Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Les écureuils devraient rester perchés dans les arbres... [PV kokoro]

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Khaléo

Terranide

[hrp: reprise d'un rp qui n'a mené nulle part ]

La poussière s'élèves dans les airs sur les sentiers terreux, secs de plusieurs jours ensoleillés ayant presque désseché la surface des chemins et fendu l'épiderme de la terre en crevasses peu profondes, la poussière s'élève donc... Mais aucun bruit ne parvient à nos oreilles...

Là, une silhouette ombrageuse, déchirée par une cape sombre, indistincte, que l'oeil n'accroches à aucun moment, se déplace si rapidement que la rétine n'arrive pas à en dessiner la forme exacte... Trop tard... il vient de disparaître dans d'épais fourrés, mais ce qui choque au point d'en être presque un blasphème pour une ouïe parfaitement constituée, c'est le silence... Le silence avec lequel cette "chose" se déplace.

Quelques mètres plus loin, et il daigne enfin à nouveau se montrer, mais l'oeil n'arrive pas à encore à se fixer sur lui, comme si son image, sa silhouette, échappait naturellement à la "mise" au point  de vos yeux.

Et ses maudits pieds touchent le sol ! Ses semelles ne produisant toujours aucun son ! Et ça irriterait presque, car l'oreille semble la réclammer, cette percussion de la matière de ses bottines d'assaut à chaque fois qu'elles rencontrent le sol, au point où cette absence de bruit en devient dérangeant, aucun son n'est émis de cette silhouette sombre qui passe si rapidement entre les feuillages des arbres et qui zigzague derrière les troncs, si furtive, si rapide...

Chacun de ses pas est précis, chaque mouvement d'une efficacité pouvant être qualifiée de redoutable, sans fioritures ou artifices, accompagné pourtant d'une touche presque élégante, féline et à la fois brute du corps entrainé de cette créature, mouvements conditionnés par une très longue expérience et habitude, faisant disparaitre le son de toute friction des habits qu'il porte, et il en faut une sacrée  bon dieu de maitrise de soi pour avoir une telle conscience de son propre corps, non seulement de celà, mais également des différents éléments d'armures, fourrures, cuir, et tissus qu'il revêt, des distances d'appui, des longueurs de frottements entre les différentes matières, c'en est foutrement dérangeant, l'oreille en est littéralement obsédée, car l'oeil traduit les mouvements au cerveau qui s'imagine déjà le son à l'avance qui "devrait" être produit, mais rien ne sort bon sang de bonsoir !

Bref, vous l'aurez compris, un bel enfoiré de professionnel, et ce n'est pas seulement cette façon de se déplacer en échappant habilement à vos sens qui soit capable de vous mettre la puce à l'oreille, il y a plus d'un élément sur lui qui le prouve si vous l'aviez en face de vous, comme les bandages entourant ses bras, et presque l'entiereté de son corps, ils sont serrés et enroulés de façon précise également, l'oeil aguéri d'un soldat expérimenté comprendra qu'ils sont placés dans l'exact sens inverse de la torsion naturelle des muscles du corps, pourquoi une telle précaution ? C'est la question que vous pourriez vous poser comme le commun des mortels où immortels, qui que vous soyez, la réponse à ce qui semble être une surenchère de précautions se trouve autant dans son dos, que dans son propre corps, dissimulée sous sa cape, une grosse "poutre" d'acier aiguisée, beaucoup trop lourde, trop longue et trop épaisse pour être "humainement" soulevée et maniée, seule une colère, et une rage lui provenant du fond des âges, bestiale, couplée à la force latente de sa véritable nature profonde, lui permet de manier ce maudit objet, seule l'hybridation des malédictions dont il est issu lui permettent une prouesse de la sorte, mais la précaution que représente les bandages serrés de cette manière autour de ses membres, l'empêchent tout simplement de s'exploser les muscles et de se déboiter, ou broyer les os sous la pression de sa propre rage et du poids de son arme quand il la manipule avec une rapidité et une force tout bonnement ahurissante, cette monstruosité batarde de métal lourd et hurlant qu'il ose appeller "épée".

Autour de sa taille deux sympathiques ceintures tactiques de soutient dorsales l'aident également au soutient de sa colonne vertèbrale pour les mêmes raisons que citées précédemment, elles sont très serrées, presque au point de lui couper la circulation sanguine autour d'une taille souple, musculeuse mais plus fine que son buste, des pochettes en cuir de taille moyenne, trois en tout, une a gauche, une à droite et la dernière dans son dos, sont attachés à ces ceintures, elles contiennent pour la plupart des poudres abrasives où explosives, quelques chausses-trappes et encore collets, dont il fait un usage autant stratégique qu'audacieux en combat, pour vous dire, la dernière fois qu'il s'est servi d'un chausse trappe pour se sortir d'une situation de merde, il en avait caché un dans sa bouche, avant de le coincer entre ses dents pour taillader les lèvres et les yeux d'un connard qui pensait pouvoir l'étrangler avec un cable en acier après lui avoir attaché les mains.

Sauvage, et vicieux mais surtout au combat et lorsqu'il s'agit de survivre, capable du pire et de se servir de tout et n'importe quoi, et ça se voit parfois dans ses yeux s'il on regarde bien, ainsi que sur son visage parsemé d'une multitudes de fines cicatrices, parfois anciennes, parfois un peu plus récentes, certaines tellement vieilles qu'elles ont pratiquement disparu, mais tout ça ne l'empêche pas de bien profiter de son existence.

 Oh, ça il aurait pu... devenir aigri après tout ce que cet être à pris dans la gueule, mais de façon surprenante, çelà à presque eu l'effet inverse qu'on pourrait escompter malgré tout, tout ça n'a fait que de lui ouvrir les yeux sur la nature profonde du monde, il garde donc un esprit largement ouvert, mais s'il rencontre un "enfant de putain" qui essaye de lui causer des emmerdes, ça ne l'empêchera pas de l'ouvrir et de dire ce qu'il pense, et d'être plus que démonstratif en prime si ça s'avérait nécessaire, si vous voyez ce que je veux dire.

Mais la liberté... elle se trouvait ici... en pleine nature pour lui.

Sauvage, et sans réelles limites, la liberté, comme dans cette magnifique forêt, chose qu'il affectionne et qu'il chérit, la nature n'est pas régie par ces conneries de lois, elle reprend toujours ses propres droits, même au sein des plus grandes cités du monde, aucune règle ne dictera à une pousse de mauvaise herbe, de ne pas pousser dans les jointures des pavés, des briques ou même dans les fondations d'une cathédrale, on peut les couper, les déraciner, elles reviennent toujours, la nature n'en à que faire des religions et du temps qui passe, s'il y a bien une seule chose sûre dans cet univers, c'est que la nature survivra à toutes les pourries d'espèces qui peuplent cette connerie de planète, et toutes les autres par la même occasion.

Autrement dit, c'est ici qu'il à choisi de vivre il y a très... trèèès longtemps... Et ouais ! En pleine forêt ! Dans un coin tellement reculé que ni les dieux, ni les démons ne semblent en connaître l'existence, où ils l'ont tout simplement oublié, et ils s'en tamponnent le coquillard avec la patte arrière d'un canard, ils sont trop préoccupés à reluquer le cul des humains, et des humaines pour se rendre compte que le principal se trouve là justement ! Un coin de forêt vierge où cette "créature" à établi son repaire, son antre, sa "tanière", depuis... de longues années déjà.

Alors que la silhouette de cette créature traverse d'épais feuillages et des fougères qui fouettent son visage en l'humectant de la douce et fraîche rosée du matin, loin des sentiers connus de la forêt, le bonheur se livre à ses yeux émerveillés, comme à chaque fois qu'il vient ici, une cascade d'eau projettes milles et une fines particules, goutelettes qui ruissellent doucement sur son visage et le rafraîchissent d'une longue marche sous un soleil de plomb, qui avait duré plusieurs jours, tombant dans une petite vallée remplie de verdure, il descend et glisse sur les rochers et on sent qu'il à l'habitude d'emprunter ce chemin carrément casse-gueule pour celui qui n'est pas agile comme un chat, chaque pas qui glisse sur un galet humide ou rempli de mousse, est rattrapé par un sens hors norme de l'équilibre chez Khaléo, il est désormais en bas et repousse ses longues méches noires et blanches par endroits, farouches devant ses yeux, qu'il tient quelques instants en arrière.

Cambré de son dos, de ses muscles avec une rare souplesse qu'on qualifiera de "féline" devant cette chute d'eau tout en fermant les yeux, il sait profiter de la simplicité rare de ce qui lui est offert, l'air est tellement pur par ici, les fines goutelettes produites par la rencontre brutale de l'eau de la cascade, contre son propre élément perlent sur son visage, lissent la longueur de l'arrête de son nez, rebondit sur le bout de ses petites narines avant de faire le tour presque complet de ses lèvres, avant d'aller mourrir sur la fin de son menton, et quand l'eau accumulée forme une goute à l'extrêmité de cet endroit, elle choit sur le sol en quittant son menton.

L'eau s'évapores à la surface de sa peau rendue "huilée" par sa sueur mélangée à l'eau, la lumière du soleil semble lécher les contours de ses formes plus que de raison, détachant avec précaution la boucle de ceinture de son pantalon, une belle tête de Lion de profil en fer forgé, apparemment par ses soins, qui mordait dans une boucle d'acier afin de resserrer celle ci, il avait une taille plutôt fine, et poussa un râle de satisfaction quand la ceinture réellement trop serrée tomba enfin au sol, et que ses doigts tirèrent un peu sur le contour de ce pantalon en cuir  un peu trop usé, mais il l'aimait, entre autre parce qu'il portait encore la preuve de quelques combats, puisqu'il était lacéré autour de ses cuisses, laissant entraperçevoir à quelques endroits qui semblaient presque choisis, la surface de la peau de ses cuisses, devant, et derrière sa personne, quand le pantalon tomba enfin, dévoilant la belle galbe de ses jambes et les rondeurs agréables et particulièrement fermes de son derrière, il détacha sa queue de tigre, enroulée et maintenue par des cordages autour de sa jambe gauche, il y avait des marques rougies de frottements autant sur sa cuisse que sur ce troisième appui, c'était foutrement douloureux de garder cette dernière cachée de cette manière toute la journée.

