Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Il fait chaud par ici...[Lili Ivanes]

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Rafiki

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Il fait chaud par ici...[Lili Ivanes]

mardi 20 mars 2012, 23:59:25

- La vie de génie, c’est le pied…

Je m’étais installé près d’une cascade, un cadre idéale pour profiter de la vie et de la tranquillité. J’avais passé la matinée à me baigner sous ma forme de mandrill et désormais, j’attendais patiemment de sécher mon poil au soleil. Mon pelage grisâtre semblait perlée de petits diamants, avec le reflet des rayons du soleil. Un vrai diamant ! Ben bien sûr que j’en suis un ! Hé ! Faut pas rigoler. Je suis un génie quoi !

Il commence à faire chaud au soleil, et je ne voudrais pas finir comme un ouistiti cuit. Je pars donc m’installer sous un arbre, m’offrant fraîcheur et abri. Je m’y allonge, les bras derrière la tête pour me procurer un minimum de moelleux pour ma caboche. Je ferme les yeux pour mieux apprécier cette nature qui m’entoure. Mais à cela, il me manque toujours quelque chose : une femme. Voire même plusieurs peut-être. En manque de femmes, c’est pas bon signe. D’ailleurs, rien que d’y penser, j’ai mon soldat au garde à vue. Pardon, mon membre de mandrill hein. Quoique, je suis plutôt bien armé pour un singe de cte taille. Je me l’effleure et me caresse juste un peu…Bouh que c’est triste.

Il est presque midi. Il suffit de voir le soleil brûlant, bien haut dans le ciel. Et même sous mon arbre, je commence à crever littéralement de chaud. Mon pelage ne retient plus les gouttelettes d’eau ni la fraîcheur de celles-ci. Horrible. Malgré cela, je reste là. L’eau n’est pas loin. Sauf que là, j’ai pas envie de me prendre un coup de soleil sur la trombine ou sur les fesses. Allongé comme un vulgaire sac à papates, j’alète fortement. Ma langue sort d’entres mes canines. Je ferais presque penser à un chien…J’étais pathétique pour le coup.
Je suis très balèze !

" Once you go black, you never go back ! "

Lili Ivanes

Humain(e)

Re : Il fait chaud par ici...[Lili Ivanes]

Réponse 1 dimanche 25 mars 2012, 16:42:55

Marchant sur les terres sauvages, effectuant ma petite épopée en quête d'en apprendre plus, que ce soit sur les cultures et coutumes de Terra, comme sur les pouvoirs que je pourrais apprendre au fil de mon parcours.
Voilà des heures que je marche en pleins cagnard dans ce désert de cailloux et de sables, protégé par ma toge à capuche avec comme habituellement un string et un soutient gorge en dessous pour ne pas avoir trop chaud.
Mais même en étant habiller aussi légèrement, il fait horriblement chaud.
Quand à l'horizon, je distingue un reflet vert, un oasis peut être, après à savoir si c'est un mirage ou non, je ne sais pas.
Mais au point ou j'en suis, je décide de me diriger vers celui ci pour en avoir le cœur net, après tout si ce n'est pas un mirage je pourrais toujours me rafraichir, puisque qui dit oasis dit eau.

Ce n'est qu'au bout d'une bonne demi heure de marche, que j'y arrive enfin et c'est loin d'être un mirage, de la verdure et de grand palmiers entoure ce lac, quelques oiseaux et animaux profite de ce coin d'eau si rare dans ces terres hostiles.
Sans perdre un instant, je pose mon sac à l'ombre d'un palmier, enlève ma toge et plonge dans l'eau la tête la première.
L'eau est tiède, mais sa rafraichie quand même, je nage et profite de cette opportunité pendant de longue minutes, j'en profite pour me laver de tout le sable et poussière qui c'est accumuler sur mon corps.

Quand non loin de la, je remarque à l'ombre d'un arbre un singe allongé, il ne bouge pas ce qui me semble louche, n'importe qu'elle animal fuirais ou serais craintif en présence d'un humain, mais lui ne bouge pas.
Je décide de sortir du lac, d'aller chercher mes affaires et d'aller voir s'il n'est pas mal en point.
Arrivant à une dizaine de mètres de lui, je me tien prête à tout éventualité, après tout je suis sur Terra, je m'approche doucement.
Il a la langue sortie, on dirais qu'il à du mal à respirer, arrivé à cinq mètres de lui, je pose mon sac et ma toge à terre avant de m'avancer les bras tendu.

Petit... Petit... Petit singe... Sa ne vas pas...

Petit est un bien grand mot, il fait les trois quart de ma taille, mais ce n'est pas le problème, il tourne la tête vers moi, la langue pendante.
Arrivé à lui, je me met à genoux et viens mètre une main sur son front et une autre sur son torse velue.

Oh mon pauvre, tu à l'air d'avoir attraper un coup de chaud...

Je regarde tout son corps, il n'a pas l'air d'être blessé.

Attends là mon beau, je reviens...

Je me relève, vais ramasser ma toge et file jusqu'au lac avant de l'imbiber, puis je retourne au près du singe avant de le recouvrir de ma toge trempé.

Là, tu ira mieux dans quelques minutes...

Je lui frictionne le torse, les bras, les jambes et même son entre jambe pour que l'eau ruisselle sous la couverture, ne pensant pas un instant que sa pourrais l'exciter.
Je ramène mon sac à coté, prend la gourde qui est à l'intérieur et lui donne un peut d'eau à boire.

Bois doucement, là... Doucement!

Rafiki

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Re : Il fait chaud par ici...[Lili Ivanes]

Réponse 2 samedi 31 mars 2012, 00:36:26

Mon dieu ! Que j’ai chaud. J’en meurs presque. Je suis incapable de bouger. Ma vue est trouble. Enfin, je ne peux que voir ce qui est près de moi. Je ne peux même pas fuir cette masse couleur peau qui s’avance vers moi. Je la regarde s’approcher, encore et encore. Et…Bon dieu ! Une femme ! Et j’ai l’air bien fin moi, sous ma forme de macaque, la langue pendante comme un cleb’s…Mais quel spectacle je lui offrais ! Pathétique. Enfin, ma situation avait l’air d’inquiéter la demoiselle. Je fermais doucement les yeux alors qu’elle porta une de ses mains sur mon front de mammifère et une autre sur mon torse velu. Je rouvre lentement mes yeux, ma vue toujours trouble, et je la vois s’éloigner juste après ça. Nooooooooon…Pour une fois qu’il y avait une femme qui s’occupait de moi. Fichtre.

