Les aventures de Ludivine
Chapitre III
« Il n'en pouvait pas être autrement. Tu es une sacrée chienne en chaleur, Ludivine, mais tu vas prendre ton mal en patience, j'ai d'autre projet pour toi. Ceci n'était que les conséquences pour m'avoir échauffée avec ton précédant strip-tease, ta véritable punition t'attends. »Que..quoi ?! Oh non... malgré tout mes efforts, la fellation que j'avais prodigué avec le plus grand soin à la queue de mon maitre n'avait pas suffit à calmer ses envies de punitions. Et mon intimité que je brulais d'envie de caresser, de pénétrer, de soulager, ça me démangeait, énormément, et je devais faire des efforts constant pour me retenir de céder à mes pulsions, de perdre tout contrôle, de me masturber comme une folle en le suppliant de ma baiser... Bon sang, j'étais tellement excitée ! Je mouillais tellement, ma culotte était complètement trempée, des gouttes de cyprine perlaient le long de mes cuisses, on aurait dit un robinet mal fermé... Mais quelles que fussent mes envies, je ne pouvais pas me permettre de me relâcher, pas tant que mon maitre serait là, et qu'il n'en aurait pas encore fini avec moi. J'espérais, j'espérais ardemment qu'il pourrait éventuellement me laisser me soulager, que ma tourmente puisse enfin cesser ! Ou mieux, qu'il me prenne, comme une chienne à même le sol je m'en fichais. Ho oui ! Ce serait si bon de sentir sa grosse queue en moi, me baiser fougueusement ! Mon Dieu mais à quoi pouvais-je bien penser... Non, non, ce n'était même pas envisageable, il a malheureusement clairement souligné que ce serait pour moi une punition. Allait-il me frustrer davantage ? J'espérais bien que non, mais c'était bien possible...
« AH ! » - m'exclamais-je, lorsqu'il agrippa sèchement mes cheveux pour me forcer à me relever. Il me fixa alors, droit dans les yeux, de son regard froid et sévère, tandis que le mien était soumis et implorant, comme celui d'une chienne attendant le châtiment de son maitre. Ce que j'étais en cet instant, indéniablement...
« Tiens, enfile ça. Je t'interdis de les enlever, quelle que soit la raison, si je ne t'en ai pas expressément donné l'ordre. Désobéis, et tu le regretteras amèrement, je peux te l'assurer. »Craintive, je déglutis, non sans difficulté, et acquiesça silencieusement de la tête, montrant que j'avais bien saisi le message. Il me tendit alors
quelque chose, une espèce de masque en mousse couvrant les yeux. Je les pris, et les observa quelques instants, intriguée, à me demander ce qu'il pouvait bien me réserver... mais surtout, qu'est ce qui nécessiterait que je porte ça ? Cela ne m'inspirait pas confiance, mais je n'allais de toute façon pas tarder à découvrir ce qu'il me préparait. Quoiqu'il en soit, en bonne soumise que j'étais, mais surtout pour ne pas le contrarié plus qu'il ne l'était déjà, j'obéis sans rechigner, et les enfilais. Tout était absolument noir, et je ne voyais rien de rien, pas même le plus petit rayon lumineux...
« Bien, maintenant, tu vas venir avec moi. »Il me souleva alors subitement, et avec une facilité déconcertante, me posant sur son épaule, m'arrachant un nouveau cri, de surprise cette fois. Il m'emmena ensuite, marchant en direction de... de je ne sais pas. J'avais beau vivre ici, je n'avais aucune idée de l'endroit où nous allions, avec mes yeux bandés. Mon maitre me portait sans aucun problème, il n'en avait pas juste la carrure, il était réellement fort, il aurait pu me soulever et me propulser d'une seule main s'il l'avait voulu... ho mon Dieux, si seulement il pouvait me prendre, m'empaler avec force sur sa belle queue, me défoncer à m'en rendre folle de plaisir ! Han, ça aurait été si bon...
