Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Shaira Elrunalan

Pages: [1]
1
One Shot / Le Nid de la Lamia [PV]
« le: mercredi 28 mars 2018, 00:42:36 »
Il y a quelques semaines, Shaïra avait pris d’assaut un fort reculé. Elle avait judicieusement attaqué, profitant du moment où la garnison locale était affaiblie. Le seigneur local avait en effet mobilisé une bonne partie de ses troupes pour une lointaine croisade diligentée par l’Ordre Immaculé. La Lamia y avait vu l’occasion de s’établir un peu. Elle était une redoutable Lamia de type echidna, soit une Lamia nomade et sauvage, mais, parfois, elle aimait aussi s’établir dans un nid douillet. Elle avait donc attaqué ce fort, s’y infiltrant pendant la nuit, abattant les sentinelles, avant de débarquer au beau milieu de la cour seigneuriale. Préalablement, Shaïra avait pris soin d’empoisonner les vivres de la garnison, et avait fondu sur le seigneur local. Même en ayant planifié son coup à l’avance, la bataille avait été intense. Shaïra avait reçu de multiples flèches, des sortilèges magiques, des coups d’épée, mais avait finalement laissé derrière elle bien des morts, avant de tuer le seigneur local, l’étouffant dans sa queue, broyant finalement tous ses os.

Cette victoire n’était cependant que la première partie de son plan. Si Shaïra avait fait ça, c’était aussi parce qu’elle était en pleine période de nidification. La Lamia voulait des bébés, et, après ce coup de force, elle s’était rendue au village local, et avait menacé de tuer les villageois. Pour faire bonne mesure, elle avait tué le suzerain local et ses quelques miliciens, et avait ensuite imposé à ces derniers un lourd tribut. Elle voulait une femme par mois, peu importe laquelle, tant qu’elle soit féconde. Les villageois avaient bien tenté de se révolter, d’aller vers d’autres villages, mais Shaïra était vigilante, alerte, et avait réagi en conséquence, tuant les cavaliers. Ils avaient été enfermés, isolés du reste du monde, et, maintenant, Shaïra avait régulièrement des amantes.

Malheureusement, elles n’étaient pas très résistantes, et c’était le cas de la paysanne se tenant devant elle.

« Hnnnn... Gnnnnnn... »

La jeune femme n’était pas vierge quand Shaïra l’avait prise, mais même elle était bien loin d’avoir les reins solides pour combler la soif de la Lamia. Les trois quarts de son corps disparaissaient dans l’épaisse queue reptilienne de Shaïra, qui la baisait depuis maintenant plusieurs jours presque sans relâche, la fourrant avec ses deux grosses verges. Cette femme avait atteint un record de durabilité... Ou peut-être était-ce juste que Shaïra devenait moins sauvage avec ses partenaires ? La Lamia l’avait régulièrement empoisonné pour l’empêcher de tomber dans le coma, mais, même malgré ça, la paysanne était peu à peu en train de succomber. Son esprit était à bout, tout comme son corps, mais rien n’empêchait Shaïra de la prendre, tant elle était affamée, assoiffée.

« Hmmmm... Petite... Petite sssssssalope... »

Shaïra continuait à la labourer, tout en se demandant quand même quand viendrait une femme ayant les reins suffisamment solides pour supporter son insatiable soif sexuelle... Pour l’heure, comme aucune de ses amantes n’arrivait à terme, Shaïra était en réalité de plus en plus frustrée !

2
Les contrées du Chaos / Repas d'un soir [Zigg]
« le: lundi 08 février 2016, 18:44:22 »
C’était une zone assez montagneuse, où des flocons de neige tombaient régulièrement. Depuis les hauteur, on pouvait voir, en contrebas, une vaste vallée avec un château en son centre. Et, tout autour de ce château, il y avait des villages plantés dans la montagne... Ou, plutôt, de petits hameaux isolés, notamment reliés entre eux par une auberge central , Au Poney Dansant. Le Poney était une belle auberge, grande, chaude, agréable et vivante. Elle alimentait toute une région, et restait ouverte jusque tard dans la nuit, le tout dans une région ashnardienne provinciale relativement sûre. Les patrouilles impériales filant du château permettaient de bien sécuriser la région, en repoussant bandits et monstres, ces derniers étant donc de plus en plus rares. Une chose qui, en soi, n’avait rien de surprenant, car cette région se situait dans des provinces pacifiées de l’Empire. Fort-Laurent, le fort qui servait de chef-lieu à cette province, était, par conséquent, un endroit paisible et fertile.

Pour Shaïra, c’était un endroit où elle comptait se ressourcer, et, pour ça, la femme était dans un onsen situé près du Poney Dansant. Une délicieuse source chaude dans lequel elle se reposait. L’eau chaude jaillissant de ce genre de sources avait des effets très positifs et très bénéfiques sur ses écailles et sur sa peau, en les soulageant. Maintenant que Shaïra avait traversé les frontières impériales, elle se faisait discrète, consciente qu’une Lamia, et encore plus une Echidna, était une proie très intéressante pour les Ashnardiens. Une Echidna était une sous-race de Lamia, connue pour l’épaisseur de sa queue, ou la résistance de ses écailles. Shaïra avait tendance à considérer que c’était l’espèce la plus puissante, mais c’était aussi parce qu’elle était très fière.