Quelle poisse. J’expire longuement, la langue toujours pendante et un peu assoiffé encore. Journée pourrie. Oh…Peut-être que non finalement. Je la vois revenir vers moi, cette masse couleur chaire, et soudainement, je me retrouve dans le noir. C’est quoi ce bordel ? Et je sens des mains me frictionner de partout ! Oh mais cela fait tellement du bien. On dirait bien un tissu trempé. En tout cas, l’eau fraîche me fait un bien fou, et j’ai l’impression de revivre. Ouh nom de dieu ! Elle passe ses mains même sur ma verge de mandrill ! Ses caresses, qui n’en sont pas unes à l’origine, me font un effet foudroyant. Hop ! Popole au garde-à-vous ! You win ! J’ai pas eu d’attention à cet endroit-là depuis un bail, alors juste une petite attention et yoplaboum ! C’est la fiesta !

Enfin le tissu disparaît. La jeune demoiselle était toujours là et m’approcha une gourde près de la bouche. De l’eau ! Je n’en ai jamais autant apprécié le goût que maintenant ! Y’a pas à dire, c’est le paradis de se faire dorloter par une femelle…Je remballe ma langue pendante, enfin rafraîchi entièrement. Et toujours mon membre tendu. Mes yeux fixent la demoiselle. Ma sauveuse. Et mon regard s’intensifia lorsque, enfin sorti de cette brume, je me rendais compte que j’avais une véritable beauté à côté de moi. Mes yeux glissent le long de son corps et, sur ma vie, je n’avais vu pareille femme. En petite tenue qui plus est. Un cache-gouttes (ou plutôt pomelos dans son cas) et un string ! Le tout trempé, donnant de la transparence à ce corps de déesse. Bon dieu, j’avais envie de crier « Retournes-toi que j’matte tes fesse ! »…Tout cela pour vous dire que, et bien que mon entrejambe ne dégonfla pas d’un poil. Hé ouais…
Je suis très balèze !

" Once you go black, you never go back ! "

Lili Ivanes

Humain(e)

Re : Il fait chaud par ici...[Lili Ivanes]

Réponse 3 dimanche 15 avril 2012, 16:13:29

Le singe semble écouter ce que je lui dit et bois doucement la moitié de ma gourde.
Une fois terminé, je referme la gourde, la pose à coté et reste attentive au bon rétablissement du singe.
Amenant à nouveau ma main caresser son crane, alors que de l'autre main, j'enroule ma toge tremper jusqu'à sa taille, pour qu'il puisse respirer facilement, caressant à chaque fois son torse velu alors que mes doigts passe entre lui et la toge, jusqu'à son bas ventre.

Là, sa vas aller maintenant, rétablie toi tranquillement.

Le soleil continue de cogner, heureusement que nous sommes à l'ombre.
étant allé mouiller ma toge, les gouttelettes d'eau ruisselle encore sur mon corps, ma poitrine, mes bras, mon ventre, mes fesses, mes cuisses, sans parler de mes sous vêtement qui son eux aussi trempé, collé à ma peau, laissant sans doute voir les anneaux de mes mamelons ainsi que mes mamelons quelques peut dresser par la fraicheur de l'eau.
Ce doit être pareille pour mon anneau clitoridien, mais après tout, sa n'a pas d'importance, puisque je ne suis en présence que d'un simple singe qui ne doit être attiré que par des femelles singes.
Même si j'ai remarqué en retournant ma toge jusqu'à sa taille la déformation un peut plus bas, sa me fait sourire, avant d'amener ma main sur un de ces pectoraux.

Tu m'a l'air d'aller mieux mon beau.

Effectivement, je constate qu'il ne tire plus la langue, que ces yeux sont plus largement ouvert, il me regarde dans les yeux.

Sa y est, tu es de retour parmi nous?

Je lui dit le sourire au lèvres. Je sais pertinemment que parler au animaux ne sert à rien, puisqu'il ne peuvent pas répondre, mais sa fait des jours que je marche et que je n'ai parlé à personne, alors quitte à parler autant que ce soit à quelques choses de vivant.
Voyant qu'il vas mieux, je le laisse respirer et me relève, replaçant une mèche de cheveux derrière mon oreille, je regarde aux alentours, il n'y à toujours personne.
Je ramasse alors la gourde à coté du singe et me retourne avant de m'accroupir dos à lui, rangeant la gourde dans le sac et cherchant des barres céréalières vitaminés pour lui redonner de l'énergie.
mes petites fesses se dandinant à une trentaine de centimètres de son visage habillé seulement de la ficelle de mon string mouillé aurais fait craquer n'importe quels hommes. mais pour un singe?
 

Rafiki

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Re : Il fait chaud par ici...[Lili Ivanes]

Réponse 4 mardi 24 avril 2012, 20:20:04

Ma sauveuse était restée là, s’occupant toujours de moi. Il est bien rare de voir des femmes prendre soin de bêtes comme les mandrills. On n’est pas réputé pour être doux. Enfin, là, je ne vais pas me plaindre ! Bien au contraire…Cette superbe jeune fille, que je n’arrêtais plus de reluquer depuis que j’y voyais mieux, m’avait donné à boire, avait réussi à me redonner des forces…Et avait réussi à me donner une érection monumentale en seulement quelques attouchements, qui n’étaient pas prévus à cet effet à l’origine.

Je peux voir, de mes grands yeux écarquillés de singe, toutes les courbes de son corps de déesse. Oui parce que Mademoiselle est bien gâtée ! L’eau qui ruisselle et perle sur sa peau de nacre ne fait que la rendre plus belle, et excitante à mes yeux. Oh…Mais que vois-je ? Mes yeux s’ouvrent encore plus quand j’ai pu m’apercevoir qu’elle était piercée au niveau de ses seins, sur chaque mamelon. Ouuh…Cela doit être agréable de jouer avec, même plus qu’agréable. Cela me fait fantasmer, et dans ma petite tête de mandrill, je me vois déjà en train de lui sucer les seins, triturant ses anneaux. Miam…

