Perversion [Lanrea Nokima]

étant ainsi a genouiller devant mélinda qui elle est assise sur son fauteuil son sexe relevé que je suis en train de sucer, comme une chienne depuis maintenant quelques minutes. Elle écarte ses jambes me facilitant ainsi l'accès a son sexe et moi du coup j'en profite et vu qu'elle ma demandée de faire plusieurs gorge profonde, je lui en fait plusieurs j'ai le sentiment que je vais étouffer, mais c'est chaud et agréable c'est bizarre comme sensation, cela me fait tousser et baver aussi, je suis en chaleur je pense,  et elle aussi car elle me caresse les cheveux elle apprécie ce que je fais c'est donc une bonne chose... D'ailleurs elle me le fait savoir  en me disant ça.

« Haaa... Ce que c’est agréable, humm... Encore, ma belle, encore, ne t’arrête pas en si bon chemin... »


En continuant d'enfoncer son membre dans ma bouche: Elle baisse sa tête pour me regarder faire en souriant de plaisir et elle commence a sentir l'orgasme en elle bien que je ne le sache pas encor, je continue ma fellation comme je le fais depuis le début et je suis ses instructions. Cependant la voila qui me chope la tête sans me demander mon avis  je gémie du coup et je suis pas au bout de mes peine elle m'étrangle a moitier car ce n'est pas un petit membre qu'elle m'enfonce ainsi oh que non.. Il est imposant alors je souffre aussi de mon coté, mais de plaisir et c'est la une toute autre histoire. Elle continue  de me faire faire des va et vient plus rapidement et elle éjacule enfin dans ma bouche, innondant ses paroies et cela descend dans ma gorge puis je l'avale comme je peux je me met a tousser car il y'en a trop grande quantité et un filon de sperme ce fiait voir qui coule de ma bouche. ayant avalée totu ce que je pouvais la voila qui retire son sexe de ma bouche un dernier filon reste encore entre nous deux et je viens lui léchouiller le gland pour nettoyer bien que j'en aie encore sur mon visage. Après cette affalé sur son fauteuil elle m'ordonne ceci.

« Rassure-toi, ma belle chienne, ça ne fait que commencer... Reprends ton souffle, et nous pourrons continuer à nous amuser... » réussit à dire la vampire.

Une pose hein ? Cela m'intéresse pas vu que moi je suis encore toute exciter, mais je n'ai pas a lui donner d'ordre et qui plus est c'est elle qui doit m'en donner, je suis toute rouge et je reprend mon souffle, je montre que je suis en chaleur d'une façon, et je lui fais savoir que nous pouvons reprendre le jeux quand elle sera prête. Pas par la parole mais par des signes, en attendant  je me tiens a quatre patte a ses pied, comme une chienne qui attend ses ordres...

Après son érection, le sexe masculin de Mélinda était un peu plus mou, et pendait mollement entre ses jambes. Lanrea en lécha le bout, continuant à le nettoyer, restant ensuite à quatre pattes. Mélinda sentait combien l’ESPer était excitée, et combien elle n’avait plus envie de se rebeller. Le plaisir était brûlant en elle, bouillonnant, et le sourire de la vampire s’assombrit légèrement. Sa jambe caressa à nouveau la joue de la femme, et la vampire se redressa alors. Sa main tenait la laisse, et elle s’avança lentement, sensuellement, ses bottes faisant un bruit étouffé en heurtant la moquette. Elle tira sur la laisse, pour que Lanrea la suive, et elle retourna près du lit. Mélinda resta devant le lit, et ordonna à Lanrea de se mettre à quatre pattes sur le lit, en lui présentant ses fesses.