Après ce fut au tour de sa vieille cuirasse de cuir et de plaques articulée, noire, aux reflets  métalliques mats surmontée d'une couche huilée de tallum, et d'un damasquinat léger à l'orichalque bleu nuit, elle aussi, comme le reste de son équipement, était vachement abimée, lardée de coups et de lacérations, construite là aussi de sa propre main et sur mesure, elle tomba négligemment au sol, dans un fracas métallique ahurissant qui se répercuta dans tous les coins de cette petite vallée ou venait se jeter cette chute d'eau,  suivie des nombreux bandages trempés de sueur qui entouraient un corps, qui était maintenant leché et souligné par les rayons d'un soleil filtré par les feuillages des arbres.

Il entrouvre ses lèvres qu'il détaille lentement du bout de sa langue pour profiter brièvement de l'eau ruisselant sur son visage, avant de crier comme un sauvage et de rugir même, sa joie et de plonger comme un forcené dans l'étendue d'eau qui prend naissance au pied de la cascade.

Il faisait chaud et c'était une putain de belle journée, oh oui ça, il l'avait bien mérité de se reposer, et de profiter pleinement d'un bon bain frais, une sacrée journée même, qui avait mal commencé pourtant, puisqu'il avait réussi à se faire piquer un atelage dont il devait être le garde d'escorte jusqu'en ville, mais il les avait retrouvé tous ces petits cons, et leur avait rendu la monnaie de leur pièce, avant de les obliger à se foutre à poil et sautiller jusqu'à la ville, les mains et les pieds attachés, ça l'avait bien fait marrer, d'ailleurs un beau sourire en coin s'élargit encore sur son irrésistible gueule sauvage, affichant ses dents acérées, bien blanches en y repensant.

...Les cons.

La scène qu'offrait ce coin de paradis, ressemblait à un magnifique tableau, et la belle créature sauvage étendait maintenant sa cape sombre, dont le revers était d'un blanc immaculé, de la fourrure de Lion blanc, qui ressemblait à de l'épaisse neige poudreuse, sur les pierres réchauffées par le soleil pour s'y prélasser en toute insouciance, griffant, pétrissant quelques coins de cette dernière avec ses griffes avant de prendre un repos bien mérité après ce bain dans la rivière, maintenant la créature sauvage dormait, semblait paisible, sereine et innofensive.

Au bout de plusieurs heures, quand le soleil devint rouge dans le ciel, et que l'air se rafraîchit, Khaléo entrouvrit enfin les yeux, fouettant rapidement son propre visage d'un allé et d'un retour de sa propre queue de tigre pour bien se réveiller, s'étendant sur la fourrure de toute la souplesse, et grâce féline qui caractèrisait en partie son anatomie, sa musculature détendue par le repos lissée par son ascendance féline, un fruit sauvage, aux allures succulentes mais interdit, à le regarder, comme ça, il semblait fait pour vivre presque, ou voir complétement nu en pleine forêt, elle était son élément après tout.

D'ailleurs, il avait choisi ce coin exprès pour ça, c'était loin de tout, il pouvait y faire ce qu'il veut, personne ne viendrait le juger où émettre un avis sur ce qu'il était, c'était "son" paradis, le seul endroit sur terre où il lui était permis d'être lui même, sans avoir à se cacher.

Il ramassa ses vêtements et traversa la rivière en sautant sur un petit barrage de galets de pierres, érigé par ses soins, une fois de l'autre coté on pouvait aperçevoir l'entrée d'une vieille mine désafectée, cachée par des lières et autres plantes grimpantes, autour de l'entrée, des vignes de raisin grimpaient sur les murs, des framboisiers et même des fraises au sol, un vrai paradis, il n'y avait qu'à se baisser et ramasser pour manger, il pénétra dans les galeries de la mine, il y faisait noir mais ça ne lui posait pas de problème pour y voir clair, il avait toujours su voir dans le noir et ne s'était jamais posé la question de savoir pourquoi, c'était naturel pour lui.

Au bout d'une éniemme galerie, parce que, p'tain, fallait connaître son chemin la dedans, c'est un véritable labyrinthe à la con et il connaissait le chemin par coeur pour s'y être perdu plus d'une fois, il arriva à un cul de sac...

Il a raté son coup ?
Enfin, c'est ce qu'on pourrait penser, avant qu'il n'examine la paroi de la galerie avec ses mains, et ne trouve un repère, un mécanisme inscrit dans la roche, un petit puzzle de pierres à enfoncer et à tourner sur elle même pour déclencher quelque chose, mais quoi ?

Ca fait un moment qu'il triture son machin du bout de ses doigts et de ses griffes, il ne se rappelle pas toujours la combinaison exacte, ça prend plusieurs essais, ah, voilà, bingo, c'est enclenché ! Et ça s'entend, des gravillons, et de la poussière tombent du plafond de la mine, les charpentes en bois grinçent leur douleur du poids centenaire qu'elles portent sur elles, et différents "CLOC" sinistres font trembler les murs.

Quelque chose bouge, quelque chose, d'énorme, il s'agit d'une grande pierre de plusieurs tonnes, taillée en "roue" épaisse, qui se met à rouler sur le coté, sur cette "roue" énorme, des gravures par centaines, par milliers, des petits mots, des dessins laissés là par les anciens mineurs qui ont disparus il y a bien longtemps, la porte s'est ouverte grâce à un ancien mécanisme de balastes remplies avec du sable, qui se déversent dans d'autres réservoirs, afin d'ouvrir les parties habitables de cette dernière, il s'agissait de dortoirs très bien entretenus, que Khaléo à vidés pour en faire son antre, et placer tous les objets de son passé, que ce soit, des bibelots, des effigies de dieux oubliés, sauvés du pillage et de certaines destruction inquisitrice pendant les raids sur des villages considérés comme "païens", des bijoux et même des pierres précieuses de toutes les couleurs, qui n'avaient d'interêt pour lui que leur beauté, leur éclat et leurs couleurs.

Les murs étaient recouverts de peaux de bêtes, d'ossements, de dents et de défenses, parfois même de tête entière d'animaux, comme son lit, là bas, constitué uniquement de fourrures de Lion blanc, dont les quatres pieds étaient eux aussi les pattes du même animal, pour lui, c'était un animal très rare et sacré à ses yeux, la fourrure de ce dernier était d'une incomparable douceur, peut être même la chose la plus soyeuse et douce de ce monde, mais c'était également une espèce en voie de disparition, alors à son grand regret, il n'en chassait qu'un seul tous les dix ans.

Mais, comment vous définir l'architecture de cet endroit afin que vous compreniez, la "magie" qui opère ici....

Je n'avais encore jamais vu un endroit aussi beau sur toute ma longue existence, si ce n'est parfois, le plafond doré, et finement sculpté des cathédrales du monde, la roche des parties habitables de la mine, avait été taillée en profondes, et hautes voutes gothiques, entrecroisées d'arc et de courbe de style roman, prouvant que les mineurs, n'étaient pas seulement de simple casseurs de roche, mais de véritables artistes doués de leurs mains pour donner forme à la pierre, un travail titanesque dans cet espèce de dortoir, pour les anciens travailleurs de la mine, ils n'avaient pas touché, aux pierres précieuses encore incrustées dans la roche, qu'ils avaient habilement évités, contournés, en taillant la pierre, pour laisser partout, leur éclat se refletter sur les voûtes et les arcades, aussi ingénieux, que les architectes des cathédrales, pour laisser entrer la lumière de façon intelligente, pour la refletter et laisser rebondir leurs photons sur chaque surface pour embellir le tableau, mieux encore, ces mineurs étaient de véritables génies, consciencieux, tout avait été calculé pour que les pierres précieuses, les émeraudes, les rubis, améthystes, spinelles, et encore tout un tas d'autres types de ces pierres précieuses, brutes, parfois, taillées dans le sens de la lumière, puisse refleter leurs feux caléidoscopiques sur la surface des parois de la mine, une simple torche, ou brasero, ainsi, suffisait à illuminer toute la pièce, par jeu de réflexion bien pensé dans le positionnement de certains quartz, de certains lapis lazulis, topazes et mithril, recouvrant la roche par endroits, pour permettre cette "multiplication" de la lumière, par effets mirroirs, c'était d'une beauté infinie, un miracle, presque, entre ce que la nature fait de mieux, et ce que la main de l'homme, est capable de faire de plus noble, et plus beau.

Khaléo se souvient en être resté, interdit... Interdit face à ce spectacle d'une incroyable, incommensurable beauté, la première fois qu'il était entré ici, et parfois encore aujourd'hui, plus on élevait la torche dans les airs, et plus le relief des rochers, éclairés de milles couleurs, se révélait à nos yeux ébahis, bouche bée, c'était une fresque, un chef d'oeuvre vivant, et transpirant, aussi ingénieux et frissonnant de son étrange perfection, et imperfection à la fois, si unique, si rare pour que l'oeil, ne s'y attarde pas, mieux que la surface d'un tableau vieilli et craquelé qui lui donne son charme, plus envoûtant de couleurs vives, qui seront à jamais ternies au fil des siècles sur un tableau, non, rien n'était plus vivant, plus "vrai" que ce que nous avions face à nous.

Kokoro Myako

Terranide

Prudence est mère de sureté.. C'est ce qu'il disait.. Sauf que la jeune femme-écureuil était tous sauf prudente, alors qu'elle se promenait sur les terres de ces ancêtres a la recherche de la trace de sa famille.. et oui il y a quelque temps elle a ressentit le besoin de connaitre son histoire de savoir, de comprendre pourquoi elle était comme elle était.. La forets était profonde, mais elle en reconnaissait les odeurs... Des odeurs qui avait bercer les premier année de sa vie.. C'était si plaisant de sentir ce genre d'odeur, mélange d'humus et de vie, sur son chemin les animaux ne se taisait pas en fait il semblait la considérer comme l'un d'eux.. Surement parce qu'elle ne faisait presque pas de bruit dans la forets...  Seul sa respiration la trahissait, une respiration paisible et tranquille... Silencieuse elle se déplaçait... Pour une fois elle était vêtue de vêtements discret, un top brun couleur terre, d'un short de la même couleurs...  Des vêtements moulant qui mettait son corps doux en avant..

Souvent les chasseurs la prenait pour une fille sans défenses, souvent d'ailleurs il finissait mal, la jeune femme savait se défendre, son style de combats était violent, et rapide, ne jamais cesser de bouger, ne jamais cesser de se défendre, plus d'une fois elle avait crus y passer mais ces lames courtes avait trancher un muscles, une veines terrassant son adversaire. Elle n'aimait pas tuer, mais ceux qu'elle tuait n'hantait pas ces rêves... Pourquoi si il l'attaquait il méritais de mourir.