J’ai faim…Faim d’elle. Mon érection me le montre bien. Mon manioc tendu commence à me faire mal. Je ne peux pas rester comme ça, sinon je vais finir par haleter mais non plus à cause de la chaleur. Enfin si, mais pas du au soleil. Vous m’avez compris, je pense. Elle me parle, mais je ne vais tout de même pas lui répondre. Elle prendrait peur. Et je n’ai pas envie de la faire fuir ! Mais alors qu’elle se retourne pour ranger sa gourde généreusement prêtée quelques minutes avant, je pique un far. Mes joues deviennent rouges et je plaque mes mains sur ma verge tendue…MON VŒU A ÉTÉ EXAUCÉ ! Aurait-elle entendu mes pensées ? Oh, jm’en fous sincèrement ! Ce que j’vois là, c’est un derrière en faire pâlir certaines femmes. Rien ne le recouvre. Je vois juste le fin filet de son string trempé partir entre ses deux globes de chair, qui m’ont l’air si…Fermes et si…Doux…

Là, c’est trop. Je tiens plus. DU TOUT ! Alors qu’elle est encore retournée, je pose mes mains sur ses fesses rebondies et commence à les malaxer, sans aucune honte. Puis, en une seconde, dans un petit Pouf ajusté avec de la fine fumée, je prends ma forme d’origine d’Apollon d’ébène. Mon membre est toujours tendu, mais il est caché sous mon pagne. Enfin, le bout de tissu est déformé quand même. Elle pourra sentir une différence entre mes mains de singe et mes vraies paluches. Mon emprise sur ses fesses se fait plus pressante, sans pour autant faire mal. Haaaa, j’ai tellement envie d’elle.

- Si tu m’agites ça sous le nez, belle gazelle, normal que je touche…
Je suis très balèze !

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Humain(e)

Re : Il fait chaud par ici...[Lili Ivanes]

Réponse 5 lundi 28 mai 2012, 17:42:10

J'ai à peine le temps de ranger la gourde dans mon sac que je sent des mains venir se poser sur mes petites fesses avant de les malaxer, je reste de longue secondes pétrifié à me poser de nombreuses questions.
Suis-je tomber sur un singe pervers? Peut être que le soleil lui à tellement tapé sur la tête qu'il me prend pour un femelle de sa race? Ou il est peut être encore en état de choque, en plein délire.
Dans tout les cas, il n'arrête pas de malaxer mes fesses ce qui ne me laisse pas indifférente, mais je ne peut pas faire sa avec un singe, même si ce sont nos plus lointain ancêtres.
Je le laisse alors continuer et continue de chercher les barres céréalières en espérant que quand je me retournerais et que je repousserais ces mains, il ne devienne pas violent.

Continuant de chercher dans le sac, je sent que les mains du singe grandissent et augmente la puissance de l'emprise sur mes fesses.
Je trouve enfin les barres céréalière quand une voie juste derrière moi ce fait entendre.

- Si tu m’agites ça sous le nez, belle gazelle, normal que je touche…

Là je suis à nouveau pétrifier mais aussi terrifié.
Est-ce le singe qui viens de me parler?
Je tourne lentement la tête pour me retrouver nez à nez devant le visage d'un homme de couleur noir avec le sourire au lèvre et une drôle de chose sur la tête que je n'ai pas le temps de voir en détail, puisque je m'échappe de l'emprise qu'il a sur mes fesses en basculant en avant, je me recule de lui en me trainant au sol, attrapant mon sac au passage, je me retourne et cache mon corps dénudé comme je le peux.
Un bras sur ma poitrine et le sac entre mes jambes.

Je remarque qu'il ne bouge pas et reste allongé sur le sable tout en me regardant, je regarde à gauche, puis à droite, aucune trace du singe.

Qui... Qui êtes vous? Qu'est ce que vous avez fait du singe? Qu'est ce que vous me voulez?

Qu'est ce qu'il a fait du singe? Et comment as-il fait pour venir se mettre à la place du singe sans que je ne remarque rien et en si peut de temps?
J'ai peur mais je suis prête à utiliser mes pouvoir s'il le faut.

Rafiki

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Re : Il fait chaud par ici...[Lili Ivanes]

Réponse 6 vendredi 10 août 2012, 14:47:38

Bon dieu ! Ses fesses étaient si douces à caresser, si tendres à malaxer, encore perlées de quelques gouttelettes d’eau. Haaa, quel magnifique spectacle qu’elle m’offrait là. L’espace d’un instant, j’eus l’impression qu’elle aimait que je m’occupe d’elle ainsi. Mais cette sensation s’envola très rapidement quand enfin j’ouvris la bouche, histoire de montrer à la demoiselle que j’étais bien là. ERREUR ! La plus grosse erreur que tu as pu faire de toute ta vie, mon gros ! La voilà qui se retourne, ma déesse en string, et me regarde avec ses yeux remplis de peur. Affolée, elle recule, installe une légère distance entre nous deux. Raaah mais non, j’veux encore toucher ton popotin tout moelleux moi !

C’est toujours comme cela…J’me retransforme en humain et voilà qu’on a peur de moi. Mais bordel ! C’est parce que je suis black ? Avouez ! …Calmons-nous. Et rassurons là aussi, car elle ne fait que me poser des questions, dont en premier lieu : où est passé le singe ? Bon, avant de refaire une petite transformation, je dois bien me présenter, enfin. Et ce, même si j’ai la gaule.

- N’ais pas peur ! Je ne vais rien te faire. Je m’appelle Rafiki, et je suis le singe que tu as sauvé.

Allez, hop hop hop ! Je me retransforme en mandrill durant quelques secondes, dans une petite fumée qui disparaît pour laisser à la jeune fille de me voir à nouveau sous cette forme. Est-ce qu’elle allait me croire cette fois-ci ? Bonne question, car elle reste muette. Hop, un nouveau petit écran de fumée pour redevenir un homme couleur ébène. Mon érection ne diminue qu’un peu, car ça m’excite que la demoiselle se cache ainsi. Enfin, se cacher, très vite fait, elle ne va pas cacher grand chose avec son sac et ses mains sur la poitrine. Agréable poitrine d’ailleurs…Rwar.

- Tu vois ? Je te remercie d’ailleurs, tu m’as sauvé d’une déshydratation et d’une mort certaine. Et toi, quel est ton nom, jeune gazelle ?

Et je reste assis là. Pas de geste brusque, pas de regard mal placé (pas tout de suite en tout cas), pas de parole dérangeante. Il ne fallait pas que je l’effraie davantage.
Je suis très balèze !

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Lili Ivanes

Humain(e)

Re : Il fait chaud par ici...[Lili Ivanes]

Réponse 7 dimanche 26 août 2012, 14:48:04

Paniqué, le souffle court, je regarde de temps en temps à gauche et à droite au cas ou il y aurais d'autre personnes avec lui tout en gardant une certaine distance entre nous, mais il ne bouge pas.
De longue secondes qui me semble des heures passent, ma respiration deviens plus régulière, mais je reste tout de même attentive.
Pendant un instant je remarque sa longue et grosse érection couleur d’ébène, mais je me ressaisie aussi vite que je me suis faite déconcentrer par cette chose quand j'entends à nouveau sa voie grave.