Il était effectivement temps de passer aux choses sérieuses, de sodomiser l’ESPer. Mélinda la regarda lentement, sur cette position, et avança ses mains. Elle était hors du lit, et les fesses de la femme étaient à hauteur de son visage. Un sourire sur les lèvres, Mélinda s’humecta les lèvres, et commença à les frotter, à les malaxer tendrement, ses pouces glissant près de sa raie. Chacune de ses mains se tenait sur une fesse, les pinçait, les serrait, glissait dessus, et remuait sa peau. Elle avait des fesses douces et tendres, et, en les écartant mutuellement, elle pouvait voir le petit trou de son anus, une délicate fente très petite. Elle sourit, et approcha alors son visage de ce derrière, commençant à l’embrasser. Elle embrassa chacune des fesses, puis lécha cette raie étroite, remontant vers son anus, sa langue continuant à se promener. Mélinda soupira en gémissant, préparant sagement Lanrea avant d’aller la pénétrer. Elle continua à remuer sa langue, puis la frotta lentement contre son anus, la titillant en prenant son temps. Ce contact était superbe, très excitant, et elle sentit son érection revenir rapidement, une douleur lancinante travaillant son sexe qui se redressait fièrement.

Mélinda poursuivit ce petit traitement pendant un certain temps, jusqu’à glisser un doigt dans l’anus de la femme, le remuant lentement, et continua ainsi à la sodomiser lentement. Elle prenait tout son temps, n’enfonçant pas encore sa queue, voulant que la jeune femme s’impatiente et veuille d’elle-même se faire exploser le cul. La vampire eut un léger sourire, et, tout en enfonçant un doigt dans ses fesses, utilisait son autre main pour caresser son autre fesse. Elle eut un sourire, et continua à la doigter, avant de lâcher quelques mots :

« Comment te sens-tu, ma belle, hum ? Dis-moi... Je veux que tu le dises... Que tu me demandes que je t’explose les fesses en t’enculant comme une grosse chienne. Allez, dis-le ! »

Mélinda c'est légèrement relâcher ; Temps de pose mais ça ne va pas durer car elle caresse ma joue avec son pied et ce lève alors elle prend ma laisse et tire pour me faire avancée je la suis donc a quatre patte comme uen chienne et elle m'emmène sur le lit tournée dos a elle et elle commence alors a me peloter mes fesses avec une certaine envie... Cette dernière commence alors un petit traitement visant a m'inciter a me faire sodomiser comme pas possible, elle passe sa langue au partie sensible et ça fait son effet je soupire également de frustration quand elle ne rentre qu'un doigt afin de m'exciter comme une chienne, mais elle semble réussir a atteindre son objectif et après m'avoir bien frustrée comme il se doit elle me dit alors

« Comment te sens-tu, ma belle, hum ? Dis-moi... Je veux que tu le dises... Que tu me demandes que je t’explose les fesses en t’enculant comme une grosse chienne. Allez, dis-le ! »

-réponse : J'en ai marre d'attendre plus longtemps ! Faites le... défoncez moi maitresse...

dis-je en fermant les yeux de frustration en subissant son traitement, je suis a quatre patte a la bonne hauteur pour qu'elle introduise sa verge en moi, mais elle a décidée de me torturer mentalement, et j'attends qu'elle s'y mette a l'oeuvre, je veux sentir ce sexe en moi...

« Réponse : J'en ai marre d'attendre plus longtemps ! Faites le... défoncez moi maitresse... »

Mélinda se permit un beau sourire devant cet aveu. Son petit traitement, visiblement, avait été efficace, et Lanrea n’attendait plus que ça : se faire prendre par la porte arrière. La vampire allait en faire une belle sodomite, et cette simple idée suffisait à renforcer son érection. La vampire était excitée et se redressa donc, posant ses mains sur les fesses de Lanrea, les remuant lentement, ses pouces glissant sur son beau petit derrière. Lanrea était plutôt belle, et la vampire se plaisait à caresser son corps, à faire remuer ses doigts. Elle prolongeait volontiers le moment, afin de l’impatienter un petit peu, que sa chienne soit encore plus frustrée. Elle ne pourrait que mieux en apprécier cette sodomie. Lentement, Mélinda grimpa sur le lit, se tenant debout sur ce dernier. Comme elle n’était pas bien épaisse, elle ne craignait pas que le lit rompe. Lanrea, elle, était toujours à quatre pattes sur ce dernier, et le membre de Mélinda se mit à s’approcher.

Elle ne la pénétra pas tout de suite. Ce serait trop facile ! Oh non, elle préférait prendre son temps, y allait lentement, en douceur... Son membre frotta ainsi contre les fesses de la jeune femme, et glissa dans sa raie, titillant son anus, mais sans encore y aller. Mélinda, pourtant, voyait bien ce petit trou, braquant ses yeux dessus, mais voulait faire patienter cette jeune femme, qui avait après tout initialement refusé d’être sodomisée.

