Besoin d'une carte ? Plutôt d'un bon GPS [PV]

Décidement Kenza commençait a ressembler un peu trop a n'importe laquelle de ses victimes...Elle avait donné une impression d'une jeune fille pleine d'humour quand il était entré et c'était ça qui l'avait motivé, mais a présent elle ressemblait un peu trop a une des innombrables jeunes filles qu'il avait rencontré. Il esperait bien que celle ci se rattrape sur la longueur quand il aurait commencé l'assaut, assaut qui était pour le moment imminent. Elle laissa la porte ouverte, n'était ce pas une invitation suffisante pour qu'il s'y glisse?Il passa devant la porte et resta dans l'encadrure de celle ci un moment comme une figure amicale...Pour l'instant

"Nous n'avons pas le chauffage ici, alors peut être voudriez vous que je vous apporte un chocolat chaud?"

Fit Don en entrant et en s'asseyant sur le lit...Bien décidé a la réchauffer. Il eut un sourire carnassier avant de lancer avec une voix charmante

"J'aimerais que vous passiez une bonne nuit, il n'y a rien de plus difficile que de se lever après avoir passé une mauvaise nuit."

Don eut un large sourire tandis qu'il rafermissait sa position sur le lit et comme il faisait sombre dans la piece, il fit mine de ne pas faire attention a ou il posait sa main et la posa sur la jambe de Kenza, a travers les drap, mais sur sa jambe quand même il se tourna vers elle et lança avec une innocente feinte

"Et je trouve que vousd ne parlez pas beaucoup, alors je me suis dit que c'était peut être le froid..."

Fit il...Même a travers les draps ses mains étaient chaudes...

Pas le chauffage, pas le chauffage.. Normalement n’importe quel Prince Charmant se devait d’avoir un palais chauffé ne ? La petite était lasse et fatiguée, perdait de son énergie et ne pensait qu’à roupiller. Alors bon, il pouvait la laisser maintenant et non pas de chocolat chaud mais cela, elle ne put clairement lui dire à part à travers un léger silence qui insinuait ce qu’il voulait dire. Cependant, quand elle le sentit s’asseoir à ses côtés, elle grimaça immédiatement de surprise, totalement perdue. Eh euh, où il s’installait là ? Sa chambre n’était pas au fond, beaucoup plus loin. Il avait un lit lui, il pouvait s’en servir. Habituellement, elle aimait partager avec ses amiEs, mais là c’était un lit quoi et le fait même qu’il s’assoit dessus n‘était pas décent. C‘était peut-être un Prince Communiste mais chez Kenza la propriété faisait un minimum le maître donc, ce lit pour ce soir il est à ELLE et donc elle y est seule.

Elle sursauta pour la troisième fois de la soirée en sentant la main chaude de Dorian se poser sur sa jambe. Elle écarquilla les yeux. Doucement ma fille, examine la situation, le lit est grand, décale toi. Et sans même prêter attention à ses nouvelles paroles, elle se décala vers l’autre côté du lit en ramenant bien ses genoux contre sa poitrine pour que ce genre ‘incident ne se reproduise plus é_è.

« C’est drôle eh ? Un instant j’ai cru que vous aviez accidentellement perdu votre main sur ma jambe, » tenta-t-elle avec un sourire nerveux, elle s’empêcha de trembler.

Elle n’avait pas peur, ah ça non, en fait, elle tremblait plutôt de douce confusion et ça l’énervait. Seulement, elle ne penserait jamais à lui vouloir du mal - comme si elle pouvait XD - donc, elle s’était contentée d’attendre qu’il s’en aille gentiment sans demander son reste. Parce que s’il demandait, elle ne pourrait absolument pas être méchante. Elle frappa donc soudainement dans ses mains, l’air faussement joyeuse :

« Ah voilà, il ne fait plus froid. Ne retenez pas votre nuit ! Allez-vous reposer, je vous ai donné du soucis en plus…j’en suis navrée. Bon, pour la troisième fois bonne nuit. »