*CLIC* *CLAC*Le bruit d'une serrure qui se déverrouille, suivi du léger grincement d'une porte.
« Je vous ai apporté une petite surprise, messieurs. »Hein ?! Quoi ?! Où étais-je ?! Qu'est ce qu'il se passe ?! Qu...
*BOUM*« OUIIILLE !! »Je venais d'être lourdement jetée au sol, comme un vulgaire sac de pomme de terre. J'étais tombée sur mon épaule, et PUTAIN, ça faisait mal ! Je serrais les dents, mais ne répliquais rien, acceptant mon sort...
* Ne lui retirez son bandeau sous aucun prétexte. Et je vous interdis formellement de jouer avec sa chatte. Autrement... elle est à vous, faites-en ce que vous voulez. Mais ne me l'abimez pas trop. *Mais bon sang, quelqu'un allait me dire ce qu'il se passait ?? Je me redressais, assez difficilement, me retrouvant à genoux et assise sur mes talons. Je ne voyais rien, absolument rien, mais je parvenais tout de même à entendre quelques rires goguenards, ainsi que des
« Oui patron ! ». Etais-je dans la salle de repos de ses gardes ? C'était bien possible. Donc... donc il venait de me jeter en pâture à ses hommes ??
« Viens par là ma jolie, on va bien s'amuser ! »On me souleva alors, encore une fois. Mon maitre était-il toujours là ? M'observait-il ? Je n'en avais absolument aucune idée... Bon sang ! Je n'osais pas me débattre, ou même répliquer quoi que ce soit. Et puis cet ordre qu'il avait donné, pourquoi devrait-on laisser mon intimité tranquille !? Non, non, non... Bon sang, pourquoi !?!! J'aurais été prête à subir le plus douloureux des châtiments, le plus humiliant des traitements, pour ça, je ne demandais pas la Lune, juste ça, que l'on me soulage enfin de toute cette excitation...
« Haa putain qu'est-ce qu'elle est bonne ! »« Super bonne ! »« Dommage que l'boss ne veut pas qu'on la baise, j'aurais pas dit non ! »« Boah, on peut toujours lui défoncer son p'tit cul. »« Bah ouais carrément ! »« C'est clair ! »« R'garde moi ça, elle mouille comme une chienne ! »« J'suis sûr qu'elle ferait une bonne suceuse, cette salope ! »« Rhaaa putain ça donne envie... »« J'lui giclerais bien à la gueule, moi. »« Bon alors on fait quoi là ? »« On a qu'a s'la faire comme la dernière fois là, avec Julie ! »« Ha ouais c'est pas con ça. »« Bonne idée, haha ! »Ainsi donc c'était ça ma punition ? Me laisser me faire baiser par tous ces hommes en manque ? ...
Combien étaient-ils ? Je ne sais pas vraiment, je n'en avais même aucune idée... Quatre ? Cinq ? Six ? Dix ? Qui sait. Si encore ils avaient pu avoir la possibilité de me faire jouir, cela aurait pu être fantastique, mais là... ho bon sang, je sentais que ça n'allait pas être une partie de plaisir, et que j'allais probablement prendre cher...
On arracha brutalement ma culotte, et je fus soudainement reposée, non pas au sol cette fois mais sur une chaise, et à l'envers, ma poitrine nue se pressant contre le dossier, mes jambes de part et d'autre de celui-ci. C'était probablement une chaise de bureau, ou quelque chose de ce genre, car la chaise semblait avoir des roulettes, et pouvoir tourner sur elle même. J'entendis alors des bruits de ceintures, de braguettes, de vêtements ôtés à la hâte, et je sentis tout autour de moi leur chaleur corporelle, leur odeurs viriles...
« Pourquoi qu'elle dit rien depuis tout à l'heure ? »« Elle est p't'être muette ? »« Elle doit avoir peur, ahah ! »« Hahahaha ! »« T'as pas à avoir peur ma jolie » - une de leurs mains vint caresser ma joue, me faisant frissonner.