« Tu en as envie, hein, petite coquine ? Sentir tes fesses se faire écarter, la douleur exploser en toi, t’aveugler ? Ce serait douloureux... Mais très bon aussi... Et, quand mon gros membre se retirera de ton corps écartelé, les simples courants d’air sur ton trou défoncé te feront trembler... »

La vampire continuait à la narguer, mais décida finalement d’avoir bon cœur. Fermant lentement les yeux, Mélinda se prépara, puis attrapa avec sa main ce membre masculin qui la démangeait. Mine de rien, une érection, c’était également douloureux pour elle. Elle rapprocha son sexe de l’antre arrière de la jeune femme, et força un petit peu. Le bout de son membre glissa sur l’anus, et elle grogna, montrant ses dents, en forçant le passage, enivrée par la douleur, logique, que devait ressentir l’ESPer. Mélinda continua à forcer, et son sexe sembla tressauter sur place, avant qu’elle ne puisse enfin le glisser dans le corps de la femme. Mélinda reposa alors ses mains sur les cuisses de la belle, et commença à donner des coups de reins, tapant dans cet espace très réduit.

Elle s’appuya au corps de Lanrea, enfonçant ses griffes dans sa peau, sans vraiment chercher à lui faire mal, et força. Son sexe s’enfonçait assez lentement au début, même si elle avait pris le soin de lubrifier l’anus de la femme. C’était malgré tout douloureux. Mélinda avait mal, mais savait que ce n’était rien en comparaison de ce que Lanrea devait ressentir. Elle eut un sourire, et donna alors une tape sur le cul de Lanrea, la giflant fort. La claque résonna dans la pièce.

« Ohhh, je sens que je vais adorer ça, ma petite chienne ! »

La dominatrice nommée mélinda commence enfin a utiliser son pénis sur moi, elle le frotte d'abord entre mes cuisses afin de me frustrer encore plus comme une petite chienne. la voila qui se met a parler pour me provoquer mais vu que je n'ai pas le droit de répondre sans autorisation alors je me tais et la laisse faire. Mélinda en avait visiblement marre aussi, puisqu'elle enfonce a présent son sexe dans mon vagin au début lentement. Mais vu que le gland est gros c'est assez douloureux qui a pour effet de provoquer de petit gémissement, chez moi.  Elle l'enfonce tellement que j'en gémis de douleur en ouvrant ma bouche, manquerait plus que je sois bailloné pendant la sodomie, ce serai vraiment cruel mais tellement plaisant. Elle finie par arriver au bout, bien que ce soit difficile d'accès elle ma bien faite crier. Une fois a l'intérieur elle commencer a donner des petits coup de rein pour faire avancer et reculer son sexe long et épais. Cependant elle qui devait avoir mal ben chez moi c'était une épreuve difficile a passer je ne dois pas m'évanouir a cause de la douleur, et mes cris doivent être bruyant alors je lui dis bien que je n'ai pas le droit...Je prends ce risque

-Aaaaah, je j-je m-m'excuse de c-crier si f-fort... Pouvez vous utiliser  u-un de vos baillon ô maitresse....  punissez moi si  vous en jugez pas nécessaire cet outil.

Dis-je en bégaillant de plus belle. Et entre deux cris ce qui n'était pas forcément facile, en tout cas cette petite séance de torture est particulièrement plaisante je dois l'avouer... Et puis je n'ai pas très bien réussie a formuler ma phrase, aussi faut dire qu'avec le traitement actuel ça na rien d'étonnant.

Enculer cette femme était quelque chose de délicieux... Comme à chaque fois. Oui, oui, le doute n’était pas permis chez Mélinda, la sodomie était clairement ce qu’elle préférait ! Elle adorait ça ! Sentir son gros membre emprisonné dans cette chair, devoir forcer pour écarter les parois internes de la victime qu’elle massacrait... C’était une expérience bien plus intense que la simple pénétration vaginale, une aventure qui permettait de voir qui aimait vraiment le sexe, et qui ne l’appréciait pas... Car Mélinda savait que bien des femmes n’appréciaient pas du tout la sodomie, ce qui était pour elle la preuve qu’elles n’aimaient pas vivre. Une sodomie, pour la vampire, était une expérience de la douleur, une manière d’affronter de plein fouet cette dernière, et de réussir à la surmonter pour atteindre des monts ardents de plaisir. Or, la douleur était l’indicateur par excellence de la vie. Si on la fuyait, si on en avait peur, alors c’était tout simplement qu’on craignait la vie. Pour Mélinda, c’était une logique infaillible.