C’était dit, c’était fait. Elle ramena le draps sur elle et s’allongea complètement, lui tournant sympathiquement le dos. Nobu se garda de rajouter quoi que ce soit, elle avait peut-être offensée son hôte et il y avait une chose dont elle navait absolument pas envie, enfin deux. Se retrouver à la porte et sentir une nouvelle fois sa main sur sa jambe. Non, rien de pire. Il pouvait être beau tant qu’il le voulait, et gentil, et bien qu’il le reste en ne la touchant pas justement. Bon, elle voulait bien lui accorder le bénéfice du doute. D’ailleurs, elle le lui accordait dans sa grande naïveté. Il n’avait pas fait exprès, c’était bon alors. Et puis, elle ne put s’empêcher de prévenir.

« Au cas ou, je suis tout au bout du lit…donc évitez d’y mettre votre main. C’est vrai qu’on ne voit pas grand-chose, mais je suis une grande fille, c’est mieux de dormir dans le noir…c’est plus reposant ! Allez pour la quatrième fois bonne nuit! »

Kenza soupira, et s’immobilisa un instant, tentant d’écouter la respiration de Dorian ou de ressentir son poids en moins sur le lit, signe qu’il s’en allait. Elle n’avait pas l’habitude d’être aussi attentive - forcément quand on ne se sent jamais menacer au pays des bisounours, c’est dommage.

Elle se mefiait légèrement a présent. Et lui demandait de partir, montrant que sa naïvetée avait des limites et elles étaent probablement placées sur les barrières de sa timidité.Don soupira doucement. L'instant tant attendu approchait et il était même imminent, pour lui c'était ça, son grand jeu, tenir toutes les cartes en main dès le début de la partie pour contraindre le joueur a ne plus pouvoir faire autrement que de tomber entre ses griffes, et dans la situation actuelle, Kenza se trouvait sans le savoir juste au bord du gouffre, sur une planche qu'il ferait tomber dès qu'il le déciderais. Don s'était approché de sa proie doucement et calmement jusqu'a ce que l'animal effrayé qu'était Kenza puisse ressentir son souffle, mais son masque le bloquait, et bientot il allait le tomber et montrer son visage de prédateur a la jeune fille. Don avait des notions très particulières de propriétées, tout ce qui était a lui le demeurait et tout ce qui appartenait a une proie le devenait une fois qu'il en avait fait l'acquisition. Acquisition qui était sur le point de se conclure le plus naturellement par la capture de Kenza.

A l'exterieur dans un timing impécable la boite de nuit se mit a faire un bruit de fond, donnant a Don les dernières clefs nécéssaires a la capture de Kenza. Souriant il écouta ce qu'elle avait a dire, qu'elle parle, qu'elle parle, parce que bientôt personne ne l'entendrais crier...

Je vous en prie, le plaisir était pour moi..."

Fit Don alors que Kenza se tournait de l'autre coté du lit pour ne pas avoir a le voir, avec le bruit de fond et la fatigue de la jeune fille, il était certain qu'elle ne remarquerais pas ce qu'il était entrain de faire, alors qu'elle lui tournait le dos il se leva doucement du lit et y appuya une caisse pour que le poids qu'il y appuyait demeure et que Kenza pense qu'il était toujours assiez. Pendant que Kenza lui parlait sans même oser se tourner vers lui il se deshabilla en silence jusqu'a ce qu'il ne porte plus aucun vetement. Puis elle lui souhaita bonne nuit et Don répondit avec un sourire

"D'accord, dans ce cas je vais vous souhaiter une bonne nuit et vais coucher."

Il avait fait mine d'oublier le "me" mais allait bien vite comprendre que ce n'était pas une erreur, enlevant la caisse et entrant dans le lit de l'autre coté, celà donna l'impression a Kenza qu'il se levait, et comme il y avait du bruit, elle n'entendit pas les pas qu'il fit pour sortir de la chambre, logique...Don était dans le lit alors qu'elle était de dos...Il attendit qu'elle se détende, puis, alors qu'elle semblait avoir oublié sa présence, il l'enlaça, la plaquant contre lui et Kenza sentant immédiatement quelque chose de dur entre ses fesses.