- N’ais pas peur ! Je ne vais rien te faire. Je m’appelle Rafiki, et je suis le singe que tu as sauvé.

Ne pas avoir peur c'est facile à dire quand on n'est pas la personne qui à été surprise, surtout quand la personne qui te surprend est entièrement nu avec un barreau de chaise entre les jambes.
Le faite qu'il me dise qu'il ne vas rien me faire ne me rassure qu'à moitié, après tout si il est là c'est qu'il à une bonne raison.
Après qu'il se soit présenté, je reste perplexe devant ces explications et il doit le voir.
Une épaisse fumée blanche l'entour avant de se dissiper, Rafiki n'est plus là et le singe est à sa place dans la même position avec lui aussi une érection moins imposante mais elle est là.
J'en reste bouche bée alors qu'une épaisse fumer blanche l'entour puis se dissiper à nouveau faisant réapparaitre Rafiki.
Qu'est ce que c'est que cette magie? Je n'ai jamais vue personne avoir la capacité de se changer en animal...
Une fois sa démonstration faite il me dit.

- Tu vois ? Je te remercie d’ailleurs, tu m’as sauvé d’une déshydratation et d’une mort certaine. Et toi, quel est ton nom, jeune gazelle ?

Je fait un signe de tête pour lui répondre que j'ai compris en partie, je sourie quand il me remercie de l'avoir sauver d'une mort certaine avant de répondre d'une voie hésitante à sa question.

Je... Je m'appelle Lili...

Maintenant que je suis rassurer pour le singe, quelques questions me brule les lèvres, mais d'abord, je cherche dans mon sac la gourde d'eau, utilisant mes deux mains, je laisse ma poitrine dans mon soutien gorge à la vue de Rafiki.
La gourde trouvé, je l'ouvre et bois un peut d'eau, avec cette chaleur il le faut bien, fermant la gourde, une goute d'eau ruisselle de mes lèvres, sur mon menton, le long de mon cou et viens disparaitre entre mes seins.

Tu... Tu as encore soif Rafiki?

Je lui demande alors que je jette la gourde tout près de lui.
Je referme mon sac avant de revenir poser mon regard sur lui, gardant mes distances je voulais encore quelques explications.

Euh... Je n'ai jamais vue ce genre de magie auparavant... Dit moi, qu'est ce que tu es en réalité? et qu'est ce que tu fait dans un endroit aussi perdu au milieu du désert?

Tout en lui posant ces questions, j'essayais le plus possible de regarder son visage, même si parfois mon regard dérivais sur son entrejambe toujours aussi tendu.

Ah... Maintenant que j'y pense, tu as faim?

J'avais totalement oublier que juste avant qu'il me surprenne, je cherchais dans mon sac les barres céréalières.

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Re : Il fait chaud par ici...[Lili Ivanes]

Réponse 8 dimanche 02 septembre 2012, 17:59:57

Ma transformation semble laisser la jeune demoiselle perplexe. Faut-il que je recommence pour qu’elle y croit un peu plus ? Bon, apparemment non, puisqu’elle me fait un signe de la tête et me sourit doucement. Haaa, son visage aussi est digne d’une déesse. En était-elle une ? Peut-être si ça se trouve ! Enfin, elle se présente à moi, hésitante et pas très rassurée encore. Lili…C’est trop mignon ! …Quoi ? Je m’exprime comme une gamine ? Vous voulez peut-être que j’vous attaque avec ma matraque ?! Ah bon, je préfère ça…Non mais.

La demoiselle se retourne doucement, recommençant à fouiller dans son sac. Attrapant sa gourde, elle but quelques gorgées et me la lança à côté de moi. Oh, j’suis pas un chien non plus ! Mais mes yeux ne quittaient plus ce petit filet d’eau, cette rivière qui s’était perdue de ses lèvres jusque dans ses seins…Si je ne me retenais pas, j’en baverai ! Mais sa douce voix résonne dans ma tête, me questionnant sur ce que j’étais enfin de compte. Cela m’arracha un petit sourire, vraiment.

- Je suis un esprit. Pas du genre fantôme hein ! Plutôt du genre génie. D’où cette transformation dont je suis capable. Et ce que je fais là ? Et bien, j’erre partout sur Terra, et un peu n’importe comment. J’me suis fait avoir par la chaleur…

Ouais, et cela n’était pas très fut-fut de ma part ! M’enfin, ce souci m’a permis de rencontrer ma divine Lili, et je ne vais pas m’en plaindre. Par contre, je remarque que son regard dévie souvent sur mon membre tendu, et ses joues prennent des couleurs. Mmh, cela la met mal à l’aise ? Soit, si c’est le cas, pas de souci. D’un claquement de doigt, même si l’on voit toujours la bosse légèrement, je suis habillé d’un short bien commun, et ma coiffe si magique a disparu, pour laisser place à des cheveux courts sombres. Le maquillage des légendes reste cependant sur ma peau. J’y tiens. Dans son élan, main dans son sac, la demoiselle me demande si j’ai faim. Oui, j’avoue avoir un petit creux.

- J’veux bien un petit quelque chose, n’importe quoi, s’il-te-plaît. Je me chercherais de quoi manger quand je serais plus d’aplomb.

En tout cas, elle ne se cache plus du tout. Son string et son soutien-gorge sont encore bien mouillés malgré la chaleur ambiante, mais ce n’est pas pour me déplaire. Discrètement, je la reluque de temps en temps, histoire de ne pas l’offenser non plus, mais d’en profiter tout de même. Ca fait des lustres que je n’ai pas rencontré de femmes, en si petite tenue en plus. C’est pourquoi Popole reste aux gardes à vous dans mon short. Héééé ! C’est une réaction tout à fait normale ! Aucun homme normalement formé (et qui aime les femmes) aurait la gaule ! Mes joues prennent des teintes légèrement rosées qui ne se voient que peu sur ma peau ébène, et mes yeux sont envoûtés par une telle beauté…

- Et toi, Lili, qu’est-ce qui t’amène dans un coin aussi perdu, mh ?
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Re : Il fait chaud par ici...[Lili Ivanes]

Réponse 9 lundi 12 novembre 2012, 22:16:01

Le surveillant toujours d'un œil tout en cherchant les barres céréalière dans mon sac, je le vois récupérer la gourde que je lui est envoyer, tout en débouchant la gourde, il réponds à ma question.

