Nom/Prenom/Surnom :
Je suis Nathaniel, Prince d'Ashnard et maître du domaine Ashnardien d'Oblivion, auquel ma famille a donné son nom.
Age :
18 ans
Sexe :
Mâle
Race :
Je suis un avatar.
Orientation sexuelle:
Je suis bisexuel, mais je ne touche qu'aux hommes particulièrement androgynes.
Description physique :
*Une servante s'approche de vous. Elle est petite, terrifiée et elle jette des coups d'oeil partout, le coeur battant, et elle dépose un parchemin devant vous avant de prendre la fuite, de peur de se faire prendre, se sachant surveillée.*
"Le maître Nathaniel est un homme loin d'être aussi imposant que son nom peut le suggérer. C'est un jeune homme, pas très grand, dont les yeux hétéro-chromes (L'un est jaune alors que l'autre est bleu) au regard glacial laissent percevoir la connaissance parfaite qu'il a de la personne qui se trouve devant lui. Ses cheveux longs et bruns lui tombent légèrement sur les épaules, lissés par les soins des coiffeuses les plus expérimentées d'Ashnard. Son visage est doux et il ne semble pas maléfique le moins du monde. Il ressemble davantage à la victime qui appelle secrètement à l'aide... il s'agit en fait du reflet de celui que vous serez si vous restez trop longtemps entre ses mains.
En apparence, c'est un homme fragile, car il n'a aucune masse musculaire. De taille moyenne, sans quelques attributs physiques menaçant, il passe facilement inaperçu aux yeux du public lorsqu'il se déplace parmi eux. Son corps est faible, comme je l'ai dit, mais la magie qui coule dans ses veines lui donnent une force surprenante. Il est capable de manier l'épée avec autant d'agilité que de puissance, ses coups sont capable de fendre aisément les armures et même trancher en deux les épées les plus solides, que la sienne soit de facture supérieure ou non. Ne le sous-estimez pas. Il n'est pas maître de son domaine pour rien. C'est un as du combat, un homme endurant et spécialement un homme très rapide. Comme le serpent qui simule sa mort pour mieux attraper sa proie, sa faiblesse apparente n'est qu'un déguisement qui lui permet d'endormir votre vigilance pour mieux vous tuer. Si vous le voyez sur un champ de bataille, fuyez!"
Caractère :
"Mon maître est un psychopathe. Il ne ressent jamais de regret, et n'hésite pas à faire du mal aux gens qui l'entourent, que ceux-ci lui soient ou non liés par les liens du sang. Ses méthodes de torture sont reconnues de partout, et même les Mord-Sith sous le joug de Mordret reconnaissent ses capacités sur ce niveau. Il ne succombe jamais à la pitié, il ne s'arrête jamais sous les supplications et il n'accepte jamais un seul compromis. Ses suppliciés survivants ne sont que très rarement capable de parler de ce qu'ils ont vécu plus d'une dizaine de secondes tant les douleurs étaient affreuses. Tant que mon maître n'est pas satisfait, ses tortures ne s'arrêtent pas, et même parfois, il ne s'arrête qu'une fois l'esprit de son sujet totalement brisé et impotent. La plupart de ceux qui subissent cette sorte de traitement sont rapidement pris en charge par la famille ou par des amis proches qui peuvent s'occuper d'eux, sous peine de mourir d'inanition, de déshydratation et autres.
Le Maître est un noble, il a donc reçu une éducation particulièrement poussée, et il est reconnu comme étant un génie. Bien que brutal et agressif, ceux qui osent le prendre pour un puissant écervelé regretteront toujours le moment où ils l'ont laissé les approcher. Il n'a pas besoin de longues études pour comprendre quelque chose; il n'a qu'à regarder une personne et il sait aussitôt tout ce qu'il a à savoir. Ses connaissances dans tous les domaines sont vastes, et il ne se lasse jamais d'accumuler les informations, autant sur la magie que sur les événements, et cet intérêt fait qu'il sait toujours tout ce qu'il a besoin de savoir. À lui seul, il pourrait conquérir le monde, mais il ne le fait pas. Il nous a dit, un jour, que conquérir le monde était inutile. Ce qu'il aime, c'est savoir. Ce qu'il aime, c'est la souffrance qu'il voit dans les autres. Une domination reviendrait à devoir prendre la responsabilité d'un monde complet, ce qui serait trop ennuyeux à son goût. Cependant, il a avoué vouloir contrôler ce monde. Tirer les ficelles de chaque être, créer un monde parfait selon sa propre vision des choses, devenir, en quelque sorte, un Dieu. Il aime faire partie de la noblesse, car c'est dans la noblesse qu'on trouve les êtres les moins nobles, et il est toujours intéressant de provoquer l'étincelle qui cause la ruine.
