Rue n°13 "Kuro" [Pv: Marcus & Seizan]

Elle ment tres mal, Marcus avait pue sentir des reste bien enfouis d'une vie sur Terra, cette odeur qui ne peut pas exister dans ce monde, une odeur étrangement agréable, mais tellement unique. Elle voulait probablement dire que son monde est la Terre, en meme temps il la comprenait tout a fait, elle avait la meme opinion que lui sur Terra....Elle a due etre pourchassé par les hommes a cause de sa difference, apres tout, lui aussi la confondait avec un lycaon, donc un simple humain sans son odorat ne pouvait pas faire autrement.

Il eu un surceau quand elle lui posa la main sur l'épaule, il senti une odeur extremement agréable, une féromone, oui, ce truc bestial que dégage les femelles en chaleurs, ce truc qui régie la nature émanait naturellement d'elle....mais pas comme les humains, non c'était savoureux....Enfin c'était un animal, elle avait plus de point comun avec lui qu'avec les hommes....enfin pendant qu'il pensait a ca il était pas timide, il put donc répondre sans bégayer :

Marcus, et toi?

Comme quoi...suffit de penser a autre chose pour perdre en timidité, mais ca durea pas, il percuta qu'elle avait la main sur son épaule et devint entierement rouge, son coeur accelera, elle le touchait, elle était proche de lui...flippant pour cet ingénue

Elle retira sa main de son épaule, naturellement. Elle ne semblait pas réaliser qu'elle dégageait quelque chose, c'était un peu normal, mais le fait qu'elle était nue dessous si peu de vêtement devait rendre plus facilement humable son odeur.

Nao.

Dit-elle d'un ton plat. C'était sa manière de aprler apparament. Comme si rien ne la motivait.. sauf quand elle chantait.
Elle vit son paquet de cigarette plus loin. Elle s'en approche et se penche pour le ramasser. Puis, elle en sortie une.

Toi , tu semble venir de la bas c'est certain. Quesque tu fais ici?

Elle cherche un briquet.. Tant pis elle fumera chez elle.

Marcus lui tournait toujours le dos, il était  bien trop timide pour faire face. Il l'ecouta, elle venait de reculer, se pencher meme, se demandant  ce qu'elle faisait il se retourna a son tour. On put voir clairement son visage écarquiller, non pas que les yeux, il était totalement surpris par ce spectacle, elle était nue et sa jupe ne cachat absolument rien sous cette posture.

Alors que son instinct, remonté par la bouffé d'hormone énimale dégagée de la jeune femme, lui dictait de lui sauter dessus sauvagement, il commencait meme a sentir sa transformation, mais son esprit lui était contre, maintenant qu"'il conaissait le terme viol, il ne voulait pas abuser d'une inconue. Il réprima son instinct et sa transformation, tourant a nouveau le dos il s'eclerssi la voix aant de repondre a la question de Nao

Je...heu...par un portail...et j'me plait bien...ici...pas de traque...enfin...je...heu

Il arrivait pas a aligner 3 mots, gardant cette image dans sa tete, il ne put reprimer ce que son corps venait de faire, son pentalon déchiré laissa paraitre une bosse, et quelle bosse, il était déja en pleine forme, d'ou le fait de lui tourner le dos...

ne se doutant pas de la réaction de Marcus, Nao rangea le paquet dans une poche en soupirant. Elle aurait bien aimé en fumer une... et puis non, Kashima la prévenait souvent au sujet de  sa santé.
Le loup lui répondit d'une manière étrange, lui qui semblait avoir de l'assurance, le voila qui bègue?

Un portail...

Elle revint prêt de lui, elle lui parlait sans crainte, comme si elle le connaissait, surement parce qu'il n'était pas plus humain qu'elle, cela change forcément son attitude.

Et tu as un endroit ou dormir? La rue c'est bon pour les sales cabots...

Elle marcha et se mit  à coté de lui. Comme elle regardait son visage - toujours avec son regard sombre et désinvolte- elle ne remarqua pas la grande bosse dans le pantalon.

Les cabots, sa sauve pas les gens...

Nao lui faisait un compliment. C'était pas souvent et encore son compliment était dis de manière indirecte, elle lui disait simplement qu'il n'était pas un chien fait pour dormir dans la rue et qu'il avait de l' honneur, pas comme les cabots décadents des ruelles dégoutantes..

Pour ne plus avoir sa voix de grand timide, Marcus se mis a réflechir, a tout un tas de trucs au'il avait pue lir,e essayant de trouver  l'origine de ce démon, comme ca il ne pensarait pas a elle, et encore moins aux féromones. Il lui répondit donc machinalement, sans regarder son interlocutrice.

Non je n'ai aucun endroit pour dormir, generalement je ne dors pas, mais merci pour le compliment...j'e suis honoré

Bon il a parlé, il peut la regarder et devenir cramoisi. Elle était a seulement une dizaine de centimetre de lui, et ca empestait la féromone. Il se retenait tant qu'il le pouvait, mais c'était un animal il ne pouvait pas ignorer cela bien longtemps, donc il recomenca a embrumer son cerveau de toutes sortes de questions, l'éloignant un peut de ce visage magnifique qui le regardait avec un air si détaché et neutre qu'il pourrait faire croire qu'elle parlait seule

Nao eu un petit rictus, ce n'était pas méchant, juste pour dire qu'elle trouva quelque chsoe d'amusant dans les paroles de MArcus.

Tu ne dors pas hein...

Elle croise les bras devant elle. Ca lui donnait un air d'assurance - qu'elle avait déjà - Elle reprit une expression neutre avant de continuer.

Une chose est sure, tu ne vas pas rester habillé comme ça... Si tu n'as pas de maison, tu n'as donc pas d'argent pour te payer des vêtement.

Elle soupire. Non pas par nonchalance, juste parce qu'elle pensait avoir raison. Elle marche encore un peu, passant devant lui. Puis elle se retourne pas complément, juste de profil.

Suis moi. A moins que tu préfères rester nu dans la rue et dormir dans les poubelles.

Marcus l'écouta, sans la regarder et en pensant a autre chose, elle avait tout a fait raospn, mais elle oubliait un détail, c'est elle qui portait ses vetements, donc le plus nue des 2 n'était pas le sac a puce....Quand elle l'invita chez elle, sans l'inviter tout en l'invitant, il fut tétanisé, elle était aussi directe? En meme temps tout tournait autour du sexe maintenant, il avait bouffé tellement de ses féromones qu'il ne pourrait plus se passer de ça pendant au moins 24 heures

Pour éviter de passer pour un con, il suivit simplement la jeune femme. Et comme il était chargé comme un teareau il ne pouvait rien faire a part la matter, ouvertement, si elle se retournait elle s'en rendrait vite compte. Cependant il ne pouvait rester indiferent face a sa démarche et a ses formes, plusieurs fois, il se surpris a essayer de la saisir par les hanches.....

Une gifle mentale le calma un poil, il continua a la suivre, sans trop chercher a comprendre où, quand et comment.