- Je suis un esprit. Pas du genre fantôme hein ! Plutôt du genre génie. D’où cette transformation dont je suis capable. Et ce que je fais là ? Et bien, j’erre partout sur Terra, et un peu n’importe comment. J’me suis fait avoir par la chaleur…

Un esprit du genre génie? des images du film "Aladdin" défile alors dans ma tête, ce génie bleu et marrant prisonnier de sa lampe, lampe qu'il faut frictionner pour le faire sortir, je me rappelle aussi de l'histoire des trois vœux que l'on peux exaucer. Mais est ce que tout sa est vrai?
Je ne voie aucune lampe dans les environs, il y a bien eu de la fumé quand il c'est transformé en singe, mais celle ci n'était guère bleu.
enfin ne nous dispersons pas, il faut que j'en sache plus, un génie qui se fait avoir par la chaleur c'est un peut gros quand même.
Si c'est un vrai génie comme il le dit, il doit pouvoir faire plus que se transformer en singe.

Cherchant ces foutues barres dans ce sac pourtant pas bien grand, n'arrivant pas à mettre la main dessus, je me décide à délaisser du regard le génie, bien sur je tombe dessus sans difficulté, mais pendant ces quelques secondes inattention, j'entends un claquement de doigts, je quitte les yeux de mon cas pour les reposer sur Rafiki.
Celui ci n'a pas bougé et pourtant sa coiffure à changé sans parler du short qui cache maintenant son sexe toujours en érection au vue de la bosse qui se dessine.
Comprenant qu'il à remarquer que mon regard dérivais dessus, je tourne la tête alors que mes joues rougissent un peut plus tout en sortant les barres céréalières.
il me dit alors.

- J’veux bien un petit quelque chose, n’importe quoi, s’il-te-plaît. Je me chercherais de quoi manger quand je serais plus d’aplomb.

Entendant ça, je lâche mon sac et m'approche de lui à quatre pattes, m'arrêtant à bonne distance de lui et lui passant la barre de céréale du bout des doigts avant de m'asseoir face à lui les jambes en tailleurs oubliant complètement que je suis en sous-vêtement.

Tiens... Rafiki c'est ça?

Je lui demande alors que j'ai oublier l'espace d'un instant son nom, il me répond d'un signe de tête à la fois pour le confirmer son nom mais aussi pour me remercier.
Je déballe ma barre de céréale avant d'en prendre une boucher, puis j'entends le génie me demander.

- Et toi, Lili, qu’est-ce qui t’amène dans un coin aussi perdu, mh ?

Je fini de déglutir le morceau de céréale que j'ai dans la bouche avant de lui répondre.

Moi... Et bien...

Je réfléchie quelques secondes à savoir si je doit encore me méfier de lui ou pas, lui dire la vérité ou inventer un bobard, mais je n'ai que quelques secondes pour ne pas qu'il se doute que je réfléchie à ma réponse.

Je... Je suis en pèlerinage, je suis à la recherche de nouvelles choses à apprendre, c'est pour cette raison de je traverse les terres sauvages.

Bien sur ce n'est qu'une partie de la vérité, ne lui dévoilant aucune indication sur les choses que je recherche dans ce pèlerinage, me disant à moi même que l'effet de surprise peux être utile si il a de mauvaise intention à mon encontre.
Tout de même curieuse, je rebondit sur une question.

Et toi alors... En t'en que génie... Tu es capable de réaliser des vœux?  Étant donné que je t'ai sauvé, j'ai le droit à combien de vœux?









 

Rafiki

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Re : Il fait chaud par ici...[Lili Ivanes]

Réponse 10 vendredi 23 novembre 2012, 23:24:00

Haaa…Qu’elle est belle ma Lili. Dans une si petite tenue, n’ayant même plus l’air gêné d’être si peu vêtue sous mes yeux. Je ne vais pas m’en plaindre, elle est superbe cette jeune femme. Ses courbes, son visage d’ange, tout pour faire craquer un homme. Même étant un esprit, je ne suis pas un monstre. Je ne lui sauterais pas dessus, enfin, pas sans son consentement. Hé hé…Mais elle me regarde d’une bien drôle de façon, comme curieuse. Ou plutôt, on dirait qu’elle cherche quelque chose autour de moi, mais je ne comprends pas quoi…

Elle est mignonne Lili, à rougir comme cela devant moi. La bosse que forme mon érection, même sous le short, ne l’aide pas à trouver ses barres de céréales, alors elle détourne son regard. C’est bien la première fois que je vois une femme rougir parce qu’un homme est sensible à ses charmes. Et puis, quel homme serait insensible face à ce…PUTAIN ! Mais elle me cherche ou quoi ? Barre de céréales en main, elle ose, elle OSE s’approcher de moi à quatre pattes, comme un félin, et peut-être même que son déhanché est involontaire. Mais nom d’un hippopotame ! Ce n’est pas avec ce genre de vue que Popole va se calmer.

Finalement, la demoiselle vient s’asseoir en face de moi, en tailleur, oubliant sa quasi-nudité. À moi non plus, ça ne me dérange pas ! Hé hé…Elle me tend alors une barre du bout des doigts, que j’attrape, en hochant la tête légèrement pour la remercier, et aussi pour affirmer mon nom, qu’elle vient de répéter. Ma grande paluche vient déchirer le papier plastifié et je croque un bout dans cette nourriture gentiment offerte, un sourire satisfait de pouvoir enfin me mettre quelque chose sous la dent. Lili m’imite, croquant dans sa barre également, alors que je me demande que peut bien faire une jeune donzelle comme elle dans ce coin perdu de Terra. Je sens qu’elle hésite tout de même à me le dire. C’est normal, il ne faut pas faire confiance au premier venu. Cette fille préfère rester sur ses gardes et je le comprends. C’est en croquant un autre bout dans la barre, la finissant d’ailleurs, que je lui réponds, avalant goulument la nourriture.

- C’est bien. Rares sont les femmes de Terra qui parcourent le monde seule à la recherche de savoirs. J’admire ton courage.