Le soir étant tombé, la source chaude était fermée au public, et Shaïra avait contourné l’entrée, pour plonger dedans, et se reposait en ce moment, tête et buste appuyés contre le rebord, sa longue queue remplissant tout l’espace de la source d’eau chaude, se délectant des moments où des vapeurs volcaniques remontaient pour réchauffer sa belle queue.

*Oh oui, l’eau chaude fait du bien à la queue de Shaïra...*

Shaïra avait donc toutes les raisons du monde d’être contente, sans savoir, cependant, que, bientôt, elle aurait une raison supplémentaire d’être heureuse de son bref repos dans les montagnes de Fort-Laurent.

Une solitaire petite proie qui se rapprochait, rien que pour elle...

3
Dictature d'Ashnard / [FINI] Kidnapping [Kristina et Shura]
« le: jeudi 04 février 2016, 19:13:38 »
Tout autour de la capitale ashnardienne, il y avait un désert, enserré par de grandes montagnes, l’ensemble formant un vaste massif montagneux qui entourait tout le désert, et qui marquait la fin de plusieurs forêts. Un chariot avançait le long d’un sentier isolé, dans une gorge, se dirigeant vers un manoir reculé, situé dans les hauteurs des montagnes. Plusieurs chalets se trouvaient ici, ainsi que des fortins, de petits villages de montagnes, les fortins constituant des lignes de défense, les chalets étant des lieux de vacances et de repos pour l’aristocratie et la bourgeoisie locale. La capitale était donc un endroit très vivant autour du désert, et les faubourgs d’Ashnard s’étalaient véritablement dans ces montagnes, avec ces multiples villages, et ces forteresses et ces patrouilles. Pour autant, il y avait des zones très isolées, où les attaques de brigands étaient nombreux, ainsi que les monstres.

Des monstres, les gardes qui escortaient le chariot en virent justement quand, s’approchant d’une grotte, des noyeurs en sortirent pour les attaquer. Les gardes étaient des mercenaires, travaillant pour le compte de la dame ayant sollicité d’un harem de luxe les deux sœurs dans le chariot. Plusieurs arbalétriers balancèrent des carreaux, transperçant les noyeurs à chaque coup, puis des cavaliers sortirent leurs épées, et frappèrent sur la poitrine des noyeurs, massacrant sans trop de problèmes ces monstres.

« Allez, allez, ne faites pas de cadeau !
 -  Exterminez-les ! »

Un noyeur tenta de fuir dans sa grotte, et un carreau d’arbalète le poursuivit, venant le transpercer dans le dos, l’envoyant s’étaler sur le sol dans un grognement. Les gardes ne s’attardèrent ensuite guère longtemps, laissant les corps de ces monstres amphibies pourrir ici, puis s’avancèrent.

« Continuez à surveiller les abords ! »

Jadis, les montagnes autour d’Ashnard étaient particulièrement dangereuses, mais, après des millénaires de patrouilles dans la région, à tuer des manticores, des grizzlys, des monstres, à boucher des nids de monstres, la région s’était tout de même bien pacifiée. Le chariot et sa petite escorte s’avançait donc, se rapprochant peu à peu du chalet de la Comtesse ashnardienne ayant requis la présence du couple, sans savoir que, dans la forêt, ils n’étaient pas seuls...

...Une Lamia les suivait silencieusement, et dangereusement.

4
Les contrées du Chaos / Exploration sifflante [Jah raafad]
« le: vendredi 07 août 2015, 23:17:40 »
Il n’existait aucun environnement naturel qui ne soit hostile, ou insoluble, pour Shaïra. Si la Lamia avait l’habitude d’errer dans des forêts, le désert ne la rebutait pas. Elle était comme les serpents, une espèce qu’on pouvait rencontrer dans toutes les zones tempérées du globe, à l’exception des zones polaires. Désert ou forêt, c’était indifférent pour une créature reptilienne. L’errance de Shaïra avait amené la Lamia à sortir des profondes forêts centrales de Terra, ces vastes forêts comme Viridia, et elle avait continué à descendre, passant dans des zones rocailleuses, montagneuses, trouvant, encore et encore, de délicieuses proies, soit à manger, soit pour se reproduire. Dernièrement, elle était sur les traces d’une caravane marchande qui devait rejoindre Papua. La caravane convoyait son lot de touristes, de gardes, et de biens. Il y avait notamment de multiples fruits et autres provisions venant de zones au climat tempéré, qu’on trouvait difficilement à Papua. Shaïra les avait suivis de loin. Même pour elle, il aurait été suicidaire d’attaquer frontalement cette caravane, car elle était trop bien gardée. C’est en chemin, alors qu’elle suivait la caravane, qu’elle avait vu ses nouvelles proies.

Papua était une région sauvage, ce qui impliquait aussi bien ce royaume poussiéreux, que les alentours. Et, en s’approchant d’El-Kalim, une province au nord du royaume, ils s’étaient rapprochés d’un camp de brigands. Shaïra était tombée sur eux par inadvertance, en croisant, dans les montagnes, des éclaireurs occupés à chercher un moyen de piéger le convoi. Trois brigands. Deux hommes et une femme. Elle avait attendu qu’ils repartent vers leur camp pour les attaquer en route. La Lamia avait bondi sur l’un d’entre eux, et l’avait mordu à la nuque, le tuant rapidement en enfonçant ses crocs, répandant dans son corps un poison mortel. Les deux autres étaient déjà à cheval, mais elle, elle pouvait aller vite. Elle les avait poursuivis, et avait sauté dans le dos de l’autre homme. Il s’était brisé la nuque et plusieurs autres os en  rebondissant sur le sol, puis elle s’était ensuite attaquée à la femme. Elle, elle ne l’avait pas tué tout de suite. Elle l’avait enroulé dans sa queue chaude et étouffante, et l’avait violé pendant plusieurs heures. Shaïra s’était bien soulagée, puis avait laissé la femme sur le sol, inanimée, du foutre dégoulinant de son sexe.  Sans cheval dans les environs, elle allait probablement mourir (les humains étaient peu résistants), mais son sort était indifférent à Shaïra, qui avait repris sa route.

