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Lehiuàchan Alctochuana, une prêtresse parmi d'autres [Consacrée par Law !]

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Lehiuàchan Alctochuana

Humain(e)

Il n'existe plus.

Il n'est plus là, pourtant je sais que je peux retrouver sa trace.

Il faut le faire. Je vais le faire.



   Ce jour-là, la pluie coulait sur les feuilles des arbres qui ployaient les unes après les autres pour laisser tomber à terre ce trop plein d'eau. Et moi, en dessous de ces arbres, je regardais le ciel, un air béat. Je le savais.  Je le ferai.



Identité :

Mon identité ? En ai-je encore une … Ma folie, mon rêve m'a conduite à lâcher ce qui était important. Indiscutablement humaine. Certains me prénomment Lehiu. Il n'y a aucune raison à cela. Je ne suis même pas d'origine asiatique. Mais pourtant, j'aime bien ce nom. Il n'est pas trop long, et donc simple à retenir. Et sa seule syllabe résonne agréablement aux oreilles de mes pairs humains. Quelque part, dans une de mes poches, je dois bien avoir une carte d'identité, avec une photo datant de près de neuf ans, et un nom presque effacé, enfin, en faisant attention on pourrait lire «  Lehiuàchan Alctochuana ». De toutes façons, ce qui est important, c'est ce bout de papier plastifié. On peu voir que je suis née il y a près de vingt sept ans. Et depuis neuf ans, je ne cesse de bouger. Je recherche. On m'a toujours dit que que je poursuivais une chimère, mais ils ont tord. J'en suis la preuve.


Description physique :

Maintenant que je voyage depuis près de neuf ans, il est clair que par rapport à mon village natal, je dénote par rapport aux personnes que je côtoie chaque jour. Voyez-vous, dans la fourmilière qu'est la ville, cette personne, pieds nus, qui marche en se faufilant habilement dans la foule ? Non, vraiment ? Alors imaginez. Enlevez vous de cette ville. Trop d'obstacles gênent la vision. En forêt, c'est cela, dans une sorte de jungle, même, vous vous baladez, jusqu'à tomber dans une clairière. Ou du moins, un espace libre de tout arbre, où le soleil écrase le monde. Même les insectes ont fuit cette chaleur étouffante. Mais pourtant, elle est là. Les sons que peuvent faire ses vêtements en frottant sur le sol irrégulier, au gré du vent, ou les plumes de sa coiffe étrange qui ne cessent de bouger peuvent facilement se confondre avec les bruits que vous entendez depuis le début dans cette jungle. Positionnée en tailleurs, immobile telle une statue des temps anciens, elle vous observe néanmoins. Élancée ? Elle l'est, oui, même si dans sa position assise, cela ne se voit pas vraiment. Ne voyant pas grand chose d'où vous êtes, vous vous décidez à vous avancer un peu plus, et vous voyez ses tatouages, nombreux, ils parsèment son corps, pour le moment recouvert seulement de quelques voilages transparents. Pour vous, ils n'ont guère de sens, pourtant, ils symbolisent son statut de prêtresse de Quetzalcóatl. Mais elle finit par se lever, pour se rapprocher de vous avec un sourire discret. Et vous pouvez enfin l'admirer de tout votre saoul. Car vous le faites, oui. Tout d'abord, s'arrêter sur son visage, se perdre  dans ses yeux marrons-vers, remarquer l'arc des sourcils qui accompagne les tatouages d'un marron discret, à moins que ce ne soient ces derniers qui accompagnent l'arc des sourcils. Son nez, bien que recouvert en partie par la coiffe dont la description viendra plus tard, trône fièrement au milieu de son visage, pointant légèrement vers le bas, surplombe une fente labiale marquée, débouchant sur des lèvres parfaites. Relativement pulpeuse, comme une incitation au désir, celles-ci vous sourient. Mais non content de cette observation, vous décidez d'éloigner votre regard.

