Du sel…Ils allaient s’amuser avec du sel sur le pauvre corps déjà bien meurtri de la rouquine. Apparemment, son corps n’était pas assez maltraité au goût des gardes de ce Liam. Et Quetzalcóatl, cette ancienne déesse mésoaméricaine, était bien loin encore de ce que les lourdauds lui réservaient pour la suite. Elle ne souhaitait pas y penser d’ailleurs.
Une côte brisée, ses tétons en sang, sa lèvre en sang, son visage en pleurs, son intimité et son derrière rouge de griffes des affreuses mains des gardes. Et c’était loin d’être fini. Pour les hommes, elle ne souffrait pas assez, ne criait pas assez. Le garde qui s’occupait de lui griffer son anus et ses parois internes retira ses doigts. Le Serpent à Plumes pensait alors que cela allait cesser. Mais à son plus grand désespoir, ce garde prit un poignard, histoire de le remplacer à la place de ses propres doigts. Il voulait la voir souffrir, voir le sang couler le long de ce corps qui avait l’air si parfait au début, et qui désormais, ne ressemblait qu’à un tas de chair violenté aux envies de ses agresseurs. La jeune femme à la crinière de feu ne pouvait plus se retenir, et elle ne le souhaitait plus d’ailleurs. Elle n’en avait plus la force pour cela. Des larmes abondantes coulèrent sur le visage auparavant si gai de la déesse. Lui, continuait de maltraiter son anus, et ensuite l’intimité de la jeune femme…Le sang qui coule, abondant, se mêlant aux pleurs de Quetzalcóatl, à son corps immobile, aux cris de douleur désormais…
Puis, des bruits de pas se firent entendre dans la pièce. Cela changeait des rires sadiques des gros lourdauds. La jeune rouquine releva doucement son visage humide en direction des bruits. Il y avait là deux autres personnes qui portaient de l’eau dans un baquet en bois, sûrement à l’attention des gardes. Un instant, Quetz’ pensa appeler à l’aide à ses deux personnes, mais elle soupira de désespoir. Ils n’allaient sûrement pas l’aider. Et que pouvait faire deux « esclaves » apparemment, contre cinq gardes au meilleur de leur forme ? Rien.
Et qu’allaient faire les gardes de cette eau ? La jeune femme n’allait pas tarder à le savoir. Le gros Bébert avait passé son sac de sel à un de ses collègues de torture, qui versa tout le contenu dans l’eau fraîchement apportée, et il remua tout cela pour bien dissoudre le sel dans le liquide. Les gardes commençaient à la rapprocher de ce baquet de bois, et Quetz’ pensa qu’ils allaient lui faire prendre un bain d’eau salée. Elle était bien loin d’imaginer qu’ils avaient d’autres intentions à son égard.
Ils la mirent à quatre pattes, le croupion bien mis en évidence, y compris son intimité. Un des gardes se mit d’ailleurs sous elle, lui mordant l’autre téton encore intact, mais pour peu de temps, celui-ci se mettant à saigner comme son voisin. La verge de ce lourdaud frottait contre le haut de l’intimité de la jeune femme.
« Tu vas souffrir, petite catin…
Il souriait devant le visage en larmes de la jeune femme et la pénétra violemment. Mais c’était froid…Cette chose froide pénétra également son entrée arrière sans douceur, lui arrachant un gémissement de douleur. Un bruit de pompe cassait le léger silence de la pièce. L’un des gardes pompait comme un Shadok ! pour faire monter l’eau salée dans les tuyaux. Oui, c’était bien des tuyaux que les gardes avaient pénétrés dans les orifices de la demoiselle.
« Voilà, j’espère que tu apprécies, ma petite garce ! »
Les premières gouttes du fameux liquide arrachèrent des petits cris de douleur chez le Serpent à Plumes. C’est tout son corps qui subissait toutes les tortures inimaginables de la part des gardes. Elle se remit à se mordre la lèvre à sang pour taire ses cris. Ce sang perlait doucement sur son menton, et le garde situé sous elle venait chercher ses gouttes de ce précieux liquide rouge à coups de langue baveuse. Tous les gardes ricanaient au fur et à mesure qu’il voyait le ventre de Quetz’ gonfler lentement et son intimité déjà ne plus supporter la quantité d’eau. De l’eau salée, cette eau maudite qui lui brûlait l’intérieur de son corps, qui lui brûlait sur ses blessures…
Son ventre se faisait de plus en plus rond et de plus en plus lourd, et la déesse mésoaméricaine avait bien du mal à tenir cette position, à quatre pattes au-dessus d’un de ces balourds. Ses jambes et bras affaiblis tremblaient comme des feuilles. Puis Bébert fit signe de la main au garde qui pompait. D’un autre signe de la main, il fit signe aux autres gardes qu’il était temps.
- Vous pouvez y aller les gars ! Elle est à vous !
Ce sourire pervers et cette voix horrible apeurait la jeune femme à la crinière de feu. Un garde se mit derrière Quetz’, armé de son membre tendu, prêt à la prendre par derrière quand on retirera le tuyau. Celui situé sous elle faisait de même, approchant son gland chaud près de son intimité. D’un coup sec, ils retirèrent les tuyaux d’où sortaient encore un peu de l’eau diabolique, et pénétrèrent de suite la déesse par les deux orifices. Aucune douceur, aucune pitié…Après quelques va et vient violents, Quetz’ s’écroula sur le garde qui était sous elle…Elle était épuisée, elle ne disait plus rien, ne bougeait plus d’un poil. Cela n’empêchait guère les gardes de profiter de son corps malgré tout.
- Oh qu’c’est bon ! Tu as vu ? Ca rentre tout seul, ma garce !
- J’adore le bruit que fait son corps ! Son estomac est plein !
Des êtres ignobles, oui, c’en étaient malheureusement. Elle s’était fait poursuivre par une meutes de créatures-loups, elle s’était fait torturée, violentée même, et maintenant, elle se faisait violée, ne pouvant même plus se débattre.
- Achevez-moi…
Un murmure de désespoir…Un simple murmure qui voulait tout dire. Elle avait abandonné l’idée de sortir indemne de cela depuis un moment. Au combien même ils la laisseraient repartir, elle ne pourrait se soigner. On a beau se dire immortelle, quand on est faible, on peut toujours disparaître…