« Ouaaais, on va bien s'occuper de toi, tu verras. »Ho non, je n'étais pas muette, loin de là. Et je n'avais pas peur non plus. Enfin, si, un petit peu, enfin pas exactement... En réalité, je n'osais rien dire, de peur que mon maitre ne soit toujours dans les parages, et que mes paroles ne finissent par se retourner contre moi, j'avais peur de dire une bêtise... et puis, je n'étais pas dupe. Je savais bien que, dans la mesure où l'entrée de mon jardin intime leur était interdit, il se rabattrait sur autre chose, que mon cul semblait leur donner très envie, et qu'ils n'auraient par conséquent aucune hésitation à me défoncer, comme la dernière des putes. Haaan... Bon sang, j'étais tellement excitée que cette idée me plaisait et m'excitait davantage ! Mais je savais que ce serait brutal... Parviendrais-je à supporter leurs assauts ?
« Bon aller, c'est parti pour la tournante, haha ! »On se mit alors à faire tourner la chaise sur elle-même, et moi avec... et c'est avec surprise que je reçu de nombreuses bifles sur ma joue, en passant ! A croire qu'ils étaient tous en cercle autour de moi, que leur queues étaient dressées sur mon passage, et n'attendaient que moi... Je grimaçais un peu, mais ne protestais pas. Haaa, si seulement l'un d'eux pouvait oser venir me baiser ! Je savais bien que d'y penser ne faisait que raviver mon excitation et ma frustration, mais c'était plus fort que moi...
Peu à peu stoppée dans mon élan, je finis par m'arrêter de tourner.
« Ow yeah, à moi l'premier tour ! »« Suce-moi ça, ma belle, tu m'en diras des nouvelles ! »Agrippant l'arrière de ma tête d'une main, il enfonça alors vivement sa queue entre mes lèvres, ne me laissant pas d'autre choix que d'accueillir sa grosse queue, bien dure, dans ma bouche. Oh, il n'avait pas été jusqu'à me l'enfoncer profondément, même s'il aurait sans problème pu buter contre ma gorge, mais j'eu néanmoins un léger mouvement de recul, surprise. Cambrée contre le dossier de ma chaise, un second homme s'amusait à jouer avec mon anus, me faisant agréablement frémir, y glissant son large pouce imbibé de salive, le préparant à l'arrivée d'un membre autrement plus gros... Le laissant faire, je me concentrais sur la queue que mes lèvres entouraient, de leur chaleureux étaux, et, guidée par la main de cet homme derrière ma tête, je commençais à la lui sucer, lentement. Mes lèvres glissaient d'elles-même sur sa savoureuse épée de chair, remontant jusqu'au gland, que je conservais en bouche, puis descendant, lentement, avalant chaque centimètre entre mes lèvres gourmandes, poussant même quelques gémissements étouffés, aguicheurs. Malgré les conditions, je prenais plaisir à lui prodiguer cette fellation, peut-être parce que j'étais excitée, ou peut-être parce que, au fond, j'étais une sacrée perverse... c'était d'ailleurs bien la cause de ma tourmente, après tout, mon maitre m'a puni parce que ma perversité avait été un peu trop expressive à son gout...
Abrégeant ma réflexion, et sans prévenir, le second homme agrippa subitement mes hanches, et d'un geste brusque et brutale, il fit pénétrer son membre épais entre mes fesses, dans un râle de plaisir. Sa pénétration était si vive, et si profonde, qu'il entra complétement en moi, forçant le passage, dilatant douloureusement mon délicat anneau, écartant délicieusement mes chairs. Je sentais sa grosse queue me remplir, envahir complètement mon cul trop étroit, m'obligeant à me crisper sur la chaise, et à me cambrer, tant par le plaisir de me faire ainsi pénétrée que par l'intense douleur que sa présence en moi me causait. Je voulus crier, hurler, mais seuls des gémissements étouffés parvenaient à s'exprimer à travers ma bouche pleine. Sodomisée, j'avais détachée mon attention de la queue que je suçais, mais il ne tarda pas à me le rappeler, agrippant fermement ma tête pour lui imposer de vifs mouvements, m'empalant sur sa verge, la faisant coulisser dans la chaleur humide de ma bouche. J'étais incapable de serrer les dents, la douleur était difficilement supportable, et le fut encore davantage lorsqu'il se mit à bouger en moi, effectuant de léger va-et-vient qui dilatèrent de plus belle mes fesses déjà bien douloureuses. Je criais, des cris certes inaudible, mais je criais, d'autant plus fort à mesure que, de plus en plus à l'aise malgré l'étroitesse de mon cul, il se fit de plus en plus vigoureux dans ses coups de hanches, me pénétrant de plus en plus fort.