Mais pour l'instant elle n'était pas sur les traces d'une chose a voler, juste pour retrouver ces souvenirs.. Voila son ancienne maison, elle ne ressemble plus a rien, mais la jeune femme sais ce qu'elle cherchait... Souplement elle monte a l'arbre, allant fouiller dans les déchets du nid, enfin ces doigts tombèrent sur un petit bois, que son père avait vernis, il y avait le nom de chaque membres de la famille né dans le nids... Une arbre généalogique complets... Les doigts de la jeune femme courir sur le bois, elle ne connaissait pas cette essence mais elle se rappelait que son père lui avait dit qu'elle ne pourrirais jamais.

C'est pour cela qu'elle alla la cacher dans un tronc d'arbre le marquant comme un écureuil le ferais qu'importe même si elle oublie l'endroit il restera quelque chose d'eux... De tout le monde... Du haut de l'arbre ou elle se retrouvait la jeune femme observa les alentours, son regard se fronçant quand elle vit de la fumée monter dans les airs... Des chasseurs ... Elle déteste les chasseurs d’esclave, un sourire amuser naquit sur ces lèvres quand une idée, plus que mauvais apparus sur son visage.

Voleuse silencieuse elle se rendit jusqu'au camps.. Un camps composer de trois humains  et de plusieurs Orques... Beurk elle n'aimait pas les orques il était pas beau et puis il sentait pas bon, sauf que la les humains ne semblait pas sentir meilleurs, pendant un long moment elle les observa avant de se glisser dans le camps, profitant qu'il se dispute pour glisser quelque herbe pimentée dans leur ragouts, comme une ombre elle passa de tente en tente... Trouvant a chaque fois les bourses que les hommes laissait, personne normalement ne venait ici...

Enfin elle parvins a la tente du chef et s'y glissa,  avec soin elle observa les chose, avant de saisir un trousseau de clef.. Alors dans les charrette c'était les esclaves... Un sourire mauvais apparus sur son visage, si elle faisait vite elle devrait réussir a les sauver. A nouveau se glisser hors de la tente, prenant soin de ne pas faire de bruit... Il était l'heure de manger les garde était moins vigilant et surtout il n'y en avait qu'un.. Un humain, de la chance...  Passant derrière le chasseur elle lui trancha la gorge si rapidement qu'il ne put crier.

La première charrette fut ouverte ,  et les esclave libérerez, heureusement il se déplaçait sans bruit... la suite par contre se déroula moins bien en entendants tourner la clef une des filles se mit a hurler, amenant a eux deux des orques... Oups.. Finissant d’ouvrir les portes elle hurla aux esclaves de s'enfuir..  Avant de se tourner vers les êtres qui venait vers elle, il était vraiment pas beau..

La meilleur défense c'est l'attaque.. Poussant un gémissement elle bondit son corps souple, et léger attèrisant sur les épaules de l'orque, alors qu'elle plongeait sa lame dans le cou, l'autre eu le temps de sonner l'alerte, alors que son compagnon s'écroulait.  Cherchant a saisir la jeune femme il eu juste le temps de lui saisit son haut, le déchirant dans un bruissement de tissus... S'échappant dans un rire, elle s’enfuit dans la forêts, sautant d'arbre en arbre...  Un instant elle se stoppa se laissant tomber a nouveau pour égorgé un des hommes, son couteau restant coincer dans la gorge, elle n'eu d'autre chose que de continuer a courir, ces pieds nus claquant sur le sol...

Courir sans réfléchir, son père lui avait toujours dit de ne pas aller dans cette partie du monde, pourtant elle y courais, sans faire attention... Jusqu’à se retrouver coincer dans un cul de sac, le souffle un peu cours elle se retourna contre la parois, soufflant sur les être qui approchais,elle allait mal finir ... Pourtant elle bondit sur le premier humain, le faisant hurler, elle se servait de ces griffe de ces dents pour se défendre...  Sans qu'elle ne comprenne comment son corps vola pour cogner contre le rocher l’assommant un peu sans vraiment lui faire du mal... Tous ca allait mal finir.
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Khaléo

Terranide

Un parfum... C'était peut être la première chose qui pourrait frapper l'esprit lorsque l'on franchit pour la première fois le seuil de l'entrée de cette vieille mine désafectée, un rideau de plantes grimpantes cachant partiellement cet "habitat", un parfum mêlé de diverses plantes, fleurs, un pot pourri d'odeurs avec une prédominante de canelle, l'odeur de l'encens... qui à depuis longtemps envahi chaque galerie de cette mine jusqu'à la sortie, pour trouver l'entrée des parties "habitables" dans ces galeries labyrinthiques, il suffirait alors probablement d'avoir un bon "nez" et de remonter à la source de cette odeur qui, s'amplifierait et deviendrait de plus en plus entêtante.

D'étranges sons réverbérés sur les parois de la mine, le grattement significatif d'une lourde masse rocheuse vient de se déplacer et ripper contre les parois, en tout les cas, quelque chose d'énorme vient de bouger, et ce, depuis les tréfonds obscurs des galeries, où l'on ne distingue absolument rien si ce n'est un noir complet... Alors que les secondes s'égrènent, une étincelle... là...

Si, si... il y a bien eu quelque chose... Le regard se perd, mais il y a bien eu, l'instant d'une demie, ou d'un quart même de seconde... une étincelle ? Ou au moins une très légère lumière qui, mourrut rapidement en tombant sur le sol... Là ! Oui... ici... ça recommences... une autre étincelle... Cette fois, plus proche... "ça" se rapproche... et un bruit de crissement d'objets pointus, ou tranchants se fait entendre, raclant la roche, passant parfois sur un morceau de bois appartenant à la charpente de soutient de la mine, un autre vif - éclat de lumière et d'autres gerbes d'étincelles provenant de la paroi opposée dessinent enfin une silhouette par jeu de lumière stroboscopique d'une production d'étincelles plus fréquentes, une silhouette toujours noire, indistincte depuis le fond de ce long couloir, mais elle avance... d'un pas assuré, rien qui soit sur son passage ne semblera l'arrêter.

Car il a entendu les cris, au loin, même du fin du fond de sa tanière, l'agitation de la forêt à quelques kilomètres aux alentours de son antre, lui parviennent jusqu'ici, à ses oreilles.

Et c'est encore, une étincelle, produite donc par le raclement de ses griffes contre les murs, qui font luire ce regard inquiétant, des yeux blancs, fendus d'une pupille éfilée, en amende, tranchant son regard en deux parties égales, telle une lame de rasoir, d'yeux qui restent ouverts jusqu'a ce que la vie éphèmere de cette braise, de cette particule ne s'éteigne à nouveau, et laisse la silhouette disparaître encore une fois dans les ténèbres de la galerie... Mais à chaque fois qu'elle se dessine encore et encore, qu'elle apparait sur le grésil de la friction de ses armes naturelles contre quelques particules métalliques inscrites dans la roche, elle... se... fait... toujours... plus... proche... plus précise.

Si ce prédateur sort présentement, c'est surtout, et uniquement pour défendre son territoire, qu'il considères comme sacré, le hasard veut qu'une autre créature dangereuse ait été attirée jusqu'ici, voire plusieurs, à l'odeur, il s'agit d'orcs, et d'humains, de mercenaires, probablement, d'hommes d'armes... sûrement... Le tigranthrope, comme le byakko prédominant lorsqu'il est sur son territoire, prenant une part conséquente sur son humanité habituelle, réclamment un butin, une proie... un du, un droit de passage, ou encore, une offrande pour avoir osé poser le pied sur ses terres sacrées... Une proie se trouvant désormais sur SON territoire.

Les rideaux de lierres s'écartent pour laisser sortir la silhouette athlétique, grande, de Khaléo, une musculature massive à certains endroits, comme les épaules, les mains et avant bras ainsi que les dorsaux, pour s'affiner en un joli "V" jusqu'a la taille, aux hanches, lui dessinant un beau buste en "V", il arbore un pagne en fourrure de lion blanc, constitué de deux languettes, d'une bonne taille et longueur, malgré tout, cette longueur et cette largeur, semble bien ridicule pour dissimuler la "poutre" qui se cache derrière...


Son corps puissant semble lacéré de nombreuses cicatrices, autant de marques prouvant sa suprématie au combat et sur son territoire, ses muscles sont enchassés et serrés dans de magnifiques cerclages en or, délimitant la partie supérieure de ses membres, les biceps, comme le haut des cuisses, laissant quelque peu déborder la souplesse de ses muscles de part et d'autre de ces derniers, en d'autres termes, c'est juste une décoration tribale, mais celà rajoute sa touche sexy et charnelle à la créature.

Poursuivant la description de la créature, ses cheveux sont attachés en mèches, en tresses, sur lesquelles des pièces de monnaies de différent pays et métaux, couleurs, sont attachées par quelques languettes de couleurs elles aussi, le parfait "indigène", c'est une "tenue" cérémoniale de chasse qu'il revêt uniquement lorsqu'il retournes à sa tanière et se trouves sur SES terres.

Le "tigre", ou le "lion", qui saurait le dire, rugit de toute ses forces en percevant les pas de course au loin, un rugissement effrayant, aux vertus paralysantes pour ceux qui l'entendent, paralysie et effroi, bien temporaires, ne durant qu'une poignée de secondes, mais assez pour qu'il grimpe hors de son vallon, par dessus sa cascade, et observe l'horizon pour aperçevoir l'étrange procession d'hommes et d'orcs poursuivant ce qui semble être une femme.

S'il y a une chose qu'il à du mal à encaisser ce sont bien des vendeurs d'esclaves, et ils ont bien l'air d'avoir les tronches patibulaires, affreuses et repousantes que possèdent pratiquement tout esclavagiste, de quoi pousser le manichéisme à son paroxysme, L'indigène s'élance, mais ce ne seront pas ses griffes qui, viendront perçer le thorax du premier intrus sur son chemin, non... mais bien deux très longues lames, sorties d'une cavité de son radius, et cubitus, deux longues lames faites d'os et de cartilages à leur base, d'ou sortent t'elles ?

Les os du nordique sont épais, bien épais, Byakko lui ayant légué non seulement quelques pouvoirs latents de démons, mais sa tigranthropie, d'anciens vestiges appartenant à ses ancêtres, comme, ses dents de sabre rétractables ressemblant à celles des vampires, et le démon, deux énormes paires de lames logées dans l'humérus.

