjà, vous allez masturber ce garçon jusqu'à la jouissance, et recueillir celle-ci dans le récipient que j'avais préparé...

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Quand même, ce petit objet lui était très pratique pour simuler le fait qu'il inspectait la couleur des orifices des personnes. Il ne savait pas du tout quelle magie il utilisait, mais cela n'était pas vraiment important. Il suffisait juste de tourner l'espèce de manivelle de temps à autre pour que cela fournisse de la lumière. Il s'agissait en vérité d'un objet que lui avait cédé un de ses ancien "patients", venant, d'après lui, d'un autre monde. Il lui avait aussi apporté, entre autres, le masque qu'il portait actuellement, ainsi qu'un tas de bibelots qu'il avait pu revendre pour une belle somme.

Voyant que la fille regardait aux alentours, Ren ferma immédiatement son œil au plafond, redevenant comme si rien ne s'était passé. Il se décolla légèrement de la porte et chuchota à Hone Onna :

J'ai failli me faire avoir... Elle est en train de regarder autour d'elle.
Elle aussi a des soupçons sur cet homme ?
J'en sais rien, mais il a une lampe torche...
Il pourrait donc connaître la Terre... Voire même y être allé lui-même.
De toute façon, ce n'est pas notre problème.

Ils s'arrêtèrent quand ils entendirent leur cible parler.

Elle commence à avoir des soupçons apparemment... Pourquoi elle regarde partout autour d'elle, comme si elle cherchait quelque chose ? D'accord, l'objet qu'il portait à la main était étrange, mais il avait vu beaucoup plus insolite lorsqu'il avait rencontré un homme venant de Tekhos, un exilé qui lui avait montré un peu ses technologies. Tout pouvait exister dans ce monde, et ce qu'il était en train de faire en était la preuve vivante. Transformer un humain en zombi forcé par la maladie de l'autre d'accomplir ses moindres désirs. Sans ménagement, il écarta le vagin du surnommé Dimtry, ou quelque chose du genre, mettant deux doigts à l'intérieur, et l'éclaira. Bien entendu, il n'y avait strictement rien, c'était juste pour les inquiéter et tâter la résistance sexuelle du garçon (?). Il trouva qu'il était assez dilaté. Peut-être était-il un esclave sexuel... L'examen de son anus, pourtant seulement visuel, confirma cette théorie. Oui, un parfait esclave sexuel, avec sa... particularité. Il décida de passer au niveau supérieur, pour voir vraiment ce qu'il avait dans le ventre. Il se redressa, finissant ainsi son inspection, et se mit à parler :

Eh bien, rien de vraiment concluant. Malheureusement pour vous. Le seul moyen maintenant de voir quelle est l'avancée de la Maladie, et si nous pouvons encore l'arrêter avec des traitements conventionnels, est une réaction entre le liquide sexuel et le sang.

Maintenant, il s'agissait de la partie amusante. Dimtry devrait commencer à se sentir faible, très faible. Plus assez fort pour se masturber seul jusqu'à la jouissance en tout cas. Il retourna vers le placard, en sortit un récipient de cuisine ainsi qu'un couteau. La lame de ce dernier était rutilante, et semblait avoir été nettoyée avec grand soin, comme s'il nettoyait ses ustensiles, ce qui était vrai après tout, puisqu'il n'utilisait que ceux-ci, et les déposa par terre, devant lui.

Vous allez devoir vous masturber jusqu'à la jouissance. Si vous le désirez, je peux sortir de la pièce. Pour l'entaille, je préfèrerai la faire, mais si vous avez une objection personnelle, je m'y plierai. Comprenez que tout cela est pour votre bien.

Et maintenant, il attendait la réponse, qui serait certainement de lui demander de l'aide pour ce faire. Il était absolument hors de question que l'autre s'en même, puisqu'elle risquerait aussi d'attraper la maladie. Une simple masturbation énergique, comparé à ce qui l'attendait, ne serait qu'une partie de plaisir...

Dehors, les deux personnes se regardaient, avec un air étonné dans les yeux.