Le masque était tombé

Toujours rien, Kenza s’impatientait comme une mauvaise fillette, ne voyait absolument rien du stratège me du machiavélique Dorian et se contenta de fermer les yeux pour plus de concentration. La seule chose qui la troubla fut la musique, et bien dis donc, le prince devrait sérieusement penser à déménager comment allait-elle dormir avec ce vacarme. Elle soupira avant d’entendre la voit de Dorian qui apparemment s’était levée ou pas, elle n’en savait que trop rien. Il allait enfin se coucher, pas trop tôt. En fait, elle avait entendu me elle, parce qu’avec le fond sonore, elle avait cru le louper.

Enfin, maintenant, il était parti, elle ne sentait plus rien sur le lit. Elle se détendit donc et ferma les yeux malgré la musique lourde pour pouvoir tomber dans les bras de Morphée. Elle commençait d’ailleurs à succomber au sommeil quand deux bras puissants se refermèrent autour d’elle pour l’enlacer. Ses yeux s’ouvrirent brusquement avant de s’écarquiller en sentant la rudesse d’un corps d’homme contre le sien. Sa pauvre nuisette qui ne protégeait de rien, laissa passer cette désagréable sensation à travers le fin tissu. Elle comprit avec horreur de quoi il s’agit, faisant pression sur son joli et petit fessier. Et contrairement à ce dernier, ce n’était ni petit, ni fin. Elle se figea, se retenant de crier simplement ou bien de hurler aussi, autre option.

« Qu’est-ce… »


Elle ne pouvait pas se dégager ça c’était clair. Elle n’était plus calme là, et elle comprit alors avec une sourde terreur pourquoi l’option crier était inutile Bon, ne pas s’affoler, il y avait juste un homme de deux mètres dans son lit, entièrement nue et elle à moitié. Elle commença à angoisser et dirigea ses mains sur les avant-bras de Dorian pour tenter d’y faire pression. Constatant avec plus de regret qu’elle n’avait pas la force nécessaire pour se dégager de lui, elle gémit. 

La surprise passée, et l’affolement également, elle prit la peine de respirer par grands coups, sa poitrine tout de même bien galbée pour son âge se souleva à ce rythme. Elle se sentait oppressée et c’était peu dire, d’ailleurs son réflexe fut immédiatement de serrer ses cuisses, et de fermer à nouveau les yeux espérant qu’en les rouvrant mais non. Alors sa lucidité candide prit le dessus et elle trouva on ne savait où la force de demander :

« Que…je..je n’ai rien fait de mal! Si ? »

Elle voyait ce genre de brusquerie comme une punition, car oui, pourquoi la plaquer si violemment contre lui et la forcer par la même occasion à ressentir sa fierté d’homme si proche de son intimité féminine. Si c’était un délice pour lui, elle ça en devenait un relatif supplice pour l’instant, elle ne pouvait pas assumer ça. Elle grimaça, le souffle désormais court. La musique faisait rage et de secondes en secondes, les décibels augmentaient. Bon, un jour des camarades, pour la persécuter l’avaient coincée dans un laboratoire de biologie et l’un d’eux-lui avait toucher les seins alors que l’autre la tenait pour qu’un troisième passe sa main dans sa culotte, c’était le pire qu’elle avait vécu. Et pour elle, encore plus pire était impossible. Elle avait été sauvée par une surveillante qui passait par là…mais là c’était différent. Elle le savait et elle le redoutait.

Rien fait de mal?Il faillit en rire. Rien fait de mal?Non, ce n'était pas vraiment ça. Elle était relativement calme pour le moment, il la voyait déjà se débattre, mais elle avait rapidement compris qu'elle ne pouvait rien faire pour sortir de cette étreinte et que fatiguée ou pas, elle allait avoir une nuit chargée. Elle pouvait sentir la musculature de ses bras, et de son torse contre son dos, mais surtout également son attribut qui bientôt trouverait l'occasion de se faire sentir d'avantage dans la soirée il en était sur...Mais pour l'instant il ne pouvait que savourer sont triomphe sur la jeune fille et la regarder tremblante dans ses bras, devinant ce qui allait lui arriver maintenant sans mal.Don eut un sourire angelique et lui lança avec cette même voix amicale qu'il avait utilisé pour l'attirer dans ce piege pour la confondre encore plus dans sa défaite

"De mal?Oh non...Au contraire, tu es une jeune fille particulièrement mignone et bien éduquée, et j'ai décidé de te récompenser par un don. Je vais te faire voir la vérité sur ce monde, une vérité qui, quand elle te sera enseignée deviendra ta nouvelle philosophie..."