Et ça fait un mal de chien lorsqu'elles sortent, pourquoi ? Parce qu'il doit aligner son cubitus et son radius bien droit avec son humérus, pour qu'ils forment une ligne droite, que les deux cavités du radius et cubitus soient en face de ceux de l'humérus à l'interieur de l'articulation du coude, une des raisons pour laquelle il à d'épais avant bras à l'allure puissante, c'est bel et bien l'épaisseur de ces deux os, qui permettent de laisser "coulisser" les deux lames jusqu'au dessus du poignet.

deux lames à la "prédator" en un peu plus longues, sortant donc de ses avant bras, la première paire de lames transperce donc cet humain, et le laisse sans voix ni poumons, il tord d'un quart de tour ses lames dans son corps, le soulève et, l'envoie valdinguer quelques mètres plus loin.

La force titanesque du tigranthrope lui permettra aisément de rivaliser d'un coup de boule monstrueux avec l'orc venant dans sa direction, tête en avant comme un bélier, le plaquage sera d'un impact et d'une force inouie, renversant cependant l'orc sur sa poussée, Khaléo ne dira pas qu'il à tout de même eu un mal de chien et se contentera de serrer les dents, pour attraper le visage du prochain esclavagiste, un homme lézard encore plus épais qu'un orc, un fameux mastar.

mais ça ne l'empêchera pas de lui réduire la tronche en miettes, pris d'une rage bestiale, il renfonce la tête de l'homme lézard dans l'écorce d'un arbre, à coup de boules, simplement, pas de fioritures, juste ce qu'il y a de plus efficace, coup de têtes après coup de têtes prenant de fameux élans pour lui casser les os du museau et du front, terminant sa "proie" par un arrachement de jugulaires à pleines de ses foutues dents.

"-GRRroaARrRrrh !!"

Rugit il à l'encontre du dernier poursuivant, qui, lui par contre, finit d'pisser dans son froc, trembler des jambes face aux deux paires de lames sorties consécutivement de ses deux bras, lacher son arme et foutre le camp.

Khaléo reste là, quelques secondes, encore haletant et, à moitié recouvert du sang de ses "victimes", sang qu'il ralèche du bout de la langue autour de sa bouche en se tournant vers toi, une main essuye son visage, main qu'il ralèche, appréciant particulièrement le gout du sang de ceux qui souillent son lieu sacré, un roulement rauque émane de sa gorge, tandis qu'il effectue ses premiers pas dans ta direction, une démarche féline, déhanchée, et déjà son foutu regard, un regard d'une prédation intense se plantes dans le tiens, ses mâchoires ruminent silencieusement, mais, à la surface de ses joues, on devine qu'il comprime les muscles de son visage d'une confusion, et frustration pas encore totalement disparues.

Il ne s'arrêtes pas, le pas est rapide, décidé, et il frictionne ses "lames-griffes" les unes sur les autres en produisant quelques étincelles, suivi d'un léger retard des mouvements de sa queue de tigre...

Kokoro Myako

Terranide

Un cris qu'elle n'avait pas entendus jusqu’à maintenant mais qui la faisait frisonner, elle n'aimait pas quand les prédateurs criait, ca lui donnait envie de ce cacher , comme elle n'aimait pas ces chasseurs, pourtant il semblait trembler l'un d’eux lâchant son arme, arme qu'elle attrapa rapidement, avant de se coller a nouveau contre la roche, il fallait protéger son dos autant que devant elle... Son regard courus sur le combat heureusement elle  n'avait pas peur de la violence, et cet homme était puissant, elle savait qu'elle ne pourrais rien y faire, elle ne pourrais pas se battre contre lui, il était bien trop fort, ces muscles trop puisant pour qu'elle puisse les contrés... Et pourtant elle se redressa la jeune femme n'était pas du genre a baisser les bras pour rien.. Il fallait se battre jusqu'au la mort, ne pas se battre c'est déjà mourir, l'arme qu'elle portait était trop lourdes pour elle...

Pourtant elle frissonna a peine quand l'homme se tourna vers elle, elle lui souffla dessus a la manière d'une animal rit au piège, la panique avait envahis son esprit, elle voulait se sortir de se pièges et cet être couvert de sang lui bloquait la route, tout être qui lui bloque la route doit être attaquer mordus, même si il l'avait sauver, la jeune femme savait qu'elle aurais dut lui dire merci ..

On lui avait souvent apprit qu'elle devait dire merci quand on la sauvait, elle se rappelle encore la rencontre avec son deuxième maitre  lui aussi l'avait coincer dans un coin, lui aussi l'avait regarder sans rien dire sauf que le regards de son ancien maitre était si doux presque tendre,ce regard par contre lui faisait peur, son corps entier lui hurlait de fuir, son esprit se mettant en diapasons avec son corps... Pour une fois que les deux voulait faire la même chose...

Son souffle cours soulevait en douceur sa poitrine généreuse, le froid ou la peur faisait doucement dresser ces tétons bruni par le soleil, en fait sa peau était brunie par le soleil, légèrement dorée, tendre attirante, tout comme son odeur féminine, celle d'une femme en chaleur, et oui c'était le temps de ces chaleurs c'est surement pour cela qu'elle avait voulut trouver un mâle de sa race.

Les yeux de la jeune femme passait de droite a gauche, cherchant un point de fuite, mais l’homme semblait prendre toute la place.. Sans plus réfléchir la jeune femme lança la lame au combat a main nue elle ne lui servirais a rien. Sans attendre son corps bondit suivant de prés la lame, son but étais d' atterrie sur la prédateur, surement qu'il ne s'attendait pas a cela, 

Sans aucune hésitation non plus elle planta ces dents dans son oreilles, avant de chercher a le griffer, bien quoi elle est faible et petit mais elle n'a pas envie qu'il lui fasse du mal, pas de larme sur son visage,  juste la peur qui la fait réagir. Ces dents de rongeur mordant sans douceur, juste se défendre, si il la repousse par dessus sa tête elle pourra fuir
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Khaléo

Terranide

Après cet effort, après avoir terrassé ces envahisseurs, l'hybride était légèrement en sueur, mais pas seulement à cause de l'effort, non, il faisait foutrement chaud, non seulement ça, mais, les phéromones dispensées dans l'air par la créature lui faisant face, avait pratiquement le même effet sur elle, que sur lui, alors qu'il semblait bien décidé à en découdre avec ce nouvel intrus, sa volonté et sa colère véritable semblaient quelque peu diluées, par cette odeur entêtante, chose qui le fit hésiter...

...peut être une seconde de trop, lorsqu'il se rendit compte trop tard que le "mal" était fait, la peur avait poussé cette créature aux rares mais jolis attributs d'écureuil, à une violente contrepartie, premièrement, cette lame qui vint se planter dans sa poitrine, il ne s'y était pas attendu, et ne l'avait pas vue venir, presqu'aveuglé par ses pensées influencées par cette odeur enivrante, la lame avait pénétré profond, par chance, passant juste pile poil entre le poumon et le coeur, mais putain, ça fait quand même un sacré mal de chien, ce qu'il estimait être, un coup en "traitre" après avoir quelque peu pris sa défense.

Mais c'était loin d'être fini, ha ha... non... Peu de temps après, suivait cette petite furie, déchainée, lui sautant au visage pour lui mordre l'oreille, chose autrement encore bien plus douloureuse et sensible que sa foutue lame bon marché plantée dans sa poitrine, lame qu'il retira aussi sec d'une brève empoignade du manche, il rugit de douleur lorsqu'elle "grignotta" son appendice félin foutrement sensible, s'en suivent une pluie de griffures...

Bah ouais, apparemment il avait pas le corps assez baréolé de cicatrices comme ça, fallait qu'on lui refasse la façade ! Y a des jours où on ferait mieux de rester dans sa foutue tanière et de pas en bouger...

Elle mordait ? Ici, les règles n'étaient plus celles des grandes villes, ni de la civilisation, il mordrait son oreille à son tour, mais avec des dents quasiment capables de lui faire une putain de rangée de piercings, il machouillait et, appuyait assez fort ses dents pour lui faire prendre conscience que s'il forçait plus, par petits à coups successifs et plus puissants les uns que les autres, de ses mâchoires, qu'il était donc capable, de lui perforer.

Ses griffes, parlons en, il les sortit à son tour, de belles grandes griffes sur d'énormes paluches puissantes, qui englobèrent une grande partie de son dos, bien capables de lui arracher la peau de ce dernier, les poindant sur sa peau pour lui faire comprendre, il la serra contre lui puisqu'elle s'était jetée dans ses "bras", pratiquant une sorte de "prise" de l'ours, étouffante, serrée entre deux bras puissants, bientôt, ses jambes cherchent celles de cette petite "chose" énervée, s'y enroulent, s'enlaçent entre elles, pour l'empêcher de s'en servir.

Son odeur à une distance si déraisonnable, provoquait son lot de ravages sur le contrôle des pulsions du tigre, et du démon habituellement enfouis dans les ténèbres de sa conscience, ressortant peu à peu , pour qu'une poutre massive de chair ne tende, et, s'affiche de sa forme bien trop imposante par dessous son pagne ridicule, caressant désormais l'entrecuisse de sa "proie" prise au piège...

Le "tigre" sourit, a la fois impressionné par ta témérité, mais surtout, satisfait d'avoir attrapé une proie de choix, son regard se plisse dans le tiens, malgré tes morsures continuelles, il écarte sa tête vivement de la tienne, pour attraper tes lèvres, mordues par ses dents, un ronronnement rauque, puissant, se fait entendre, et fait vibrer à la fois ton corps et le sien.

"-Tu sembles être tombée bien loin de ton arbre, Petite chose..."

Ajoutes t'il en élargissant un sourire carnassier, aussi inquiétant, qu'intriguant et d'une séduction prédatrice dérangeante, troublant, ses jambes puissantes se resserent autour des tiennes, sa queue de tigre, elle, sinue contre tes cuisses, remontent le long de ton ventre en caressant cette magnifique poitrine, puis, vient s'enrouler autour de ton cou, tel un serpent qui, chercherait à étouffer sa "proie".

"-Combien de temps tu vas pouvoir continuer à te débattre ? hmmm ? en manquant progressivement d'air... je suis... curieux..."

