Un jour de congé à la patinoire du CC [Pv: Shylee Tsumo]

Si je m’étais montré entreprenant pour ce qui est de dénuder ma partenaire, je ne vois pas pourquoi je l’aurais été pour en faire autant avec mes habits. Si elle voulait passer une belle nuit en ma compagnie, elle devrait faire un peu d’effort, non? Oui, je sais, je suis égoïste. Enfin, peut-être apprécierait elle que je lui en laisse un peu avant de se mettre dans le vif du sujet. Mouais probablement.

Je souris intérieurement en continuant de l’embrasser au niveau des cuisses et de lui masser l’intimité, mais, comme j’avais envie d’un peu plus de mouvement, et , tout en continuant mon petit manège en bas, je posai mes lèvres sur les siennes dans un baiser fougueux et passionné, caressant son sein droit de ma main toujours libre. Ses soupirs de plaisir m’excitaient et  je sentais la bosse que formait ma verge encore prisonnière de mes pantalons. Je glissai ma bouche à son oreille puis lui mordillai le lob d’oreille juste avant de lui glisser :

Si tu apprécies mes attentions, tu vas adorer ce que j’ai en réserve pour toi!

Un nouveau sourire alors que je mordillai la peau de son cou, ainsi que ma main glissa à l’intérieur des sous-vêtements  de Shylee pour que les sentiments soient un peu plus accentués, insérant un doigt en elle et recevant des soupirs un peu plus prononcés. Ferait-elle quelque chose pour tenter de renverser la vapeur? Peut-être, mais je ne ferais rien pour l’inciter à faire quelque chose, elle était libre de faire ses propres choix. Non? 

Shylee avait levé un sourcil interrogateur quand à ce qu'il venait de lui dire. Elle se demandait bien ce qu'il avait en réserve. Enfin, disons qu'elle avait quelques idées derrière la tête. Mais elle aurait, probablement, aimé en savoir plus. Sans aucun doute qu'elle aurait la réponse à cette question sous peu de temps. Après quelques petites morsures au niveau de son cou, pas pour lui faire mal, mais juste pour ajouter un peu de sensualité, ou quelque chose dans le genre, Hiro avait ramené sa main au niveau de l'entrejambe de Shylee. Passant cette première barrière, sa main se faufila sous ses sous-vêtements tandis qu'un de ses doigts n'hésita pas à venir la taquiner. Façon de parler. Première réaction de la part de la demoiselle ? quelques soupirs, gémissements, plus poussés que les autres.

Avec son doigt, Hiro semblait vouloir aller de plus en plus loin. Mais ça fonctionnait, dans un certain sens, du fait que la jeune femme mouillait petit à petit. De temps à autre, elle se pinçait les lèvres, histoire de retenir quelque peu ses gémissements. Mais elle savait qu'elle ne pouvait pas le laisser faire ça ... Enfin, que ça ... Après tout, probablement que Hiro avait envie que Shylee s'occupe un peu de lui. Certes, il ne l'avait pas dit, mais bon ... Un homme restait un homme après tout, non ? La jeune prof s'était quelque peu redressée, histoire ... histoire d'agripper le bas de son polo et de le lui retirer. Bien évidemment, comme elle un peu plus tôt, Hiro l'avait aidée dans cette entreprise. Ca l'avait momentanément obligé de laisser de côté l'entrejambe de la demoiselle ... Mais sans aucun doute qu'il n'allait pas tarder à reprendre possession de cette zone. Sauf si elle l'en empêchait par quelques gestes.

"Hmmm ... J'ai hâte de voir, alors, ce que tu as en réserve ..."

Tout en parlant, la main de Shylee était quelque peu venue flirter avec son entrejambe, histoire de "prendre sa température", en quelque sorte. L'avocat avait une bosse ... Une bosse qui ne cesserait probablement pas de grossir, du moins, pas dans l'immédiat, surtout si la jeune femme venait à en stimuler sa verge ... Mais avant, Shylee l'avait embrassé une nouvelle fois, tout en insérant sa langue dans le baiser, tandis que ses mains s'attelaient à détacher sa ceinture, frôlant, par la même, de temps à autre, sa bosse qui semblait durcir, à nouveau. Difficile de dire si c'était vraiment le cas, ou pas, mais elle en avait l'impression. Shylee rompit le baiser après quelques instants.

"Hmmm ... Je parie que tu commences à être serré, non ?"

L'embrassant une nouvelle fois, Shylee finit par lui ôter sa ceinture. L'une de ses mains s'attela à lui faire descendre son pantalon, tandis que l'autre flirtait, à nouveau, avec sa bosse. Avait-elle envie de lui ? Hmmm ... Oh que oui ... Ca serait une manière agréable de terminer une journée qui s'était formidablement bien passée, pour changer. Donc, autant finir cette soirée en apothéose, dans un certain sens.