Contrairement à ce que l'on peut croire, Nathaniel n'a aucun intérêt pour le combat. Sa puissance en elle-même rend tout combat complètement futile, car il gagne à l'avance. Certains adversaires pourront tenter et réussi à nuire à ses désirs, mais tout ce qui a une conscience est potentiellement exposée à ses dons, donc à ses terribles illusions, ce qui le protège d'à peu près tout. Bien que les combats fussent autrefois intriguant pour lui, ils perdirent de l'intérêt lorsqu'il s'introduisit dans l'esprit des commandants, qui se voyaient rapidement déjouer. Pour lui, c'était comme de la triche qui ne fut jamais dénoncée... ou si elle le fut, c'était inutile d'essayer de lutter. Il ne tire aucun plaisir aux échanges d'épées. En fait, il n'y a rien de telle qu'une bonne et longue séance de torture, car on ne sait jamais exactement à quel moment le supplicié va craquer. Ou alors, il culbute sauvagement ses servantes, en particulier son esclave personnelle. Il aime aussi beaucoup voyager et découvrir de nouvelles choses sur le terrain, ce qui le conduit souvent dans des lieux que les gens ne fréquentent pas, normalement.
Histoire :
Journal de Nathaniel:
“Je suis né il y a dix-huit longues années au palais impérial de l’union de la Duchesse Carlisis d’Oblivion et de l’Empereur Mordret d’Ashnard. C’était une union purement politique visant à asseoir le pouvoir de mon père sur tous ses territoires. Pas que cela me gêne personnellement d’être le fils d’un homme aussi ennuyeux et prévisible, mais il semblerait que ma mère en ait bavé, donc, je n’aime pas particulièrement cet homme. Vous allez me dire que c’est normal, puisque par la faute de ses traitements violents, ma mère n’a pas survécu à l’accouchement. Bref. Mordret a affecté une multitude de précepteurs et même un général à mon éducation, comme la plupart des autres héritiers de cet homme. Mes précepteurs n’eurent d’ailleurs qu’à m’apprendre à lire et à écrire, car la semaine suivante, je me plongeais dans des livres sur la stratégie militaire, sur l’usage des armes, sur la gestion de territoires et encore bien d’autres sujets que je ne citerai pas dans ce journal. Mes capacités de compréhension et d’analyse étaient, pour ainsi dire, surhumaine, et encore plus l’étaient mes aptitudes physiques au combat. Épée, lance, canne, sabre, nunchaku, claymore, je maniais tout avec le plus grand talent. J’étais en fait l’élément le plus prometteur de ma génération pour l’accession au trône. Le seul hic? J’étais également le plus jeune des rejetons de l’Empereur, et j’avais déjà un titre de noblesse, celui de Duc d’Oblivion, depuis la mort de ma mère. À dix ans, mon père me donna enfin congé pour que j’aille trouver mon domaine et que je m’y installe. Il ne m’a jamais adressé directement la parole, mais je n’ai jamais non plus désiré voir cet homme. Vous noterez la parfaite inutilité de ma dernière phrase.
Ma rencontre avec le serpent de ma famille fut plutôt tumultueuse. Dès mon arriveé au château, Viper a tenté de me dévorer vif. C’est normal, après tout, c’est un serpent. Mais le fait que le voir me laissa de marbre le laissa, apparemment, très surpris. En fait, il m’avoua par la suite que si j’avais hurlé, il m’aurait mangé pour me faire taire. Probablement l’une des pires introductions qui soit, mais ce fut la nôtre, et dès lors, le vieux serpent devint mon plus fidèle compagnon et probablement le seul ami que je n’aurai jamais. Ma montée au pouvoir du territoire d’Oblivion fut énormément contestée, mais mes pouvoirs d’omniprésence et de contrôle de l’esprit de ceux qui vivaient sur mon territoire neutralisèrent toute rébellion avant même qu’elle n’éclate. Les gens avaient déjà peur de moi, et ils allaient avoir peur à jamais, d’ailleurs, car qui oserait essayer de combattre un enfant qui n’a qu’à désirer votre mort pour qu’elle se produise aussitôt? Sur Oblivion, il n’y a pas d’immunité à mon pouvoir. En fait, mes terres ne reconnaissent qu’un seul groupe de magiciens et ce sont ceux qui m’ont juré leur loyauté avec sincérité. Tout magicien entrant sur mes terres se voit dépouillés de leurs pouvoirs. Même l’Empereur ne pourrait pas se présenter devant moi avec un artéfact magique opérationnel. Ce qui m’a choqué, à l’époque, en tant qu’enfant, c’était la facilité avec laquelle j’arrivais à accéder à « voir » tout ce qui se passait autour de moi. Du moins, sur ma terre. Mais j’ai longtemps cru qu’il fallait absolument que ma victime soit un de mes sujets pour accéder à son esprit et lui insuffler de terribles cauchemars éveillés, mais si je ne peux pas contrôler les actes des étrangers, je peux quand même lire dans leur tête et leur en faire voir des vertes et des pas mûres.
