- Ora j'embarque cette larve.
Une femme apparut, de toute évidence elle connaissait la personne qui avait ôté sa folie, elle était hautaine envers lui. Il ne put réfléchir plus car il reçut un coup qui provoqua une douleur atroce le faisant gémir de douleur et tousser. Allait-on le laisser mourir calmement ? Il ne comprit pas ce qui se passa par la suite, la douleur avait disparut et son corps semblait reprendre des force. Il remarqua que la femme est nue devant lui, il aurait voulut se retourner mais son corps refusa de bouger comme s'il était engourdit. Il vit aussi qu'il n'avait plus de vêtement également, la suite lui parut évident, mais sa bouche resta close, il était incapable de fuir, ni tenter de raisonner cette folle. Car pour Mora Pénélope était folle, aucun humain un minimum éduqué se serait mit à nue et aurait montrer une telle débauche. Son corps frissonna de peur.
- Ce que je n'ai pas dit à Ora c'est que Chimaera souhaite aussi te voir. La mauvaise nouvelle c'est que je vais te prendre tes souvenir, la bonne c'est que tu ne te rappellera même pas avoir eut cette vie d'humain écervelé.
Au nom de Chimaera le bucheron pensa tout de suite à une chimère, créature infernale composer de plusieurs animaux. Mais il ne put penser d'avantage car la femme l'embrassa. Cela lui fit un effet bizarre, comme-ci son âme allait quitter son corps. Ce genre de sensation était décrit comme le pouvoir des succubes, aussi l'homme pensa que cette femme était une démone. Son énergie le quittait de nouveau. à quoi bon lui avoir sauver le vie si c'était pour la reprendre derrière. Sa vision se troubla et il perdit tout perception sensorielles pendant une poignée de seconde. Mora avait l'impression d'avoir perdu quelque chose d'assez important mais ne savait pas quoi, de plus cette femme, qui l'embrassait, était charmante.
Lorsqu'il put de nouveau bouger il était dans une sorte de tribunal où il y avait de l'agitation jusqu'à ce que l'homme qui l'avait sauvé de la folie prit la parole.
- Nous somme ici pour juger cet homme, que l'accusation à profiter avant le jugement, ce qui démontre un manquement aux règles établit par la haute instance. Sa voix était posé et montrait une sérénité inspirant le respect.
Le femme qui incarnait le partie opposé fit une remarque peu agréable ce qui agaça le jeune homme qui tenait le rôle de juge qui réprimanda l'action de la dénommée Pénélope. Mora pendant ce temps chercha dans sa tête ce qui aurait put le conduire à un jugement. Il y avait beaucoup de trous dans sa mémoire, il savait son nom, qu'il avait été paysan, le drame qui l'avait poussé dans la folie et ce qu'il s'était passé quelques instant auparavant; puis...plus rien, le vide.
|b]-Je souhaiterais te demander une faveur. Deviens un de nos serviteurs. Si tu acceptes tu devras passer des épreuves et subir une formation rigoureuse. Si tu refuses Pénélope se chargera de te faire totalement oublier tes souvenirs. [/b]
Il put enfin poser ses questions.
-Vous dites que je suis accusé, pourrais-je savoir de quoi ? Et puis ,cher juge, je n'ai jamais été un domestique, je suis un humble paysan et un homme libre jusqu'à preuve du contraire. Tout cela me semble une vaste mascarade, même si je remercie monsieur Ora et madame Pénélope pour m'avoir sauver la vie. Effacer totalement les souvenirs n'aurait aucun intérêt si vous souhaitez un domestique.
De toute évidence la seconde option était plus probable, ce qu'il ne savait pas c'est que sans souvenir il aurait été un parfait instrument car les divinités pourraient le façonner à souhait. Mora avait comprit le sens serviteur comme domestique, non comme adorateur. Il comptait bien avoir une chance de se défendre.