Ce dernier s'attarde quelque temps sur les nombreuses parures présentes à son cou, portant surtout sur le turquoise et le marron, avant de remonter le long des plumes qui ornent sa coiffe, de couleur turquoise elle aussi, pour l'observer un instant. Vous dérivez un peu sur les cheveux. Tressés et tirés en arrière, ceux-ci disparaissent dans l'imposante sorte de pièce montée qui siège sur son crane, second symbole de son statut de prêtresse auprès de son dieu. Mais encore une fois, le regard ne reste pas fixé sur cet coiffe impressionnante, mais redescend, suivant les tatouages présents sur les épaules de la jeune femme, et en fait sur presque tout le reste de son corps. Et en bon être humain, vous vous attardez sur la poitrine à peine couverte par le voile blanc transparent qui recouvre Lehiu. Rien de complexant pour cette jeune femme qui n'en à rien à faire, mais votre insistance finit par la gêner. Après tout, vous n'êtes qu'un sacrifice. Avant qu'elle ne décide à vous arracher les yeux pour avoir osé la reluquer ainsi, votre focale continue à descendre, suivant encore les dessins complexes de symboles inconnus à vos yeux. Son ventre ? Elle n'est pas si maigre que ça. Musclée, certainement, par contre. Et hop. La chute de votre regard continue pour redescendre jusqu'à ses jambes. Encore une fois, ce qui était plus haut un doute, se confirme ici, les muscles sont bien présents. Et même s'ils sont un peu discrets, leur présence ne fait aucun doute. Ses pieds ? Par contre, ceux-ci sont une véritable horreur. Lehiu abhorrant tout ce qui s'approche de près ou de loin à des choses qui lui donneraient l'impression d'étouffer, elle n'en met jamais. Du coup, les pieds sont marqués, par les chemins pierreux, ou le béton sans pitié. Ces derniers ont perdu leur sensibilités, habitués depuis longtemps au traitement que leur infligeait la prêtresse. Gêné de voir ces pieds dans un tel état, vous remontez rapidement pour vous attarder sur ses mains, et vos yeux s'arrondissent. La main gauche tient une sorte de dague. Mais quelle dague ! Le genre d'arme sacrificielle que l'on voit sur les anciennes fresques, ou dans les musées. Pommeau en or, sculpture au bout représentant son dieu, la lame brillante malgré le sang qu'elle a pu voir, est gravée dans un langage symbolique. Mais avant que vous ne puissiez faire un pas en arrière, elle a fait un pas de plus, arrivant à votre hauteur, et d'un coup sur votre nuque, votre esprit se perd.



Description psychologique :

Puis, vous êtes emmené, loin. Où ? Vous ne savez pas. Ou plutôt, vous préférez ne pas savoir. Si dans votre voyage jusqu'à cette cité d'un autre temps, vous vous êtes réveillé, vous avez pu sentir que les liens que vous a passé cette étrange jeune femme sont bien serrés. Plus que nécessaire. Et les plaintes ne sont pas permises, le bâillon étouffant la moindre de vos paroles, et encore, si vous essayiez tout de même, d'une baffe, vous retournerez bien vite dans le silence. En tous cas, ce n'est pas cette jeune femme qui vous porte. Sa constitution ne lui permettrait pas de porter un homme évanoui pendant des kilomètres, de toutes façons. C'était une erreur de vous aventurer dans cette forêt sèche, et vous êtes en train de le comprendre. Pourquoi vous ? Il n'y a pas de raison, vous étiez là, vous vous êtes approché, et vous êtes devenu aux yeux de la jeune femme le sacrifice parfait. Homme ou femme, pour Lehiu, cela n'importe pas. D'ailleurs, elle vous couve des yeux, vous êtes précieux. -Vous comprendrez plus tard qu'en fait, seul votre sang importe, mais bon.- Parfois, malgré votre position inconfortable, elle vient vous murmurez des paroles rassurantes. Apparemment, l'aztèque n'est pas vraiment une partisane de tout ce qui est violence, torture, ou autre. Elle vous le dit, même. Vous allez mourir. Mais elle fera en sorte que votre vie jusque là soit la plus parfaite possible. Pas question que vous ne souffriez plus que nécessaire. Puis, vous arrivez dans la ville. Construite selon des plans anciens, clairement de type « antique », pour vous, on penserait presque qu'il s'agit d'un autre monde que celui du présent. Électricité ? Rien. Ils sont restés dans l'ère où les guerres étaient organisées pour obtenir assez de sacrifices pour le maintient du cinquième soleil. Mais pourtant, malgré cette fierté qu'elle a à marcher parmi les siens, siens qui l'observe avec révérence, vous remarquez qu'un masque de mélancolie se pose parfois sur le visage de votre ravisseur. Prier un dieu, lui faire des sacrifices, même humains, c'est bien. Mais si tout le monde dit que tout n'est que chimère alors que vous, prêtresse, vous y croyez vraiment, alors dans votre tête se met en place des engrenages. Vous voulez leur prouvez que vous avez raison, que Quetzalcóatl existe bel et bien. Mais tout ce visage n'est que passager.