Je la sentais mouiller de plus en plus, entendant ses gémissements, tout ça m’excitait de plus en plus, jusqu’à ce qu’elle décide de retirer mon polo, je fusse alors forcé d’arrêter mes petites attentions pour l’aider à le retirer et, alors que j’allais reprendre ma besogne, elle m’arrêta en s’affairant sur ma verge, encore étouffée dans mon pantalon, puis s’attardant sur ma ceinture, tout en m’embrassant, nos deux langues jointes une nouvelle fois.

Si je commence à être serré? Ça fait un sacré moment que je le suis, je dirais donc plus que je termine, étant donné que tu vas me délivrer de cette prison de tissu.

Je souris en coin puis, lorsqu’elle finit par détacher la ceinture, je décidai de l’aider un peu, pour accélérer le processus, en détachant mon pantalon , me laissant alors en simples boxeurs, puis je collai mon corps contre le sien, pour recommencer à l’embrasser. Son corps était chaud, c’était vraiment plaisant, sentir un corps nu contre le sien. Ma verge, encore dans sa prison de tissu, glissait contre la petite chatte humide encore elle aussi cachée par les sous-vêtements de Shylee, s’était vraiment une soirée qui allait bien finir, surtout qu’elle semblait vraiment enclin à passer une nuit de débauche entre les deux jeunes gens. Je ne me rappelais même plus la dernière fois que j’avais baisé une femme comme ça, pour le simple plaisir, sans que ce soit une esclave.

Mes mains glissaient dans le dos de la jeune femme, puis je m’arrêtai au niveau de son soutien-gorge, défaisant les agrafes, puis me décollai de son corps pour retirer le soutien du corps de la jeune institutrice.

De la main gauche, je caressai le sein, le malaxant, pinçant le téton à quelques reprises, puis je m’occupai de son sein gauche avec ma bouche, le suçotant et glissant ma langue autour du petit bout rose, le sentant durcir dans ma bouche. Puis, ma main droite glissa tout le long du  corps pour retourner dans la culotte pour recommencer à faire sa plaisante besogne.

Serré ? Oui, il l'était. Mais plus pour très longtemps, du fait que Shylee avait porté les mains à sa ceinture pour lui ôter ceinture et pantalon. En effet, en peu de temps, le voilà qu'il se retrouvait en boxant, non sans avoir filé un coup de main, tout de même, à la jeune prof. Ainsi donc, tous deux se retrouvaient en sous-vêtements. Hiro en avait profité pour se rapprocher d'elle, se coller à elle. Hmmm ... Une certaine chaleur se dégageait de son corps d'ailleurs. Du fait de leur proche proximité, et que plus grand chose ne les séparait, si ce n'était l'épaisseur de leurs sous-vêtements, Shylee sentait très bien la verge de Hiro. D'ailleurs, à bien y regarder de plus près, sans aucun doute qu'elle pouvait aussi en voir les contours, malgré son boxer. Hmmm ... Cette soirée semblait être ... prometteuse, dans un certain sens.

Tandis que Hiro s'attendait sur son soutien-gorge, histoire de le lui retirer, Shylee l'avait embrassé une nouvelle fois. Dieu que ses lèvres étaient attirantes. L'une de ses mains s'était amusée à glisser le long de son torse, et à descendre, petit à petit, jusqu'à son boxer, enfin, non loin de là. Elle avait amené sa main sur sa verge, toujours emprisonnée dans son boxer. Voulait-elle qu'il se trouve encore plus serré là-dedans ? Peut-être ... Peut-être pas ... Disons qu'elle avait envie qu'il soit prêt ... pour le moment opportun, même si elle se doutait qu'il le serait probablement.

Son soutien-gorge avait pris des ailes. Du moins, sa poitrine n'était, à présent, plus enserrée dans son tissu, laissant un libre accès total à Hiro qui n'hésita pas à s'en emparer d'ailleurs. Il avait délaissé les lèvres de la prof pour s'occuper de cette nouvelle zone à explorer. Usant de sa bouche, de ses mains, de sa langue, il ne manquait pas une occasion de faire gémir, de temps à autre, la jeune prof. Tant qu'ils ne faisaient pas trop trop de bruits non plus. Les murs n'étaient pas en carton mais bon, il était vrai qu'on pouvait, de temps à autre, si on tendait l'oreille, entendre ce qui pouvait se passer dans l'appartement d'à côté ... Et alors ? Etait-ce gênant en soi ? C'était pas comme si elle faisait ça tous les jours.

Mais revenons-en à nos moutons. Hiro avait ramené une de ses mains au niveau de la culotte de Shylee. Sans plus attendre, il l'avait engouffré dans celle-ci, histoire ... histoire de venir taquiner son intimité du bout de ses doigts. Un peu comme ce que Shylee était en train de faire avec sa verge d'ailleurs, du fait qu'elle faisait quelques allées et venues le long de son membre. Grossissait-il sous ses doigts ? Peut-être, peut-être pas. Mais faudrait songer à lui retirer son boxer, peut-être pas tout de suite, histoire de libérer son barreau de chair. En tout cas, Shylee, elle, appréciait le traitement que lui infligeait Hiro. Elle gémissait, de temps à autre, mais elle mouillait aussi, de plus en plus apparemment.