« Aaaaah, je j-je m-m'excuse de c-crier si f-fort... Pouvez vous utiliser  u-un de vos baillon ô maitresse....  punissez moi si  vous en jugez pas nécessaire cet outil. »

La vampire eut un sourire devant cet aveu, et gifla à nouveau son beau petit cul, usant de sa force vampirique pour que la douleur soit encore plus forte. Son sexe commençait à bien s’enfoncer, et elle continua à la pénétrer, à donner des coups de reins, grognant et soufflant lourdement, sentant la sueur couler le long du corps de sa partenaire.

« J’aime t’entendre... T’entendre hurler, ma belle… Alors, ré… Régale-moi ! »

Pourquoi la bâillonner ? Mélinda adorait ça, sentir l’effet qu’elle faisait sur cette femme ! L’entendre hurler de douleur, se tortiller contre elle, c’était bien mieux que lui mettre un objet sur la bouche pour la taire. Elle continua ainsi à bourrer ses fesses, à enfoncer son membre tendu, le glissant toujours un peu plus loin, les mouvements étant de plus en plus simples au fur et à mesure que cette séance se poursuivait. Mélinda frémissait et soupirait longuement.

« Allez, allez, hurle, espèce de truie !! » la motiva-t-elle en lui donnant une autre gifle.

J'ai eu comme réponse une fessée qui résonne dans la pièce. Et oui encore une, elle a pour effet de me faire pousser un petit hurlement en plus des cris habituel que me provoquent cette pénétration, elle a un gros membre et elle n'y va pas par quatre chemin, damnit.  Mais elle me fait aussi un aveu tiens.

« J’aime t’entendre... T’entendre hurler, ma belle… Alors, ré… Régale-moi ! »

Dit-elle en continuant ainsi sa démarche, elle continue de façon régulière et accélère légèrement son rythme et va un peu plus loin entre chaque va et vient ce qui a tendance a me faire crier d'avantage et vu qu'elle veut m'entendre gueuler je ne me retiens pas, je me tortille aussi mais je suppose que je n'ai pas trop le droit de bouger alors j'essaye de rester assez stable a 4 patte.

« Allez, allez, hurle, espèce de truie !!

Elle me donne une autre gifle et elle me fait donc crier, de plaisir et de douleur, si elle continue comme ça elle va me faire jouir dans pas longtemps et afin de satisfaire cette dominatrice au caractère assez brutale, je me met donc a crier afin de satisfaire ses désirs, mais il s'agit de cris et de gémissement naturel bien entendu ! Pas des cris artificiel dans le seul but de la combler, ou serait le plaisir si je n'en prendrais pas un peu et si c'était forcer ? Ben y'en aurait pas. Et je me demande dans combien de temps elle va jouir, elle commence aussi a avoir des rales de plaisirs.

- information : Aaaah, j-j'en veux encore  !!!

dis-je en hurlant entre chaque gémissement...

Elle ne comptait nullement ménager cette petite blondinette. Mélinda allait bourrer le cul de cette petite salope. Dans son esprit, elle associait en effet Lanrea à une espèce de petite adolescente timide et réservée, mais qui n’avait qu’une seule envie : qu’on lui défonce le corps. Les femmes terriennes étaient ainsi, rejetant oralement toute forme de violence, de soumission, et de domination, mais étant intérieurement attirées par ces pulsions. Il ne fallait pas chercher plus loin pour expliquer la fascination des adolescentes pour les mauvais garçons. Chez Mélinda, la psychologie était assez sommaire, et plutôt rigoureuse. Elle avait ses mains toujours posées sur le bassin de Lanrea, et prenait son petit cul avec plaisir et passion. Elle n’y allait pas par le dos de la cuiller, la prenant douloureusement. Mélinda aussi souffrait, car cet espace était vraiment très étroit pour son membre. La douleur l’excitait, l’attirait, et c’est avec un plaisir sans cesse renouvelé qu’elle baisait cette petite pute.

