Une rencontre où résonne les lames et où le sang coule. [LIBRE]

  Iris était à genoux, surplombant une Ookami couchée et intimidée par se caresses. comme il fallait s'y attendre, Ookami devenait graduellement plus rouge à chaque geste d'Iris qu'elle avait sentie. sa timidité ne l'avait heureusement pas empêché de frissonner lorsque Iris passa sa langue sur son nombril.
 Iris de son coté, derrière son sourire bienveillant, restait le démon Stophomon qui se plaisait à jouer avec ses sensation et sentiments. Ookami ne pouvait s'en douter, bien évidement, elle n'avait plus la réflexion nécessaire pour que son esprit construise une telle éventualité.

  Iris venait de proposer à Ookami  le contact labial avec avec son corps. pour pleinement réussir, il fallait que la guerrière  apprenne à accepter le contact nu, qu'elle commence à expérimenter. un choix simple (où lécher) qui était double ( le faire ou non) permettait de la pousser à avoir un rôle actif dans le rapport, tout en vérifiant la force de sa timidité.

Ookami était téméraire, même lorsqu'elle était intimidée, aussi elle accepta:
- Je suis débutante, alors ne te moque pas.

 Sa voix essayait de montrer la phrase comme un ordre, mais la formulation était un aveu de faiblesse et le ton tomba vers le suppliant. Iris releva le menton sa partenaire avec deux doigts, et plongeant son regard dans les yeux d'Ookami, dit gravement:   
- je ne me moquerais pas.
Avant de glisser sa main le long du coup jusqu'au nombril d'Ookami, puis la fit rejoindre l'autre posée sur les jambes de la jeune timide.

 Elle la vit se redresser, tremblant comme une feuille, porter sa main au sein droit de la serveuse, avant d'y appliquer la bouche, tout aussi peu assurée. Ookami semblait tenir à ne pas paraitre trop faible, parce qu'elle choisissait l'endroit le plus intimidant qu'elle pouvait, alors qu'elle aurait put tenter un point moins sensible, plus léger, comme le ventre ou le cou.
 toujours est-il que son manque de pratique la rendait d'autant plus attendrissante, et Iris sentait tout de même un plaisir dans ces gestes, pour imparfait qu'ils soient.

pour rassurer sa protégée, elle émit un grognement satisfait, tenant du ronronnement d'un chat.
-huuuuuuuuum.... tu t'en sors bien pour une première fois. mais attends...
elle saisit les mains d'Ookami et les fit parcourir son corps. il fallait qu'elle ose plus, qu'elle gagne de la témérité.
- sans ma tunique, j'ai froid, tu comprends? il faut que tes mains me réchauffent un peu fit-elle en relâchant ces dernières. Puis, un sourire calme aux lèvres, elle caressa la chevelure d'Ookami, qui continuait de lécher son sein.


après un certain temps, elle descendit ses mains jusqu'à toucher, l'air de rien, l'aine de la guerrière. selon la réaction de celle-ci, elle devra décider si l'étape suivant doit être prise ou si il fallait encore patienter.

Ookami eut le visage plus coloré en entendant Iris se mettre à ronronner comme un petit matou, cela changeait radicalement de ce qu'elle avait vécu avant. La douceur et ce bruit rassurant remplaçait ses souvenirs où tout n'était que violence et cri, il y régnait un silence des plus apaisant.

L'humaine eut cependant une légère résistance quand Iris vint à prendre possession de ses mains, elle put goûter de ses doigt la peau et les formes d'Iris, non sans garder sa teinte écarlate sur le visage. Mais derrière cette timidité et cette faible assurance, suivait la curiosité. Iris offrait son corps de son plein gré à Ookami, pour qu'elle puisse s'employer à découvrir par elle-même, avec un peu d'assistance, ce que la vie ne lui avait pas offert. La possibilité de découvrir une autre partie de son corps, celui qu'elle a toujours renier, un corps de femme qui désir de la douceur et du plaisir.