Ses pérégrinations l’avaient éloigné de l’est, et c’était tant mieux, car, si elle avait poursuivi dans cette route, elle aurait rejoint le vaste lac de Papua. La Lamia partit donc vers l’ouest, se rapprochant du nord d’El-Balom, une région montagneuse et rocailleuse. Elle avait continué à descendre, et avait traversé Papua vers le sud, jusqu’à rejoindre Al-Bim, une petite province située dans la pointe sud de Papua, très pauvre, et faiblement peuplée. Elle avait traversé cette région, laissant dans son sillage quelques cadavres et quelques femmes généreusement violées, puis était partie vers le sud, suivant des sentiers très anciens, poussiéreux, et dangereux. Sa route l’avait ainsi conduite près d’un endroit réputé maudit par les Papuans : Al Nar’ssila. On disait que, jadis, Al Nar’ssila avait été une province papuanne, avant d’être progressivement désertée, envahie par le désert. Du moins, c’est ce que les légendes disaient.

Shaïra se rapprocha de cette région, traversa les Rocailles. Des scorpions géants l’attaquèrent, mais la Lamia n’était pas un faible être humain, fragile et à la peau faible. Elle en tua certains, en évitant d’autres, et vit de nombreux cadavres dans les Rocailles. Parfois, elle s’engageait dans des canyons, et voyait des corps brisés en contrebas, dans des fosses profondes. D’autres étaient recouverts en grande partie par le désert, pourrissant depuis des années après des insolations. On pouvait se reposer à l’ombre de grands rochers, mais ces repos étaient des pièges, car les scorpions s’y terraient aussi... Ou d’autres sinistres créatures. Des vers de sable géant jaillissaient parfois du sol, et Shaïra, en rampant, pouvait les sentir se déplacer.

La Lamia poursuivit sa route, et rejoignit ainsi une mer désertique, les Dunes. Elle rencontra ici plus de difficultés à avancer. Des tempêtes de sable violentes avaient parfois lieu, l’aveuglant, et elle se nourrit à l’aide de vipères blanches, de petits serpents au venin mortel pour les humains, mais qui ne faisait rien à une Lamia... Ou pas grand-chose. Les tempêtes de sable formèrent parfois de véritables tornades, confirmant que l’environnement, ici, était dégradé. Shaïra se heurta aux redoutables khamsins du désert, mais poursuivit sa route.

*Je n’aime clairement pas le foutu sable !*

Ça rentrait dans votre gorge, brûlait vos yeux... Et c’était tout simplement très désagréable.

Les Dunes laissèrent ensuite place à de multiples canyons redoutables, la Mamelle de Gomorra. Elle s’y avança, en voyant, encore, des cadavres dans les ravins. Shaïra emprunta des grottes dangereuses, évitant des monstres, allant de créatures nécrophages à d’autres monstres issus du désert. C’est en traversant l’une de ces grottes que Shaïra longea le temple de Sathis. Les parois naturelles laissèrent soudain place à un mur solide et épais, trop régulier pour être une construction naturelle.

Elle longea ce mur, s’enfonça dans de nouveaux dédales, jusqu’à ressortir à l’air libre. Elle s’avança alors sur le sable, dans un air plus clément, jusqu’à voir l’entrée du temple de Sathis. Une immense porte bâtie à flanc de montagne. Elle siffla en sentant une étrange aura s’en échapper.

*Allons, la peur est l’apanage des idiots d’humains, pas d’une Lamia !*

Cette traversée du désert avait assoiffé Shaïra, qui espérait bien trouver quelque chose à boire à l’intérieur. De fait, si elle s’était rendue dans les grottes, c’était dans l’espoir de trouver une source d’eau souterraine. Les humains étaient des idiots patentés, mais elle pensait que, s’ils avaient construit quelque chose, ce devait bien être à côté d’une source d’eau... C’est donc en suivant cette idée que la Lamia siffla à nouveau, et ondula le long du sable, puis des escaliers, et s’immisça à l’intérieur du temple... Sans inquiétude.

5
Les terres sauvages / L'Instinct d'une Lamia [Nassirah]
« le: jeudi 18 juin 2015, 19:33:40 »
« Hnnnnnnnnnnnnn... Haaaaaaaaaannnn... !! »

