La voilà donc sur le jeune avocat, à se mouvoir, à onduler des hanches et du bassin autant que faire se peut. De temps à autre, quelques gémissements, quelques soupirs, quelques plaintes sonores sortaient de leur bouche. Du moins, quand leur bouche était libre. Pourquoi ? Et bien ... Disons que de temps à autre, leurs plaintes étaient masquées par quelques embrassades. Même plus que quelques embrassades d'ailleurs. Des baisers passionnés et langoureux, voire même plus, sa langue s'entremêlant à celle de Hiro, et tout ce qui pouvait s'en suivre. Mais même si sa bouche était, le plus souvent, bien occupée afin d'embrasser l'avocat, ce n'était aps pour autant que la demoiselle avait cessé de remuer ses hanches, bien au contraire d'ailleurs.
Les mains de Hiro avaient enserré la jeune professeur et elles avaient fini par se poser au niveau de son postérieur. Peut-être pour l'encourager à faire de plus amples mouvements, ou peut-être, tout simplement, afin de les poser quelque part, qui sait ? Chaque mouvement reflétait, ou presque, un plaisir immense, incroyable. Le corps de la jeune femme ondulait toujours autant, un peu comme des vagues lors d'une mer quelque peu agitée. Ou quelque chose dans le genre. Ses doigts amorçaient, de temps à autre, de longues descentes au niveau de son torse. Parfois, quand sa bouche, ses lèvres étaient libres, Shylee se rapprochait de Hiro, histoire, histoire de déposer une myriade de baisers, ici ou là, avant de reprendre ses mouvements de hanche. Mouvements, d'ailleurs, qui étaient accompagnés par Hiro. Ou du moins, il ne lui laissait pas faire toute la besogne, bien que plaisante, et l'aidait quelque peu dans cette démarche, lui-même soulevant, ainsi, son propre bassin, afin d'aller plus loin, plus profondemment.
Du fait de cette position, il était vrai qu'ainsi, la verge de l'avocat pouvait aller plus loin, bien plus loin que dans d'autres positions, ce qui n'était pas un mal en soit, bien au contraire. Le plaisir ... Tout ce qui avait d'important, c'était le plaisir. Plus rien n'avait d'importance, ou presque. Bon, si, tout de même, fallait garder à l'esprit de ne pas être trop bruyant. Car qui sait si les voisins débarqueraient pas du fait qu'ils entendaient des bruits suspects, sait-on jamais. Y'avait peut-être des voisins pervers dans les parages. Toujours se méfier des voisins, surtout s'ils ne sont pas satisfaits.
Mais bon, revenons-en à nos moutons. Leurs langues s'étaient, une nouvelle fois, mêlées, entremêlées ... entrelacées. Un plaisant, et langoureux baiser. A croire que les lèvres de Hiro, ou les siennes, étaient spéciales du fait qu'elles revenaient toujours l'une vers l'autre. Se redressant quelque peu, afin de mieux se mouvoir et de bouger ses hanches, la jeune femme regarda son amant du soir, tandis que ce dernier lui disait que le premier round allait, se finir, sous peu.
"Et bien ... qu'importe ... On débutera alors le second round."
Signe que, vraisemblablement, la demoiselle n'escomptait pas vraiment s'arrêter en si bon chemin, pour sûr. Oh que non. La fatigue ne se lisait pas sur son visage. Elle était en forme, pour sa première journée de vacances. Et sans aucun doute que Shylee ne serait pas fatiguée, du moins, pas tout de suite, pas dans l'immédiat. Peut-être après trois ou quatre rounds, mais pas avant. Sauf si le jeu devenait... comment dire ... plus mouvementé ? Ouais ... Plus mouvementé.