Dit il, en se pinçant la griffe de l'index entre les lèvres, apparement très amusé par la situation, sa queue de tigre effectue un, puis deux tours autour de ta gorge, et la caresse tout en la resserrant lègrement, te créant une oppression sur les voies respiratoires, pas de quoi t'étouffer complétement, mais te donner l'impression que tu respires à travers deux pailles, se délectant déjà de l'expression de ton visage.

"-Surprends moi ?"

Le fin duvet, si soyeux et lisse de la créature qui te prédates, est recouvert d'une fine péllicule de sueur qui la huile et rend son contact foutrement plaisant, lui aussi dégage quelques phéromones qui, saperont peu à peu ta combativité et ta volonté, mais pas trop vite, il l'espère, car comme un foutu tigre ou chat avec sa proie, il aime "jouer" longuement avant de s'en repaître, de bien des façons, il se déhanche déjà, sur un rythme presque dansé, ce bel indigène se plait à mettre à mal ton endurance, ainsi que la souplesse de tes membres, il te retourne peu à peu, pour que tu sois toujours sous la contrainte de ses bras, de ses jambes, et de sa queue de tigre, mais que tu lui fasse dos.

Dans cette position, il peut à son tour aisément se mettre à mordiller l'une de tes oreilles, ses mains n'ont plus à pétrir ton dos pour te comprimer sur lui, mais tes seins, pris par deux grandes et magnifiques mains puissantes, larges, tes pieds quittent progressivement le sol également car, la créature est grande, ses mains et sa queue de tigre t'aidant à t'élever dans les airs au niveau de son visage, tu le sens, petit à petit, tu tombes à la merci du plus dangereux des prédateurs de ce coin de forêt, et il adorrrre jouer avec toi.

"-Je crois que tu n'as plus de tours à me sortir de ton chapeau ? Si c'est effectivement le cas... puis je passer... au plat principal ? Mrrr ♥ ?"





Kokoro Myako

Terranide

Un petit cris de douleur lui échappa alors que l'être lui mordait l'oreille , ca faisait mal... Il allait la lui déchirer , elle n'osait pas vraiment bouger la tête de peur que son oreilles reste dans sa bouche ce qui aurais été assez ennuyeux... Son souffle était cours affoler, mais elle ne voulait pas baisser les armes pas encore elle ne supportait pas perdre...

Sentant les doigts se refermer sur son dos elle poussa un nouveau cris il lui faisait mal, lui donnant l'impression qu'elle allait éclater, mais son corps se cambra, plia sous la pression plutôt que de se briser.. Comme a chaque fois... Elle battait des pieds cherchant par tout les moyen a frapper, mais il fut encore le plus fort, elle sentait contre son propre bassin, un membre énorme naitre, grandir... Et étrangement a la place de l'affoler cela l’excita, elle sentit un chaleur troublante naitre au creux de ces reins, colorant sa peau bronzée d'un rouge étrange.

Pourtant elle ne pouvait s'empêcher de remuer ces cuisse frottant le membre,  le sentant se raidir un peu plus.. Cette bouche qui prend la sienne, la faisant gémir doucement, alors que ces  lèvre morde sans douceur les lèvres du tigre, son souffle est plus cours, la douleur la fait doucement gémir mais elle en semble pas du genre a supplier, non non pas encore et surement jamais.

« J'suis pas petite.. »

La voix de le jeune femme était rauque agressive presque.. Il fallait qu'elle se défende de cette sensation, cette envie de céder au jeune homme... Puis elle sent quelque chose qui glisse sur son corps, la sensation est chaude agréable... Mais troublante aussi... Sous cette caresse elle sentit ces tétons se dresser un peu plus, comme pour supplier plus de caresse... Puis la queue qui entoure sa gorge, la faisant gémir doucement, elle n'aimait pas qu'on entour son cou.. Surtout quand cela lui donne l'impression d'étouffer...

Ces doigts se porte a son coup agrippant la queue cherchant a la défaire, cherchant aussi son air, elle savait qu'elle devait se calmer, plus elle s’énerve plus elle perds de l'air... Retroussant les babines elle souffla doucement sur le jeune homme sachant qu'elle le mordrais encore si elle le pouvait... Pourtant l'odeur de l’homme la trouble créant dans son corps un frisson d'envie, elle a envie de s'accoupler avec lui qu'il la domine, c'est un instinct animal mêlé a celui d'une créature humanoïdes...

Par contre ce qu'elle n'aime pas c'est de ne plus le voir..  Elle sent ces seins malaxer c'est bon cette douleur, cette force  qu'il mets a les caresser. Ne plus avoir pieds ranime sa panique...

« Va.. va au di.. diable... »

Le corps entier de la jeune femme se cambra, sa queue caressant sans le vouloir les jambes de l'homme, alors qu'elle  frottait plus sans le vouloir son membre, son corps ondulait comme celui d'un serpent, ou d'un être qui se débattait dans ces derniers mouvements... Ces dents claquant dans le vide,  jetant sa tête en arriéré elle essaye de frapper l'homme , avant de perdre le souffle et de rester légèrement détendus contre lui, son corps disait qu'elle le désirais son entre jambe, son short était tremper et il devait le sentir sur son membre... Sa mouille la trahissait aussi bien que ces  seins au tétons douloureux...
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Khaléo

Terranide

Il adore la sentir se débattre, ça le rend dingue, complétement dingue d'elle, si bien que désormais, ses gestes se font de plus en plus doux, lascifs, sensuels, mais gardant tout de même une fermeté, une prise sur elle, ses mains pétrissant plus délicatement sa poitrine, ses griffes, et le bout de ses doigts, se plaisent à "branler" littéralement le bout de tes seins durcis, fermes et qu'il devine bien sensibles désormais, l'afflux sanguin, rouge, de ton corps, trahit l'état d'excitation dans lequel tu trouves en plus de tous les autres signes déjà bien présents.

« Va.. va au di.. diable... »

"-Oh non... si quelqu'un à l'air d'apprécier se faire "foutre" ici, d'après ton odeur, et ton degré d'humidité... c'est bien toi ma petite garrrce ♥"

Son foutu mandrin continuait de grossir.... et grossir, croitre, s'allonger et s'épaissir, bon dieu... quelle taille pouvait elle bien atteindre ?! Haaah, si grand et longue, qu'elle parvenait à écarter les fesses de sa "proie", lui longer la raie jusqu'a lui pourlècher les lèvres à travers le tissus noir de son short trempé, et, encore, remonter... remonter haut, plus haut que son nombril encore... mon dieu... des proportions pour le moins divine, non, démoniaques, proportions, qui feraient peur aux dieux de la luxure eux mêmes, si ce n'était que ça, encore...

Mais non, en plus de ses caresses digitales, de la délicatesse incroyable dont ses griffes aux allures meurtrières, sont ici capables de trrrès fines caresses tournoyées sur le bout de ses seins, de ses tétons en érection, son visage foutrement doux se caresse félinement dans le cou de sa proie, ses dents longues, canines pointues, rippant gentiment sur la surface de ta peau, ou il récolte à quelques reprises, de fines perles de sueur qui éclatent sur le passage de sa langue ou ses lèvres, des lèvres fraîches, constratant avec l'épouvantable chaleur que dégage sa saloperie de poutre glissant entre tes jambes.

La queue de tigre continue son office, continuant de t'étouffer, hmmm, afin qu'il te sente t'affaiblir, encore, et encore entre ses "paluches", entre ses cuisses implaquables enlaçées contre les tiennes, et à nouveau, comme si ce n'était pas encore suffisant, Mrrr ♥ sa poutrelle de chair aux dimensions presque "grotesque" dévoile une particularité pour le moins troublante, de belles pointes de chair, grosses comme d'énormes raisins bien remplis finis en biseaux, répartis en corolles spiralées de la base, à la fin de son sexe, en rajoutant, comme si c'était nécessaire, à l'épaisseur déjà monstrueuse de cette dernière, une soixantaine donc, de ses excroissances, érectiles, vibrent sous les ronronnements montants du tigre.

"-Mrawr ♥" gémit il au creux de ton oreille, tout sourire malicieux et, regard plissé, lubrique, caressant sa chevelure dans la tienne, et nos joues ensemble, humant ton odeur de petite proie sans défense, ses caresses semblent désormais contenir une certaine forme de grattitude, celle donnée à l'adversaire qui s'est plus ou moins bien défendu, la verge va, et viens, caressant avec délice toute l'envergure de ton entrejambe, laissant ses "grappes" de pointes charnelles, rebondir, grappeller, caresser et lécher tes lèvres, les zones mystérieuses de ton entrefesse, même ce "truc" si énorme qu'il en est presque vulgaire, te soulèves à lui seul, supporte pratiquement ton poids.

haletant, sa respiration rauque et suave s'élevant en petites nuées, buées dans les airs tant la chaleur de nos corps est différente de l'air ambiant, il te pose tout de même une question, non... c'est plutôt... un conseil :

"-Tu ne penses pas que... GRrrRrawRrr ♥ Tu devrais lubrifier... cet engin... avant que je ne m'en serves... Je pense que tu risques... ouhmrr... d'en avoir... terriblement besoin ♥"

Il sourit, et, hésites encore, attendant ta réponse, avant peut être, de te relacher, peut être... qui sait ce qu'il à en tête... cependant, sa queue de tigre s'est doucement désserrée autour de ta gorge, les bijoux en métaux, les piècettes et parrures tribales du chasseur tintent de leur métaux frais sur ta peau brûlante, parfois encore pincée ou mordillée entre les lèvres de la créature.

Kokoro Myako

Terranide

Pourquoi est-ce qu'il s’adoucit comme cela, ces geste sensuelle mettait a mal le corps de la jeune femme, le faisait bouillir elle avait de plus en plus envie de le supplie de foutre ce chibre dans son corps de la tuer avec son plaisir... Mais elle se retenais, lutant contre elle même autant qu'elle le faisait contre le jeune homme ce n'était pas des plus évidents... Ces doigts qui joue avec ces tétons les rendant dur, tellement irriguer de sang qu'il lui faisait mal, il en était rougis par l'envie ces traites.. Peu a peu elle sentit son esprit céder a l'idée même de céder.. De se laisser aller...

Elle sentait entre ces cuisse, contre son corps ce corps étranger, si gros qu'elle s'en trouve sans voix, elle le sent gonfler encore et encore, caressant son corps , elle avait presque l'impression qu'il allait déchirer son short détremper. Le plus étrange était surement ces espèces de tentacules qui caressait la peau, elle avait un faible pour les tentacules elle les rendais vole, lui faisait dire encore et encore .. Mais elle se mordit les lèvres pour ne rien dire.