Au moins, ce n’est pas une bête fille de Terra, qui ne cherche qu’à satisfaire son maître ou même, son mari. C’est une fille réfléchie, et ça me plaît beaucoup d’ailleurs. Marre des pimbêches qui ricanent bêtement pour s’attirer mes bonnes grâces au lit. M’enfin, moi aussi, je dois me méfier, car si elle vagabonde seule, c’est qu’elle sait se défendre. Espérons que ce ne soit pas une esclavagiste, ou un chasseur d’esprit, sinon, j’suis dans de beaux draps. La suite, sa petite question, me fit bien sourire, presque rire aux éclats, mais je me retiens. Car dans ces cas-là, je ne suis pas discret, et je fais plutôt fuir les femmes. Bref, un sourire aux lèvres, je m’accoude sur mes genoux, le visage dans les mains.

- Belle Lili, me prendrais-tu pour ce génie bleu de dessin animé ? Je suis libre de faire ce que je veux, et n’habite pas dans une quelconque lampe à huile toute riquiqui. Et je n’ai aucun compte à rendre à ceux qui m’ont découverts. Oui, je peux exaucer des souhaits en fonction de ma magie, mais c’est aussi à mon bon vouloir…

Mmh, je crois que je vais lui faire peur si je continue sur cette voie…

- Mais puisque tu m’es venue en aide, jolie gazelle, dis-moi ce que tu souhaites, et je verrais ce que je peux faire.

Ne croyez pas que mes yeux ne continuent pas à flirter le long de ses courbes, ses hanches, sa poitrine, et encore et toujours ces filets d’eau qui ruissèlent sur sa peau. Mrrrr, encore peu et je risque de craquer…
Je suis très balèze !

" Once you go black, you never go back ! "

Lili Ivanes

Humain(e)

Re : Il fait chaud par ici...[Lili Ivanes]

Réponse 11 lundi 11 février 2013, 20:33:51

Ce génie me félicite pour mon courage en me disant.

- C’est bien. Rares sont les femmes de Terra qui parcourent le monde seule à la recherche de savoirs. J’admire ton courage.

Je lui fait un grand sourire en guise de remerciement avant rebondir sur une question.

Et toi alors... En t'en que génie... Tu es capable de réaliser des vœux?  Étant donné que je t'ai sauvé, j'ai le droit à combien de vœux?

Je vois Rafiki finir sa barre de céréale, il à une si grande bouche, de si grosse lèvre qu'il ne lui aura fallut que deux bouché pour terminer cette barre de céréale, en parlant de ça, je reprend un croc de la mienne alors que je le vois se relever et viens s'accouder sur ses genoux avant de me répondre.

- Belle Lili, me prendrais-tu pour ce génie bleu de dessin animé ? Je suis libre de faire ce que je veux, et n’habite pas dans une quelconque lampe à huile toute riquiqui. Et je n’ai aucun compte à rendre à ceux qui m’ont découverts. Oui, je peux exaucer des souhaits en fonction de ma magie, mais c’est aussi à mon bon vouloir…

C'est donc un génie totalement libre, pouvant exaucée des vœux à son bon vouloir, mais une nouvelle question me passe par l'esprit, qu'elle sont les conditions pour qu'il accepte d’exaucée des vœux, n'étant rattacher à aucun objet il ne peut avoir de maitre, donc ce doit être lui qui fixe les conditions, mais quelles sont-elles?
Je suis sur le point de lui poser la question qu'il me dit.

- Mais puisque tu m’es venue en aide, jolie gazelle, dis-moi ce que tu souhaites, et je verrais ce que je peux faire.

Je met pour l'instant cette question de coté, car ils sont bien trop rare les gens qui te propose de réaliser un de tes souhaits sans attendre quelques choses en retour, et je peut dire que pour une fois je suis bien contente d'être passer par cette oasis et d'avoir sauver la vie de ce génie. Je réfléchie quelques instant, amenant un doigt sur mes lèvres et levant les yeux au ciel pour éviter d'être déconcentrer dans ma réflexion. Car oui cette homme couleur d’ébène ne me laisse pas indifférente, il est grand, musclé, bien bâti et surtout propriétaire d'un membre on ne peut plus gâter par la nature qui pourrais me faire dire des bêtises dans la demande de mon vœux.
Mon vœux enfin trouvé je descends mon doigt et mon regard reviens sur Rafiki.

J'ai trouvé... ça fait un petit moment que je suis sur Terra et mon plus gros problème, c'est pour trouver de l'argent, il faut dire que la monnaie de terra est particulière, en pièce d'or quand on en à beaucoup ça commence à peser. Donc ce que je voudrais, c'est une genre de bourse ou de porte-monnaie dans laquelle je puisse mettre autant d'or que je le veux sans, pour autant en ressentir le poids et bien sur qu'il soit déjà remplis d'une grosse somme d'argent... enfin d'Or je veux dire...
Est ce que tu peux faire ça?





Rafiki

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Re : Il fait chaud par ici...[Lili Ivanes]

Réponse 12 mardi 02 avril 2013, 02:09:37

Oh…Woaaah…Merde, les gars, j’crois que je suis en train de tomber amoureux. Ses lèvres pulpeuses et rosées qui s’étirent pour offrir ce merveilleux sourire. Attendez, est-il vraiment pour moi ? Nous ne sommes que tous les deux, donc…Oui. Ses lèvres ont l’air si sucrées, si douces comme la peau d’une pêche bien mure. J’ai bien envie de les caresser de mon pouce, de les effleurer de mes sombres lèvres, de l’embrasser…Han. Je sens mon cœur faire la rumba dans ma poitrine, et aussi le chaud sur mes joues d’ébène. Et mince, je pourrais fondre devant elle si j’étais une bonne motte de beurre. Sauf que je ne suis pas du beurre et que je ne fonds pas vraiment. Bref bref bref. Reprenons un peu de contenance, tout de même !

La suite m’avait fait sourire également. Non, je ne suis pas Le Génie d’Aladdin, la peau toute bleue digne d’un mauvais Schtroumpf, avec cette saloperie de barbiche démoniaque, à ne faire qu’exaucer les vœux de ses maîtres. Je n’ai pas de maître. I’M FREE ! J’ai tout compris ! Je peux exaucer des souhaits bien évidemment. J’ai la toute-puissance pour, mais je ne le fais que seulement si je suis dans un bon jour. Un peu de bonté me prenait parfois. Elle m’avait bien aidé jusqu’ici, avait illuminé ma journée de sa présence. Je ne pouvais pas ne pas lui offrir ce qu’elle souhaitait. Mais attention, elle n’avait droit qu’à une chose. Alors elle prit son temps pour bien réfléchir à ce dont elle voulait. Les yeux levés au ciel, elle se concentra, l’index tapotant ses lèvres pulpeuses…Nom de…Mon instinct, mon envie, l’image qu’elle me renvoie, tout ça m’ordonne de lui sauter dessus ! Argh ! C’est trop dur ! Lili, tu me tortures de trop !