Lanrea, de son côté, poussait des cris de plaisir, de véritables gémissements rauques qui n’étaient pas fictifs... Du moins, Mélinda le pensait. Concrètement, elle était un peu trop excitée pour déterminer si Lanrea simulait ou pas, mais elle se référait à son sang... Le rythme sanguin de cette femme était en excitation croissante, signe qu’elle éprouvait bien du plaisir à se faire baiser ainsi. Les griffes de Mélinda s’enfonçaient dans la chair moite et tendre de cette femme, qu’elle continuait à prendre avec rage.

« Information : Aaaah, j-j'en veux encore  !!! » s’exclama cette dernière.

Mélinda eut un sourire... Petite traînée ! Le sexe de la Maîtresse s’enfonçait déjà dans son corps, lui déchirant ses parois. Elle était de plus en plus rapide, sauvage, et nerveuse, sentant l’orgasme approcher assez rapidement. C’était tellement délicieux... Mélinda ne put s’empêcher de lever la main pour gifler à nouveau cette arrogante petite femme, qui lui était maintenant aussi docile qu’une petite chienne. Lanrea était soumise, vaincue, domptée. Il n’y avait rien de plus gratifiant pour la dominatrice vampire, qui aimait qu’on soit à ses pieds.

« Ne t’en fais pas pour ça, ma chérie, haleta-t-elle. Ton cul est tellement magnifique que je me dois d’en prendre le plus grand soin possible ! »

Une manière de dire qu’elle ne comptait pas la laisser respirer de si tôt. Elle continuait à s’enfoncer dans ses fesses, pendant de longues minutes. Mélinda adorait clairement la sodomie, et voulait qu’elle le sache. Son érection ne tarda pas à atteindre le point culminant, et elle eut un orgasme, se déchargeant dans les fesses de Lanrea. La vampire jouit assez longuement, donnant pendant de longues secondes plusieurs giclées de sperme, se déchargeant à chaque mouvement de ses reins.

« Haaa... Haaaaannnn !! Huuuummmmmm... C’est si bon de jouir dans ton cul, ma petite chienne… Tu ne trouves pas ? »

Celle ci a ses main poser sur mon bassin, et continue de faire ces vas et vient interminable. Elle en avait mal, mais moi je passe mon temps a crier lorsqu'elle me baise, comme une petite chienne. De toute façon me voila réduite en esclave, avec quasiment tout en interdiction.  Ah elle accélère enfin ses mouvement de bassin, me faisant crier d'avantage elle y va avec brutalité ! Elle y mêle plaisir et douleur en plantant ses griffes dans mon corps, c'est douloureux mais ça ne fais que renforcer mes cris. La vampire dis quelque chose que je parviens a distinguer malgré mes cris :

-« Ne t’en fais pas pour ça, ma chérie, haleta-t-elle. Ton cul est tellement magnifique que je me dois d’en prendre le plus grand soin possible ! »

Elle continue de me défoncer encore pendant longtemps cette vampire enrager par le sexe. Mais, elle semble vraiment aimer la sodomie alors, je pense que mon cul va prendre. Elle a réussie, a me vaincre, je crois bien, elle a le total controle de mon corps. Mais au bout de quelques minutes la voila qui éjacule enfin en moi ! Ce qui me fais pousser de longs cris car elle décharge une sacrée dose de sperme dans mon  petit cul...

« Haaa... Haaaaannnn !! Huuuummmmmm... C’est si bon de jouir dans ton cul, ma petite chienne… Tu ne trouves pas ? »

-O... Oui maitresse c'est si bon...

Je ne dois pas parler sans autorisation, alors je ne dis rien de plus que ce que l'on demande que je dise, mais pour l'heure je suis sur ce lit, en train de me faire défoncée, et pour l'instant elle est en train de me remplir le cul de sperme. Ma voix crée des gémissement en fonction des va et vient de mélinda, qui a légèrement ralentie le rythme.  Mais je pense qu'elle va trouver une autre torture a m'infliger. U!ne chose bien sadique, ou c'est moi la victime. Pour ce qui est de la soirée, elle a fait de moi une chienne, bien docile et obéissante. Avec ses règles je pense qu'elle ma réduite a l'état d'objet sexuel,  : Je suis ou c'est tant pis pour moi. 