La pauvre femme gémissait, et des larmes ruisselaient le long de ses joues. Des larmes de souffrance ? Oh, sans aucun doute... Mais elle ne pouvait décemment pas prétendre qu’il n’y avait que ça. Elle ne le pouvait pas, car, d’une part, son organisme était gonflé d’un venin aphrodisiaque extrêmement puissant, si puissant qu’il était en train de briser toutes les croyances de cette femme, tout ce en quoi elle pouvait croire, y compris sa propre identité, et aussi d’autre part parce que le sexe disproportionné de Shaïra était fermement planté en elle, et qu’il trempait dans sa mouille. Tahara, puisque tel était son nom, était encore, jusqu’à il y a dix heures, une jeune paysanne vierge, éprise d’un garçon, mais refusant d’avoir une relation sexuelle avec lui avant mariage, suivant les préceptes de l’Ordre Immaculé, très en vigueur dans cette région reculée et paysanne d’un obscur royaume perdu dans les Contrées du Chaos. Tahara était une bonne croyante, se rendant tous les Dimanche à la messe, et récitant chaque soir ses prières. Ce matin, elle avait quitté la ferme pour rejoindre le village afin d’acheter du pain, et aussi en profiter pour voir Jean, le boulanger, celui dont elle était amoureuse. Une simple promenade d’une demi-heure à travers quelques sentiers... Mais Tahara n’avait jamais été au village. Maintenant, le village organisait une battue, et était de plus en plus convaincu qu’on kidnappait des femmes... Car Tahara n’était pas la seule à disparaître, et le suspect idéal était un Troll, un Troll qui s’était installé dans la forêt, près d’un pont, et qui s’assurait de la protection de ce dernier, monnayant quelques cochons à manger. Le Troll avait juré de son innocence, mais un Troll n’était pas connu pour être une créature très sociale, et les humains étaient convaincus que c’était lui qui capturait les femmes et les hommes. La réalité était évidemment un peu différente, non seulement parce que Shaïra ne capturait pas les mâles pour se reproduire avec eux, mais bien pour se nourrir, et aussi parce que, tout simplement, le Troll était tout simplement innocent. Shaïra le conservait comme parachute, et aussi comme ultime garde-manger. Elle avait déjà mangé du Troll, et c’était à peu près aussi bon que l’Orc : une chair malade, grasse, bien loin de la délicieuse peau de cochon des humains, et de leur viande agréable.

Selon que ses proies soient des hommes ou des femmes, le traitement était différent. Le venin qui s’insinuait dans les veines des hommes était similaire à la toxine des arachnides : il les plongerait dans un état léthargie, catatonique, sans pour autant leur ôter totalement la conscience, ou la sensation de douleur. C’est juste que leurs muscles étaient crispés, mais Shaïra était convaincue qu’ils pouvaient souffrir quand elle les ouvrait pour se nourrir. Les femmes, elles, avaient un traitement différent... Elles lui servaient de partenaires sexuels, mais coucher avec une Lamia était un sport terrible et éreintant, comme Tahara était en train de le réaliser.

L’après-midi se terminait, et cela faisait donc maintenant entre sept et huit heures que Shaïra  avait enroulé le corps de Tahara dans sa queue, et enfoncé son chibre en elle, la violant sans relâche. Tahara en avait perdu le fil, mais Shaïra lui refusait le droit de sombrer dans le coma, utilisant ses serpents ou sa propre bouche pour insuffler en elle, quand elle manquait défaillir, un venin qui la réveillait. Tahara était son amante du moment, comme les autres femmes prisonnières de ce nouveau nid, et qui servaient le but suprême de Shaïra : la reproduciton.

*Depuis que ces maudits elfes m’ont chassé, il fallait bien que je me repeuple...*

La procréation était la machinerie de toutes les espèces vivantes, et c’était encore plus vrai pour Shaïra, qui savait que son espèce était en voie de disparition. Maintenant, les Lamias naissaient en captivité, et avaient perdu de leur agressivité, comme des chats domestiques. Les Lamias sauvages et libres comme Shaïra étaient maintenant rarissimes, car les humains les chassaient, soit parce qu’ils étaient dangereux, soit parce que leur corps était très intéressant. Leurs carapaces servaient pour les armures, leur venin était utilisé pour les poisons, et leurs organes internes pour les alchimistes. Shaïra savait cet état de fait, et savait que les humains ne l’aimaient pas. Fort heureusement, ils avaient raison de ne pas l’aimer.

Avec les femelles, Shaïra donnait naissance à des serpents. Ils n’arrivaient malheureusement pas à muter suffisamment pour devenir des Lamias, mais c’était un peu ce qu’elle considérait comme sa famille. Elle avait deux solutions pour donner naissance à ses serpents :

  • Soit elle enfantait ses femelles, et ces dernières tombaient enceinte, puis faisaient pousser des œufs, qui donnaient ensuite naissance à des serpents ;
  • Soit elle utilisait sa verge comme une sorte d’aspirateur pour drainer la mouille de ses proies, et, ainsi, pouvait elle-même tomber enceinte.



Pour l’heure, elle était encore au stade de constituer son nouveau nid. Le dernier lui avait été arraché par les elfes. Elle en avait tué un peu trop, et les elfes avaient mené une battue contre elle, utilisant des flèches empoisonnées et des armes enchantées. Ils avaient brûlé son nid, l’avaient blessé, mais Shaïra avait réussi à s’enfuir, et s’était réfugiée dans cette forêt. Ses plaies étaient pansées, et elle était donc repartie à la chasse. Sa première victime avait été un bûcheron qui travaillait dans une scierie, et s’était éloigné à un moment des autres. Un homme fort et valeureux. Elle l’avait broyé dans sa queue, puis l’avait emmené dans une grotte, dans les profondeurs de la forêt, d’où elle l’avait enfermé dans son vivier. Elle avait ensuite étendu sa traque dans toute la région.