Amer et plein d'ironie, il se rapprocha d'elle et colla sa bouche a son oreille avant de lui murmurrer des "Douces" paroles, celle ci

"Tu es née dans ce monde dans l'unique but de satisfaire les hommes. Les femmes ont tendance a mettre en arrière cette vérité et ont inventé le féminisme pour la cacher, mais la véritable fonction de la femme est d'être un objet a notre service. Tu comprendra bien vite ce dont je parle...Tu peux bien sur le nier, mais la vérité se découvrira a elle même ce soir."

Don souffla un peu dans son oreille un soupir enflammé avant de lécher et mordiller le lobe de celle ci pour accroite le sentiment de dégout.

"Tu ne le sais même pas mais ton corps le ressent déjà, inconsciement tu excite les hommes dans ton entourage, c'est a cause de toi que je suis dans cet état maintenant, Kenza, a partir d'aujourd'hui je suis ton maître."

Fit il avec un ton convaincant avant de saisir la chemise en nuit tout en bas et de la remonter tout doucement, oh il ne comptait pas l'enlever ni la relever du tout, simplement il voulait la voir retenir avec ses petites mains son poing pour ne pas la dénuder...Avec délice

Elle ferma fort les yeux et tenta de rien entendre de ses premières paroles tant elles étaient horribles. Elle ne voulait PAS être récompensées et souhaitait qu’il la laisse en paix, c’était tout. Elle tenta d’éloigner sa tête, voir de la détourner quand il colla sa bouche à son oreille. Elle trouva bien évidemment ce contact tout aussi répugnant que celui plus bas, c’était tellement malsain.  Et puis, les fables qu’ils racontaient la terrifiaient. On lui avait toujours appris qu’on traitait les femmes comme des princesses, elle ne connaissait que la galanterie de son père et à part avoir été attouchée une fois, elle ne savait rien de tout ce qu’il racontait.

Elle gémit de plainte quand il se mit à mordiller son oreille, elle détestait sentir son souffle contre sa peau, c’était tout simplement pas du tout ce qu’elle imaginait. Dire qu’elle l’avait trouvé beau et attirant. Elle devait sûrement être punie pour ça justement. Elle serrait plus fort ses cuisses pour refuser d’admettre ce qu’il disait, non, ce corps ne pouvait que refuser ce genre de traitement.

Alors elle lâcha un petit cri de surprise quand il entreprit de relever le seul vêtement, seul rempart, qu’elle avait. Bien évidemment, elle l’en empêcha avec une force, toujours pas suffisante, mis qui l’étonna pour sa fatigue. Elle mit beaucoup d’énergie à empêcher son ascension et réussit  à résister juste en dessous de son fessier.

« Ca suffit ! » s’emporta-t-elle dans un souffle, désormais agacé.

Que cherchait-il ? La question ne se posait plus mais elle n’avait aucun moyen de lui rendre cette méchanceté et cette sympathique philosophie au visage. Gardant une main pour tirer sur la nuisette, elle tendit son autre bras vers le chevet pour attraper n’importe quoi même un stylo, pour lui crever l’œil. Ne pas rester passive ou elle s’enliserait.

Il n'y avait pas grand chose sur la table de chevet malheureusement pour Kenza mis a part la lampe, que Don ne lui donna pas le loisir d'attraper puisqu'il la gardait contre lui quoi qu'il arrive...Il eut un léger sourire et la tira contre son corps avec fermetée et force, ne la laissant pas le quitter pour autant. Don répondit avec une sincérité désarmante.