La sodomie était le péché mignon de Mélinda, son ancien cauchemar, qu’elle avait réussi à dompter, à dresser, et à retourner. Il avait été l’incarnation de ses peurs latentes, de ses plus profondes angoisses. Elle avait retourné ce vieux cauchemar, et, désormais, à chaque fois qu’elle avait l’occasion de jouer avec les fesses d’une femme, le plaisir qu’elle ressentait n’était pas que purement sexuel. C’était aussi une forme de libération. Il aurait fallu être dans la tête de la vampire pour clairement comprendre ce point de vue. Elle avait défoncé cette petite chienne, l’avait violé, et n’avait, à aucun moment, ressenti une honte quelconque, bien au contraire.  Elle se sentait libre, heureuse, et caressait rêveusement le corps de cette dernière. Elle avait largué beaucoup de sperme, et conservait son membre bien en elle. Lanrea devait sentir que, malgré tout le stock qu’elle avait largué, son membre était toujours bien dur.

Elle se sentait relativement bien dans ce corps, et ondula lentement son bassin, laissant encore son membre imposant dans ce fondement. Mélinda soupirait de plaisir, lentement, pressant les fesses chaudes et humides de la jeune femme entre ses doigts griffus. Elle reprenait son souffle, sa poitrine se soulevant et s’abaissant au rythme de ses pulsations cardiaques. Son sexe restait dans les fesses de Lanrea, sans bouger, devenait probablement de plus en plus gênant, et, après un certain moment, la vampire le retira enfin, laissant le corps de Lanrea libre. Elle avait bien défoncé l’anus de cette dernière, et s’écarta un peu, remettant de l’ordre dans ses pensées.

« Ma foi, pour une chienne, tu as vraiment un délicieux cul... »

La vampire soupire lentement, passant une main dans ses cheveux, et marche un petit peu, son sexe bien rouge entre ses cuisses.

« Je pense qu’il serait regrettable de te laisser partir, tu ne crois pas ? »

Mélinda revint vers elle, et lui caressa les joues avec ses mains.

« Je pense que je vais faire de toi l’une de mes esclaves... N’est-ce pas que tu en as envie, hum ? »

Cette dernière ce vide entièrement de mon cul, avant de me répondre a une question que je n'ai certainement pas posée, mais j'écoute ce que ma maitresse a a dire. Et il s'agit d'un "compliment" a la mélinda je suppose ?

« Ma foi, pour une chienne, tu as vraiment un délicieux cul... »

La voila qui se met a soupirer alors que moi je m'écroule sur le lit profitant un peu de repos, car cette petite perverse ma bien défoncée quand on y pense et j'ai vraiment crier comme une chienne.

« Je pense qu’il serait regrettable de te laisser partir, tu ne crois pas ? »

-Vous voulez me garder maitresse ?

Elle vient vers moi et me caresse mes joues avec ses mains, pas brutalement pour une fois. 

« Je pense que je vais faire de toi l’une de mes esclaves... N’est-ce pas que tu en as envie, hum ? »

-Devenir l'esclave d'une personne tel que vous ? Oui j'en ai envie maitresse... 

Après quoi je me tourne vers elle, et je m'assois comme une soumise le ferait après tout elle a tout les droit sur moi et je m'en voudrais, de ne pas lui obéir sinon qui sait ce dont elle serait capable de me faire subir comme punition ? C'est un mystère que je ne veux pas résoudre. Mais si elle veut me garder comme esclave, au moins je suis sur qu'elle ne me tuera pas. 

