Cyscek ne tarda plus à jouir, et s’abandonna en elle. Elle le sentit venir, sentant le sexe de l’homme se tendre, ainsi qu’un liquide chaud jaillir en elle, la faisant couiner. La Princesse serrait son seul poing valide, continuant à se toucher de plus en plus rapidement avec l’autre, allant jusqu’à glisser en elle un second doigt. Elle avait ressenti_ l’irrépressible besoin de se toucher, de se laisser aller, de se détendre. C’était plus fort qu’elle. Cette sodomie était superbe. Tout son cul la faisait souffrir, mais cette souffrance était maintenant contrebalancée par une vague de plaisir qui remontait dans son corps. C’était délicieux, tout simplement. Cyscek lâcha plusieurs giclées, et ce qui suivit ensuite ne fut que de simples prolongations. Son sexe était bien moins gros, maintenant qu’il avait eu une érection. L’esclavagiste semblait néanmoins très heureux de sa position, puisqu’il continua, pour le plus grand plaisir de la Princesse, sa sodomie.
Alice ne connut aucun orgasme. Il était après tout difficile de se masturber convenablement quand on avait une queue dans le cul, et ce même quand on était une Princesse. Elle se contenta donc surtout de subir les assauts de Cyscek, jusqu’à ce que l’homme finisse par se retirer. Vu depuis combien de temps il était en train de malmener l’arrière de la Princesse, le brave devait être épuisé. Avec ses fesses ouvertes, Alice resta ainsi, prostrée, gémissant, sa mouille s’échappant de ses doigts pour couler sur ses jambes et venir tacheter le sol. Elle se sentait brisée en deux. Les souffles d’air sur ses fesses écartées et massacrées étaient délicieux, et elle serra les lèvres, reprenant peu à peu conscience. La Princesse soufflait lentement, sa respiration lourde. De la sueur coulait de ses joues rouges, et tout son corps était parcouru de tremblements. Elle sentit alors Cyscek approcher sa main de son intimité, et lui lâcher, sur un ton suave, tentant :
«
Vous voulez que je continue, maîtresse ? »
Il y eut une brève hésitation. La Maîtresse en question se mordilla les lèvres en réfléchissant, et écarta la main de l’homme, se relevant lentement. Elle s’appuya sur le mur. Ses jambes étaient faibles, mais supportèrent son poids. Se relevant lentement, Alice fermait les yeux en gémissant. Ses fesses lui donnaient l’impression d’être en feu, et elle n’osait pas les toucher. Elle se retourna vers Cyscek. Ce dernier était effectivement éreinté, mais elle lisait toujours dans ses yeux un désir important.
*
Diable ! Il ne se fatigue donc jamais ?*
La Princesse lui fit un léger sourire, et secoua lentement la tête.
«
Tu en a assez fait comme ça, Cyscek... »
La Princesse le poussa, ayant naturellement d’autres idées perverses derrière la tête. Elle sentait le sperme de l’homme s’écouler de ses fesses. Il s’était lâché, et leurs ébats avaient du être tout, sauf discrets. Elle le poussa douc, et l’attacha à nouveau. Ce faisant, elle sortit une délicate
robe de chambre en satin, l’enfila, et ouvrit la porte, sans rien dire, mais avec un sourire espiègle sur les lèvres. Le simple fait de marcher lui faisait mal aux fesses, mais c’était une sensation qu’elle avait déjà éprouvé. Même s’il aurait été exagéré de dire qu’elle s’y était habituée, elle l’avait suffisamment enduré pour pouvoir la ressentir.
Dans le couloir, il y avait l’un des gardes personnels d’Alice,
Joshua. Droit et fier, l’homme était dans son armure, visière relevée. Il avait toujours aimé la Princesse plus que comme un simple garde devait l’éprouver, et cette dernière ne lui en avait jamais tenu rigueur. Il savait où était sa place, et ça lui suffisait. Elle fit signe à Joshua de venir, et ce dernier entra dans la pièce.
«
Joshua, Cyscek. Cyscek, Joshua. Ce cher Cyscek est… Quelqu’un qui a l’air de beaucoup aimer les sodomies. -
Ah... » s’exclama Joshua, nullement surpris.
Sous ses vêtements, son membre en érection témoignait du fait qu’il était au courant de ce qui s’était passé dans cette pièce, et que ça ne l’avait nullement laissé indifférent. Alice posa une main sur l’épaule de Joshua, et lâcha, avec un sourire espiègle sur les lèvres :
«
Je me disais qu’un homme tel que vous devait m’aider à lui montrer toutes les facettes de la sodomie. -
Est-ce un ordre, Votre Majesté ? » demanda Joshua.
Le sourire malicieux d’Alice apparut, avec une lueur de perversité et de malice dans ses yeux. Elle regarda le brave Cyscek, observant son membre tendu. Elle allait continuer à le former, en lui faisant découvrir en direct ce qu’on ressentait, quand on faisait une sodomie. C’était la manière la plus efficace de comprendre ce que ça faisait.
«
Un ordre... Et un caprice, mon beau Joshua. »
Elle l’embrassa sur le coin des lèvres, et Joshua en frémit. La Princesse était gourmande, et Cyscek allait comprendre qu’il était tombé sur une femme d’exception. Elle alla lentement fermer la porte, tandis que le garde allait se poster derrière l’homme, et commençait à ôter ses vêtements.