Sous ma main, je sentais l’intimité de la jeune Tsumo s’humidifier davantage. Mmm.. Ça devenait vachement dur de ne pas simplement lui arracher sa culotte  et la prendre partout sur le comptoir, mais je me délectais de cette irrésistible envie. Cette envie ne fût qu’amplifiée alors qu’elle prenait ma verge dans sa main, la faisant glisser sur la barre, encore emprisonnée dans mon boxer. J’avais cependant envie de jouer à un petit jeu…  Je murmurai alors, après l’avoir embrassé une nouvelle fois, d’une voix mielleuse.

Je parie que tu as un fantasme, non? Dis-le moi, et je m’efforcerai  de le réaliser, ça te dit?

Mes mains qui glissaient dans son dos faisaient bien plus que de simples caresses. Mon pouvoir  ne pouvant agir seulement que lorsque le contact peau contre peau se faisait. Donc, à ce moment, une voix convainquait son esprit de me dévoiler le fantasme le plus ancien et le plus puissant qu’elle avait. Pourquoi ne la convainquais-je pas de réaliser le mien? Car je n’en avais pas, étant donné que j’eus passé ma vie adolescente entouré d’esclaves qui faisaient tout ce que je  désirais. Mes désirs étaient alors comblés la seconde que je les exprimais. Donc, on peu dire que mon fantasme était de réaliser ceux de mes partenaires. Tout en continuant de caresser son dos et ses seins l’un après l’autre, je lui souris avec douceur.

Alors? Envie de me parler d’un fantasme en particulier?

Leurs langues s'étaient, une nouvelle fois, entremêlées dans un baiser des plus passionnés. Hmmm ... Il était clair que cette soirée prenait un chemin ... des plus lubriques mais qu'importe. Hiro était un homme charmant, quelqu'un d'agréable à regarder, et ce n'était pas un petit malfrat du fait qu'il défendait lesdits malfrats. Et quand bien même elle saurait la vérité, est-ce que ça changerait sa vision des choses ? On ne peut pas prévoir ce qui se pourrait se passer. Après tout, l'homme n'est pas visionnaire ... Du moins, il ne peut pas voir dans l'avenir des choses qui ne se sont pas encore produites. Sauf, bien évidemment, ceux qui ne sont pas que de simples humains. Mais pour le côté paranormal, la jeune professeur n'était pas vraiment au courant de tout cela. Et comme on dit, la connaissance est dans l'affirmation de l'ignorance.

Les lèvres de Hiro s'étaient détachées de celles de Shylee, histoire de lui murmurer quelques mots au creux de son oreille. Il lui parlait de fantasme ... Et du fait qu'elle en avait probablement un. Hiro lui proposait de combler ledit fantasme. Tout en lui murmurant ces quelques mots, Hiro faisait glisser ses mains le long de sa colonne vertébrale. Une petite voix dans sa tête l'enjoignait à lui répondre. Répondre quoi ? Parce que là était le problème. C'était bien là la première fois qu'on lui posait une telle question. Un fantasme sexuel ... En avait-elle un ? Oui, probablement, du moins, la jeune femme n'avait jamais vraiment réfléchi à cela. Non pas qu'elle était un brin de femme prude et innocente qui avait une vie chiante à en mourir.

Les mains de Hiro se montraient de plus en plus pressantes sur son corps. Et sa voix enjoueuse et mielleuse lui demandait, une nouvelle fois, s'il n'y avait pas quelque chose qui pouvait lui venir en tête. En parlant de tête, y'avait toujours cette petite voix qui lui disait de parler, ou du moins, de dévoiler ce qu'elle avait envie à Hiro. Shylee s'était quelque peu pincée les lèvres, tout en regardant Hiro.

"Et bien ... Je ne sais pas si on peut dire que c'est un fantasme... Mais j'ai une folle envie que d'inaugurer ce joli comptoir ... D'une manière fortement agréable si tu vois ce que je veux dire."

Ouais, bon, tu parles d'un fantasme. Mais y'avait rien d'autre qui lui était vraiment venu à l'esprit. Peut-être que ... que s'il lui reposait la question plus tard, dans l'excitation du moment, quelque chose d'autre viendrait, mais bon ... Quoi qu'il en soit, la demoiselle s'était quelque peu montrée plus entreprenante. Comment ? Elle avait écarté le bout de tissu que Hiro avait encore et avait engouffré sa main à l'intérieur. Celle-ci effleura, du bout des doigts, sa verge qui se dresserait, sans aucun doute, fièrement si elle n'était pas encore emprisonnée dans ce morceau de tissu. Elle ramena sa main dessus et fit de longues et lentes allées et venues sur son membre.

J’avais fait influencer mon pouvoir sur elle pour qu’elle me révèle son fantasme, et elle m’avait donné une réponse. Bon, ce n’est pas vraiment le genre de réponse auquel je me serait attendu, mais sa réponse m’intrigua d’autant plus que si elle m’avait répondu un véritable fantasme. Toute ma vie, je me suis cru la seule personne n’ayant pas de fantasme caché, une envie sexuelle tabou, si on pouvait dire. C’était la seule femme qui ne savait pas quoi répondre lorsque je posai la question. Toutes les autres m’ont exposé des fantasmes aussi farfelu qu’intéressant, mais elle… C’était vraiment la première fois que j’entendais ça de la bouche d’une personne. Peut-être avons-nous un lien qui nous unis, elle et moi, peut-être âmes sœurs? Nan, je ne suis fait pour personne.