Ookami vit plusieurs de ses barrières mentale céder le long de cette visite guidé du corps d'Iris, le démon pouvant voir que la résistance du début c'était évaporer, l'humaine semblait finir par faire totalement confiance envers lui. L'humaine tenta de satisfaire la demande d'Iris en bougeant ses mains un peu partout, imprimant sur la peau sa chaleur humaine. Donner de la chaleur elle savait le faire, il n'était pas rare qu'elle réchauffe un chaton contre elle, quant il y avait en avait un sur sa route.

Toutes ses actions semblèrent cependant se figer au moment où les doigts d'Iris se mirent à s'approcher de très près son intimité, la distance étant maintenant minime. Le démon pouvait sentir les mains de l'humaine trembler, le corps d'Ookami se rappelait de la violence subit et c'était automatique. Mais elle ne laissa pas la peur bloquer son corps pour autant. L'humaine recula sa tête, regardant les yeux d'Iris, hochant légèrement la tête pour signaler qu'elle essaiera de contenir de possible réaction de rejet de sa part.

  La confiance d'Ookami envers son amante était déjà considérable. Chaque geste qu'Iris faisait facilitait l'acceptation de ce qui devait suivre logiquement. Néanmoins, la réaction qu'elle avait eu lorsque les doigts de la serveuse avaient frôlées son sexe était éloquente: de bonne volonté, mais pas encore prête.

Iris l'embrassa, puis lui glissa à l'oreille:
« tu n'as pas à avoir peur. Ce que tu a vécut n'est en rien en rapport avec ce que tu va vivre. »
puis, ayant une bonne idée, elle ajouta:
« tiens, je sais! Pour te le prouver, c'est toi agit cette fois. Tu n'as qu'à me déshabiller. enlève ma jupe, mes bas, ma culotte, à ton rythme.»

elle s'allongea sur le dos, tenant tout de même l'épaule de la guerrière d'une main protectrice.

Stophomon aimait jouer avec les sensations. Ainsi, bien que ce ne soit pas nécessaire, il avait occupé la place où se trouvait virtuellement Iris, touchant là où elle touchait, ressentant ce qu'elle aurait ressentie. Pour le déshabillage, Stophomon serait le vrai dénudé de l'affaire et, suprème avantage de ses pouvoirs, il pouvait faire ignorer son très masculin organe, même si elle l'avalait. Ainsi, il pouvait se permettre de la laisser agir à sa fantaisie, même si il soupçonnait qu'elle ne prendra pas la serveuse d'assaut par surprise.


«si tu veux me faire quelque chose, tu peux, tu sais. si tu ne te sens pas de prendre les devants, dis-le moi. » fit-elle une fois qu'Ookami eut fini.

Ookami n'offrait de la résistance que lorsque le démon approchait sa main de son intimité. Aussi n'eut-il aucune difficulté à s'emparer des lèvres de l'humaine, sentant le corps de cette dernière frémir sous la douce brise formé par l'expiration d'Iris sur son oreille. L'humaine referma un peu les yeux, comme pour savourer cette brise. Le démon se voulait rassurant, pour endormir sa victime sous de belle parole qui enveloppa un peu plus l'humaine de chaleur apaisante.  C'est alors que le démon se mit à jouer un peu plus avec Ookami en proposant de ce faire déshabiller par elle, cette dernière se mit à avoir un air surprit, mais d'une autre côté il fallait bien qu'elle agisse un peu, c'était déjà assez honteux de ce faire guider de A à Z, mais si en plus elle n'y mettait pas du siens.

