Nom : Rimme
Prénom : Anna
Age : 27ans
Race : Terranide
Sexe : féminin
Orientation sexuelle : Hétéro
Description physique :
Pour commencer, on ne peut pas dire qu'elle passe inaperçue. Passés outre ses attributs félins, à savoir la queue, les oreilles et la pupille fendue, ce sont surtout ses arguments qui attirent le regard. Elle le sait et n'hésite pas à les mettre en valeur. Leur taille généreuse et ses yeux verts envoûtants on eu raison de la volonté de plus d'un homme. Dans la moyenne avec son mètre 73, le reste de son corps est bien proportionné.
Elle est black. Un peu claire, mais black quand même, ce qui contraste bien avec ses cheveux et sa queue, tous blancs. Elle a un petit nez fin, ainsi qu'une petite bouche, aux lèvres néanmoins pulpeuses.
Pour s'habiller, elle choisit toujours des vêtements décontractés, toujours très ouverts sur le devant pour le haut. Elle ne porte que des pantalons, les jupes et les robes ont tendance à l’insupporter.
La nuit, elle dort nue. Elle en a marre de voir ce qu'elle porte pour dormir systématiquement déchiré.
Caractère :
Pour sûr, cette fille sait ce qu'elle veut dans la vie. Confiante en elle, elle n'hésite pas à user de tous ses atours pour obtenir ce qu'elle désire. Si elle prend soin de son corps, c'est parce qu'elle le considère comme un outil au service de ses ambitions. Si elle se donne parfois un air froid et insensible, ce n'est qu'apparence. En réalité c'est une personne sensible, qui ne supporte pas de voir des gens ou des animaux abandonnés. Elle se met en colère assez facilement, surtout quand les gens ne comprennent pas ce qu'elle est en train d'expliquer. Elle est également capable de jouer les femmes fatales, les séductrices, pour peu qu'elle y gagne quelque-chose. Ou qu'un garçon lui plaît...
Mais ça, c'est la journée. La nuit, elle est différente. Blasée, résignée, elle s'abandonne à son triste sort nocturne, cette malédiction qu'elle ne s'explique pas, y trouvant même du plaisir, le tout dépendant de la personne sur qui elle tombe... Mais une chose est sure, elle ne fait plus montre de cette fougue, de cette ardeur qu'on lui connaît le jour.
Histoire :
Il y a de cela plus d'un quart de siècle, vivait une terranide chat. Habitante de Nexus, elle était esclave d'un riche diplomate venu de contrées lointaines. Un ambassadeur musclé, à la peau noire comme l'ébène, et au regard sombre. Peu loquace, il exprimait bien la vision que l'on avait de la diplomatie dans sa contrée. Tout se jouait sur l'intimidation. De par son rôle, il s'était installé définitivement dans la cité-état, et fit des efforts pour se mettre aux coutumes locales.
Là d'où il venait, seuls les guerriers vaincus, mais assez forts pour avoir survécu, étaient dignes de devenir esclave. Les femmes étaient violées puis égorgées alors que les autres avaient l'oreille tranchée puis empalés sur les murs des villes et des villages. Il ne comprenait pas vraiment pourquoi on trouvait de tout sur le marché aux esclaves de Nexus. Mais il s'y essaya en achetant la dite terranide.
Il en fit une serveuse, habillée comme les servantes -libres- de son pays, c'est à dire portant juste un pagne brodé, de grande qualité, pour couvrir son intimité. Une grande partie de son arrière-train et sa poitrine restaient en permanence à la vue de tous. Mais elle connaissait sa condition et ne protestait pas.
Un jour, où la reine de Nexus fit mander l'ambassadeur pour une certaine affaire, celui-ci rentra tard, très tard dans la nuit. N'ayant rien avalé depuis le zénith, il fit préparer quelque-chose et sa servante lui apporta. Mais il y avait quelque-chose que le vendeur ne lui avait pas mentionné sur l'esclave. Une chose qu'elle-même n'avouait pas. Elle avait la particularité de produire une phéromone qui poussait tout être à vouloir lui faire l'amour, allant jusqu'à la violer si nécessaire. Elle ne la contrôlait pas, mais savait que celle-ci n'était relâchée que la nuit, lorsque le soleil est totalement englouti dans les ténèbres.