Eh bien, ma belle, si c’est ce que tu souhaites, c’est ce que tu auras! Mais saches que ça allait probablement arriver un moment où à un autre…Peut-être qu’on pourrait « inaugurer » toute la cuisine, et peut-être même tout l’appartement, si le cœur t’en dit…

Je lui fis un clin d’œil, mon petit ton joueur, avec une voix mielleuse, toujours de la partie. Oui, j’avais vraiment envie de jouer ce soir, je me sentais en pleine forme et je voulais en faire profiter à ma partenaire. Elle commençait alors à me caresser la verge, sous mon boxer, qui me retenait toujours prisonniers. Je souris, l’effet que ça me procurait était bien, mais j’en voulais plus, alors je retirai la main de ma partenaire pour « m’évader » de la prison qui m’empêchait de prendre totalement mon pied. Ma hampe n’était pas de proportion gigantesque, mais elle était légèrement plus longue que la moyenne, avec une circonférence aussi supérieure à la moyenne. Oui, on pouvait dire que ça m’aidait d’envoyer mes partenaires au septième ciel. Je lui souris en agrippant ses sous-vêtements. Ma voix se faisait plus chaude, sensuelle.

Alors, tu veux qu’on inaugure ça en douceur, où tu as trop envie de laisser ma hampe rencontrer ta petite chatte?

Moi, les deux me tentaient bien, mais j’avais envie de savoir ce qu’elle voulait. Qu’elle en profite, il est rare que je suis aussi cajoleur et doux, étant à l’écoute de ma partenaire.

L'avait-elle étonné de par sa réponse ? Shylee n'aurait su le dire ... Mais elle avait comme l'impression de l'avoir laissé perplexe. Bah ... C'était peut-être qu'une impression. Si ça se trouvait, elle se faisait des idées. Quoi qu'il en soit, Hiro ne semblait pas contre cette idée, même s'il n'hésita pas à lui dire que c'était ce qui se serait passé, et ce même si elle ne l'avait pas demandé. D'ailleurs, si ça lui chantait, enfin, si Shylee le voulait bien, ils pourraient très bien faire ça partout dans la cuisine, du genre, sur la table, près de l'evier ... Un peu partout quoi. Possible ... Oui, possible qu'ils le fassent. Shylee le regarda durant quelques instants.

"Oh ... Et bien ... On verra si on tient toujours sur nos jambes d'ici là ..."

Bah oui ... Parce qu'il se pouvait qu'ils soient épuisés après le premier, ou le second round. Donc, hein, fallait pas non plus qu'ils présument de ses forces. Car Shylee, elle, contrairement à Hiro, n'avait rien à faire le jour suivant. Elle n'était pas attendue au travail, elle était en vacances, jusqu'à la prochaine rentrée scolaire. Donc, elle pouvait se coucher à point d'heure ... Et même passer une nuit blanche si ça l'enchantait. Sa première nuit blanche si ça arrivait, du fait qu'elle préférait, tout de même, avoir quelques heures de sommeil dans les talons, du moins, quand elle travaillait ... Et comme, jusqu'à présent, elle avait toujours eu des cours à faire, à préparer, des exercices à corriger, ou bien des leçons à apprendre quand elle était plus jeune, et bien ... et bien, pas trop le temps pour faire des nuits blanches, en quelque sorte.

"Penses-tu qu'on pourra tenir la cadence ?"

Ils verraient bien ... De toute manière, ce n'était pas en restant là, à discuter, qu'ils le sauraient. Quoi qu'il en soit, Shylee continuait à faire d'amples mouvements sur sa verge. Néanmoins, Hiro la stoppa dans ses gestes durant quelques instants, le temps qu'il lui fallait pour laisser son barreau de chair être libre comme l'air, ne plus être emprisonné, en quelque sorte. Elle-même perdit ses sous-vêtements. Ainsi donc, ils se retrouvèrent tous les deux en tenue d'Adam et Eve. Hiro brisa le silence, lui demandant si elle préférait la douceur ... Ou pas. Hmmm ... Que préférait-elle ? Shylee avait toujours préféré, de loin, la douceur à la brutalité. -Niveau brutalité, la pauvre avait eu le droit à des vertes et des pas mûres, mais elle s'en souvenait pas du fait qu'un petit ange était passé dans le coin, un ange exterminateur de mémoire.-

"Je préfère de loin la finesse ... Néanmoins ... Je ne serais pas contre une activité un peu plus rude ... Enfin, façon de parler."

Elle ne désirait pas non plus qu'il la malmène. Fallait juste trouve un bon milieu entre les deux, dans un certain sens.

