~~Ajustement de l'angle de tir effectué, arme explosive chargée, en attente de l'ordre Commander.
* 5 ... 4 ... 3 ... 2 ... 1 ... feu.*
~~Cible détruite, camouflage optique remise en route Commander. Vos prochains ordres ? * Positionnement sur le portail dimensionnel, mise en veille des systèmes de défenses et d'attaques, garde les scanneurs à leurs pleine puissance. Je te recontacte dans la soirée, pour la prochaine cible. *
~~Comprit Commander. Je rouvre les yeux, soupirant comme si j'étaie épuisée. Une camarade de classe vint me voir.
- Yui, tu as l'air crevée, tu devrais retourner à l'infirmerie pour faire un petit somme.
Je répondis d'un non de la tête, pris un stylo et écrivis "je vais bien".
- D'accord. Il ne reste qu'une heure, tiens le coup.
Je souris en signe de gratitude.
Mon nom est Yui, Aozaki Yui, j'ai 18 ans. Je pourrais dire que je suis une fille normale, mais ce n'est pas le cas.
Tout d'abord je suis une femme.
Ensuite je suis une humaine qui possède en elle une machine qui est similaire à un virus, ayant fusionné avec mon cerveaux et mes nerfs. Je suis une humaine infectée par une technologie alienne.
Enfin, tout mes souvenir passé sont le fruit d'une extraction des pensées refoulées et une reconstitution partielle. En tant normale j'aurais du être amnésique, mais à la place j'ai des souvenirs flou, mais qui me permet d'avoir une identité et un but.
Du fait que les souvenirs sur mon orientation sexuelle soient inexistant je ne saurais dire si les hommes m'attirent plus que les femmes et inversement.
Je mesure dans les 1m70, pour un poids proche de 65 kilo. Pour les pervers sachez que je fais du 95B, mais encore vous faudra-t-il pouvoir les toucher. Je ne suis pas une femme musclée ou sportive et ma force physique est assez limitée du fait d'un apport en graisse très pauvre. Je ne mange pas de viande, encore moins de la viande saignante, cela me rend malade. Je possède une chevelure aussi noir que le plumage des corneilles ou des corbeaux, mes yeux sont aussi très sombre, au point que l'on pense qu'ils sont noirs. Je fais souvent une raie sur la partie droite de ma chevelure, me permettant de pouvoir soit donne du volume, soit cacher la partie gauche de mon visage avec le surplus de cheveux. Je ne suis pas adepte du maquillage et encore moins des bijoux, ne portant même pas des boucles d'oreilles. Je préfère le naturel et cela m'évite des désagrément journaliers.
Comme je l'ai dit j'ai une poitrine modeste et n'ai pas l'objectif d'augmenter sa taille par différents artifice, la beauté retouchée est assez laide à mes yeux. Au creux de mon dos se trouve une cicatrice en forme de croix, dernier vestige visible du jeu morbide auquel j'ai participé contre ma volonté.
Je m'épile assez souvent et prend soin de mes ongles, ne les rongeant plus comme je le faisais dans le passé, des ongles aiguisées sont bien plus utiles qu'émoussée.
Mes doigts sont entrainés à écrire des sms sur mon téléphone, étant mon unique moyen, hormis le papier-crayon et l'ordinateur, pour communiquer. Oui je n'ai pas parlé de ma voix, car je ne peux plus formuler le moindre son articulé, mes cordes vocales ont été abîmés sévèrement après l'ingestion d'un produit dont je ne connais pas la composition.
Ne pensez pas que malgré ma maigre force je sois sans défense, ongles et dents sont mes armes si nécessaire, même si je préfère éviter de les souiller pour des sous-merde. Ne négligez pas mes jambes, car si je ne suis pas sportive, la force centrifuge peut aisément donner de la puissance à un corps peu combatif comme le mien. Mon style de combat se basant surtout avec mes jambes. Ne vous attendez pas à ce que je fasse un demi-tour sur moi-même en un dixième de seconde, nous ne somme pas dans un manga.
