Elle eut droit à ses impressions, à chaud.
« Je les trouve..magnifiques.. Comme toi. »
Le contraire l’aurait vexé, de toute façon, mais c’était toujours agréable à entendre... Même de la part d’un petit humain. Ce dernier se concentra alors, et consentit enfin (enfin !) à retirer la chemise de Mélinda. Il fallait le dire, ce vêtement commençait à lui peser. La chemise glissa sur le sol, et l’homme alla promener ses mains dans le dos de la vampire. Se laissant délicatement faire, elle se demandait si ce dernier réalisait la chance qu’elle était en train de lui donner. Au long de sa courte vie de vampire, bien des gens se seraient damnés pour être dans cette position avec elle. Il ôta de même le soutien-gorge, et contempla cette belle poitrine avec ses yeux ébahis.
Finalement, il put les caresser, ces seins nus, les toucher, les palper, les lécher, les embrasser. Il faisait cela avec la fougue et la passion d’un jeune amoureux, et Mélinda était extrêmement sensible à ça. Tout comme pour son postérieur, sa poitrine était une zone érogène importante, et sentir les dents de cet homme, ses coups de langue, ses mains qui emprisonnaient ses deux monceaux de chairs, c’était tout simplement un pur régal. Mélinda en soupirait longuement, d’un plaisir honnête sincère, d’un simple mais non moins intense plaisir sexuel.
« Mh, tes seins.. tu es délicieuse. »
Ne répondant pas, elle se contenta de sourire, écartant lentement ses jambes, sentant la pointe de l’homme heurter sa petite jupe. L’homme bandait, et c’était un délice. Les mains de Mélinda caressaient sa nuque et ses longs cheveux, et elle le laisse continuer à jouer avec sa poitrine. Son sang s’emballait également, car la vampire était de plus en plus excitée. Un léger silence finit ainsi par s’instaurer, silence qui n’était interrompu que par les soupirs et les petits gémissements de Mélinda, et les bruits de succion et de claquements que la bouche de l’homme produisait en rencontrant les seins.
« Haaa... Hum, mhm, oui... Vas-y, oui, oui, profite... »
Qu’il profite, oui, car ce serait ensuite au tour de Mélinda de s’amuser. Elle caressait ses joues, près de ses oreilles, jouant avec ses mèches de cheveux, et utilisa son bassin pour se retourner. Anderson, bien qu’il soit bien bâti, n’était qu’un jouet entre les cuisses solides de la vampire, et fut donc emporté par elle, se retrouvant sous son corps. Mélinda se redressa, se mettant à califourchon, un large sourire amusé sur ses lèvres. Ses mains se promenèrent sur son torse musclé, caressant ses pectoraux, serrant sa peau. Une vraie masse... Son sang devait être délicieux, et Mélinda n’y tenait plus. Elle avait déjà attendu bien trop longtemps comme ça.
« Toi aussi... Toi aussi, tu n’es pas mauvais lâcha-t-elle. Je suis sûre que tu dois avoir bon goût. »
Elle se pencha à nouveau, et l’embrassa sur les lèvres pendant quelques secondes, avant de décaler sa bouche sur sa nuque. Dans sa position, ses fesses ressortaient à l’arrière, et elle lécha sa peau, avant d’y approcher ses crocs. Elle allait enfin passer aux choses sérieuses, et il était temps. Lentement, ses dents touchèrent la peau d’Anderson, et s’enfoncèrent dans sa peau, tandis que l’une de ses mains était agrippée sur sa nuque. Est-ce qu’il allait sentir la morsure ? Parfois, ça arrivait... Parfois, non. Dans tous les cas, il était maintenant trop tard.
*A table !*