Elle semblait douter de mes capacités à pouvoir m'occuper d'elle toute la nuit s'il le fallait. Qu'à cela ne tienne, je ferai de mon mieux. Et le travail du lendemain? Je m'en fichais, plus rien n'avait d'importance à ce moment.


T'en fais pas, je suis plus résistant que je ne le laisse paraître.


Il faut toujours cacher ses possibilités physiques, pour qu'on vous sous-estime. C'est une des leçons que m'avait appris mon mentor, sur Terra, alors que je n'étais qu'un enfant. Un marchand d'esclaves se doit d'être bien préparé à tout ce qui peut l'attendre, même le combat, ou dans ce cas si, un autre genre de lutte, beaucoup plus intéressante et érotique. Je m'étais agenouillé devant elle au moment qu'elle me lança sa réponse. Elle voulait y aller doucement, mais la brutalité, si on pouvait appeler ça comme ça, lui tentait aussi. Un compromis était alors de mise.


Alors, on va y aller graduellement…


Je souris légèrement avant de commencer à m'amuser. En effet, les parties intimes de la jeune dame étaient toutes ouvertes à moi, me laissant donc apercevoir une belle petite chatte rose, réclamant mon attention. Comme j'avais dit, j'y allais graduellement, commençant par simplement glisser doucement ma langue contre les lèvres extérieures, puis je continuai de plus en plus rapidement, pour finir par y introduire ma langue, caressant les parois internes. Je pouvais sentir la cyprine couler sur ma langue. Je me sentais encore durcir, c'est étonnant de voir comment une verge peut passer de pendante et inutile à une chose mesurant presque le quadruple de sa taille originelle. Ce barreau, à présent, réclamait de l'attention à son tour. Je me relevai, le temps d'embrasser Shylee dans le cou, puis lui murmurai.


J'espère que tu as apprécié ma petite attention… Et si tu me montrais ce que tu vaux, ma belle?


Oui, j'avais envie de jouer. Ce n'était pas tous les jours que je pouvais me permettre ce genre d'écart. Enfin, sur Terre, car sur Terra, c'était la marque de commerce de ma famille: Débauche, sexe, alcool, tout ça était au cœur de l'entreprise familiale, c'est ainsi que mon paternel c'est enrichi. Cependant, je suis quelqu'un qui a un rôle très sérieux, strict, sur Terre, je ne peux me permettre d'avoir ce genre de fuite souvent, et je dois m'assurer que ça ne fasse pas partie des journaux, ce serait vraiment mauvais pour ma carrière. Bref, la soirée était amorcée et elle n'allait pas s'arrêter en si bon chemin, surtout pas par ma faute!

Ne jamais sous-estimer son adversaire ... Ou, en l'occurence, son partenaire.

Pourquoi donc de telles pensées ? Tout simplement parce que Hiro avait, sans aucun doute, de la force à revendre. Lui-même venait de lui répondre qu'il était bien plus résistant que son physique ne le démontrait. Une pointe de prétention ? Ou bien la réalité ? Shylee n'aurait su que dire. Quoi que, de par sa dernière expérience, ou plutôt, de son ex, celui avec qui elle avait vécu pratiquement quatre ans, lui aussi s'était targué, à leur rencontre, de pouvoir tenir toute une nuit pour lui faire l'amour d'une manière endiablée, ou presque. Il s'était écroulé au deuxième round. Vainqueur par ko, ou parce qu'il avait déclaré forfait avant le lever du jour, Shylee. C'était un crétin prétentieux ... Qu'elle n'avait jamais recroisé d'ailleurs depuis le temps.

Mais bon, passons, et revenons-en à nos moutons. Présumait-il de ses forces ? Ou était-il vraiment confiant ? Elle ne savait pas, mais son petit doigt lui faisait dire qu'elle aurait probablement la réponse à cette question dans la nuit. Le pire, c'était que ... Et bien, il travaillait le jour suivant. Et Shylee n'avait pas vraiment l'habitude d'empêcher les gens de dormir, ou bien de se reposer convenablement avant de reprendre le travail. A moins que Hiro, au final, ne se décide à prendre un petit jour de congé, histoire ... Histoire d'être en forme. Ca lui ferait du bien, qui sait ?

"Hmmm... J'espère bien alors."

La réponse, à cette petite énigme, probablement sous peu. Hiro avait ensuite demandé si elle souhaitait qu'il y aille franchement ou bien si elle préférait un peu de douceur. Elle avait opté pour la deuxième option, mais les choses pourraient, sans évoluer, en cours de route. Hiro semblait d'accord avec cette optique. Ou du moins, oui, il pouvait y aller lentement au départ, et augmenter le rythme, la cadence et la brutalité au fil du temps qui passerait, dans le feu de l'action, en quelque sorte. Pas trop brutal non plus, parce qu'elle en viendrait à prendre ses jambes à son cou. Enfin ... Si elle le pouvait.