Le psyché est sans doute la partie la plus difficile à exprimer, ayant subit de nombreux ravage. Tout d'abord j'ai subit un choc post-traumatique qui m'a rendu amnésique, si la récupération des souvenir n'est pas complet, il m'a permit de me forger un caractère pour survivre. Si au premier coup d'oeil je peux vous paraître d'une grande gentillesse, je dissimule une froideur telle que tuer mes amis ne me ferais rien. J'ai acquit une indifférence à la vie d'autrui qui me permet d'accomplir un jugement impartial. J'ai conscience qu'en agissant comme une justicière, je reste tout de même une criminelle aux yeux des humains.
Pourquoi est-ce que j’emploie le mot humain ? Car je ne me considère plus de cette espèce, je n'en ai que l'apparence. Si les autorités arrivent, par chance, à remonter jusqu’à moi, alors je jouerais avec elle. Pour moi la justice se doit d'être rendue sans la moindre pitié, les criminelles doivent subir un châtiment à la hauteur de leurs actes et non passer quelques années en taule. C'est pour cela que je traque les grand criminels et éprouve une certaine satisfaction à les punir de ma main. Je ne suis pas une trouillarde, revendiquant tout mes meurtre avec une voix digitalisée, ce n'est pas comme si je voulais débuter une guerre contre les autorités.
J'étudie énormément, pour me permettre d'être cultivée, mais surtout plus intelligente que les ennemis qui pourraient surgir pour m'entraver ou m'arrêter. Il n'est donc pas étonnant que je me qualifie dans les cinq premiers de la classe. L'amour ? Je ne crois pas au coup de foudre, ce n'est rien de plus qu'une réceptivité hormonale conditionnée par l'idée que cela tombe par hasard et perdurent.
Le prix pour purifier ce monde corrompu ? Ma vie si nécessaire, même si je préfère éviter car la corruption de l'âme c'est comme le cancer, un résidu suffit à relancer la maladie.
Que ferais-je si je retrouve l'ordure qui nous a fais passé ses horribles tests ? Je la dépècerais, en fine lamelle, jusqu’à ce qu'elle ne saigne plus, jusqu'à ce qu'elle me supplie et je continuerais, je la briserais pour continuer à la faire souffrir à petit feu. Les autres n'auront d'une mort rapide et douce.
Je suis la fille d'un couple assez modeste, mon père travaillant dans des bureaux et ma mère étant à un stand téléphonique à recevoir des appels peu agréables toute la journée. Je n'ai aucun souvenir si ma naissance c'est bien passé ou non, tout comme une bonne partie de ma vie sociale. Je n'ai pas souvenir d'avoir eu des amis il y a plus de cinq ans. La machine m'avait dit qu'il n'avait put que récupérer des données importante. La plus essentielle étant que son implantation dans mon corps n'est pas le fruit du hasard. Il y a six mois j'ai été enlevé, le coup classique du tissu imbibé de chloroforme et que le ravisseur avait attendu que je sois isolée pour me surprendre et me maîtriser.
Une fois réveillée, j'ai été surpris de constater que je n'étais pas la seule. En tous nous étions douze, six jeune hommes et six jeunes fille, la parité avait été importante pour le test que nous allions subir. La première semaine nous découvrions le laboratoire en quête de nourriture, notre tortionnaire voulait ne pas nous interrompre pour que nous nous adaptions à ce nouvel environnement. Puis vint le premier "jeu", il s'agissait d'une course d'orientation, visant à sélectionner la première victime sur un défaut de représentation géométrique. Ce fut un mec qui perdit et nous avons découvert qu'en nous se cachait une capsule avec un mécanisme différent. Le premier vit sa moelle épinière se faire déchiqueter par une mini grenade à fragmentation. Le lendemain l'épreuve fut horrible. Nous avions une table dressée avec de la nourriture de bonne qualité et de la viande, le tortionnaire énonça que les plateaux devaient être vide et ne pas gaspiller la nourriture. Quand à la fin du repas il annonça que l'on venait de manger le premier mort, nous eûmes du mal à ne pas régurgiter notre repas, une seule ne put tenir et convulsa sous un poison très puissant. Ce ne fut qu'une fois l'autorisation d'aller aux toilettes que nous pûmes vider notre estomac, beaucoup, dont moi, ne touchèrent dès lors plus à une seule viande, ayant des nausées à la simple odeur de la viande cuite. Je pourrais faire la liste des autres épreuves toutes aussi inhumaines les unes que les autres. Je ne dus mon salut que part un lien fort avec une des filles du groupe, contrairement aux autres nous étions toutes les deux unis, nous allions jusqu'à partager notre corps pour nous réchauffer et nous réconforter. Nous avions toutes les deux survécus jusqu'à l'épreuve finale. Cette épreuve fut celle qui avait ravagé mon esprit au point de perdre mes souvenir.