- Alors ?

Enfin, son regard se repose sur moi. Ouf. Encore un peu et je crois que je n’aurais pas pu tenir plus. C’est que Popole en peut plus d’être tendu à l’extrême comme ça, hein ! Ça commence à me lancer, bordel ! Elle vient enfin me formuler son vœu, celui de posséder une bourse pleine d’or et aussi légère que si elle était vide. Cela me fit sourire, mais son idée était plutôt bonne. Alors je me relève doucement, juste un peu, sur la pointe des pieds, accroupi. Je me rapproche d’elle lentement pour ne pas l’effrayer ou quoique ce soit. Je ne veux pas qu’elle me fuit…

- Bien. Ta main s’il-te-plaît, ma gazelle.

Je pris place juste devant elle, un sourire aux lèvres, les fesses au sol. Tendrement, je viens prendre sa main gauche, la bloquant entre mes grandes paluches, puis je ferme les yeux. Me concentrant, mes lèvres s’activent dans des paroles que je veux muettes, alors qu’une lumière intense apparaît entre nos mains. Ses couleurs varient, passant du jaune au rouge, cette lumière s’évaporant d’entre nos paumes comme des flammes dansantes. Puis tout disparait en une seconde. J’ouvre de nouveau les yeux, plongeant mon regard dans les yeux de ma gazelle.

- Regarde…

Je délaisse enfin cette main à la peau si délicate, à contrecœur. On peut y voir désormais une petite bourse en cuir bordeaux, avec une marque au fer représentant un petit singe. Oui, bon, c’était pour qu’elle se rappelle de moi ! Et comme elle m’avait découvert sous ma forme animale…De plus, s’il lui arrivait de la perdre dans le futur, il lui sera facile de la reconnaître entre mille. La bourse était pleine d’or, on peut en voir la forme de certaines pièces d’ailleurs. Mais elle était aussi légère que si elle était vide. Du moins, pour Lili.

- Tu y as 20 000 pièces d’or dedans. Et pourtant, ça ne pèse rien ! Magie magie ! De bonnes idées, gentil génie... Oh, et je t’ai ajouté un petit plus aussi. Let’s see !

Je vais pour prendre la bourse, la lui retirer de sa main, sauf que ce petit objet, une fois quitté le corps de la douce, se presse lourdement sur le sol. Impossible que je la soulève, même en me tenant debout, en tirant de toutes mes forces, moi qui suis un athlète, un génie, ça ne fonctionne pas. Mais je vais lui montrer plus. La bourse bordeaux toujours au sol, je vais pour l’ouvrir lentement, laissant quelques doigts filer à l’intérieur pour en fouiller le contenu. Et là, une violente décharge électrique me fait retirer ma paluche de la petite sacoche. Je me pose au sol finalement, trop secoué par le choc électrique que je viens de me prendre. Et j’en viens aux explications.

- Aucune personne à part toi ne peut porter cette bourse. Et personne ne peut l’ouvrir sans se faire électrifier à part toi. L’argent qu’il y a dedans n’apparaîtra que si toi tu fouilles dedans. C’est ta bourse et ton argent. Alors, satisfaite ?

Fier de moi, je lui offre mon plus beau sourire alors que je l’invite d’un geste de main à reprendre l’objet en cuir bordeaux. J’espère que ça lui plaira, à ma petite gazelle…
Je suis très balèze !

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Lili Ivanes

Humain(e)

Re : Il fait chaud par ici...[Lili Ivanes]

Réponse 13 samedi 20 avril 2013, 16:13:35

Ma demande formulée, Rafiki ce relèvement sur les genoux et se rapproche de moi avant de me dire d'une voix calme.

- Bien. Ta main s’il-te-plaît, ma gazelle.

Je m'exécute alors et lui tend ma main gauche, de ces grandes mains il enveloppe délicatement la mienne avant de fermer les yeux, ses lèvres bougent, mais aucun son ne sort de sa bouche, une lumière intense apparaît alors entre ses mains, la couleur changeante, passant par tous les stades de l'arc-en-ciel avant de s'évaporer en flammes et disparaître complètement.
N'ayant rien louper du spectacle, mon cœur bat à cent à l'heure, quand le génie ouvre à nouveau les yeux nos regards se fixent mutuellement pendant de longues secondes avant de me dire.

Regarde...

Il retire ses grandes mains de la mienne, et je découvre dans la pomme de ma main une petite bourse en cuir Bordeaux. Je lâche alors un petit.

HOOoooooo!

De satisfaction en voyant cette jolie bourse, je la tourne et la retourne et en y regardant de plus près on peut y voir une marque au fer représentant un petit singe, sans doute sa signature. celle ci me semble légère comme une plume, je l'ouvre alors pour regarder son contenue, il y a quelques pièces d'or à l’intérieur et pourtant elle ne pèse rien, c'est exactement ce que je lui avais demandé.
tout en la refermant le génie me dit.

- Tu y as 20 000 pièces d’or dedans. Et pourtant, ça ne pèse rien ! Magie magie ! De bonnes idées, gentil génie... Oh, et je t’ai ajouté un petit plus aussi. Let’s see !

20000 pièces d'or? Wow c'est une sommes assez conséquente, j'en ai pour un moment avant d'épuiser une telle sommes, à moins de devoir payer une rançon... il m'a même rajouté un petit plus, mais quoi donc?

J'ai remarqué elle ne pèse vraiment rien... Tu as ajouté quelques choses, tiens montre moi...

Il tire la bourse le long de ma main et une fois que celle ci quitte le contacte de ma peau, la bourse tombe lourdement au sol entrainant le génie dans sa chute, ça me fait sursauter et reculer d'un pas.
Je vois alors Rafiki attraper la bourse de ces deux mains et essayer de la soulever, de toute ces forces, déployant tout ces muscle à ma vue qui se contracte alors que ces veines ressortent sous l'effort.
L'espace d'un instant mon esprit divague sur le corps athlétique de cet homme, ce génie à un corps vraiment parfait et je m'imagine l'espace d'un instant être totalement abandonné entre ces muscles puissant pour un plaisir divin.
Sans m'en rendre compte je m'en mord même la lèvres inférieur, mais très vite, je reviens à la réalité, je le vois ouvrir la bourse et y glisser la main pour en prendre quelques pièces avant de voir ces muscles se tétaniser et retirer rapidement sa main, puis tomber les fesses les premières au sol.
Je ne peux retenir un fou rire en le voyant se faire électriser.