Hiro s'était baissé, et s'était attaqué à son intimité, histoire de baliser le parcours, et ce même s'il l'avait déjà bien préparé. En y repensant bien, en fait, ils s'étaient probablement pas compris. Pourquoi ? Et bien, quand elle lui avait parlé de douceur, Shylee avait plutôt pensé à un rythme plus ou moins doux, mais un rythme de coups de rein ... Et non pas de coups de langue ... Mais bon ... C'était ... pas déplaisant non plus. Quitte à le faire, autant le faire bien, vous ne croyez pas ? Le tout était ponctué par quelques gémissements de plaisir.

Après sa dure besogne, enfin, façon de parler, Hiro s'était redressé, et s'était rapproché de son cou, histoire d'y déposer un baiser, avant de lui demander de s'occuper de lui. Ou plutôt, de lui faire voir de quoi elle était capable. Y avait-il une once de défi dans sa voix ? Oui, probablement. Sans un mot, sans rien dire, elle s'était quelque peu baissée, histoire de se retrouver au niveau de son membre qui semblait être déjà bien dur et qui était au garde à vous, ne demandant qu'à être au centre de l'attention durant quelques instants. Elle l'avait, au départ, frôlé du bout de ses doigts avant de passer franchement sur sa verge et de venir titiller son gland du bout de sa langue. Elle faisait tourner celle-ci sur le haut de sa verge durant quelques instants. Elle passa dessus plusieurs fois, tout en effleurant, de temps à autre, ses bourses avec l'une de ses mains.

Vint le moment où Shylee passa quelque peu à la vitesse supérieure, en plaçant ses lèvres autour de son gland ... Et en descendant quelque peu, faisant, ainsi donc, rentrer sa verge dans sa bouche, histoire de faire quelques allées et venues sur ce dernier. Avant de passer à la suite des évènements.

Est-ce qu'en lui demandant de me montrer ce qu'elle savait faire je l'avais un peu défiée? Peut-être, mais c'était une sorte de jeu pour moi, alors je ne pouvais pas résister à l'envie de voir comment ma partenaire se débrouillait… Ensuite on pourrait passer aux choses sérieuses, enfin, si on peut appeler ça des choses sérieuses.
 
Elle avait répondu rapidement à ma question par les gestes et, pour mon plus grand plaisir, décida de prendre la chose en main… et en bouche. Elle avait commencé tranquillement, faisant glisser sa langue sur le bout de mon gland, avant de le prendre directement en bouche et faire glisser ses lèvres le long de ma verge bien dure… Y'avait pas à dire, elle en avait des ressources, la petite institutrice!
 
La petite besogne, accompagnée de quelques grognements de ma part, pris fin lorsque je me reculai d'un ou deux pas, pour la faire cesser. Elle était mauvaise? Oh que non! Mais il était temps de passer à autre chose.
 
Tu es douée, mais je crois qu'il est temps d'arrêter de tourner autour du pot, et de passer aux choses sérieuses. Je crois que tu es d'accord avec moi, non? De toute façon, ne disais-tu pas vouloir inaugurer le comptoir?

J'avais toujours ma voix mielleuse, que j'avais toujours prise dans ce genre de situation, tout au long de ma vie, c'était un peu comme ma marque de commerce, mais bon, on a tous notre petite manie. Bref, je ramenais son visage à mon niveau pour l’embrasser. Certains hommes détestent embrasser une femme qui vient tout juste de pratiquer une fellation, mais je me dis que c’est ma queue qui était dans sa bouche, donc qu’il n’y a pas de dégout à avoir… Nos langues se rencontrèrent une fois de plus dans une danse sensuelle, nos corps bouillants collés l’un contre l’autre. Écartant légèrement les jambes de ma partenaire, une main à la base de ma hampe et le bout à l’entrée du petit orifice irrésistible, je murmurai :

Je sais que je n’ai pas à demander mais… Prête?

C’était une question condescendante, évidemment qu’elle était prête, elle devait attendre ça depuis un petit moment et je devais dire que moi aussi. Un coup de rein et me voilà en elle, poussant un léger soupir en même temps que de pousser les reins… Puis un autre suivi, puis un autre… J’accélérai la cadence après un petit moment, comme dit, j’y allais graduellement en augmentant le rythme de mes coups de reins. Les gémissements de Shylee me stimulaient au plus haut point, alors que je poussais quelques grognements de plaisir, une main sur un sein, l’autre sur la hanche gauche.

Shylee s'appliquait. Elle lui suçotait le membre, passait sa langue dessus, faisait tournoyer ses lèvres autour de celui-ci. C'était peut-être histoire de le mettre en appétit, ou bien de l'exciter encore un peu plus ... Ou histoire d'être bien sûr qu'il était à son maxium, au niveau de la taille, bien évidemment. Difficile de savoir. Quoi qu'il en soit, il s'était reculé. La jeune prof en avait été quelque peu étonné. N'appréciait-il pas ? Elle en doutait. Ses grognements, ses gémissements montraient que ça lui plaisait. Du moins, c'était ce qu'elle s'était dit. Mais non ... Contre toute attente, ce n'était pas parce que c'était déplaisant qu'il avait arrêté. Il la trouvait douée ... Mais il était temps de passer à autre chose, et d'inaugurer le comptoir, comme il lui disait si bien. Elle eut un léger sourire sur le visage.

