(Oui, c’est ça qu’est bon
)
La douleur atteignait dans le corps d’Alice d’intolérables et excessifs sommets. Elle avait l’impression que quelqu’un lui détruisait son cul, que quelque chose s’enfonçait en elle, la pulvérisant, la broyant. Le plus dur avait été de sentir le sexe d’Hodor devoir se forcer un passage entre ses fesses, écartant les parois de son anus pour pouvoir plus ou moins se glisser. Elle en avait tellement hurlé, avait senti une si vive douleur qu’elle en avait pleuré, versant quelques larmes, ses joues rougies par la douleur, par une douleur totale, qui coupa toute sensation de plaisir pendant quelques temps, à tel point que tout ce qu’elle avait alors souhaité était qu’on en arrête là, car elle avait le sentiment qu’elle finirait déchirée en deux.
Ce moment fut heureusement bref et éphémère, car Alice, après tout, restait une Korvander, et le sang des dragons bouillonnait dans ses veines. Elle poussa de nouveaux hurlements, et mordit la peau de Tasha, avant que cette dernière ne recommence à l’insulter, et la douleur commença à devenir plus ou moins acceptable quand ses fesses furent suffisamment tendues et écartées pour permettre au sexe d’Hodor de pouvoir se glisser. Son cul était tout sec, mais le membre d’Hodor était trempé, un jouissif mélange de sperme, de cyprine, et de salive. et il put donc s’y glisser, même si le membre ne pouvait guère aller loin, en raison de sa taille proéminente. Les jambes d’Alice étaient solidement écartées, chacune étant empoignée par les grosses pattes d’Hodor.
La Princesse, entre deux soupirs, sentit les lèvres de Tasha se poser sur les siennes, dans un baiser bref et fugace, qui fut surtout l’occasion pour cette dernière de lui offrir une superbe gifle. La tireuse était une militaire, elle avait un corps, certes ravissant, mais aussi endurci, et une force qui avait de quoi décaper. Le coup résonna dans la tête d’Alice, qui sentit la douleur dans son cul disparaître pendant quelques secondes, par celle de son visage, laissant une joue rouge.
Alice n’eut pas le temps de dire grand-chose que Tasha se redressait, glissant sa chatte contre le visage de la Princesse. Naturellement, elle en profita pour darder son petit cul d’une autre gifle qui fit glapir Alice, puis tira sur ses cheveux, plaquant sa bouche contre sa chatte humide. Alice poussa un cri étouffé, tout en méditant dans sa tête l’espèce d’invitation que Tasha lui avait faite pour être frappée par Hodor. Hodor était un demi-géant, quelqu’un qui ne mesurait pas sa force, et la Princesse n’eut de toute façon pas le temps d’y songer, car elle se retrouva la bouche collée contre son intimité, ses cheveux tirés en arrière.
Elle planta ses dents sur la chair tendre et humide de Tasha, la mordillant, sentant l’intimité de Tasha glisser sur son visage, mouillant toute la zone autour de ses lèvres de sa cyprine, et la petite Princesse entreprit alors de changer de position. Elle plaça ses jambes sur le sol, s’appuya avec ses deux mains par terre, le temps de pouvoir, en somme, se mettre bel et bien à quatre pattes, et enroula l’une de ses mains autour du bassin de la tireuse, pour pincer ses fesses, tout en utilisant son autre main pour s’appuyer sur le sol, sa tête continuant à taper de temps en temps contre le corps chaud et désirable de la tireuse, au fur et à mesure des coups de butoir d’Hodor.
«
Ho… s’élança la Princesse.
Elle… Elle a osé me fra… Haaaaaannn… Punis cette petite salope, Ho… Haaaaa !!! »
Elle ne put pas achever, mais Hodor comprit, et, tout excité qu’il était, il leva l’une de ses grosses mains vers la joue de la tireuse, mais, dans un ultime scrupule, n’osa pas la gifler, se contentant de donner une tape qui avait tout d’une caresse, utilisant son autre main pour pincer l’un des seins de la tireuse.
«
Frappe-là ! s’égosilla Alice.
Je veux que cette salope hurle, et entendre sa joue claquer pour le coup qu’elle m’a infligé ! -
Hodor ! » protesta ce dernier.
Il obtempéra toutefois, et sa main revint frapper la joue de Tasha, un coup très léger pour un demi-géant, mais moins pour une humaine. Alice entendit le très agréable claquement sonore que produisit l’impact de la gifle sur la joue de Tasha, et en éprouva un plaisir assez sadique et vicieux. Alice était tout simplement méconnaissable ! On la filmerait, et on lui montrerait ensuite la vidéo, qu’elle affirmerait que ce n’était pas vraiment elle, mais quelqu’un d’autre qui l’avait supplanté !