Chez les humains, l’inceste était une chose très mal vue. Si Tylissa en avait retiré une certaine crainte, Shaïra, au contraire, en avait retiré une certaine excitation. L’Echidna était aussi puissante que perverse, et, même si elle dédaignait beaucoup les humains, elle avait beaucoup appris auprès d’eux. Outre la magie, elle avait aussi gagné en perversion, et trouvait maintenant que voir une mère coucher avec sa fille apportait très clairement un solide plus, qui ne manquait pas de l’émoustiller. C’était bien le cas ici, et, de plus, ces deux Lamias étaient aussi ses pondeuses et ses amantes, ce qui était assurément un grand honneur pour elles. Si Lishlith était déjà influente dans cette communauté avant, maintenant qu’elle et sa fille avaient eu l’immense honneur de porter les premières les bébés de Shaïra, elle allait encore croître en influence. Oh, bien sûr, il y aurait des grognements, des rivaux, des ennemis, mais Shaïra les mettrait au pas. Il ne fallait pas oublier que, malgré le fait qu’ils portent des vêtements et puissent communiquer, les Lamias restaient des animaux prédateurs, et, partant de là, territoriaux. Or, s’il était très rare que les ophidiens soient territoriaux, il existait, néanmoins, quelques espèces qui avaient montré des comportements de ce type, comme le mamba noir (ou Dendroaspis polylepsis, pour reprendre le terme scientifique). Défendant son territoire, le mamba noir agressait quiconque allait chez lui, alors que, généralement, un serpent errait, sans vraiment avoir en lui la notion de propriété.
Shaïra pouvait ainsi agir comme un mamba noir, en se montrant territoriale, et c’était précisément le cas ici, où elle comptait bien, non seulement diriger cette communauté, mais aussi la défendre, que ce soit contre des attaquants externes, que des ennemis internes. Et, quand un animal défend son territoire, c’est souvent là où il se montre le plus agressif possible. Autrement, il se contente de fuir, en réalité.
Tout cela pour dire que Shaïra allait bien s’occuper des deux femmes. Pour l’heure, néanmoins, il n’était pas encore question de se battre, mais de labourer sévèrement Tylissa. Entre deux puissantes Lamias, elle allait se faire délicieusement prendre. La jeune Lamia en semblait même un peu penaude, mais on ne lui laissait pas le choix. Maintenant que Lishlith avait une verge (et une très belle verge, au demeurant, ce qui témoignait de sa vitalité), elle voulait s’en servir. Shaïra avait aussi répandu de la magie rose en elle, afin de faire sauter les éventuelles inhibitions qu’elle pourrait avoir à l’idée de coucher avec sa propre fille.
Shaïra se glissa donc dans le dos de la femme, entrelaçant sa queue avec celle de Lishlith, le tout autour de celle de Tylissa. Elle se retrouva ainsi coincée entre les deux Lamias, en sentant sa queue avalée entre les deux, de sorte que les trois femmes étaient mutuellement reliées, Lishlith et Shaïra blotties contre le corps de Tylissa.
« Hmmmm… N’aie pas peur, Tylissa, les Lamias sont très résistants… »
La jeune Lamia était coincée contre elles, et sentit leurs queues s’approcher de ses trous. Shaïra laissa à Lishlith l’honneur de l’enfourner la première, puis Shaïra la rejoignit ensuite, son vit heurtant son petit cul. Elle sentit la résistance de son anneau de chair, et émit un grognement, accompagné d’un long sifflement. Elle était vierge de ce côté, et, rapidement, les hurlements de Tylissa vinrent couvrir les oreilles de Shaïra. Sa queue caudale se crispa sur place, tandis qu’elle sifflait contre les oreilles de la femme, sous l’effort physique.
« Haaaaa… Ty-Tylissa est… Si… Si é-étroite, hmmm… »
Shaïra soupira encore, et continua à s’enfoncer, forçant progressivement le passage. Pour faire taire ses hurlements, Lishlith embrassait goulûment sa fille, fourrant sa langue dans sa bouche. Shaïra appela alors Nagi et Naga. Ses deux serpents se déplacèrent, et vinrent mordre chacun la nuque de Tylissa, répandant un puissant aphrodisiaque dans ses veines. Le corps de Tylissa sembla alors se détendre instantanément, et Shaïra se dépêcha de poser ses mains sur les seins de Tylissa, venant les pincer à hauteur des tétons, tout en sentant les résistances de Tylissa faiblir petit à petit.
« Oui, hmmm… Laisse le plaisir se diluer en toi, Ty-Tylissa, haaaa… Shaïra aime tellement te bourrer ton petit cul, hmmmm… »
Et, bien sûr, elle aimait aussi voir les deux Lamias s’embrasser passionnément.
C’était un véritable régal pour elle !