"Franchement, tu ferais mieux de t'abstenir de ce genre de réactions ma chère. Tu te massait tellement fort tout a l'heure que je me suis demandé si je ne devais pas te prendre sur l'instant pendant le repas a même la table. Tu ne porte pas de sous vetements et tu as laissé la porte ouverte...Ne me dis pas que tu m'a pas invité..."

Fit Don, il souhaitait faire ça pour la faire culpabiliser et lui montrer qu'elle aurait pu éviter ce qui lui arrivait en ce moment même. Le marchand d'esclave ne prenait aucune pincettes tandis que sa tête passait sur le cou blanc de Kenza et sa langue rapeuse léchait celui ci.

"Serieusement, que t'attendais tu a trouver chez un inconnu?Peut être aurait tu mieux fait de rester dehors, mais laisser une bande de voyoux déshordonnés mettre le grapin sur toi?C'eut été du gachis, regarde moi un peu ce corps...Tu as de quoi rendre heureux un prince..."

Fit Don qui joignit le geste a la parole en empoignant son sein droit a travers son vetement et entrepris de le pelotter un peu

"Ne crie pas que tu déteste ça, tu ne connais rien au plaisir. Mais ne t'inquiète pas je vais te montrer cette dimension que tu as ratée..."

Le marchand d'esclave se positionnait clairement en sauveur...

Ce type était totalement fou, malade et obsédé. Bien la veine de la petite. Elle se calma un instant, ne souhaitant pas se fatiguer plus, il fallait attendre une occasion. Naïve certes, mais intelligente aussi. Elle calma sa respiration, chose difficile à faire tant elle tremblait. Et surtout pour rien au monde, elle ne culpabiliserait. Il n’avait pas tort sur certains point mais pas tout le monde n’aurait agi de cette façon, et il lui avait proposé la nuisette, elle n’avait accepté que pour ne pas l’offenser malgré la luxueuse étoffe. Il ne devait pas inverser les rôles parce que pour l’instant, la victime c’était elle.

A cette pensée, elle retint un hoquet de consternation redoublé d’un spasme désagréable quand il passa sa langue sa peau tendre et blanche. Elle était brûlante cette langue, à confondre avec celle d’un démon même.  Enfin, sur le coup, c’était ce qu’il sembla à Kenza. Elle se contorsionna un peu en vain, et tenta de ne pas céder à la panique qui la gagna pourtant.

« Oui! Et je ne veux rien connaître au plaisir que tu me chante…laisse-moi à présent. »

Elle souhaitait comment dire, laisser faire le temps et là, il était en train de lui annoncer que cette nuit même serait un violent baptême du feu, elle n’était pas d’accord. Apparemment, il se fichait pas de sa permission. Elle mordit sa langue alors qu’il pelottait son sein droit comme si c’était le sien. Elle détesta, ça ne la jetait que dans une plus grande confusion et si son corps avait le malheur de réagir à cette caresse, ce serait une erreur hormonale tout simplement.

Elle posa sa main sur celle de Dorian et essaya de l’arracher à son sein pour qu’il stoppe de la pétrir comme de la patte.

Geste qui poussa Don a approfondir ses caresses avec encore plus de force, alors qu'il la pelottait simplement il se mit a pétrir le sein, saisissant parfois le bout du mamelon pour le plier un peu entre ses doigts. Il eut un soupir d'excitation mais ne fit rien pour le moment...Bientôt...Bientôt...Il allait lui donner une chance. Il avait déjà un plan pour le moment il se contentait de la prendre comme ça, mais bientôt il allait la faire déchanter. Elle se débattit un peu et essaya de lui montrer qu'elle n'aimait pas ça. Don lui lança avec ironie

"Et comment une petite pucelle comme toi peut savoir ce qui est bon pour elle et ce qui ne l'est pas?Tu saura bientôt ce que je veux dire par là, et dans quelques heures, tu me suppliera de continuer..."

Fit Don alors qu'il parcourait de sa langue son épaule, repoussant du nez légèrement la robe de chambre dont le cou était assez large pour dénuer l'épaule, il attrapa alors sa poitrine a deux mains et continua ses attouchements...