Ce fut donc avec timidité, mais une douceur infini, qu'elle entama progressivement le déshabillage. Elle glissa ses doigt sous la jupe, le retirant avec lenteur, pour ne pas détériorer l'article, comme un violeur le ferais. Elle fut à la fois embarrassé et curieuse d'en savoir davantage sur Iris, avait-elle un grain de beauté caché ou un tatouage ? La question semblait rester en suspend. Une fois la jupe détaché de ce corps sublime, elle entama les bas, commencer par la culotte aurait été un signe de perversité, hors Ookami n'est pas de ce genre là. Les bas ne lui causèrent pas vraiment de problème, pouvant toucher la peau douce et épilée d'Iris. Ce fut enfin le tour de sa culotte, les gestes semblèrent plus hésitant, mais gardèrent de sa douceur.

L'invitation eut comme réaction de faire détourner les yeux, comme pour cacher le fait qu'elle ne savait pas trop quoi faire, son esprit étant torturer sous une question persistante, allait-elle bien agir. Ookami se mit donc à copier les précédentes actions d'Iris, approchant timidement ses lèvres près du nombrils du démon, son souffle titillant la zone et le réchauffant un peu.  L'humaine prit son courage à deux main et déposa ses lèvres, sortant légèrement sa langue pour jouer avec la boule de chair., non sans rougir.

Ookami, d'abord surprise, accepta pourtant assez facilement l'idée de déshabiller sa maitresse. elle le fit timidement, lentement, tendrement aussi, tandis que Waves lui caressait le visage, les cheveux, sa poitrine plate mais douce, un regard bienveillant posé sur elle et un sourire d'invite sur son visage.


 En glissant les doigts sous la jupe, Ookami toucha involontairement la vulve de son amante, qui eut un petit frisson.  lorsque sa culotte fut dévoilée, Ookami put distinguer une petite tache humide au niveau de la vulve. elle poursuivit avec le bas, et sembla apprécier particulièrement la douceur des jambes de la serveuse qui en frotta gentiment une sur l'intérieur de la cuisse de la guerrière.

au moment de toucher à la culotte, Ookami avait les gestes moins assurés, mais Iris lui caressa doucement les deux épaules, et la guerrière poursuivit courageusement.
 Ne pouvant connaitre l'intimité de Iris Waves, Stophomon opta pour un sexe aux formes assez douces, sans dépassement des petites lèvres sur les grandes lèvres, rasé, ne laissant qu'un léger duvet de poils sur le mont de Vénus. pour une bonne mesure, il plaça un mignon petit grain de beauté sur ce dernier, en invitation à l'exploration.


 comme il fallait s'y attendre, Ookami, malgré une première réaction gênée, ne se laissa pas longtemps paralyser par la timidité, et lente, hésitante, attendrissante de précaution, elle posa ses lèvres sur le nombril d'Iris Waves. celle-ci eut un soupir tendre, et descendit les mains jusqu'au bas des côtes.
elle lui dit avec une voix rassurante:
"ne t'inquiètes pas, si tu le fait avec passion, tu ne peux pas le faire mal."

après une petite période comme ça, Ookami léchant le nombril et Iris lui caressant le dos, celle-ci eut une idée, et demanda à miss Miyamoto, avec une toute petite pointe d'excitation impatiente dans la voix:
"remonte tes baisers, tu veux bien? tu m'embrasse le ventre, le tronc, puis ma poitrine, mon cou, jusqu'à toucher mes lèvres. qu'est-ce que tu en dis? "
 se disant, elle positionna ses mains de façon à ce que, l'air de rien, celle-ci emporte le pantalon et la culotte de la guerrière à mesure qu'elle remonterait, la mettant ainsi nue au moment où leurs sexes se toucherait. puis elle eut un sourire:
"mais si tu préfère, tu peux descendre pour atteindre mon petit mont d'amour et la précieuse fente. "

Iris la regarda, apparemment tendrement, mais en réalité avec curiosité: allait-elle accepter l'une ou l'autre de ces proposition?

"ne t'inquiètes pas, si tu le fait avec passion, tu ne peux pas le faire mal."