Sentir son visage si proche du sien était des plus excitant surtout sa bouche douce qui caressait sa peau, elle adorais quand on lui mordillait le coup cela la faisait littéralement craquer. Le corps de la jeune femme se laissa doucement aller, elle n'avait plus envie de lutter en fait elle n'avait qu'une envie satisfaire ce jeune homme, laisse tomber les armes, comprendre qui était le maitre c'était dans sa nature et ce tigre avait été le plus fort.

Le corps de la jeune femme continue a onduler,mais a présent c'est plus en même temps que les mouvement du tigre que contre eux, elle s'offre sans dire un mots, ondulant sur son chibre sans montrer aucune peur... Elle n'aime pas la peur, elle ne croit pas en elle, elle ne veux pas y croire...

Délicatement hocher la tête pas envie de parler, elle ne ressent pas le besoin de le faire en somme... Sans montré d'envie de fuir la jeune femme fit un pas en avant a peine la queue du tigre l'avait relâcher, pour s'enfuir, non pas vraiment sa queue d'animal venant s'enrouler autour du chibre de l'homme, le caressant avec douceur, sensualité.. Sa queue était flexible entourant avec force sous sa fourrure, elle savait que la caresse était agréable..  Sa queue entourait a serre avant de se défaire.. Dans des mouvements assez étrange elle ne pouvait pas faire cela habituellement, simplement parce que les membres des autres n'était pas assez grands...

Ces doigts tremblant venait doucement défaire les boutons de son short, avant qu'elle ne se penche, offrant un vue parfaite de son fessier au dominant,  c'était facile de se baisser pour faire glisser le tissus sur ces jambes... Elle savait qu'elle risquait de faire craquer le jeune homme très vite comme cela... Mais sa queue lâche le membre alors qu'elle venait se mettre a genoux,.. Soumise nous verrons pour combien de temps...

Ces doigts coururent un instant sur le membre venant caresser ces petit appendices qu'il possédait, le pauvre il ne devait pas beaucoup les utiliser. A cet instant la jeune femme eu envie de lui faire plaisir, se baissant sa bouche passa sur le membre posant des baisers sur chaque parcelles. Sa langue s'enroula sur les petites appendices, les humidifiant avec soin, sa langue passant sur la peau de l'homme la dégustant, il y avait cette petite odeur animales et irrémédiablement masculine qui l’excitait plus qu'elle n'aurais put le dire...

La langue de la jeune femme laissait des trace de salive, alors que sa langue plus longue que celle des humains s'enroulait le mieux possible sur le chibre de l'homme, elle léchait avec soin sans encore le prendre en bouche. Sa langue remontant sur le gland que ces doigts décalotte délicatement, avant que sa langue ne le lèche en douceur ces doigts venant récolter un peu de sa mouille pour l'appliquer sur le chibre de l'homme, heureusement qu’elle en produisait beaucoup...

Enfin sa bouche entoura  entoura le gland alors qu'elle commençait a sucer, a l'aspirer juste le bout pas plus loin, pas tout de suite.
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Khaléo

Terranide

Lorsque cette plantureuse créature se dressa devant lui, masturbant presque son chibre, d'une queue épaisse, si douce, presque plus douce encore que son propre duvet pourtant très fin, son excitation redoubla, à la vue de son postérieur ainsi affiché, des envies sallaces, des images peu catholiques lui traversèrent le crâne pour, assoir de façon terrible sa "domination" et sa victoire "totale", du moins, c'est ce que le "prédateur" en son sein désirait, même si elle se montrait particulièrement obéissante, docile, même volontaire tout compte fait !

Il n'en rata pas une miette, serrant ses belles fesses rondes, sa taille fine cambrée vers l'avant, offrant les rebonds musculeux et, sexy formés par l'enclave de ses hanches et, de son bas ventre, il se fiche sur la plante des pieds lorsqu'elle offre ses premières attentions à son énorme gland, gros comme un petit melon bien gorgé d'eau, pourvu de petites pointes de chair lui aussi, sur le pourtour de sa collerete tubeleuse, de belles veines, énormes, d'excitation pulsaient depuis un coeur sauvage, puissant, semblant encore faire "grossir" cette chose de quelques millimètres après millimètres, pour enfin atteiindre sa limite...

Une bonne soixantaine de centimètres, pour bien dix de diamètre, rajoutons ces "raisins" de chair plus ou moins épais eux aussi, et par endroit, au centre de la bure ou les raisins étaient les plus épais, la "chose" pouvait atteindre les 12, voir 13 centimètres de diamètre à cause de ses excroissances.

Mais il restait concentré, du moins, tant qu'il le pouvait, sur les passages de la langue de cette jeune proie, écartant, progressivement les jambes, hmmm, cambrant son dos, et, posant d'abord ses énormes mains sur ses hanches serrées et étroites, sa bure semblait si énorme qu'elle aurait pu paraître plus épaisse que sa propre taille ou le tour de ses hanches, plus encore qu'une simple troisième cuisse trop entrainée.

Khaléo se caressait le pourtour des lèvres du bout d'une griffe, se l'introduisant dans la bouche lorsque Kokoro introduit une toute petite parcelle du bout de son énorme gland dans sa bouche, lui intimant, sensuellement d'une succion appliquée sur son doigt, tout le bien qu'il ressentait, son visage légèrement rosit par le plaisir, ses doigts de pieds munis de griffes, pétrissaient parfois les feuillages et autres herbes au sol, sa queue de tigre venait flatter l'entrejambe de l'écureuil, caressant de son duvet, son papillon humide de plaisir.

Khaléo ferma les yeux, n'y tenant presque plus, ses mains se posèrent dans tes cheveux, ses grandes mains, dont les griffes se mirent à délicatement graffigner ton cuir chevelu, le frictionner, pour t'encourager à aller plus loin encore, sans quoi, par belle ou par laide, il te ferait avaler l'entiereté jusqu'a l'estomac, d'une façon où d'une autre, la moue bizarre que tu effectuas lorsque tu t'es mise à sentir son sexe t'as pour le moins mis la puce à l'oreille.

Effectivement, celà faisait plusieurs... siècles, que le tigranthrope n'avait plus à se servir de "ça" et ne pensait plus que celà allait servir un jour, le "négligeant" donc, c'est sans doute pour cette raison que l'odeur est si puissante qu'elle serait capable de faire tourner de l'oeil un putois, d'autant plus qu'il revient d'une trrrès longue journée, surtout, peu importe, les hormones produisent également leur lot d'odeurs ranses et fortes, mais ce que tu as dans la bouche pourrait être assimilé à un vin de grand "âge" qui n'a jamais tourné au vinaigre, bonifié par le temps, tu sais apparemment trrrès bien l'apprécier, à sa juste valeur ♥

Tout comme le contenu de ses bourses, énormes, gonflées sous son pagne, contenu dont tu peux déjà redouter le goût et le degré d'acidité étant donné le goût et l'odeur de son sexe qui en disent long, un regard équivoque te promet milles et un plaisirs, mais également, autant de souffrance si tu ne plait pas a ses désirs, pour le moment, il te laisse libre de tes mouvements donc, se permettant juste, de danser, et pivoter des hanches pour essayer d'introduire une première rangée de pointes de chair au travers de tes lèvres.

"-Hmmm... appliques toi... il reste tellement de parcelles à satifaire..."

La chevelure du tigranthrope retombes sur son visage, qu'il recoiffe vers l'arrière tout en commençant un léger, tout léger va et viens au bord de tes lèvres avec son sexe.

"-Montres moi a quel point tu aimes ça... où il faudra que je prennes les choses en "mains"..."


Kokoro Myako

Terranide

L'odeur, cette odeur mal, présent trop présente la rendait folle, l'esprit de la jeune femme n'avait plus prise sur son corps seul comptais l'envie, l'envie animal que son corps avait du corps de l'autre, dans son état l'odeur alléchante de son chibre, cette odeur masculine, si rance qu'elle lui donnait envie de gémit... Cette odeur la faisait monter sans qu'elle ne puisse s'en empêcher un peu comme le ferais une drogue, elle l'aspirait pas sa bouche, par son nez, la respirant comme un grand crus.. Qu'importe qu’elle fasse tourner la tête elle aimait trop cela.

Sans vraiment s'en rendre compte ces yeux se révulsèrent, sans qu'elle ne cesse de sucer ce gland qui lui semblait si appétissant, son corps semblait vouloir qu’elle aille plus vite qu'elle l'avale tout en entier.. Odeur , gout deux de ces sens les plus développé était entourer par se plaisir mâle tout puissant, un plaisir au quelle elle pouvait seulement se soumettre.

Un petit hoquet la traversa alors qu'elle sentit la queue du tigre venir jouer sur sa fleur, la faisant couler un peu plus fort dieu que tout cela était fort, bon, jouissive, orgasmique presque, alors que rien n'avait encore vraiment commencer. Sentir les mains de l'homme sur ces cheveux la fit frisonner, mais avec plaisir elle aspira un peu plus du chibre de l'homme dans sa bouche, faisant entrer le gland plus loin dans sa gorge.

Le gout était étrange mais en rien dégoutant en fait il goutait l'homme le vrai pas celui parfumer, elle détestait ces hommes qui se parfumais les partie avant de coucher,elle lui donnait l'impression de sucer des bouteilles de parfum , il laissait un mauvais gout dans sa bouche, vraiment très mauvais. Ces hanches qui bouge..

Peu a peu millimètre après millimètre la jeune femme avale le membre de l'homme écartant la bouche, bénissant le plaisir d'avoir des articulation élastique, elle l'avale le mieux possible, ces doigts venant cherche la queue du tigre pour se l'enfoncer dans le vagin, créant en elle un hoquet qui la fait l'avaler un peu plus profonds...

Un hoquet la traverser, avant qu'elle ne l'enfonce encore plus loin, elle l'avait enfoncé si loin qu'il semblait couler dans sa gorge, en douceur elle se mit a faire des vas et viens sur le membre, sa bouche desserre, ces dents pointue râpant un peu le chibre elle suçait comme si sa vie en dépendait..

Sa bouche avalait aspirait comme un ventouse pourrais le faire c'est qu'elle semblait aimer cela en plus,ces deux mains courant sur la partie du membre qu'elle ne pouvait pas prendre dans sa bouche, masturbant sa basse avec soin...