On pouvait éventuellement entendre les hurlements de Tahara à l’entrée de la grotte, mais on ne pourrait véritablement pister Shaïra qu’en étant une Lamia. En effet, quand cette dernière était excitée, et avait un orgasme, elle émettait autour d’elle des pulsions, des spores aphrodisiaques imperceptibles pour personne, sauf pour les Lamias. Or, depuis sa fuite dans le nid, Shaïra avait balisé son chemin en violant régulièrement des elfettes, les laissant dans un état cadavérique, ou catatonique... Soit elles étaient mortes, soit leur corps était brisé, ou alors rempli d’un venin aphrodisiaque qui faisait que les soigner serait long et difficile, et que, pendant des années, si ce n’est jusqu’à leur mort, elles se souviendraient encore de l’embrassade de la Lamia... Ou pas. De toute manière, Shaïra s’en moquait. Ce qui était sûr, c’était qu’une Lamia n’aurait aucune réelle difficulté à la poursuivre...

...Et Shaïra finit par relâcher Tahara de sa queue au coucher du soleil. Désarticulée, la jeune femme tomba mollement sur le sol, et Shaïra se masturba, puis termina son œuvre en jouissant généreusement sur le corps épuisé de Tahara, ses yeux révulsés exprimant toute sa fatigue mentale. Elle recouvrit son corps de sperme, un sperme qui était évidemment imbibé de son venin aphrodisiaque, et qui tiendrait chaud, non seulement à Tahara, mais aussi à l’œuf qui était dans son ventre gonflé... Un œuf qui baignait dans le foutre. Tahara était alors ronde, comme une femme enceinte de plusieurs mois, et elle resterait ainsi pendant plusieurs heures, car l’embryon allait se nourrir de ce foutre, se structurer, et, une fois prêt, le corps de Tahara relâcherait tout ce foutre.

« Sssssssss... Dors bien, petite humaine. Si je pouvais encore te baiser, je le ferais... Mais il faut aussi que tu conserves un peu de force pour pouvoir donner naissance à mes bébés...
 -  Haaaaaaaaa... »

Elle était incapable de parler, et la langue fourchue de Shaïra caressa ses lèvres, puis la Lamia s’écarta, et fila le long du sol. Elle prenait soin de ses pondeuses, car elle leur offrait à manger, en chassant dans la forêt. Généralement du lapin ou des biches. Elle préférait la viande d’humains, mais elle n’avait pas assez d’humains pour nourrir ses pondeuses. Elle sortit donc de son nid, afin d’aller trouver de la nourriture, ou pour s’assurer qu’aucun monstre ou créature ne viendrait rôder près de son nid...

...Laissant ainsi ce dernier ouvert pour des personnes que son organisme ne détecterait pas comme une menace... Comme une autre Lamia, par exemple.

6
Les terres sauvages / Et un joujou de plus ! (PV Theorem)
« le: vendredi 16 mars 2012, 22:19:27 »
Il y a des jours comme ça, où les circonstances vous poussent à commettre des trucs qui vont à l'encontre de vos habitudes. En cette belle matinée, au fin fond d'un très grand marécage, se trouvait une Lamia qui se trouvait dans cette situation. Remettons donc les choses dans leur contexte.
Shaïra s'était installée au sein de ce marécage depuis de longues semaines, elle était bien moins regardante que la plupart des créatures quand à son habitat, et puis ce marécage offrait pas mal de gibier en plus d'une atmosphère chaude et humide, un climat dans lequel Shaïra se plaisait naturellement. Si la jeune Lamia chassait, elle avait aussi posée des pièges un peu partout autour de l'antre qu'elle avait creusée elle même, histoire de sécuriser ses arrières. Quelle ne fut pas sa surprise au matin de trouver dans l'un de ces trous très profonds, non pas un animal, mais un être humanoïde. Elle l'avait bien immédiatement paralysé en lui crachant de son venin, avant de le récupérer du fond de ce trou de plus de cinq mètres de profondeur à l'aide de sa longue queue.

A l'odeur, il n'avait fait aucun doute pour Shaïra que l'être qu'elle tenait à sa merci était un homme, ce qui en temps normal, lui aurait valu de finir digéré dans son estomac, car elle n'accordait absolument aucun crédit à ces êtres qui l'avaient violée sans relâche durant son adolescence. Par contre celui-ci était différent. Si elle n'avait pas reconnu à l'odeur le genre de cet être, Shaïra l'aurait très aisément pris pour une jeune fille. Certes il n'avait pas de poitrine, mais sa tenue ressemblait presque à s'y méprendre au type d'armure que les aventurières portent, ses cheveux étaient très longs, et son visage était doux dans ses courbes. Et si l'on ajoute à cela le fait qu'elle n'avait pas eu l'occasion de satisfaire ses pulsions depuis son arrivée dans ce marécage, et bien Shaïra décida de différer sa décision de le manger ou pas.
Elle le rammena au plus profond de son antre, toujours évanoui par son venin, et elle lui retira toute pièce de vêtement qu'il pouvait porter. Elle se rendit compte que sa queue touffue et ses oreilles n'étaient aucunement des parties de ses vêtements, mais qu'il était comme elle, ayant du sang d'animal coulant dans ses veines. Mais ce qui la surprit également, et elle toucha d'ailleurs pour bien s'en rendre compte, c'était qu'au niveau de son entrejambe, ce petit bonhomme n'avait pas un, mais deux sexes masculins.
C'est toute intriguée qu'elle laissa le jeune Inu reprendre ses esprits, et il verrait donc face à lui la Lamia tout aussi dénudée.