Pour Ookami cette phrase fut perçue de deux façon. Tout d'abord, une mise en confiance, un encouragement, pour que la demoiselle laisse sa timidité de côté et ne se bloque pas sous prétexte que c'était quelques chose d'embarrassant et d'inconnue au final. La seconde interprétation pouvait aussi bien être une tentative de la par du démon pour chauffer un peu cette humaine qui, bien qu'inconsciente de sa nature, n'attendait qu'une étincelle pour s'enflammer et dévoiler une part qui lui était inconnu jusqu'à ce jour.

L'humaine sentit les doigts se mettre à glisser avec une certaine adresse le long de son dos, flattant au passage un peu ses hanches et raffermir la prise à cet endroit, chose qui n'échappa à Ookami qui se remit à légèrement rougir, sa teinte ayant reprit une teinte plus naturelle entre temps. L'autre demande fut accueillit par un sourire nerveux, l'humaine se retrouvait acculée, d'un côté elle allait se retrouvée nue, de l'autre, elle allait devoir se placer à un endroit qui bien que connu était assez déstabilisant quant il s'agissait d'une autre femme.

Ookami prit le choix de la facilité et entama la remonté de ses baiser, même si elle se figeait à chauqe fois que son pantalon et son sous-vêtement glissait de plus en plus. Le moment le plus amusant fut sans doute l'instant où son intimité allait être totalement à découvert, l'humaine fit alors un espèce de bond pour atteindre les lèvres, son corps frémissant au contact de celui du démon, étant à présent totalement dénudée, se sentant légèrement gênée d'exposer ainsi son corps à une femme.

le sourire d'Ookami ne laissait aucun doute: elle devinait ce qui allait lui arriver en remontant ses baisers. néanmoins, elle décida de laisser faire sa maitresse, embrassant tour à tour ventre, torse, et poitrine. La serveuse lança un soupir langoureux à chaque fois, un petit peu plus fort pour chaque baiser.
 
 La gène de la guerrière la faisait se figer à chaque intervalle un court instant, mais son Iris réalisait à chacun de ces intervalles une petite caresse, d'une main, qui l'enhardissait suffisamment pour poursuivre. arrivée au moment-clé, Ookami se fit violence et bondit presque sur les lèvres qui lui étaient offertes.

Le contact de son corps nu avec celui de l'illusion produisit en elle un frisson.
ce qu'elle ne savait pas, de par l'illusion dont elle était victime, c’était qu'elle venait de se faire pénétrer par le sexe de Stophomon. elle n'en senti pas le contact, tout comme elle ne pouvait le voir, mais elle reçut un supplément  de plaisir sexuel à cette pénétration.

 la main douce mais ferme d'Iris posée sur ses fesse assurait qu'elle ne ne se ravise pas, même si à ce stade c'était hautement improbable. la serveuse put ainsi noter que le fessier de la timide Ookami compensait honorablement l'absence de poitrine. en effet, la guerrière avait développé cette portion de son anatomie à force d'entrainements, produisant deux formes rebondies et fermes que Miss Waves se fit un plaisir de serrer. son autre main remonta le dos pour s’engouffrer dans la chevelure noire de Miyamoto, imposant innocemment la poursuite du baiser. celui-ci se fit plus long et Iris y mit plus de science que précédemment. 
elle commença à guider le bassin avec la main du fessier, l'intimant à un mouvement lent d'avant en arrière qui permettait à la fois de stimuler les lèvres (celles d'Ookami comme celles, illusoires, d'Iris) et de satisfaire le pénis de Stophomon.

Iris interrompit le baiser pour dire à sa partenaire, avec douceur:
n'aie pas honte de ce que nous faisons, petite Miyamoto. ni de ce que tu ressent. c'est bien, et c'est naturel.
 est-ce que tu aimes?

pendant le déshabillage, le démon avait commencé à faire se coucher le soleil. la nuit était désormais tombée et le couple était éclairé par des lampions, accrochés au cerisier, qui produisaient une lumière rougeoyante et vacillante. il n'y avait pas de vent et le froid était banni de l'illusion. quelques pétales de fleur de cerisier leur tombaient dessus comme autant de caresses timides.