HA! HA! HA! ha! ha! ha!

Il m'explique alors les choses en plus qu'il à rajouté.

- Aucune personne à part toi ne peut porter cette bourse. Et personne ne peut l’ouvrir sans se faire électrifier à part toi. L’argent qu’il y a dedans n’apparaîtra que si toi tu fouilles dedans. C’est ta bourse et ton argent. Alors, satisfaite ?

Je récupère la bourse au sol et lui réponds.

Je suis très satisfaite, je ne m'attendais vraiment pas à tout ça, je pensais que tu allais juste créer la bourse et y glisser genre 1000 pièces d'or. 20000 pièces d'or c'est une sacré sommes et en plus tu m'as rajouté certains bonus antivols.

Je me rapproche de lui doucement avant de m'asseoir à califourchon sur ces jambes et de l'enlacer de mes bras, collant mon petit corps contre le siens.

Pour tout ça tu mérite quatre gros bisous...

Je lui dit le sourire au lèvres, je viens déposer de mes douces lèvres deux tendres baisés sur chacune des ces joues, avant de décoller ma poitrine de son torse musclé et de me désarçonner de ces jambes pour aller à quatre pattes jusqu'à mon sacs pour ranger ma nouvelle bourse, mes fesses se dandinant à nouveau de droite à gauche devant les yeux de Rafiki.





Rafiki

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Re : Il fait chaud par ici...[Lili Ivanes]

Réponse 14 samedi 01 juin 2013, 16:32:36

Je…Je rêve ou cette belle donzelle est carrément en train de se foutre de ma gueule ? Je lui offre une bourse made by me, remplie de vingt mille pièces d’or, et ELLE, cette fourbe se tape une barre ? WHAT THE FUCK ! Ah…C’est le coup de l’électrocution qui la fait rire ? J’me prends un putain coup de jus et elle se tord de rire ? Ah…D’ACCORD ! Mais comme on dit si bien, femme qui rit, femme à moitié dans son lit ! …Tu viendrais avec moi, belle Lili ? Coller nos corps, toi d’albâtre et moi d’ébène, que je te caresse lentement de mes longs doigts. Laisses-moi découvrir tes formes, ta peau…

Reprenons notre sérieux, un peu. Un coup de foudre dans la tronche, et je me retrouve à terre. Hé ! J’ai beau être un génie, je peux ressentir la douleur d’une pareille électrocution. Sur les rotules, j’en profite pour me reprendre un peu, faisant un signe à ma douce pour qu’elle reprenne la bourse que je lui avais offerte. Je plonge mon regard émeraude un instant sur le corps de Lili, avant de laisser ma tête partir en arrière, sonné par le choc. Je lui explique tout de même que la bourse est bien magique et qu’elle n’est faite que pour elle.

Je ne l’entends pas s’approcher, et c’est avec surprise que je relève le visage en sentant son corps doux et légèrement humide se coller tout contre le mien, elle, s’installant sur mes cuisses. Merde, ça me laisse tout penaud. Lili se presse tout contre moi, m’enlaçant. Sa poitrine, sa poitrine si…GROS BÊTA ! RÉAGIS ! Non, je n’y arrive pas. Son doux visage, illuminé par son sourire, me donne là une vision si…Putain, un ange quoi. Je me mords l’intérieur de la joue discrètement, histoire de m’empêcher de lui sauter dessus, là, de suite. Parce que, bordel, ça me chatouille le bas-ventre là ! Et pour me remercier, elle rapproche ses lèvres de mes joues, afin d’y déposer quelques baisers. Je crois que si j’étais blanc, la couleur pivoine que prennent mes joues serait bien plus visible, foi de Rafiki ! Mes lèvres s’étirent dans un sourire que je lui rends volontiers. J’crois que j’ai l’air un beau gogole sur les bords. Merde, reprends-toi vieux ! On dirait un puceau quoi !

- Pas de quoi, miss.

Et je la vois se défaire de l’étreinte, s’éloigner de moi, tel un papillon qui arrive à se défaire du piège de la toile de l’araignée. Et c’est moi la grosse bestiole poilue aux gambettes, c’est ça ? …REVIENS DANS MA TOILE ! Attends ma gazelle. Depuis tout à l’heure, j’essaie de dompter Popole pour qu’il baisse la garde parce que ça avait l’air de te mettre mal à l’aise, et là…LÀ ! Tu l’attises, tu l’excites, tu le fais exprès ! Ce n’est pas possible autrement, oh ! Il en pète un boulon de voir tes jolies formes ! …OH NOM DE DIEU ! C’est l’estocade, le coup fatal qui me fait perdre la tête. Mes yeux ne peuvent pas se défaire du déhanchement de son popotin qui remue sensuellement pour lui permettre d’arriver à son sac et ranger sa bourse. Les miennes sont pleines et si tendues que ça me fait foutrement mal. Cette fille va me faire perdre la tête, me rendre dingue. Oh, et puis, je la perds déjà…

Dans un vif élan, je me rapproche d’elle. Je me retrouve dans son dos, mon bassin se collant quelques secondes sur son fessier rebondi. Mes bras se croisent sur son ventre et je la tire en arrière, me faisant tomber au sol, sur les fesses, et bien évidemment, Lili sur mes cuisses. Je l’enlace tout contre moi. Bon dieu, la chaleur de son corps, la moiteur de son épiderme, la douceur de sa peau, ça me manquait déjà tellement. Mon visage vient se poser dans sa chevelure, reniflant les effluves de sa nuque. Mon cœur s’emballe. Baboum, BABOUM ! Et il n’y a pas que lui. Je sens le sang pulser dans mon mandrin, bien dressé sous mon pagne, bloqué contre les fesses de la gazelle. Euh…MERDE ! Elle devait grave le sentir contre le bas de son dos…RAF, t’es un CON PAS FINI ! Par réflexe, je la relâche, la repose à terre, et m’éloigne un peu, reculant à tâtons.

- Ah…Euh…Aheum. Désolé, je…Je ne sais pas ce qu’il m’a pris…

Mais si. Nom d’une pipe ! Je savais pertinemment ce qu’il s’était passé dans ma caboche pour que je vienne la prendre dans mes bras. Personne ne pouvait résister à coller contre soi une si belle gazelle, véritable muse dans cette forêt perdue. PERSONNE !
Je suis très balèze !

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