Bon, là il commencait a être sacrément énervant. Pourquoi fallait il qu’il la soule avec ses propos de dessin animé, il ne pouvait vraiment pas comprends que cette vie lui allait. Non, il se devait d’intervenir, de tenter de la raisonné de faire en sorte que celle-ci recommence a croire en l’humanité. Mais mince à la fin, il se moquait d’elle encore ou quoi… C’était vraiment, mais alors vraiment chiant ce genre d’attitude.
Elle soupira un long, très long moment, avant de se caller dans le canapé, et de le regarder d’un air blasée…
-Bon, tu dois vraiment avoir un problème de neurone pour pas comprendre ce que je t’ai dis.
Mais je vais te dire pourquoi je vis, sombre crétin. Je vis, parce que mon but est d’exterminer ceux qui ne méritent pas de vivre. Tous ceux qui sont plus faibles que moi et qui ne me servent pas, je me fais un plaisir de les éliminés. Or, toi tu va me servir… Donc je te laisse en vie, c’est d’ailleurs pour cela que je t’ai pas encore tranchée la jugulaire, même si ce n’est pas vraiment l’envie qui m’en manque. Enfin, si tu veux vraiment te suicidé, je t’offre le couteau, mais va au moins le faire dans la salle de bain : c’est vraiment salissant le sang sur la moquette, et je parle par expérience…
M’ouai, c’était vraiment un dialogue de sourd, mais c’était ce cornichon qui avait commençait après tout, mais le but de tous les humains dans la vie… A de jolis mots, sauf qu’à vrai dire elle, elle ne recherchait qu’une seule chose : Le pouvoir. Oui, c’était ce qu’elle voulait, et pour cela, elle n’hésitait pas à manipuler son monde. Mais, en réalité, il restait au fond d’elle un peu d’humanité. Mais elle ne le montrerait jamais à cet idiot d’hybride. Non, il n’y avait que les enfants qui lui inspiraient sa sympathie… Des êtres encore si purs et si manipulables… Qu’il était facile d’en faire des outils.
Elle pouvait se montrer maternelle, voir même sympathique, si l’on ne dépassait pas les dix huit ans. Après, elle n’était qu’un bloc de glace. Un véritable iceberg que même le pire réchauffement climatique ne pourrait fondre…
-M’ouai, c’était des esclaves. Et bien présente les moi, je me ferrais un plaisir d’abréger leurs pauvres vies. Après tout, c’est mon rôle d’aider les autres non ? Je leurs rendrais service.
Un sourire mauvais s’était ajouter a l’expression de la terranide ? Elle devait être plus altruiste ? Et bien, elle le saurait, à sa manière bien évidemment… Bon, elle espérait que cette fois, elle avait était assez claire, elle commençait à se lasser de ce petit jeu… Non parce que briser ses pauvres espoirs, cela était sympathique, cinq minutes… Mais, la c’était lassant…