« Une pucelle ?! » s’indigna-t-elle.

Elle n’aimait pas quand on la traitait de pucelle, elle ne souhaitait pas qu’on l’étiquette dans une case particulière. Elle était juste elle, et très vertueuse donc de ne pas succomber à ce genre de vice inutile et douloureux. Alors soudain, elle eut une idée. Bon, Kenza n’avait jamais été peste de sa vie, ou chiante mais il y avait une première fois à tout et ce soir-là elle espérait que ce serait autre chose que ce à quoi voulait en venir Dorian.

La musique sourde servait de fond sonore et c’était une techno totalement déchaînée et insupportable. Alors qu’elle se mordillait la lèvre pour ne pas succomber devant ses caresses poussée, elle s’exclama d’une voix aigre :

« Et ils ne peuvent pas baisser la musique à côté! Une seule plaie me suffit ! »

La plaie en question, c’était Dorian, sa langue et ses mains. Même si ses seins commençaient à adorer ça, leur peau se tendant et les tétons se durcissant, son esprit à elle désapprouvait. 

« Et le lit n’est même pas confortable ! »

Elle lui passerait l’envie de vouloir la posséder, et quitte à ce qu’elle doive lui vomir dessus, elle le ferait. Il serait dégoûté, c’était la seule et unique solution pour qu’il se refuse à ses plans totalement tordus. Elle profita qu’il massât ses seins pour décoller ses fesses de l’entre-jambe de l’homme et tenta de mettre une jambe hors du lit. Il ne pouvait pas retenir son bassin plaquer contre le sien et pétrir ses seins, le tout n’étant pas au même niveau.

Don vit son indignation et en profita pour retourner le couteau dans la plaie avec une phrase bien placée en guise de préliminaires.

"Ne t'inquiète pas, tu ne le sera plus pour très longtemps...."

Fit Don tandis qu'il se concentrait a présent sur la nuque de Kenza, c'était bien de profiter un peu de cette fille, elle économisait ses forces pour tenter de fuir...Après tout la porte de la chambre était encore grande ouverte, elle tenterait surement de partir...Mais qui lui disait que ça ne faisait pas partie du plan de Don?

Alors qu'il continuait a la trippoter un peu elle fit une remarque completement décallée et Don s'arrêta quelques secondes devant l'absurdité de celle ci...Avant d'éclater de rire. Il avait eu bien des experiences, mais celle là on ne lui avait jamais, jamais faite. Et franchement, il commençait a apprecier Kenza, loin de relacher l'étreinte il lui sussura

"Tu aurais pu penser quelque chose de plus élaboré pour me feinter..."

Elle commençait a partir, dans quelques secondes il ferait mine de redescendre vers le bassin, celà lacherais assez de mou pour Kenza de filer...Mais où?Toutes les portes étaient fermées, celles vers l'exterieur étaient en acier, les fenètres étaient antichoc et pouvaient résister a des coups puissants...La seule porte ouverte était celle dans le salon...Où se trouvait Amy...Il descendit alors une de ses mains vers son bassin pour attaquer l'entrejambe, sa main était en voyage vers sa destination, c'était le moment qu'elle attendait.

« Monsieur est exigeant on dirait, quelque chose de plus élaboré non mais lâche-moi avant pauvre type! »

Il allait entendre parler de la pucelle et même Kenza se découvrait ce caractère un peu plus farouche qu’à l’accoutumée. Sûrement le danger présent qui vous changeait une femme. Elle l’avait même insulté de pauvre type, certes, ce n’était pas très grave vu ce qu’il devait s’en foutre mais le but de l’opération était juste d’éviter qu’il ne foutre en elle. Ca serait sympathique.

Elle grimaça en gémissant alors qu’il s’appliquait à resserrer l’étreinte. Elle était totalement perdue, sollicitée de toute part, son corps obéissait et son esprit acerbe et amer de ce piège tentait de s’exprimer par les paroles tranchantes et sèches. Le coup de grâce fut quand sa main frôla l’entre-jambe de notre rouquine. Immédiatement elle referma ses cuisses, donna un vilain coup de coude à Dorian, rien de bien grave, juste histoire qu’il dégage le passage. Elle n’avait pas la prétention de vouloir le tuer u_u.