Plus rien ne comptait pour elle que le plaisir de l'homme, et cette odeur jouissive qui lui faisait tourner de l’œil, mais elle continuait, luttant contre son propre corps qui la suppliait de supplier, si il continuait en elle ces mouvement de queue il la sentirait étroit et si humide que n'importe quoi pouvait se glisser en elle.. Sa bouche grande ouvert aspirais encore et encore, avalait se membre ...

Donnant du plaisir, prenant comme sa drogue dans cette  fellation.
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Khaléo

Terranide

Hmmmrr ♥ Si tu savais encore à quel point, tu étais loin de savoir de quoi ce beau salaud était capable... haah , si seulement... il se délecta avec un plaisir non contenu de te voir apprécier à ce point, ponctuant d'ailleurs les réactions diverses de ton visage par, quelques mots crus peut être un peu vulgaires, parfois, placés de façon précise, mais qui n'avaient dieu que pour accentuer l'intensité de la "bourre" de ta gorge, lorsque tu loucha de plaisir sur son mandrin à peine à moitié enfoncé, un ronronnement te murmura "haaan ♥ tu aimes ça, n'est ce pas ma jolie petite salope, hmmm ?" parsemant ses petites invectives tout le long de cette affolante "chutte" dans les tréfonds de ta gorge.

"- Fufu... Mrrr... Tu n'aimes pas simplement ça ma délicieuse petite salope, tu adores ma parole... "

Ajoutes t'il alors, qu'il se dresse presque au dessus de toi, entourant ton joli visage avec ses cuisses alors, qu'il est presque complétement introduit dans ta bouche et ta gorge, il "pompe" sa verge en t'aidant dans tes mouvements de va et viens, se pinçant les lèvres avec ses jolies dents pointues, si seulement il n'y avait "que" l'odeur... et le goût.... mais bientôt, ses fabuleuses petites pointes de chair en corolles, caressent, rapent, et pourclèchent les parois de tes joues, ton palais, ta gorge bien alignée, jusqu'au plus profond de ta trachée, son gland titillant même, l'entrée de ton estomac sans pour autant l'ouvrir, c'est... ouah ♥

"-C'est... hnnrrhh ♥ C'est parrrfait ♥"

Constates t'il alors que ses mains empoignent un peu mieux ta tête, englobent une grrrande partie de ton visage, soutiennent ta nuque, ses foutues grandes et puissantes paluches te saisissent la tête, la maintenant bien droite, bien tendue, alignée de ta bouche avec ta gorge, pressant ses énormes bourses pleines de pression sur le bord de ton menton quand il est au plus profond, il se cambre, ce beau salaud de félin, d'homme, de bête, Grrrr, il se cambre et, s'amuse à circuler ses hanches en petits cercles concentriques, "forant" sa belle bure au plus profond de tes entrailles moites et acceuillantes, han ♥ bien sûr qu'il adorre, révulsant à son tour ses yeux, louchant au ciel, avec une bouche entrouverte, incrédule, personne ne l'avait jamais pris comme ça jusqu'a la garde, jusqu'a, ce que le muscle pubien rebondi, sexy, placé juste au dessus de la naissance de son chibre, n'épouse tes lèvres comme pour les embrasser ♥

Là, c'est là, au plus profond, après deux premièrrres trrrrès lentes pénétrations, vraiment lentes, j'insiste, prenant touuut son temps pour aller.... et revenir... laissant ses excroissances se plier dans un sens, puis l'autre, suivant parrrfaitement le sens de la pénétration, c'est là donc, quand il serre les cuisses autour de ton visage pour l'enserrer dans un étau de chair galbée et puissante, qu'il laisse les sécrétions naturelles de ses pointes de chair, un liquide ransi, presque alcoolisé tant il est chaud et macéré, picotant, savoureusement irritant pour la gorge, lubrifier tes profondeurs de long en large, ce n'est pas encore du sperme à proprement parler, c'est un liquide capable d'anhesthésier en partie la douleur que pourrait provoquer la taille de son engin, et, une neuro toxine plutot innofensive, qui tend également à assouplir les chair, mais, tu n'en a pas besoin n'est ce pas ?

"-HaaawRrrr... Hmmmrrr... Tu es à moi maintenant... Ne penses pas pouvoir t'échapper avant la prochaine lune, car je ne vais pas laisser s'échapper une perle telle que toi hors de mon territoire..."

C'est l'instant qu'il choisit, pour s'inverser sur toi, sortant son sexe de ta bouche, il te place au sol, lui, s'accroupit au dessus de ton visage, dans une plate bande de fleurs sauvages, il tétends, gardant sa queue de tigre dans ton vagin en pompant doucement quelques allés retours, mais il est bien décidé à faire un festin de ta bouche et ta gorge avant tout ♥

Il se place donc, accroupit au dessus de toi, son sexe entres a nouveau, grappellant ses pointes de chair sur tes dents pointues, dont il adore la ruguosité et la rape sur sa peau, autant que tu dois apprécier, l'aspect semi rapeux comme une langue de "chat" de la texture de son sexe qui, donne une friction plus que mature à sa pénétration, il s'engoufre à nouveau jusqu'au fond, ses belles cuisses emprisonnent tes bras, ses mollets repassent tous deux sous tes aisselles, c'est une position dominatrice, t'empêchant de bouger en prenant même appui avec la plante de ses pieds, derrière ta tête pour, l'assister dans les pénétrations qui vont suivre.

Il est en position assise, désormais, ses énormes bourses luisantes d'une fine pellicule de sueur sont déposées sur ton visage, ton nez et le haut de tes joues, bourses soulignant une vue des plus délicieuse, la ligne rebondie et parfaite de ses fesses athlétiques, habituées à de nombreuses courses dans la forêt, et sa chute de rein puissante, déjà en mouvement, il se plait à contracter les muscles de son dos, de ses fesses et ses cuisses en gardant sa satanée poutre au plus profond de ta bouche, te laissant sucoter à la limite, ses bourses à l'entrée de tes lèvres, il passe la tête par dessus son épaule droite pour te fustiger d'un regard entre malice et perversité, se pinçant une griffe entre les dents, le visage complétement empourpré de honte et de plaisir à la fois.

"-J'espère que tu es prête pour la suite... "

Kokoro Myako

Terranide

Oui elle adorais, comme elle adorais qu'il l'insulte, qu'il la prenne juste pour une poupée de chair, dieu qu'elle pouvait aimer cette sensation de n'être qu'une chose entre ces mains... Une chose qu'il pourrais briser mais qu'il tenait en vie. La tête penchée en arrière elle continue a sucer le plus possible, sa langue courant sur le membre de l'homme alors qu'elle le prend dans sa bouche, c'est si facile , elle est si petite et lui si grand qu'elle passe sous lui assez facilement.

Ouvrant de grand yeux elle sentit quelque chose caresser sa bouche, c'était troublant perturbant même, en fait elle ne savait plus quoi penser, alors dans ces cas la le plus simple était de ne rien faire, de fermer les yeux de savourer le moment, de continuer a le pomper encore et encore...

Respirant par le nez elle peu le prendre aussi loin qu'il le veut, aussi loin qu'il le faut, son corps se courbe, se plie a ces envies il est le maitre et elle l'esclave de ces plaisir. Ces mains qui maintienne sa tète, sa queue qui fouille son intimité, la faisant trembler de plaisir et de peur, il pourrais la tueur rien qu'avec son chibre, il pourrais la percer de par en pars.. Mais elle le sent juste faire des aller et retours, si bon si troublant...

Le visage de la jeune femme est un peu étrange pour le moment les yeux révulser son corps tendus vers les cieux, tremblant doucement elle semble presque en transe, ces doigts se pose un instant sur sa gorge a travers les parois elle peu sentir le membre de l’homme qui l'emplit totalement, qui la dévorer, qui coule dans sa gorge, étrange sensation, étrange substance qui coule en elle, augmentant son plaisir, supprimant une partie de la douleur.

Ces lèvres bouche doucement léchant suçant l'homme comme jamais elle en l'a fait auparavant.  Et comme elle ne le ferais surement plus... A lui , la jeune femme poussa un grondement, un oui étouffer, qui sortit difficilement étouffer par la poutre qu’elle avait dans sa bouche.

Un instant respirer alors que l'homme se retire d'elle,  cette queue qui vas et viens dan son corps qui la fait gémir alors qu'il s'installe a nouveau, la jeune femme a la langue pendante, la bouche grande ouverte comme pour réclamer a nouveau son membre dans sa bouche...

Et le sexe revins venant frotter ces dents, alors qu'elle déglutit l'avalant presque d'elle même.. ces bourse sur son visage la trouble un peu pourtant ces doigts virent doucement les malaxer, réussissant grâce sa souplesse de miracles, ils montes aussi sur les fesses de l'homme les caressant en douceur...

« Hurmpf... »


encore une fois dire oui, alors que sa langue se fait de plus en plus folle sur le membre de l'homme, son corps ondulant un peu sous sa queue, elle ne pense plus qu'au plaisir au sien surtout.
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Khaléo

Terranide

L'expression du corps, et du visage tendu, extasié, transcendés de la jeune créature lui plaisaient énormément, il s'en abreuvait autant qu'il adorait en rajouter un peu plus à chaque seconde, les "oui", étouffés en réponse à ses petites vulgarités, gentillettes, uniquement présentes pour souligner l'intensité de l'acte, le rendaient à nouveau dingue, souriant, extatique à son tour, se pinçant la langue entre les dents sur un sourire enjoué, plissant un regard contemplatif et séducteur sur le tiens.

"-Quelle ardeur... quel appétit... Tu me dégustes comme s'il s'agissait de ton véritable premier repas, n'est ce pas ? Ma belle petite garce ♥"

La bouche grande ouverte, la langue pendante n'attendant qu'une chose, l'acceuillir à nouveau, il s'y renfonce, inexorablement, déguste ses parois, les dévore et les rape de ses raisins de chair, en effet, ta gorge élastique, flexible, s'élargit magnifiquement quand il s'enfonce au plus profond, ta peau dessines même ses excroissances pointues de chair, il y va un peu plus franchement, un peu plus vite, la pénétration, s'intensifie pour prendre une douce allure de croisière, ses fesses rebondissent ainsi que ses bourses, d'avant, en arrière, et tu ne manques pas de l'observer, et de laisser s'exprimer tes envies de palpation.