Pas bouger petit homme, et n'essaye pas non plus de t'enfuir, sinon Shaïra n'hésitera pas à te broyer les os. Sssssssssss.

Elle le regardait, l'examinait sous toutes les coutures, pesant le pour et le contre. Allait-elle le bouffer ? Mais il ressemblait tellement à une jeune fille que Shaïra n'éprouvait pas vraiment le dégout qu'elle ressentais à l'égard des êtres masculins, c'était de fait très intriguant pour la jeune Lamia.
Elle s'approcha de lui, maintenant le haut de son corps en l'air à l'aide de sa gigantesque et puissante queue de serpent.

T'es un homme petit être. Les hommes, Shaïra en fait son repas. Mais toi...tu provoque pas chez Shaïra le dégoût qu'elle ressent habituellement chez les hommes. Alors la Lamia et toi, on va passer un marché.
Cela fait longtemps que Shaïra n'a pas eu quelqu'un pour faire joujou. Si tu fais joujou avec Shaïra comme une jolie petite poupée, et que tu satisfais sa libido, alors Shaïra te laissera partir de son antre. Sinon, Shaïra te dévorera tout cru...


Du bout d'une de ses mains, la Lamia utilisais ses longs ongles pour gratter très délicatement la base d'un des pénis de Theorem, tandis qu'elle le regardait avec un lueur vicieuse et perverse dans son oeil valide.

7
Les landes dévastées / Nan c'est mon désert à moi ! (PV Tinuviel)
« le: vendredi 16 mars 2012, 17:59:36 »
Malgré sa partie humanoïde, Shaïra demeurait pour la grande majorité de son anatomie une reptile à sang froid, ce qui expliquait la raison pour laquelle elle ne voyageait que dans des contrées chaudes. Le froid la forçait à entrer en hibernation, aussi évitait elle certaines contrées lorsque l'hiver arrivait, et elle s'interdisait de voyager dans celles les plus au nord, qui étaient par extension aussi les plus froides.
Autant donc le dire, le fait qu'elle soit tombée par le plus grand des hasard sur un désert aride était une bénédiction pour elle. La soif et la faim n'étaient pas un problème en soit, car elle pouvait aisément vivre sur ses réserves qui étaient conséquentes, en revanche elle était toujours à la recherche d'endroits suffisamment chauds, et avait donc décidée de s'établir pour au moins quelques jours sur ces terres, où le sol sablonneux capturais délicieusement les rayons d'un Soleil très chaud.

La jeune Lamia s'était ainsi tout simplement enfouie sous le sable, pas à une profondeur très élevée toutefois, et profitait ainsi de cette douce chaleur qui réchauffait son corps. Comme elle était cousine avec les serpents, évoluer dans un tel environnement, où un humain normal serait mort, n'était pas un problème pour elle, et elle resta ainsi quelques jours, en s'enfouissant plus profondément dans le sol lorsque les nuits froides se pointaient à son grand désarroi.

Toutefois en plein milieu d'un de ses bains de chaleur, elle sentit un beau jour des vibrations désagréables dans le sol, il s'agissait de pas faits par une personne qui se dirigeait droit dans sa direction. Mais ce qui était le plus gênant dans tout ça, outre le fait que cette personne violait l'espace vital de la Lamia, c'était que cette personne sentait clairement la magie. Bon, ce n'était pas trop un problème en soit, vu que Shaïra était immunisée à la magie. Mais les mages pouvaient tout de même se montrer dangereux malgré tout, Shaïra avait encore le souvenir de cette jolie mage, qu'elle aurait bien voulu violée, si cette dernière n'avait pas disposée de la protection de deux Golems massifs.
Et puis, sentant que cette personne s'approchait de plus en plus de l'endroit où elle se trouvait, Shaïra sortit alors la moitié de sa tête hors du sol et se mit alors à regarder, d'un air suspicieux, les sourcils froncés, cette silhouette qui s'approchait.

8
Prélude / Aie confiancccccccce OwO [Valiplantée]
« le: jeudi 15 mars 2012, 16:29:20 »




Nom :   Elrunalan


Prénom :    Shaïra


Âge :   300 ans et des brouettes, à partir d’un certain temps on arrête de compter vous savez.


Sexe :   Hermaphrodite


Race :   Echidna, une race de Lamia assez rares.


Orientation sexuelle :  Homosexuelle, bien qu’elle fasse des exceptions pour les hermaphrodites et les hommes suffisamment efféminés.


Physique

Les Lamia, aussi appelées « femmes-serpent », sont des créatures tout à fait singulières que l’on ne trouve qu’en nombre assez restreint dans le plan de Terra. Cela étant, « Lamia » est un terme générique qui en réalité regroupe un certain nombre d’espèces ayant quelques différences entre elles. Shaïra pour sa part appartient à une espèce particulière de Lamia, que l’on appelle les Echidna, qui sont très rares, mais aussi parmi les espèces de Lamia les plus dangereuses. Elles se différencient assez facilement de leurs cousines par les deux serpents qui prennent corps depuis l’arrière de leur crâne et qui ont une relation symbiotique avec leur hôte.