L'homme musclé, qui d'habitude respectait son esclave, la traitant comme une employée, ne put se retenir. Il la prit frénétiquement, l'étalant au milieu de la nourriture qu'elle venait d'apporter. Lorsqu'il reprit ses esprits, au petit matin, exténué par l'effort fourni après une dure journée de travail, elle eut juste le temps de lui expliquer la situation avant qu'il ne tombe de fatigue.
Quand il se réveilla, il cru à un rêve, mais il sut que ce n'était pas le cas en découvrant le pagne de soie dans sa main. N'ayant pas les mêmes mœurs que les marchands et les nobles lubriques qui passaient leur temps à forniquer avec leurs esclaves, il alla présenter ses excuses, humblement, avec tout le respect dont il pouvait faire preuve. Depuis il fit bien attention, la laissant à l'écart de toute personne dès la nuit tombée, pour son propre bien. Et elle lui en fut reconnaissante, mais le mal était fait. Quelques mois plus tard, elle accoucha d'une petite fille. Une terranide chat, comme sa mère, avec la couleur de peau de son père.
Par tradition, le diplomate ne pouvait avoir d'enfants, mais il ne pouvait pas se résoudre à tuer un bébé, son bébé. Si son roi l’apprenait, ils mourraient tous les trois. Pour sauver la vie tout le monde, il décida de l'abandonner. Il la confia à un homme de confiance, qui lui assura qu'ils ne la reverraient pas, écartant tout risque de mort pour les trois personnes, et qu'elle recevrait tout ce dont elle a besoin. L'homme passa une faille avant d'abandonner le bébé devant les portes de l'orphelinat de Seikusu. Connaître l'emplacement d'un portail fixe était très rare, suffisamment pour vendre à prix d'or toute utilisation qu'il pouvait en faire, tout en gardant se secret pour lui.
Pour aider la mère de la petite Anna à surmonter son chagrin, il l'affranchit et l'épousa. Pour respecter la tradition et ne plus faire de tort à sa nouvelle femme, il alla jusqu'à se faire stériliser, pour être sûr qu'il n'y aurait pas d'autre enfant de leurs liaisons conjugales.
Anna grandit donc à Seikusu, ne sachant rien de Terra, de ses parents, ni de pourquoi, contrairement aux autres enfants, elle avait une queue et des oreilles de chat. Les gens, habitués aux cosplays et autres étrangetés propres à la ville ne lui en tinrent pas rigueur, et elle grandit comme les autres.
Le jour où elle fut adulte, elle s'en alla de l'orphelinat, trouvant rapidement du travail en tant qu'hôtesse d'accueil dans une grande société. Elle loua un appartement et s'installa tranquillement dans la vie.
C'est alors qu'elle commença à changer. Elle voyait sa poitrine, auparavant de taille plus normale, voire un peu petite, grossir de jour en jour, jusqu'à devenir ce qu'elle arbore aujourd'hui. Mais ce qu'elle ne voyait pas, c'est qu'elle se mettait à produire les même phéromones que sa mère, qui pousseraient les gens à la violer si elle ne s'offrait pas à eux.
Et malheureusement pour elle, ce ne fut pas tout. Elle développa également un pouvoir d'E.S.P.er sans en avoir conscience. Assez ridicule de prime abord, il allait se révéler un grand fardeau pour elle. Celui-consistait à se téléporter aléatoirement sous une couette de la ville pendant son sommeil. Cela la réveille, généralement juste à temps pour voir la personne à qui appartient la couette lui sauter dessus, emplie de désir sexuel dû aux phéromones qu'elle produit.
Au fil des années, elle a cessé de se débattre, laissant faire lorsqu'elle tombe sur quelqu'un de peu appétissant, essayant d'y prendre du plaisir quand elle tombe sur quelqu'un qui lui plaît à peu près. Et depuis elle n'hésite à avoir des rapports si ça peut l'aider d'une quelconque manière. La promotion canapé par exemple lui permis de passer responsable du service communication en un temps record.
Autres :
-Produit une phéromone rendant toute personne à quelques mètres d'elle folle de désir sexuel envers elle, poussant cette personne à violer Anna si nécessaire.
-Son pouvoir, dont elle n'a même pas conscience, la téléporte aléatoirement sous une couette quelque-part dans la ville, pendant son sommeil. C'est le navigateur inter-couettes.
-Elle pense que ces deux capacités ne sont qu'une malédiction à laquelle elle est sujette.