Mais passez ces détails sortant de l'esprit de  Lehiuàchan Alctochuana, comme ils l'appellent. Que ceux qui y pensent encore rejoignent Tezcatlipoa ! Reprenez votre concentration, pour tenter de comprendre comment est réellement la jeune Aztèque. Face à ses paires, vous la voyez sourire, saluer telle et telle personne, alors que vous êtes plus ou moins traîné vers un endroit qui sera votre dernière demeure en tant que vivant. Encore une fois, rassurez vous, jeune-homme, vous serez bien traité. Après tout, la prêtresse, et ceux qui la servent ne sont pas des monstres, elles. Elle s'arrête parfois pour discuter d'un peu de tout, et de rien, laissant son esprit voler selon des critères que vous ne pouvez comprendre. Elle parle même de vous, en termes élogieux, votre carrure, votre sang, votre santé. Vous sentez le dévouement qu'elle a pour le peuple où elle a le statut de prêtresse du dieu Quetzalcóatl. Mais alors qu'elle s'éloigne du monde, vous entrainant avec elle, vous voyez ce masque de tristesse féroce réapparaître. Elle aime « sa » cité, mais elle aime encore plus son dieu. Prête à tout pour l'un et l'autre, elle n'a pourtant qu'une volonté, le retrouver. Le reste a l'air de passer au second plan. Elle parle de la mort avec une facilité déconcertante, pour elle, ce n'est rien de plus qu'une étape qui permettrait à celui qu'elle sert -ou pense servir- de survivre malgré tout.  Mais votre dernière heure de survie touche à sa fin, et votre lueur d'espoir disparaît alors que la nuit tombe sur cette étrange cité. Vous êtes à nouveau trainés, poings liés derrière votre dos, à votre cou, un corde tressée, solide. Vous montez quelques marches d'un temple réutilisé, en version miniature, et vous êtes allongés de force sur un autel. Des chaines rejoignent vos poignets et vous cheville. Bouger vous est désormais impossible. Une petite foule est réunie en bas des marches, alors que la prêtresse s'approche, lentement. Elle a gardé ses vêtements, légers, vous offrant une dernière vision de son corps. Elle vous contourne pour vous laisser entre elle, allongé sur une pierre, et la foule. Une prière est prononcée, et l'écho de sa voix, dépourvue de toute hésitation, résonne dans le silence oppressant. La lame se lève, finalement, et d'un coup, s'abaisse dans votre ventre, pour le trancher. Vous n'êtes pas mort. Vous souffrez. Vous sentez même le sang qui s'écoule hors de votre corps, souillant l'autel. Vous n'êtes qu'un sacrifice, et votre sang, l'offrande à son dieu. Et Lehiu, après cet acte barbare, sourit.



Histoire :

Et alors que vous agonisez encore, vous entendez des murmures. Pour votre voyage vers l'au delà, la prêtresse vous offre l'histoire de sa vie.