Mais revenons-en plus spécifiquement au cas de Shaïra, car c’est bien là ce qui nous intéresse le plus, en commençant par la partie supérieure de son corps. Cette partie est tout ce qu’il y a de plus humanoïde, composée d’une tête, d’un torse, d’un tronc et de deux bras. Shaïra a un visage très finement dessiné de même que ses lèvres, elle a deux longues oreilles pointues qui ressemblent à celles des elfes, de longs cheveux argentés, et un œil rouge. Oui, un seul œil, car son œil droit a quand à lui été crevé il y a fort longtemps et un bandeau cache cette profonde blessure. Sa peau est extrêmement pâle, presque comme de la porcelaine, mais est parcourue à certains endroits de marques représentant des serpents. Ses incisives sont remplacées par des crochets capables de véhiculer sa panoplie de venins, quand à sa langue elle peur s’allonger sur presque un mètre, et est pointue en son extrémité. Ses mains fines contrastent avec les extrémités de ses doigts qui sont de puissantes griffes, et ses bras capables de déployer une force pouvant broyer pas mal de choses. Son ventre est plat au contraire de sa poitrine qui est elle particulièrement généreuse, ceci car elle produit de façon presque permanente du lait qui est très nutritif, et aussi légèrement aphrodisiaque. Et surtout, parce qu’on peut se poser la question, oui elle possède une paire de fesses et une entrejambe.

Car la deuxième partie de son corps, qui en compose la plus grande partie, ne débute qu’au niveau de la naissance de ses cuisses. Cette partie vous l’aurez sans doute deviné, c’est sa longue queue de serpent qui mesure près de dix mètres de long. C’est à partir de la que Shaïra perd toute morphologue humaine, sa queue est un amas d’os et de muscles très puissants, et est couverte d’écailles noires pour le dessus, et rouges pour le dessous, qui sont toutefois étonnamment douces et chaudes au toucher quand on sait leur incroyable résistance.  La partie de cette longue queue la plus proche du bassin de Shaïra, peut s’ouvrir, donnant donc sur l’intérieur de son corps, ceci dans le but d’y ingérer ses victimes. Elle peut ainsi y placer plusieurs êtres en fonction de leur taille, qui seront rapidement attaqués par un puissant acide digestif, capable même de dissoudre les os.




Caractère

Difficile de faire un profil psychologique d’une telle créature, d’autant qu’elle tient pour une bonne partie plus de l’animal que de l’être humain. Toutefois, la rabaisser à cela serait extrêmement réducteur, tentons donc de nous pencher sur cette question épineuse. Shaïra est avant tout guidée par les nombreux instincts qui la guident, car partageant une bonne partie de ses gènes avec ses cousins serpents, elle a bien entendu de nombreux points en communs avec eux. Le besoin de se nourrir est l’un de ces instincts primordiaux, ainsi que celui de chasser. En effet dans le cas de cette Lamia, l’habit fait effectivement le moine, et vous auriez raison de ne pas vous sentir à l’aise en sa compagnie. Elle a des besoins en nourriture assez consistants, et éprouve qui plus est un plaisir non feint à chasser ses proies, c’est une prédatrice dans l’âme, pas seulement car c’est dans sa nature, mais aussi car tel est son bon plaisir. Ses proies favorites sont les humains, qui ont un excellent rapport entre leur faiblesse physique et la quantité d’éléments nutritifs qui composent leurs corps.

L’instinct de survie ensuite, qui est particulièrement développé chez les Lamia dont la population est peu nombreuse. De ce fait, elle est légèrement paranoïaque envers tout ce qui peut se trouver à proximité d’elle. Sa réponse à une intrusion sur son territoire ou a une agression ne sera pas la discussion ou la diplomatie, mais la traque de l’intrus qu’elle ne lâchera pas d’une semelle. En ce qui concerne ses proies, elle a diverses façons de les traiter une fois qu’elles sont hors d’état de nuire, et se différencient selon leur sexe. S’il s’agit d’hommes, Shaïra n’aura que peu de considération envers eux. Le scénario le plus probable pour un être de type masculin à la merci de Shaïra, sera de finir digéré par ses puissants sucs gastriques. En clair c’est simple, à de rares exceptions près, homme = tas de viande. Pour les femmes, c’est légèrement différent comme vous allez pouvoir le constater.

En effet Shaïra est également aux prises d’un autre genre d’instinct, celui de reproduction. Les femelles tombant dans ses griffes, pour peu qu’elles soient attirantes physiquement, sont le plus souvent conduites dans son antre afin d’être violées pendant de nombreuses heures (oui, elle est très endurante) pour satisfaire ses pulsions qui sont presque insatiables. Quand il lui arrive, quelques jours par an, d’être en période de chaleur, alors Shaïra se met en quête de femmes particulièrement bien portantes, les enlève et les viole alors dans le but de les faire enfanter. A noter qu’elle a un instinct maternel particulièrement poussé, et qu’elle se montrera d’une sauvagerie et d’une cruauté sans bornes envers quiconque voudrait faire du mal à sa progéniture.

Malgré le fait qu’elle soit énormément guidée par des instincts basiques, Shaïra est une créature intelligente malgré ce que l’on pourrait croire, autrement elle ne serait pas capable de tendre des embuscades, de parler de nombreux dialectes et d’être capable de tenir de longues conversations quand elle en ressent la nécessité. Elle est aussi de nature très indépendante, consciente que d’appartenir à une race aussi rare que les Lamia pourrait en faire une esclave potentielle, elle ne se laissera pourtant pas faire, et serait même capable de mettre fin à ses jours plutôt que d’être la boniche d’un être plus faible qu’elle. Car oui, je vous ai aussi dit qu’elle était orgueilleuse ? Bien qu’elle soit consciente de ne pas être l’être le plus puissant de Terra, elle se place toutefois bien au dessus d’un certain nombre de races « inférieures » qui peuplent ce monde. A cet égard, elle les considère comme des joujoux ou de la nourriture.




