Alleyne ouvrit brusquement la porte de la réserve à provision:
Plus rien; il fallait donc partir à la chasse.
Elle prit son arc, son fourreau et partit à la chasse.
Elle s'engouffra dans la forêt, et au bout de plusieurs heures, Alleyne entendit quelqu'un gémir.
Ce n'était pas un animal, Alleyne reconnaissait les sons qu'elle entendait.
Elle cherchait alors d'ou venait ce son, et au détour d'une clairière, ce qu'elle vit la rendit à lafois heureuse et malheureuse, enjouée et frustrée...
Elle ne savait pas quoi faire,ni quoi dire devant le spectacle auquel elle assistait.
Une Succube était allongée sur le bas coté.
Sa peau transpirait, et elle lachaît des cris étouffés:
Elle caressait d'une main sa poitrine relativement opulente, et enfonçeait profondément l'autre entre ses jambes. Au fur et à mesure que sa main explorait son intimité, on pouvait voir ses doigts humides luirs de cyprine.
La succube jouait avec sa queue qu'elle enfonceait dans son anus qui se dilatait sous la pression.
Mais soudain, elle aretta son jeu pour brusquement ouvrir les yeux et fixer Alleyne.
La succube se passa la langue sur les lêvres et semblait apprecier sa proie.