"Ne disais-tu pas que tu voulais m'aider à inaugurer toutes les pièces de mon appartement ?"

Heureusement qu'elle vivait pas dans un manoir ... Ou une villa géante. Parce que sans aucun doute qu'ils n'auraient pas pu le faire. Mais en tout cas, il avait raison, il était temps ... Temps de passer aux choses sérieuses.

"Allons-y alors ... Qu'est-ce qu'on attend ?"

Le bon vouloir de Hiro, peut-être. Après un doux baiser langoureux, il lui murmura quelques mots au creux de l'oreille, comme s'il attendait son consentement, ou quelque chose dans le genre.

"Plus que prête ..."

Oh que oui ... Shylee était prête de chez prête. Il ne fallut plus longtemps à Hiro pour prendre possession de son corps ... Enfin, façon de parler ... Plutôt de son antre. Le terrain avait été balisé par toutes les préliminaires et de ce fait, sa verge glissa très facilement en elle. Shylee laissa, tout de même, échapper un soupir de satisfaction, de plaisir. Tandis que Hiro augmentait le rythme, progressivement, petit à petit, Shylee se pinçait les lèvres, histoire de ne pas trop être bruyante non plus. Les murs n'étaient pas en carton mais tout de même ... Il était tard quand même, et elle ne voulait pas réveiller les voisins par des bruits plus que suspects. Après tout ... Y'avait probablement deux ou trois pervers dans le bâtiment ... Et sait-on jamais ... L'un d'entre eux pourrait très bien coller l'oreille au mur, histoire d'entendre ce qui se passait dans la pièce ...

Ou alors, un second pourrait très bien venir sonner à la porte de son appartement, et demander si tout allait bien pour elle, et si elle n'avait pas besoin d'aide. Mais non, Shylee allait très bien, plus que bien même. Elle était en train de prendre son pied avec un charmant avocat très sympathique d'ailleurs -et jamais elle n'aurait cru qu'il pourrait avoir des activités répréhensibles, mais ça, elle était pas au courant-.

"Han ... Hiro ..." avait-elle dit dans un long soupir.

Il augmentait progressivement le rythme, cherchant à aller plus loin, à être plus rapide dans ses mouvements. C'était le panard, pour sûr !

Eh bien, elle semblait assez réceptive à l'idée d'"inaugurer", comme elle disait si bien, toutes les pièces de l'appartement. Bien que je n'y repensais pas,  il n'empêchait pas que, demain, je devais m'occuper du témoin. Dans le fond, ce contrat n'était pas seulement pour m'enrichir, mais aussi pour bien me faire voir par le commissariat. Pourquoi? Car ils m'ouvriraient une porte sur le contrôle de Seikusu. Enfin, un contrôle non légitime, Seikusu, en apparence, serait toujours dirigée par le maire et son conseil, mais je vais les faire danser comme des marionnettes qu'ils sont. Comme quoi, je ne pense pas juste au gain à court terme, mais aussi au gain à long terme. On pourrait dire que je suis un businessman… Enfin bref.


Mais cette avidité de gains était désormais hors de ma pensée, car, pour l'instant, tout ce qui comptait, c'était d'assouvir mon envie de chair, et ça n'allait pas s'arrêter de si tôt, surtout avec la ravissante institutrice avec qui je partageais cette nuit… Et ça semblait être la seule chose à laquelle elle pensait aussi car je n'eus aucune difficulté à entrer en elle… S'était si humide et chaud, un véritable délice. Ma verge allait et venait si facilement en elle que j'accélérais le rythme sans même m'en rendre compte, allant de plus en plus profondément en elle.


Mmmm… Shylee, c'est si bon! Mais je crois qu'il est temps de changer d'endroit à inaugurer…


Me retirant d'en elle, il va sans dire qu'une grande sensation de manque m'envahit à ce moment, je la soulevai de sur le comptoir, avant d'aller l'asseoir sur le divan dans le salon, l'embrassant une nouvelle fois, glissant ma langue dans sa bouche. Une fois assis aux côtés de la jeune femme, caressant son corps bouillant, j'approchai mon visage de son oreille puis lui murmurai:

Ça te dit de prendre le contrôle? D'aller au rythme qui te tente?


Rares étaient les fois où j'acceptais de me laisser contrôler, même pendant l'acte, j'étais plutôt de ceux qui aiment prendre le dessus sur leur partenaire, alors aussi bien en profiter. J'attendais avec impatience sa réponse, assis à la regarder avec intensité, ma verge dure et droite comme une barre de fer, ruisselante de sa cyprine, de nos ébats antérieurs.