Il y avait trois armes, un pistolet, une dague et une épée. Deux d'entre elles étaient rendu inoffensive, la dernière étant la seule à pourvoir tuer. L'autre survivante comprit comme moi le but, l'une de nous deux allaient mourir dans cette pièce. Elle me fit deux entailles dans le dos alors que je prenais le pistolet. Je pensais être foutue, ayant sentit la lame charcuter un peu ma chair. La voyant se ruer sur moi, j'ai mit le doigt sur la gâchette et ai appuyé dessus. La détonation me surprit et la balle atteignit la tête de celle qui voulait me tuer.
Je pense que le choc d'avoir tué celle que je pouvais considéré comme une amante a sans doute entrainé ma perte de mémoire. Je me rappelle cependant que la voix du tortionnaire m'avais félicité d'avoir réussi l'épreuve de la chance, la dernière épreuve ne se basait que sur qui aurait le plus de chance. La suite fait partie des souvenirs flou et difficile à cerner. Je sais que c'est ce type qui m'a implanté la machine et relié au vaisseau spatiale alien qui est en orbite au-dessus de Seikusu. Mais je ne connais pas son but.
La police était arrivé deux jours plus tard. J'étais encore sous le choc, mon amante dans mes bras, faisant fit de l'odeur qui pouvait se dégager d'elle. Les autorités purent connaître le fin mot de l'histoire par des cassettes que le ravisseur avait laissé à leurs dispositions, comme pour exhiber ses méfaits aux yeux de tous. Je ne pus les visionner que trois mois après.
Il m'avait fallut trois mois pour retrouver des automatismes nécessaire à une vie autonome, trois mois où j’apprenais à être expressive du visage, chercher à communiquer. Le fait de ne pouvoir parlé avait rendu plus difficile l'apprentissage de la communication, heureusement j'ai une formidable capacité d'adaptation. La machine en moi eu aussi son rôle à jouer, possédant des logiciels pour analyser mon état de me donner des cours par télépathie ou un truc du genre. Il profitait aussi de mon sommeil pour me faire assimiler des connaissances inédites, comme l'existence de Terra, des tekhanes. C'est par ses informations que je me suis mise à penser que c'était une tekhane qui m'avait sans doute fait ça.
La machine m'apprit qu'il pouvait, par le biais de mes mains, se connecter au réseau terriens, mais que mon cerveau servirait de zone tampon et donc soumise à une vulnérabilité aux virus informatiques.
Mon hermaphrodisme me fut caché comme étant naturelle, jusqu’à ce que mes parents, ne pouvant supporter de me maintenir dans l'ignorance et de me préserver d'une souffrance futur, me dirent la vérité. Je n'eus pas de réaction violente, j'étaie déjà indifférente à ce qui pouvait m'arriver. La machine prit le temps de m'expliquer ses capacités et celles qui m'étaient possible d'acquérir, dès lors je me suis mise à chasser les grands criminels. Les premières cibles furent des terroristes et des gourous puissants, puis je pris comme cible des criminel du Japon, étant plus facile d'obtenir des informations sur eux. Désirant être connue et crainte par les criminels, j'envoyais un message sur tout les écrans de télévisions, piratant un satellite pour diffuser le message. De nombreux sites se mirent à parler de TOUKO, pseudonyme utilisé en tant que criminelle.