Sérieusement ?...
Apparemment, dans ce monde, le sexe a beaucoup plus d'importance que sur Terre. Va savoir pourquoi !...

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Au moment où l'homme mit un masque, l'oeil de Ren, qui était passé dans l'autre pièce, se ferma et il se retrouva devant Hone Onna, dans une ruelle à quelques pas à peine de la porte du soi-disant "docteur". Celle-ci était en train de le harceler, lui demandant ce qu'il se passait car elle n'avait pas la capacité d'entendre à travers les murs.

Alors ? Qu'est-ce qu'ils se disent ?
Il a fait se dénuder le petit, mais il viens de mettre un masque. Je peux donc rien lire. Il semblerait contaminé, et il voudrait l'inspecter. On entre ?
On entre.

Celle-ci toqua alors à la porte. A peine quelques secondes plus tard, leur cible ouvrit la porte.

C'est pour quoi ?
Nous avions convenu d'un rendez-vous à cette heure-ci. Vous n'avez pas oublié quand même ?

Il les regarda, l'air incrédule, ne se rappelant de rien. Puis, cela lui revint comme un flash. Effectivement, il les avait appelé pour un examen complet de l'homme ici présent.

Oui, je vois. Veuillez m'attendre dans la salle d'attente, soit la troisième porte sur la droite. J'ai un cas d'urgence à traiter, je ne serai pas très long.
Merci beaucoup.

Il se retourna voir ses patients. Quelque chose lui échapperait pendant encore quelques secondes, puis tout lui semblera normal. En réalité, il s'agissait d'un pouvoir donné à tous les assistants d'Enma Ai : ils pouvaient se faire accepter n'importe où, et se faire oublier avec un simple claquement de doigt. C'était bien évidemment la première fois que les deux hommes se rencontraient. Une fois retourné dans la salle avec les deux jeunes gens, Ren et Onna se collèrent tout simplement à la porte pour entendre ce qu'il se disait, tandis que Ren fit réapparaître son œil au plafond.

Désolé pour le dérangement, un rendez-vous qui peut attendre. Alors, voyons ça... Il s'installa sur une chaise, un peu trop haut par rapport à son patient, mais cela n'était pas très significatif. Il ne s'agissait pas d'un hôpital de luxe après tout ! Les premières marques apparaissent bien souvent au niveau au niveau des doigts, des doigts de pieds, des oreilles et du pénis pour les hommes. Enfin, chez vous, cette partie ne semble pas à vérifier, lui fit-il d'un ton totalement professionnel. Il arrive aussi que certaines apparaissent très tôt au niveau des orifices. Là par contre, je vais devoir vérifier plus attentivement. Ouvrez la bouche et tirez la langue...

Il prit une petite lampe de sa poche, de facture terrienne, et la pointa à l'intérieur de la bouche grande ouverte de l'adolescent.

Non, rien... Tournez votre tête pour que je voie vos oreilles... Voilà, rien non plus.

Il semblait docile et se laissait totalement faire. Cependant, Ren remarqua que la tache sur son ongle repeignait celui-ci entièrement, et une partie de la peau rose commençait à noircir de même.

Il y a un truc noir qui se répand sur le petit, murmura Ren à sa coéquipière. Il a vraiment attrapé quelque chose ! Ensuite, quoi, c'est un vrai mystère.

Maintenant, il s'agit de la partie la plus... délicate. Je vais devoir inspecter vos parties génitales.

Par respect certainement, il attendit que les deux autres répondirent.

La maladie se répandait normalement, au rythme qu'il lui avait imposé. Cette de cette fameuse Valentina aussi, mais plus discrètement. Il s'agissait surtout de commencer à affaiblir ses capacités de réflexion. Après tout, il semble totalement à ses basques, et serait peut-être prêt à tout pour l'aider. La fille ne serait pas bien utile pour ramasser de l'argent. Autant les utiliser pour s'amuser. En plus, il avait un magnifique hermaphrodite devant lui, un homme appelant à le violer. Et puis, de toute façon, pour eux, le tuer sonnerait la fin de leur parcours, même s'ils apprenait qu'il était la source de la maladie. Il était totalement en sécurité sur ce point de vue.

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