Lehiuàchan Alctochuana est née il y a déjà vingt sept ans, dans ce même village. Ce village est assez atypique. Même s'il se conforme le plus possible aux lois  de leur pays, et qu'ils possèdent une carte d'identité, et tous les papiers administratifs obligatoires, ils n'ont aucun contact véritable avec l'extérieur. Pourquoi ? Simplement car ils ont la volonté de vivre comme le firent leur ancêtres, les aztèques. Cela implique directement qu'il y ait des faces visibles au monde -qui attirèrent les journalistes, soumis à de grandes restrictions à l'intérieur du village- et des faces cachées, connues seulement des habitants. C'est dans ce système, donc, que Lehiu -de son surnom- a été élevée.

Mais même de ce point de vue ci, l'enfance de la jeune femme n'a pas été vraiment normale. Née pour servir le dieu Quetzalcóatl, elle ne commença pas au même « rang » que les camarades de son âge, le système du village étant établi par différentes castes, et rangs. On ne s'adressait pas à elle comme à n'importe quel enfant, et elle avait eu le droit à un respect froid de la part de tous. Malgré cet obstacle, Lehiu s'acharna pourtant à se rapprocher des autres, pour garder des relations au moins amicales, si ce n'était jovial. Mais elle dû s'endurcir rapidement, apprendre le système d'écriture Aztèques, fonctionnant par symboles, que ce soit pour l'alphabet ou même les nombres, et aussi apprendre les coutumes, les rites, et tout ce qui lui avait été imposé par sa fonction.

S'endurcir. Pourquoi ? Simplement qu'un cœur faible cède rapidement à la peur, au doute, et dévie du chemin qu'il aurait dû prendre au départ. Quelqu'un qui ne peut sacrifier des êtres vivants, ou faire de bons choix dans les rites religieux, ô combien importants aux yeux des habitants, ne mérite pas une telle fonction, et est condamné à mort. La langue, l'écriture, et le dénombrement n'était pas non plus un problème, car même si au départ, elle n'avait rien choisi, rapidement, la jeune femme y mit toute son âme, tout son cœur. Son rôle était réel. Son dieu existait. Si elle savait que certains de son village, croyaient vraiment en les dieux Aztèques, elle savait aussi que beaucoup n'était là que car ils étaient fascinés par ce mode de vie, un peu comme une aventure. Elle, Lehiu, était convaincue au plus profond de son être que les dieux anciens existaient. Et vu qu'ils avaient encore des croyants, ils ne pouvaient pas mourir, c'était bien ça, non ?

Et peu à peu alors que les années passaient, un désir germa dans l'esprit de la prêtresse de Quetzalcóatl. Si les habitants de sa cité ne croyaient pas en l'existence des Anciens, alors il faudrait leur prouver. Et quoi de mieux pour prouver qu'un dieu existe, que de le trouver soi-même ? C'était une folie, oui. Et la première fois qu'elle exprima cette idée, elle reçu des sages de son village un refus catégorique. Elle n'avait pas le droit de partir, et elle se devait d'assumer les fonctions dont elle avait la charge. Ça avait toujours été ainsi, et cela ne changerait pas pour une simple lubie d'une adolescente.  Consciente de sa situation et de sa jeunesse, la jeune femme ne fit rien de plus, et rentra dans les rangs. Les sacrifices continuaient. Parfois, pour la face visible, ce n'étaient que des animaux, des poules, des chèvres, ou autre. Mais d'autres fois, alors que la nuit commençait à tomber, ces aztèques d'un nouveau genre traquaient les imprudents qui s'aventuraient trop près de leur village, et ceux-ci finissaient souvent... mort. Pour la prêtresse, et son cœur de pierre, cela ne changeait rien. Que ce soit un homme, ou un animal, la finalité était le même. Offrir le liquide sacré -le sang- pour le salue des Dieux était nécessaire.