Rapidement, elle bondit hors du grand lit mais se retrouva à terre à cause de manque de rattrapage et sa perte d’équilibre. Les joues rouges à causes des attouchements de l’autre obsédé, elle se redressa vite et fila de la chambre. Elle frappa à chaque porte, tambourinant pour demander de l’aide. Elle courait sans même regarder arrière.

Mauvais film d’horreur. Elle avait cette désagréable impression d’être dans le rôle de la pétasse à fort rouge à lèvre et en petite tenue qui à la fin serait étripée par le monstre. Loin d’elle tous ces clichés, ou à peu près, elle débarqua brusquement dans le salon. Absolument paniquée, en colère et ne sachant plus quoi faire, elle saccagea la table. Une maigre vengeance.

Alors, elle s’intéressa de plus près à la porte qu’elle n’avait pas réussi à ouvrir. Il le faudrait bien, c’était sa seule issue. Alors elle s’acharna dessus et après un vif coup épaule réussit à l’ouvrir à la volée. Emportée par son élan, elle échoua lamentablement au sol avant de redresser son visage. Ses cheveux aubrun, encore un mouillé par l’eau de la douche et la sueur étaient plaqués sur son visage pâle et son cou.

Elle resta interdite devant la vision qui s’offrit à elle et n’eut qu’une envie fuir à nouveau et faire preuve de lâcheté. Cette pauvre fille inconnu qui se trouvait devant elle lui rappelait le sort qu’elle risquait de subir et pourtant, elle obéit à son regard important et tenta de la détacher.

« Ne..ne vous en faîtes pas! « 

Dos à la porte, elle s’acharnait sur les chaînes.

Quelle naïveté, Don ne chercha pas a lui courir après. Il se leva tranquillement et marcha directement dans le couloir quelques secondes a chaque fois après que Kenza disparaisse de sa vue. Il savait où elle irait, il savait où était le seul endroit où elle irait, et ça tombait bien, c'était son cabinet privé. A l'interieur de celles ci se trouvait des murs parcourus de divers objets de torture sexuelle et sur un cheval d'arçon, empalée sur un gode se trouvait une adolescente de son âge qui remuait le bassin frénétiquement, commençant a se laisser transporter par le plaisir, dans cet état ou Don mettait la plupart de ses proies quand elles restaient trop longtemps dans cet état. Amy avait un peu de bave qui lui coulait de la lèvre et levait les yeux au ciel, dans un tel état de transe qu'elle entendit a peine Kenza entrer. Celle ci essaya de la libérer et c'est a ce moment là qu'elle la remarqua

-Qu'avez vous fait de lui?

Demanda t'elle avec inquiétude avant de lever les yeux et de trembler...Don se trouvait derrière Kenza et verouillait tranquillement la porte a clef avant de se tourner vers les deux jeunes filles

"C'est très méchant de désobeir a son maître, je crois que tu as encore une longue route a faire si tu veux devenir comme ton amie, qui a compris a accepter le plaisir et pas a le repousser...Elle a compris sa vraie nature..."

Don eut un sourire

"Mon lit est inconfortable?On va voir ce que tu pense de cette piece"

Kenza aurait été surement plus contente de faire ça dans un lit, puisque ce qui l'attendait était la grande table parcourue de lanières de cuir...Mais la vision était plus cauchmardesque qu'avant, car comme il se trouvait derrière elle, elle ne voyait rien, alors que là Don se tenait, entièrement nu devant elle, prêt a utiliser ce qui se dressait entre ses jambes. Il se tint sur ses gardes néanmoins, le coup de pied dans l'entrejambe étant la défense la plus efficace dans cette position.

"Je vais devoir te punir."

Quoi ? Kenza écarquilla les yeux alors que la jeune fille lui posait la question. Pourquoi se souciait-elle de celui qui l’avait mise dans un état si dégradant.