Je reportais mon attention sur l'autre queue, la suçant, avec beaucoup plus de fougue, essayant de ne plus penser à la douleur, à cette verge qui me ravageait l'anus, j'essayais, mais la douleur était trop vive, trop intense ! Mais le pire, c'était que j'adorais ça... au delà de la douleur, j'adorais sentir sa queue entre mes fesses, me faire prendre comme ça, c'était si bon ! Je me crispais de plus belle contre le dossier de la chaise, ses hanches claquaient contre mes fesses rebondies, à mesure qu'il me défonçait, m'arrachant des gémissements, tandis qu'à force de soin, des caresses de ma langue, de la douce pression de mes lèvres, je finis par sentir sa queue tressaillir dans ma bouche, avant de recevoir de puissantes giclées en moi, de son liquide doux et chaud que j'avalais avec une gourmandise perverse, suçant encore un peu ce membre qui venait d'y jouir. Grognant de plaisir, il resta encore un peu également, profitant du confort qu'offrait ma bouche, chaude et humide, avant de finir par se retirer. Libérée, je pus enfin crier et gémir ma douleur mais surtout tout le plaisir que cette verge me donnait, cambrée du mieux que je pouvais pour la sentir me pénétrer, me rendre littéralement folle, je l'encourageais même.
« HAAN ! Encore, encore ! Han oui, encule moi encore ! C'est si bon ! J'adooore ! » - furent ainsi, outre mes gémissements, les premières paroles que je prononçai, d'une élégance particulière mais qui montraient bien que l'excitation et le plaisir m'avait totalement fait perdre pied...
Fougueux, il parvint à résister plus longtemps que l'autre homme, et de longues minutes s'écoulèrent, durant lesquelles il poursuivait ses délicieuses pénétrations, gratifiant par moments mes fesses de vives fessées, qui me faisait frissonner davantage. Enfin, l'endurance de l'homme montra ses limites, et dans un râle de plaisir, il déversa le fruit de son orgasme en moi, m'arrachant un ultime gémissement. Il se retira, laissant mon cul ravagé et mon orifice béant, mais Dieu que j'aimais cette sensation... et je n'attendais plus qu'une chose, c'était que le suivant prenne le relais ! Qu'il me prenne encore, qu'il continue à me défoncer ! Très excitée, je mouillais comme une folle, une vraie fontaine, mais cette sodomie avait eu le mérite de calmer mes ardeurs et mes envies quant à mon intimité. Ceci dit c'était un mal pour un bien, car c'était maintenant mes petites fesses qui réclamaient la visite musclée d'une belle queue. Quelle insatiable perverse je faisais...
Une main se posa sur mon épaule, probablement pour me faire tourner à nouveau, et déterminer qui aurait la chance de de se glisser dans mon agréable fondement, ou entre mes lèvres pulpeuse. J'étais devenue leur petite chose, leur petite chose qui tourne, bonne à sucer et à se faire prendre le cul, mais c'était si bon, si excitant, qu'au fond je m'en fichais bien, tant les sensations étaient plaisantes, enivrantes, me rendaient folle.
C'est alors qu'une voix forte et autoritaire se fit entendre. Une simple injonction, qui arrêta net l'homme dans son élan, retirant immédiatement sa main, et qui instaura un silence absolu dans la pièce.
« Stop. »