Il y a quelques semaines, Shaïra avait pris d’assaut
un fort reculé. Elle avait judicieusement attaqué, profitant du moment où la garnison locale était affaiblie. Le seigneur local avait en effet mobilisé une bonne partie de ses troupes pour une lointaine croisade diligentée par l’Ordre Immaculé. La Lamia y avait vu l’occasion de s’établir un peu. Elle était une redoutable Lamia de type
echidna, soit une Lamia nomade et sauvage, mais, parfois, elle aimait aussi s’établir dans un nid douillet. Elle avait donc attaqué ce fort, s’y infiltrant pendant la nuit, abattant les sentinelles, avant de débarquer au beau milieu de la cour seigneuriale. Préalablement, Shaïra avait pris soin d’empoisonner les vivres de la garnison, et avait fondu sur le seigneur local. Même en ayant planifié son coup à l’avance, la bataille avait été intense. Shaïra avait reçu de multiples flèches, des sortilèges magiques, des coups d’épée, mais avait finalement laissé derrière elle bien des morts, avant de tuer le seigneur local, l’étouffant dans sa queue, broyant finalement tous ses os.
Cette victoire n’était cependant que la première partie de son plan. Si Shaïra avait fait ça, c’était aussi parce qu’elle était en pleine période de nidification. La Lamia voulait des bébés, et, après ce coup de force, elle s’était rendue au village local, et avait menacé de tuer les villageois. Pour faire bonne mesure, elle avait tué le suzerain local et ses quelques miliciens, et avait ensuite imposé à ces derniers un lourd tribut. Elle voulait une femme par mois, peu importe laquelle, tant qu’elle soit féconde. Les villageois avaient bien tenté de se révolter, d’aller vers d’autres villages, mais Shaïra était vigilante, alerte, et avait réagi en conséquence, tuant les cavaliers. Ils avaient été enfermés, isolés du reste du monde, et, maintenant, Shaïra avait régulièrement des amantes.
Malheureusement, elles n’étaient pas très résistantes, et c’était le cas de la
paysanne se tenant devant elle.
«
Hnnnn... Gnnnnnn... »
La jeune femme n’était pas vierge quand Shaïra l’avait prise, mais même elle était bien loin d’avoir les reins solides pour combler la soif de la Lamia. Les trois quarts de son corps disparaissaient dans l’épaisse queue reptilienne de Shaïra, qui la baisait depuis maintenant plusieurs jours presque sans relâche, la fourrant avec ses deux grosses verges. Cette femme avait atteint un record de durabilité... Ou peut-être était-ce juste que Shaïra devenait moins sauvage avec ses partenaires ? La Lamia l’avait régulièrement empoisonné pour l’empêcher de tomber dans le coma, mais, même malgré ça, la paysanne était peu à peu en train de succomber. Son esprit était à bout, tout comme son corps, mais rien n’empêchait Shaïra de la prendre, tant elle était affamée, assoiffée.
«
Hmmmm... Petite... Petite sssssssalope... »
Shaïra continuait à la labourer, tout en se demandant quand même quand viendrait une femme ayant les reins suffisamment solides pour supporter son insatiable soif sexuelle... Pour l’heure, comme aucune de ses amantes n’arrivait à terme, Shaïra était en réalité de plus en plus
frustrée !