Nom/Prenom/Surnom : Koano
Age : 23 ans
Sexe : Masculin
Race : Humain
Orientation sexuelle: Hétéro
Description physique : Koano est un jeune homme assez ordinaire. Ses cheveux sont noirs, aussi noir que le charbon même. Sa coiffure est simple et très naturelle, pas de gel ou quoi que se soit, elle fait ressortir malicieusement ses beau yeux bleu. Il mesure environ 1.74 mètre. Il n'est donc pas grand pour son âge mais celà ne le gêne en aucun cas. Il s'habille de fao modeste et très décontracté, un patalon un peu trop large avec un tee-shirt blanc ou bien un jean déchiré avec un pull noir, bref tout ce qu'il y a de plus banal. Physiquement ce qui choque le plus chez Koano c'est sa démarche car il boite légèrement sur la droite. C'est un jeune homme très souriant avec tout le monde. On le traite parfois de "simplet" ou bien de "guilleret" mais qu'importe. Pour lui le plus important c'est la vie, la beauté naturelle et sa musique. Il n'a que peu d'intérêt pour accorder de l'importance aux préjugé des autres.
Caractère : Koano a un caractère très difficile à retranscrire. D'apparence très décontractée et enjoués, ses phrases aux intonations toujours aimante et son sourire si grand souligne un air mélancolique mais aussi très triste. Au fond c'est un être qui cache sa tristesse et sa douleur à travers la musique qu'il joue au travers de sa guitare. Son esprit ne vit que pour entendre les notes raisonner dans les airs. Il ne pense qu'à ça, à s'assoir sur l'herbe et commencer à jouer une chanson puis une autre et ainsi de suite. Il est très créatif et c'est un virtuose de la guitare car 90% des airs qu'il joue est une composition personnelle et il en connait beaucoup. Si il a du mal à retenir un nom de rue ou de quelqu'un il est capable en revanche d'apprendre un couplet en quelques secondes.
Histoire : (Ceci est un lien pour écouter une musique durant la lecture de la fiche. En correspondance avec mon perso musicien. Ouvrez et cliquez sur le bouton Play en haut à gauche et laissez vous porter par la musique)
Koano est un enfant de la rue. Ce nom lui a été donné par le groupe d'enfant qui la retrouvé abandonné enveloppé dans un simple draps de lit au cœur d'un square. Épinglé su son "protège-froid" de fortune, un simple mot écris à la va-vite sur un papier déchiré semblait dire "Pardonne-moi". Koano garda ce mot précieusement dans une boite métallique qu'on utilise pour ranger des cigarette. Une vielle boite avec un magnifique dessin en relief sur le couvercle représentant une colombe porté par le vent. Quelqu'un l'avait jeté au coeur d'une pubelle où Koano faisait ses course tout les jours... Ses amis grandire en même temps que lui. Les plus grand cherchaient la nourriture dans les détritus pour nourrir les plus jeunes. Parfois les ordures ne parvenaient pas à rassasier tout le monde et les plus ages se risquaient au vol ou parfois même à la prostitution. Il arrivaient fréquemment que certains finisse entre les mains de la police ou abandonné dans un caniveau, le corps sans vie. La vie dans la rue pour Koano fut très rude, les bagarre étaient fréquente entre bande rivales pour se partager le trésor des déchet. Un jour, Koano était adolescent, il aida un enfant de son groupe a se sortir d'une bagarre. Il donna et reçut de violent coup, le clouant au sol. Les jeunes rivaux partirent en riant alors que Koano tentait de se relever péniblement a cause des blessures qui le faisait souffrir. Il avança lentement, le bras en écharpe et le dos courbé comme un zombie. Lorsqu'il arriva près du de son ami, il tomba genou au sol, tremblotant. A la vue du corps de son camarade sans vie, Koano laissa éclater ses pleurs, lassé par cette vie. Un des enfants avait poignardé son ami avec ce même couteau qui était ensanglanté par terre. Koano le saisit et voulu en finir. C'est a cet instant qu'il entendit une douce musique venir vers lui, une mélopée qui s’approchait doucement dans son dos. Lorsqu'il se retourna, il vit un vieil homme vêtu pauvrement, avec des loques et des gants miteux. Sa vieille guitare, terne et râpé, paraissait tout aussi misérable que lui. Pourtant, la musique qui en résultait était parfaite, sans faux accord ni fausse note. Arrivé à hauteur du jeune homme, l'homme se pencha et passa la main sur le visage de l'enfant mort pour lui fermer les yeux. Puis il reprit lentement une mélodie plus sobre et plus effacé en engageant la discussion avec Koano.
Tu sais gamin, parfois les feuilles tombe des arbres... Et l'hiver est froid, si froid... Mais le gel des saison passe et la fleur réapparait... avec un peu de musique tout parait si gaie... Regarde le soleil couchant, chaque jour il renaît... Allez suit moi petit, je t'apprendrai ma mélodie.. Triste et intrigué, Koano se leva et partit en boitant dans le sillon du vieillard en regardant par dessus son épaule.
N'oublie jamais mon gars... celui qui regarde derrière ne sais pas où il va... Il faut admirer le paysage et voir au delà... Ainsi le jeune homme grandit au coté du vagabond qui l’accueillit dans sa modeste caravane. Son premier geste fut de lui offrir une vielle guitare entreposé là entre le réchaud et la moitié de canapé. Ils commencèrent ensemble une longue aventure d'apprentissage de notes, d'accord et de joie. L'homme qui était son professeur lui répétait son cesse que la musique avait une solution pour tout. Il parlait comme un livre ouvert, un homme cultivait qui avait déjà bien usé de la vie.
Tu as un don mon fils, un don pour la musique. Tu joue comme tu respire. Tu vois Koa, certaines personne sont aveuglés par tout ce qui les entoure, ils cherchent une éternelle réponse ou un tableau à accroché au mot "bonnheur". Des types passent toute leur existence à sa recherche sans jamais y parvenir. Pourtant, la vie est bien plus simple qu'on le pense et le bonheur plus accessible que quoi que ce soit. Il suffit d'avoir une bonne vision des choses.
- Mais, San, comment avoir cette bonne vision?
- Avec tout ce que je t'ai appris, un jour... tu saura. Le vieux maître de la vie mourut du froid une nuit du 24 décembre. Koano fut très triste. Il empoigna sa guitare et s'en alla pleurer sa douleur en musique. Sur le bord du monde, assit sur une falaise, il joua toute la nuit. Puis vint soudain le levé du soleil. Il laissait sa douce étreinte saisir le paysage sous les pieds de Koano. La lumière reflétait la rivière qui coulait en cascade, les oiseaux se mirent à chanter pour célébrer le matin, le vent faisait danser les feuilles morte qui semblaient revivrent une deuxième fois. Les doigts de Koano accélérèrent alors le rythme, la douce et longue composition funeste se transforma ainsi en éloge à la vie et à la nature. Le musicien en herbe avait enfin eut sa réponse du bonnheur. Le cadre à accroché était là, sous ses yeux. Le cœur emplit de joie et la larme ruisselante sur la joue il cria avec un sourire
Merci San! MERCI ! De sa poche, il retira une boite. Souvenez vous, un boite métallique avec une colombe en relief. Il y sortit un petit papier sur lequel était écrit "Pardonne-moi". Il déchira soigneusement quatre fois cette phrase pour la lancer ainsi dans les airs. Koano se retourna pours'en aller et jouer alors sans s’arrêter.
Situation de départ : peu expérimenté. N'a connu que le connheur sexuel de quelques prostitué mais sans plus.
Comment avez vous connu le forum: Google est mon ami ^^