"C'est très méchant de désobeir a son maître, je crois que tu as encore une longue route a faire si tu veux devenir comme ton amie, qui a compris a accepter le plaisir et pas a le repousser...Elle a compris sa vraie nature..."

Elle sursauta, et ce n’étai que la quatrième fois en deux ou trois heures. Il avait un problème avec la notion de s’annoncer ou frapper avant d’entrer. S’il prévenait de son arrivée, elle perdrait déjà beaucoup moins ses moyens. Bien évidemment, elle ne se doutait pas trop que c’était la là politique qui arrangeait son agresseur. Aux paroles de Dorian, elle jeta un coup d’œil à la jeune fille et fut prise d’un grand effroi. Ressembler à elle ? Plutôt être défigurée oui ! 

Elle jeta un regard méprisant à Amy et déclara sur un ton rêche, mais soutenue par des jambes tremblotantes.

« eh bien tant mieux si elle a compris sa nature, je connais la mienne et plus elle est loin de toi, mieux elle se porte ! »

Le tutoiement maintenant mais elle était tellement rompue de plus l’ambiance de la salle ne lui avait pas permis de se détendre outre mesure. Lit ou pas lit ça ne changeait rien à l’affaire, elle ne voulait rien du tout avec lui.  Elle recula donc, évitant de le regarder par simple question de pudeur. Elle trouvait totalement dégoûtant de voir un mec nu, c’était d’une insanité complète.

La petite rouquine finit par heurter un mur qui coupa là sa retraite. Elle observa à droite à gauche, paniquée, mais ne vit que divers instruments et autres. Encore une fois l’ambiance était au rendez-vous. Elle déglutit péniblement et manqua de s’effondrer au sol. Chose qu’elle ne tarda pas à faire vu que ses jambes ne purent la soutenir plus longtemps et se dérobèrent. Elle se retrouva à genou, totalement blasée, ne sachant plus quoi faire. Elle posa une main sur le mur et tenta de se relever, la fatigue prenait le dessus.

« Arf! Me punir pour tes bêtises! »

N’importe quoi, et tant qu’elle serait en vie, ni lui ni personne d’autre ne prétendra à la prendre de cette manière.

C'est ce qu'on allait voir, Don s'avança, et Amy le regardait d'un air terrorisé, un seul regard réussit a lui faire comprendre qu'elle ferait mieux de s'occuper de ses oignons et elle baissa les yeux. Don s'avança vers Kenza et lui saisit le bras pour la relever comme on soulève un sac: d'une simplicité enfantine...Il avait assez de muscles pour ça, il saisit donc Kenza et l'attira vers lui avant de la prendre par dessous les aiselles et la regarder dans les yeux...La leçon allait commencer, mais tout d'abord Don la regarda d'un air sévère...Il était le maître ici, et elle l'esclave, elle devait le comprendre et en tout cas elle le comprendrais après avoir été a son contact. Il lui lança un regard sadique.

"Silence, je te punis parce que tu as été une esclave désobeissante. Il est temps de te sortir toutes ces années de féminisme stupide qui t'ont éloigné de la vérité et te replonger dans la seule voie pour toi :celle de me satisfaire."

Et joignant le geste a la parole, il saisit Kenza et s'assit sur la table avec elle avant de la coucher sur ses genoux, les mains d'un coté de la table et les jambes de l'autre... En bonne vue avec Amy qui la regardait avec un air de pitié a présent. Sur son ventre elle sentait la virilité de Don pliée sous celle ci. Don remonta alors la robe de chambre de Kenza assez pour voir ses fesses et posa une bonne poigne sur celles ci, aggripant l'une de ses fesses, fermes et rebondies.

Puis ça commença. Il la fessa, il lui donna une fessée comme a ces enfants, déculotée...Il ne s'arrêta que lorsque ces fesses furent bien rouges...Après quoi il la libéra de l'étreinte et la plaça sur la table ou il la força a être attachée sur le ventre, au niveau des mains.|/i]

"Passons a la seconde partie"

Il écarta alors les jambes de celles ci et se mit a lécher son entrejambe...