« Devenir l'esclave d'une personne tel que vous ? Oui j'en ai envie maitresse...  »

Voilà qui faisait plaisir à entendre. Un sourire éclaira les lèvres de Mélinda, révélant ses belles dents. Elle ne dit rien sur le coup, voyant Lanrea agir inconsciemment, s’agenouillant devant elle, en baissant craintivement la tête. La vampire ne se faisait pas d’illusions ; Lanrea l’obéissait par crainte... Mais n’y avait-il pas autre chose ? Elle s’était soumise bien rapidement, et, à moins qu’elle ne se fasse des idées, l’esclavagiste ashnardienne était convaincue d’avoir entendu comme une sorte de soupir dans la manière dont elle avait accepté d’être esclave. Sur le lit, elle s’étira lentement, savourant ce moment, celui qui suivait le sexe. Le corps se détendait, s’engourdissait, et, sur ces confortables draps, elle avait une solide envie de se reposer. Néanmoins, elle avait encore une chose à vérifier avec cette femme...

Le sexe masculin de la vampire se rétracta dans son corps, écartelant ses lèvres intimes pendant quelques secondes, ce qui eut pour effet de la réveiller. Elle se redressa, constatant que Lanrea était toujours dans sa position.

« Installe-toi sur le fauteuil. Assieds-toi dessus. »

Elle n’en dit pas plus. Elle avait exploré tous les trous de cette femme, mais il y avait encore d’autres choses qu’elle pouvait lui fournir. Elle attendit que Lanrea obtempère, et descendit de son lit, se rapprochant d’elle. Elle s’était assise dans un fauteuil rembourré avec des accoudoirs. Il était très agréable, et était normalement réservé à la vampire. Si cette dernière faisait preuve de tant de générosité, c’était parce qu’elle avait quelque chose derrière la tête. Elle se redressa donc un peu, ses cheveux tombant autour de sa tête, et se rapprocha de Lanrea, d’une démarche lente et sensuelle.

« Caresse-toi... Intimement. Je veux que tu sois bien chaude et bien excitée. »

A quoi est-ce que tout ça rimait ? Il n’était pas trop difficile de le comprendre. Sous l’effet de l’excitation sexuelle, le sang filait bien plus vite dans les veines. C’était comme une sorte d’adrénaline. Dans ce genre de situations, le sang d’un sujet était bien plus délicieux. La langue de Mélinda caressa ses lèvres, comme une espèce d’affamée, révélant ses belles canines pointues. Elle laissa Lanrea se caresser, se doigter, pendant un certain temps, jusqu’à ce que cette dernière ait les joues rouges, et se mette à gémir de plaisir. Mélinda décroisa les bras, et vint caresser les joues de Lanrea.

« Là, là, arrête... Je ne voudrais pas que tu jouisses avant d’avoir profité de mon goûter... »

Mélinda avança ses jambes, les posant à gauche et à droite du corps de Lanrea, dans un renfoncement entre les accoudoirs du fauteuil et son corps chaud et humide. Le sang glissait dans ses veines, et elle se pencha vers sa nuque, faisant pointer ses canines... Et vint la mordre. Ses dents s’enfoncèrent dans sa peau, allèrent titiller la veine, formant deux petits trous, qui lui permirent d’aspirer son corps. Elle s’écrasait contre le corps de Lanrea, se mettant à boire goulûment son sang. Avoir un bon corps était une chose ; avoir un sang de bonne qualité était presque indispensable pour être l’esclave de Mélinda.

Un sourire vient éclairer Mélinda après ma phrase révélatrice. Elle était plutôt perdue dans ses pensées la vampire hermaphrodite. Mais la voilà qui a des idées plutôt malsaines en vers moi et d’ailleurs son sexe féminin a pour effet de réveiller la vampire qui était sur le point de s’endormir. Elle se redresse alors et vient me donner mes ordres.

« Installe-toi sur le fauteuil. Assieds-toi dessus. »

-Oui maitresse.

Dis-je en lui obéissant, par crainte je préfère y aller a quatre pattes comme elle me la indiquer en début de soirée, déjà qu’elle y va pas de main morte je me demande ce que serait une de ses punitions. Mais pourquoi me laisse-t-elle m’assoir sur son fauteuil ? ça cache quelque chose ça ! Masi bon je suis obligée de me plier a ses règles si je veux avoir une chance de survivre. Ou même d’être son esclave. Une fois assise elle se lève à son tour et elle me rejoint

« Caresse-toi... Intimement. Je veux que tu sois bien chaude et bien excitée. »

Je fais oui de la tête et je commence alors a me caresser le vagin, comme elle me l’ordonne j’ignore ce qu’elle a prévue mais ça n’annonce rien de bon, après un certain temps voilà que cette maitresse vient me caresser la joue en m’ordonnant d’arrêter de me toucher.