Histoire

Shaïra Elrunalan est née il y a de ça très longtemps, dans un marais de l’Empire d’Ashnard, fruit de l’union entre deux Lamia. Elle n’a jamais connu son géniteur, car sa mère l’a dévorée après leur accouplement, tel étant le destin des mâles chez une race qui fait la part belle aux représentants féminins. Shaïra était donc chanceuse d’être née femme, mais encore plus d’hériter d’une particularité génétique très rare chez les Lamia, qui allait faire d’elle une prédatrice très redoutable. Malgré la réputation de cruauté et de sadisme inhérente à cette race, Shaïra n’eût aucun déficit en matière d'amour maternel , une relation fusionnelle s’installa entre les deux Lamia.

Plus elle grandissait, plus Shaïra devenait belle et forte. Elle perdit très tôt sa virginité des mains de sa mère, qui lui apprit également à chasser. Chasser fut d’ailleurs l’erreur qui allait les séparer pour toujours. Un jour, la mère de Shaïra eu la malchance de prendre pour proie de fils d’un des seigneurs de l’Empire, qui chercha naturellement vengeance. Les Lamia étaient des créatures terrible, et la mère de Shaïra tua un nombre incalculable de soldats en défendant sa petite fille, mais elle succomba au bout d’un long combat, laissant Shaïra seule et à la merci de ces hommes. Le seigneur, plutôt que de tuer Shaïra, la réduisit en esclavage, pour se rendre assez rapidement compte qu’elle n’en était pas une si bonne que ça du fait de son caractère très indépendant. Shaïra refusait de se soumettre à un simple humain, et passa donc sa captivité maintenue par magie dans les donjons de ce seigneur, dont certains des soldats venaient parfois abuser d’elle, et c’est dans cette période qu’elle perdit l’un de ses yeux.

Un jour, Shaïra parvint enfin à s’échapper. Comment ? Elle-même ne le sais pas, les sceaux magiques la retenant avaient brusquement cédés, la laissant libre de ses mouvements. Et, trouvant une sortie en accédant aux douves, puis à l’extérieur du château, elle voyait celui-ci en flammes, assiégé par beaucoup d’hommes et d’autres créatures. Peu lui importait au fond, elle partit très loin de cet endroit, fuyant l’Empire pour préférer des terrains encore plus sauvages, plus inaccessibles et dangereux, dans lesquels elle se déplace et s’installe depuis un nombre incalculable d’années.


(Désolée pour la qualité médiocre de l’histoire, j’avais vraiment pas d’idées é_è)



Autres

J’aurais effectivement beaucoup de choses à rajouter concernant cette jolie Lamia, je vous l’écris comme cela me viens. Les Lamia sont déjà naturellement des créatures très dangereuses, capables de déployer une force colossale et extrêmement résistantes à pas mal de trucs. Les Echidna, c’est pire encore, car vous leur rajoutez une bonne petite tripotée de pouvoirs magiques et une immunité à la magie.

Elle est capable de sécréter divers types de venins, du paralysant au mortel…en passant par l’aphrodisiaque capable de forcer l’ovulation chez les femmes. Elle peut soit utiliser ses crocs pour l’inoculer, soir le cracher en dards volants vers leurs cibles, un peu comme les cobras.

Les deux serpents qu’elle a à l’arrière du crâne peuvent s’allonger à volonté, et ont suffisamment de puissance pour se saisir d’un homme. En général, Shaïra se sert de l’un pour maintenir sa proie, et de l’autre pour lui percer le bide et faire joujou avec ses organes internes. C’est taquin non ?

Elle peut prendre une forme humaine au prix d’une transformation lui demandant deux à trois heures de mutation, elle se voit alors dotée de jambes et d’attributs plus humains : couleur de peau plus proche du rose saumon que de la porcelaine, oreilles normales, disparition des serpents à l’arrière de son crâne etc… Sa queue quand à elle se métamorphose en une sorte d’anaconda géant avec qui elle a un contact mental permanent, car après tout cela reste toujours une part intégrante de son corps.



Comment avez-vous connu le forum ? : Il s’agit d’un DC, je ne suis donc pas une newbie.

Avez-vous des moyens de faire connaître le site autour de vous ? Si oui lesquels :    Je peux toujours essayer d’en parler à certaines connaissances, mais hormis ça non.

RPs

1°) Et un joujou de plus ! [Theorem & Ishtar] [ABANDONNÉ]
2°) La proie et la chasseresse [Félicia Hardy] [ABANDONNÉ]
3°) Nan c'est mon désert à moi [Tinuviel Lastrim] [ABANDONNÉ]
4°) Servitude volontaire [Sha] [ABANDONNÉ]
5°) Une aventure qui tourne mal [Lara Croft] [ABANDONNÉ]
6°) L'Instinct d'une Lamia [Nassirah] [EN COURS]
7°) Une congénère plutôt entreprenante [Vanadis] [EN COURS]
8°) Un passé brisé [Akila / Sameeha] [EN COURS]
9°) Exploration sifflante [Jah raafad] [EN COURS]
10°) Kidnapping [Kristina et Shura] [TERMINÉ]
11°) Repas d'un soir [Zigg] [EN COURS]

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