À douze ans, je connus la guerre. Nexus avait tenté une percée au travers de mon duché. Je ne crois pas que cela vous étonnera lors que vous dirai que j’ai pris grand plaisir à regarder ces idiots courir dans tous les sens pour fuir des dragons imaginaires, ou alors s’entre-tuer à grands coups de hache pour éliminer un monstre qui se trouvait être en réalité un camarade tout ce qu’il y a de plus humain. C’était jouissif. C’était agréable, mais trop facile. Ce n’était même pas drôle, au fond. En fait, je me suis lassé de ce petit jeu au cours du premier mois. À quoi bon, après tout? C’était trop simple. Mais la guerre m’avait apporté quelque chose de nouveau; les prises de guerre, les pillages, les massacres et les gémissements d’horreur de mes victimes. Aussi, pour m’amuser, je torturais, violais et tuais beaucoup de mes sujets pour le simple plaisir sadique de les entendre hurler, et un jour, je l’ai rencontrée, cette sale petite sorcière de Nerilka. Je n’ai pas pu la tuer. J’ai exterminé toute sa famille, et pourtant, dès que je l’ai vue, j’ai su que la tuer ne me donnerait aucun plaisir. La torturer et faire de sa vie un enfer était visiblement la seule chose que j’ai trouvée. Et puis, elle avait un don incroyablement intéressant. Je pouvais la battre autant que je voulais, elle guérissait plus vite que bien d’autres, aussi je me suis servi d’elle pour mes expériences trop dangereuses pour les gens normaux et je lui accordai le droit de se servir de son pouvoir. Elle semble m’attribuer ce miracle, mais ce n’est qu’une demi-vérité. Mais ce n’est pas moi qui vais la démentir.
À dix sept ans. C’est ce jour-là que cette maudite fille a tout fait foiré. Elle et son merdeux de petit copain. Alors qu’elle avait quinze ans, elle s’était liée d’affection pour un de mes serviteurs. Au début, cela m’a amusé. Mais lorsqu’elle a tenté de se donner à lui, j’ai pété un câble. Pour la première fois de ma vie, j’ai perdu mon sang-froid. J’ai fait irruption dans le quartier des serviteurs, dans la chambre de ce maudit gamin. J’ai agrippé les cheveux de cette chienne et je l’ai traînée de force avec moi, laissant mes gardes s’occuper du cas de son amant. Je l’ai frappée je ne sais trop combien de fois, et je l’ai violée. Je voulais qu’elle souffre. Je voulais qu’elle pleure. Elle avait osé me trahir. Elle était MA propriété et elle avait osé tenter de donner son corps à un autre. Je n’ai jamais été aussi furieux, et pour ma propre crédibilité, j’ose espérer ne plus jamais me fâcher ainsi. Je lui ai même infligé les pires illusions sans effet physique que je connaisse, je lui ai arraché pendant toute une nuit tous ses espoirs, inlassablement, puis je l’ai laissée tranquille. Ne me demandez pas pourquoi. Je ne le sais pas. Je ne supportais pas de voir ses larmes plus longtemps. Je me voyais comme un monstre pire que je ne le suis réellement.
Aujourd’hui, c’est mon 18e anniversaire. Aujourd’hui commence une histoire qui ne se terminera jamais… "
Situation de départ :
Mon esclave personnelle pourra vous parler de mes exploits... en termes de douleurs... ainsi que la plupart des femmes qui m'entourent.
Autres :
Omniprésence et télépathie (Contrôle des actes et captage des pensées): Le pouvoir de Nathaniel est de savoir tout ce qui se passe dans la tête d'une personne ainsi que tout ce qui se passe autour de lui. Il est pour ainsi dire omniprésent. Ce pouvoir est efficace à tous ceux qui lui sont liés, mais il doit connaître physiquement la personne, mais il est capable de contrôler les pensées de plusieurs personnes pour les forcer à se soumettre à lui. Mordret y est immunisé pour une raison qui le dépasse.
Illusions: Une variante du contrôle; il parvient à forcer l'esprit-sujet à croire qu'il y a des choses qui l'entourent qui n'existent pas, et cette croyance est si ancrée que des effets physiques sont ressentis (il n'est pas rare de voir un homme aux membres brisés par ces illusions). Il est possible d'y résister si on a une conscience accrue de la réalité et qu'on arrive à convaincre son subconscient de l'inexistence des illusions, ou alors d'être tout simplement con.
Viper: Le reptile invertébré préféré qui ne quitte jamais bien longtemps le maître d'Oblivion. Viper est un serpent enchanté qui ne suit que son véritable maître. On le dit immortel. Son venin ne tue pas, mais il ralentit tant les battements du cœur que ce n'est qu'à un cheveu près de la mort. Son maître est immunisé contre son venin, à cause de trop fréquentes expositions.
Comment avez vous connu le forum:
Top site
Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous?Si oui lesquels:
Non, je suis navré