« Là, là, arrête... Je ne voudrais pas que tu jouisses avant d’avoir profité de mon goûter... »

Dit-elle en venant s’assoir elle aussi sur le fauteuil de manière à ce que nos corps s’emboite mais, elle vient passer sa tête proche de ma nuque, et elle se colle toute contre moi : Me voilà incapable de faire le moindre geste sans la touchée, et elle me mord la nuque et aspire mon propre sang. Je me met alors a hurler en fermant les yeux, car ça pique et c’est la première fois qu’un vampire ce sert de moi comme festin ! D’ailleurs mon sang, est de bonne qualité je suppose ? Vu que je ne suis pas malade, je ne bois pas et je ne fume pas. Et je ne prends pas de drogue quelconque pouvant modifier mon sang. Je me demande ce qu’elle a derrière la tête… Je cesse de crier mais j’ai les yeux écarquiller et je perds petit a petit mes forces, à ce rythme-là en moins de 5 minute elle m’aura vidée de mon sang si elle ne se montre pas raisonnable…

L’étreinte vampirique... C’était vraiment quelque chose de merveilleux, de fascinant. Sentir le sang filer entre ses lèvres, c’était... Oh, il n’y avait pas de mots, tout simplement ! Mélinda adorait ça, et prenait tout son temps. Lanrea semblait visiblement surprise, mais ses hurlements étaient... Troublants. Certes, l’expérience variait beaucoup d’un sujet à un autre, mais une morsure, en soi, n’était pas douloureuse. Bien au contraire, c’était même aphrodisiaque... Cette sensation de vertige quand le sang, lentement, s’échappe de votre corps. On se sent absorbé, relâché, comme si on s’envolait très loin, dans d’autres cieux. Oui, c’était une sensation fabuleuse. La vampire la mordait lentement, prenant son temps, afin de ne pas rapidement gaspiller tout son sang. C’était un bon sang d’humaine, de bonne facture, de bonne qualité. La vampire se cramponnait contre le corps de Lanrea. Boire du sang était pour elle une récompense toujours aussi jouissive, et son corps se chauffait rapidement, sous l’effet de ce sang qui se mélangeait au sien.

*Oh, c’est si bon ! Si bon...*

Oui, c’était bon. Fabuleux, même. Divin ! Mélinda ne manquait pas de mots et d’hyperbole pour décrire ce qu’elle ressentait. C’était le plaisir suprême du vampire, le nec des délices que ce triste monde pouvait offrir. Ses griffes s’enfonçaient légèrement dans la peau nue de cet esclave. L’excitation sexuelle de cette dernière rajoutait à ce mets une valeur ajoutée qui était tout, sauf négligeable. Les minutes s’écoulèrent ainsi, et on n’entendit bientôt plus que les bruits de succion s’échappant de la gorge affamée de la vampire. Elle continuait à boire, savourant ce repas, prenant son temps, se cramponnant sensuellement au corps de Lanrea.

« Hum... Tu es délicieuse, Lanrea... » finit par dire Mélinda en se retirant.

Il ne fallait pas non plus abuser des bonnes choses. Le sang d’un cadavre n’était pas aussi attirant que celui des vivants. Quand Mélinda retira sa tête, ses lèvres étaient décorées de sang. Elle passa sa langue dessus, les nettoyant, et vint ensuite embrasser Lanrea sur les lèvres, goûtant à sa belle bouche, se cramponnant fermement contre elle.

« Tu apprendras à aimer mes étreintes, et à me les rendre... Tu me caresseras pendant que je boirais ton sang, et tu en jouiras... lui promit Mélinda dans le creux de l’oreille. Car il ne peut en aller autrement... »

La vampire resta ensuite blottie contre le corps de l’intéressée, l’embrassant sur la nuque et la joue, léchant sa belle peau. Il lui restait encore suffisamment de sang pour ne pas tomber dans les pommes, mais, comme c’était sa première fois, il était probable que l’ESPer devait se sentir très fatiguée. Le contraire aurait été étonnant.