Mais à un moment, cette belle routine prit fin. Ou du moins pour la prêtresse. Elle savait que sa cité pourrait continuer à prospérer sans elle. Elle savait que ceux qui dirigeaient le village, avaient eu des sortes de pots de vin, en grand nombre par des riches passionnés. Elle savait qu'elle pouvait partir. Emportant nombres d'objet en or, histoire d'avoir de quoi avoir de l'argent de l'Extérieur, elle s'enfuit. Et une longue route commença. Pendant près de neuf ans, Liehu apprit l'anglais, et le japonais. Mais pendant ces neuf ans, elle n'eut jamais trouvé un quelconque indice comme quoi son dieu existait réellement. Ce n'était pas pour autant qu'elle allait abandonner ses croyances, après tout, un dieu se devait de ne pas être facile à atteindre. C'était une sorte de vérité générale. Si au début, elle s'était fait un peu arnaquée, en vendant un bijou à un prix dérisoire, elle apprit rapidement les prix véritables, et elle put avoir une petite fortune. Et malgré ça, elle continuait, habillée de manière étonnante, à déambuler sur terre à la recherche de Quetzalcóatl. Elle allait le trouver. Il le fallait.


Expérience : Elle est encore vierge.


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Rp en cours :

Rp terminés :

Rp abandonnés :
« Modifié: mercredi 14 mars 2012, 15:16:15 par Law »

Fait par Kira.

Yumi Akali Organa

Humain(e)

Re : Lehiuàchan Alctochuana, une prêtresse parmi d'autres

Réponse 1 mercredi 14 mars 2012, 14:03:45

C'est marrant, dès que j'ai vue le nom et le vava, j'ai pensée à Quetz ^^

Bienvenue, jeune prétresse o/

Quetzalcóatl

Dieu

  • -
  • Messages: 1275


  • FicheChalant

    Description
    Une déesse perdue, à la recherche de pardon.

Re : Lehiuàchan Alctochuana, une prêtresse parmi d'autres

Réponse 2 mercredi 14 mars 2012, 14:50:41

Ma première prêtresse ! \o/

-aux anges-

Toi, je t'aime :3  Bienvenido !
Je suis la douce symphonie qui accompagne le cycle de la vie.
Je suis l'éphémère et l'immortelle.
Je suis la chair et le spirituel.
Je suis fragile et belle, invincible, et invisible.
Je suis l'éternité.

Law

E.S.P.er

Re : Lehiuàchan Alctochuana, une prêtresse parmi d'autres

Réponse 3 mercredi 14 mars 2012, 15:15:48

Quetz est une femme, j'espère que tu ne comptais pas tomber sur un beau gosse divin qui t'aurais passionnément fait l'amour x__x......

Fiche sympathique, bien écrite. Dans ma grande bonté, je te valide. Bon courage dans ta recherche :)

Ancien Despote, admirateur de Moumou la Reine des Mouettes, président/trésorier/unique membre de l'association des cultistes de Frig, directeur du club des Persos Vitrines, Roi des Bas-Fonds de Nexus, grand-maître de l'ordre du caca masqué, membre des Jmeféchié, médaille triple platine de l'utilisation du Manuel des Castors Juniors, premier gérant de l'association "Cthulhu est votre ami", vénérateur de la cafetière, seigneur de la barbe et des cheveux, chevalier servant de ces dames, Anarchiste révolutionnaire, extrémiste de la Loi.



Je suis pour la réhabilitation des Userbars.
Les userbars sont VOS amies. Elles sont gentilles.
Utilisez des userbars. <3

Lehiuàchan Alctochuana

Humain(e)

Merci bien, à tous ! (Oui, bon, une préférence pour la déesse, mais bon ! )

Et merci Law pour cette validation très rapide. (Et la pauvre Lehiu aura une bien grande désillusion ! )

Fait par Kira.

Maîtresse Isis

Humain(e)

Bienvenue !

J'espère que vous trouverez votre Dieu mais...tout ce sang, tout ces innocents...

Lehiuàchan Alctochuana

Humain(e)

Merci bien, Isis.

Et ces innocents... Ils ont simplement été offerts -du moins leur sang- pour la survie d'un dieu. Pour une bonne cause !

Fait par Kira.

Tezcatlipoca

Dieu

Les méso-américains domineront le monde!

*Danse avec sa soeur Quetz*

Lehiuàchan Alctochuana

Humain(e)

Oui !

Et merci !

Fait par Kira.

Tlazolteotl

Dieu


Lehiuàchan Alctochuana

Humain(e)

Oh, une autre déesse appréciable.

Merci !

Fait par Kira.


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