Cela fait un mois que ma présence a été reconnu par les autorités policière, certains pays envisageant d'envoyer des agents pour fouiller le Japon à la recherche de TOUKO. Seulement ils n'y arriveront jamais, pas sans se faire tuer.
IA semi-biologique
http://www.hdwallpapers4ipad.com/_ph/1/908274188.jpgIl s'agit d'une des premières inventions tekhanes, avant les tenues de combat et la gérance de l'informatique à une IA unique. Cette machine est constituée de nano-robot (machine ne dépassant pas le nanomètre), prenant la forme de filament, qui s'enroulent autour des terminaisons nerveuses, permettant de moduler la vitesse et le débit de l'information, de la couper ou de la multiplier. Chaque IA est liée à un vaisseau et n'obéit qu'au Commander, qui est censée être le commandant du navire. Il obéit aveuglément aux ordres, sauf s'attaquer à Tekhos sans raison jugée pertinente et avérée.
L'arrêt de cette IA est suite à des effets secondaire dans l'organisme.
Si cette IA peut changer la morphologie de la personne l'incubant en elle, l'utilisation d'une telle capacité altère le psyché de l'utilisateur, tout en citant que l'utilisation abusée raccourcit considérablement l'espérance de vie. Il en est de même pour un boost du cerveaux, l'effet offre un accélération spectaculaire des facultés de réflexion, ainsi que des mouvements, mais engendre la destruction de neurone, faute de système pour limiter l'apport violent d'information.
Il est impossible d'extraire l'IA de Yui sans la tuer, car il faudrait réduire en miette ses terminaisons nerveuses et faire de la bouillie de sa cervelle.
Vaisseau Cruiser SCB-105
https://danbooru.donmai.us/posts/1267289?tags=no_humans+space_craftLa spécialisation de cette unité spatiale est l'agencement de l'espace et des atomes. Son but premier est de permettre le transport rapide d'unité en créant des trous de verre par compression de l'espace. Par la suite, il fut armé de canon universel, pouvant aussi bien tirer des obus que des tires de plasma.
Les obus sont de classe Kameleon, pouvant prendre différentes apparence et propriété suivant la personnes qui imagine le projectile, il est donc aisé de simuler un missile air-sol, tout en lui conférant une protection contre la détection des radars.
En bouclier, il possède une classe basique, pouvant stopper les armes balistiques et explosifs, pour les armes laser il possède un blindage qui absorbe bien les tires des chasseurs, mais reste vulnérable au tir d'autres croiseurs tekhans. En mettant les bouclier à fond sur un flanc du vaisseau il est possible d'encaisser un tire de croiseur, mais les boucliers sont par la suite inutilisable pendant deux heures.
Le vaisseau possède de nombreux de scanner, permettant un repérage et un pistage efficace.
Pour la dissimulation il possède un camouflage optique, thermique et sonore, le rendant totalement invisible, mais pas intangible.
Il possède un module d'accélération sub-spatiale, lui permettant de faire des sauts à travers des galaxies. Le modèle a surtout été conçu pour faire des mini saut, le vaisseau ayant un trop de puissance par rapport à sa manœuvrabilité. Le module l'aidant donc à faire des esquives, mais nécessitant cinq minutes de refroidissement après une vingtaine d'esquive par saut.
Les défenses à l’intérieur réagissent dès l'apparition d'intrus, le système allant d'abord enfermer la cible avant de riposter en cas d'usage d'arme ou d'agression. Le système peut produire une onde de restriction qui rend l'usage de la magie et des pouvoirs d'ESP.er impossible. Cette dernière fonctionne consomme énormément d'énergie comparé au placement d'une simple pierre anti-magie.
Il contient aussi un module de téléportation.
Le vaisseau peut, sur ordre du Commander, assembler des objets par réagencement d'atome et le téléporter au Commander. La limite se situe principalement sur la taille de la soute qui est conçue à la base pour créer des armures de combat et ne peut donc créer un missile inter-continental par exemple.