Chose qui, finalement, lui plait beaucoup, de par nature féline, la caresse est toujours la bienvenue, mais quand même, sur ses fesses ? Apparemment oui, c'est doux, ses fesses sont bien rondes, après tout, peut être sont elles si attirantes que cela, il ne va pas la blamer d'en avoir envie, en plus du fait que cela, lui plait aussi, couplé au massage de ses bourses, il se cambre d'avantage durant la pénétration, comme pour offrir une envergure de toucher, de palpation plus grande, hésitant à accélérer d'avantage sa bourre ramonant ta gorge, il gémit, cette fois c'est à son tour, le travail de tes lèvres et de ta langue est tout bonnement parfait...

Mais la situation, du moins, la position est tout de même bien comfortable pour toi, qui n'a presque aucun effort à fournir, ce mastodonte de chair barbelée de raisin te gratte la gorge, la laboures, et de temps en temps, il lui arrive de s'arrêter net, comme s'il se retenait uniquement pour apprécier plus longuement les caresses de tes mains, sa queue de tigre décide de te pénétrer, de bien racler ses poils plus longs sur l'entrée de tes lèvres à chaque allée et venue.

Malgré ces délicieux traitements, il est encore loin de la jouissance, pour diverses raisons, dont la majeure, celà fait plus de trois siècles, voir plus, il a du mal à s'en souvenir, qu'il n'a plus eu de rapport, autant dire que le "flux", son "mojo" ou plutôt, libido est exacerbée depuis tout ce temps, temps qu'il prend bien, pour apprécier chaque seconde, chaque sensation, le voilà qu'il accéllères par à coups, ballotant ses jolies bourses sur ton visage, jusqu'a ce qu'il se "rassoit" sur ta bouche, restant figé à nouveau en toi, son muscle pubien léché par tes lèvres, il décide de rester ainsi, en jouant uniquement de ses hanches, comme un danseur du ventre, une danse chaloupée qui fait circuler sa poutre démoniaque dans ta gorge avec une lenteur et une saveur toute calculée, mais ainsi, tu peux également, comme une offrande, laisser libre cours à d'étranges envies de palpation naissantes en toi, il attends de voir où ça te mènes, un sourire amusé en coin se dessinant sur ses lèvres.

Kokoro Myako

Terranide

C'est vrai qu'un membre comme cela c'est une première surtout manier avec autant de précision et de force, il lui semble comment dire indestructible, il semble ne jamais pouvoir éjaculer, un homme normale serais déjà venus dans sa bouche envahissant son corps de son sperme blanchâtre et acre, si peu gouteux.

Elle ne peux retenir des hoquet quand il vas et viens, comme cela elle a tout la possibilité de sentir cette poutre de chair violer sa chair volontaire, est-ce que l'on peu appeler cela un viol, non pas vraiment mais qu’elle importance... Elle sent ces bourse frapper son visage a chaque fois, ces fesse rebondir doucement, la vision est hypnotique, appétissante.

Ces doigts parviennes a caresser le bas de sa queue d'animal sachant parfaitement que c'est une partie sensible, aussi sensible que la sienne, qui pour l'instant bas doucement le sol, dans des soubresaut interminable, comme agiter par le plaisir qui parcourus le corps de sa propriétaires.

Ces mains caresse palpe, prenne la mesure des muscles, des fesses de l'homme... Comme si elles ne pouvaient reste immobile ce qui est un peu le cas de ces mains légèrement calleuse. Un nouveau gémissement étouffer lui échapper alors que la queue vas et viens dans son antre humide, la rendant que plus humide, plus envieuse...

Son chibre qui vas et viens dans sa bouche, c'est si bon, ces doigts monte doucement, venant se perdre sur les fesse de l'homme les écartant douceur, son doigts venant s’attarder sur son petit anneaux de velours.. Que lui avait dit son ancien maitre une fois, qu'au fond de cet endroit se trouvait un point extrêmement sensible de l'anatomie mâle, que si elle réussissait a le toucher comme il le fallait le plaisir était intense...

Haletant doucement la jeune femme se recula doucement sur le chibre de l'homme, ondulant pour le faire sortir de sa bouche, il devait surement se demander pourquoi, mais elle fit doucement glisser le chibre entre ces seins, alors que sa bouche venait se placer entre ces fesses.

Sa langue pointue venant doucement lécher l'anneau de velours l'explorant du bout de la langue, avant de le pénétrer, sa langue cherchant ce point si sensible, cette prostate.. Elle avait la chance d'avoir une langue longue et rappeuse, qui s'infiltrait explorait en douceur alors que ces doigts continuait a presser en douceur l'anneau...

Jusqu'au ce qu'un de ces doigts cédé a l'envie, venant rejoindre sa langue explorant a la recherche de cet endroit si sensible jusqu'au l'effleurer du bout de doigts... Son autre main caressait en douceur les bourses de l'homme alors que sa queue poilue venait caresser son gland ... Qu'il pouvait se branler entre ces seins...

Son deuxième doigts s'infiltra venant rejoindre le premier et la langue dans leur lente exploration, pressant a intervalle irrégulier la zone sensible, pour le faire craquer pour lui donner du plaisir... Le points G masculin, elle voulait lui montrer que le plaisir pouvait être puissant... Sa langue se fit plus dure plus lentes.... Elle ne savait si elle pouvait aller plus loin en fait elle attendait un signe pour entrer plus de doigts.
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Khaléo

Terranide

Heh... d'abord... tout d'abord... ce fut tout de même... eh bien... la surprise, la confusion, surtout lorsqu'elle sortit son chibre de sa bouche, il sourcilla, interrogé, cherchant le regard de sa belle "proie" du sien, ses fesses faisaient désormais partie, de toutes les attentions de sa "protégée" il se raidit, comprimant les muscles de ces dernières, puis, au fur et à mesure que les caresses s'étendaient, continuaient, il se détendit, l'objet de son plaisir amoureusement massé et carressé entre les seins de "l'écureuil", qui redoublait d'effort de la part de sa queue spéciale pour lui "branler" également le bout du gland rapidement.

Alors qu'il pensait être au bout de ses surprises, après tout, elle aimait peut être juste ça, lui tâter les fesses, mais non, il fallait croire qu'elles étaient tellement à son goût qu'il fallut qu'elle y goûte ! Oui... heh... ses... sa bouche... ses lèvres fraîches sur la peau de ses fesses ?! Il en avait fait des choses, dans sa longue vie, mais... mais c'était bien la première fois qu'on montrait un tel "attrait" pour son postérieur, franchement, il ne savait pas quoi en penser, au départ, est ce que celà mettait sa virilité en question ? Serait il jugé par sa "proie" s'il montrait des signes de faiblesses face à un traitement de ce... de ce genre ?

Il n'eut pas le temps de se poser des tas de questions, surtout lorsqu'elle plaça sa bouche entre ses fesses sans crier gare, embrassant littéralement son anneau musculeux et lisse, estomaqué, il était interrompu dans tout ce qu'il avait entreprit jusqu'ici, cessant de bouger, mais, drôlement bien cambré de telle manière à offrir son derrière en pature, inconsciemment, à Kokoro, c'est lorsqu'elle commence à lécher ce dernier, et, pénétrer celui ci de sa langue qu'il prend la pleine mesure du désir qui monte en elle pour son fessier, son postérieur, les courbes harmonieuses et rondes, certes, de son arrière train serré et athlétique, mais... vraiment, à ce point là ?

Il fallait le croire, oui...

"-... Haaah..."

Gémit il, voix à la fois remplie de surprise et d'un peu d'effroi, mais bien vite les mouvements de cette langue touchent une zone hypra sensible, du moins, chez l'homme, il en louche quand il sent essayer de la titiller, déjà, du pré sperme finit enfin par couler depuis le bout de son gland, non, c'est... c'est impossible... comme ça ?!

"Hmm...mrrr..."

Les gémissements se font plus suaves et moins surpris à nouveau, appréciant finalement la "besogne", l'appétit de sa "proie", fermant les yeux en posant lui même ses grandes paluches sur ses propres fesses, les écartant un rien comme, pour l'aider, tandis que ses jambes font de même pour lui laisser le champ "libre", dans d'autres circonstances il... aurait très bien pu mal le prendre, mais quelque part, c'en était... flatteur...

Bientôt le plaisir grimpe encore, il se cambre, et tires sa putain de longue langue hors de sa bouche, qu'il ravales immédiatement en posant sa main sur sa bouche, non, finalement, il s'installe, il se baisse et, couche le haut de son corps sur le tiens, atteignant ton entrejambe humide, qu'il dévoile à coup de dents séparant tes habits, là, il découvre ton sexe moite, couvert d'une cyprine au moins aussi "travaillée" que le reste, il goûte, ça lui plait, hmm, ça plait à son palais, et à sa langue, langue râpeuse qui, entame son long va et viens sur l'envergure de tes lèvres, titillant la tête de ton papillon de plaisir entre deux griffes précises et délicates.

La pénétration languiale de ses antres postérieures s'accompagne bientôt d'un doigt froid, qui le fait sursauter, mais c'est bon, il ne peut le nier, surtout pas son sexe en tout cas, qui lui, en est tendu à l'extrême, giclant de longues et épaisses flaques de présperme maculant désormais la poitrine de Kokoro.

"-Tu vas... tu... Qu'est ce que.... "

C'est lorsqu'elle introduit un premier doigt pour aider d'avantage sa langue à la caresse de sa prostate, qu'il commença à perdre les pédales, mordillant un temps tes lèvres, il se redressa un petit peu, incapable de penser à autre chose ou de coordoner ses mouvements, un deuxième doigt s'invita à la fête, l'anneau musclé et ferme de Khaléo s'entrouvrit un peu plus, délicatement et doucement adoucis par ses soins, ça ne faisait aucun mal, c'était juste délicieux, si délicieux que dans un murmure, il lui avoua de ne pas "arrêter", si près d'arriver à en jouir,  il ne l'imaginait pas tout à fait comme ça, c'est une surprise, une agréable... surprise...

Le grand guerrier, le félin, hmmmrr, il a fier allure, désormais, plié aux volontés d'une tripoteuse de cul, qui, apparemment adorait ça, à moitié couché sur elle, fesses en l'air, anneau déglutissant des divers bruits sourds de liquides, provenant des pénétrations, il s'empourpres et halètes, tandis que ses oreilles de tigre se mettent à trembler, et sa queue de tigre, se dresser, droite derrière lui, hérissée à souhait.

"-T... Tu fais... ça.... ça bien... haah... ♥ pi... pitiééé..."

*s'aggripe a tes hanches, effectuant ses premiers mouvement de "balancier" d'avant en arrière*







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