Hiro poursuivait sa plaisante besogne tandis que l'un comme l'autre laissait échapper leur plaisir par quelques gémissements, murmures, ici et là ... Son rythme était plutôt soutenu, mais bon, il n'avait pas non plus beaucoup d'efforts à faire. Pourquoi ? Du fait qu'il l'avait plutôt bien travaillée avant de passer à la pénétration, ça glissait tout seul. Une chance, dans un certain sens, non ? Comme ça, aucune douleur, et que du plaisir. Un pur plaisir d'ailleurs. Sa poitrine ballottait quelque peu sous ses coups de reins. Ca aurait pu durer comme ça pendant un petit moment encore. Car Hiro appréciait grandement, vraisemblablement, tout comme la demoiselle. Mais il avait envie d'essayer un autre endroit, d'inaugurer une autre pièce, un autre meuble.

Ainsi donc, sans même lui demlander son avis, bien qu'elle n'aurait pas dit non, les voilà se retrouvant sur le canapé de la jeune femme, assis, l'un à côté de l'autre. Echange de baiser, tandis que Hiro lui demandait, ou plutôt, lui murmurait quelques mots dans le creux de son oreille. Il lui laissait les rênes si ça lui tentait. Hmmm ... Mener la danse. Parfois, mener la danse, aller à son rythme, c'est pas mal. Mais il est tout aussi plaisant que de se laisser guider, de temps à autre, histoire d'inverser les rôles, pour ainsi dire. Petite réflexion de la part de la demoiselle. Devait-elle prendre les rênes, et de ce fait, devenir un peu plus active dans cette activité ? Ou devait-elle le laisser poursuivre ainsi, faisant d'elle ce qu'il voulait, en quelque sorte, comme si elle était une poupée ?

"Hmmm ... Et bien ... Et bien ... Il est vrai que je suis tentée que de mener la danse, au moins, durant quelques instants ..."

Elle l'embrassa furtivement durant quelques instants avant de le faire quelque peu basculer sur le canapé. Le voilà donc se retrouvant le cul sur le divan, la verge toujours dressée. Shylee s'était quelque peu redressée et l'avait enjambé. Et tout en l'embrassant à nouveau, la voilà qu'elle descendait petit à petit, et que, finalement, son gland passa, à nouveau, l'entrée de son intimité, histoire de revenir au chaud et de s'y loger. Lentement, pour le momlent, la voilà donc ondulait du bassin, faisant quelques allées et venues le long de son membre. Tantôt elle descendai, tantôt elle remontait.

Elle semblait hésiter face à cette question qui était en apparence simple. Mais il fallait aussi voir le sens profond de cette question: Si elle m'avait laissé prendre le contrôle une fois de plus, alors que je lui laissais le choix, j'aurais vu qu'elle était quelqu'un de soumis, qui va penser plus au bien des autres qu'au sien. Cependant, si elle m'avait dit qu'elle souhaitait prendre les rennes de la soirée, ou des ébats, cela voulait plus dire que la jeune femme aime être en position de force, de domination face à son partenaire. Je l'avoue, je suis comme ça, et ce n'est pas une surprise d'ailleurs, j'adore tout contrôler, mais il y a des jours où j'aime bien me relâcher un peu, et comme je suis en congé ce soir… Aussi bien en profiter.

Shylee avait accepté de prendre le contrôle, après une courte réflexion. Ça, dans ma théorie sur le contrôle, ça voulait dire que la jeune femme avait un côté docile, comme un côté dominateur, l'un comme l'autre n'avait pas la place suffisante pour s'exprimer, s'était donc un combat sans cesse en elle, comme en la plupart des gens. Des gens "normaux" ont tous leur deux facettes, cependant, les gens sadiques et manipulateur comme moi, il y en a peu, qui s'occupent de contrôler tous ce qui les touchent, et je suis le plus rare de tous, étant donné que je peux vraiment contrôler ce que disent, pensent, la manière dont il agissent, seulement par le toucher.


Enfin bref, après un nouveau baiser furtif, elle me fit tomber sur le canapé, assis, puis monta à califourchon sur moi, laissant ma verge glisser une nouvelle fois en elle. Dans un petit soupir de plaisir, je passai mes bras autour d'elle, posant mes mains sur ses fesses, accompagnant ses ondulements de bassins avec celles-ci. Y'avait pas à dire, j'avais fait le bon choix en la laissant mener la danse, bon sang, ce qu'elle était douée! Honnêtement, il était dur à croire qu'elle était institutrice à Seikusu un emploi si… calme… Quoique ce que j'ai vu d'elle, c'était une femme posée, réfléchie, calme… Dans le fond, elle était faite pour ce job, la seule chose est qu'elle a aussi droit de "lâcher son fou". Lâchant quelques soupirs, par-ci par-là, je décidai d'attaquer sa poitrine, à grands coups de langue, les suçotant parfois. Cependant, ma besogne ne fût que de courte durée, car je ramenai mes lèvres au niveau de celle de la jeune dame et, entre deux de ses gémissements, je l'embrassai, glissant ma langue, comme un boa, dans sa bouche pour venir s'occuper de celle de la jeune institutrice.

Je l'aidais comme je pouvais, accompagnant ses mouvements avec mon bassin, histoire de la visiter un peu plus en profondeur… Avais-je imaginé en me levant ce matin que la soirée allait finir comme ça? Non. Pourtant, je ne suis pas le genre d'homme à laisser quoique ce soit au hasard, mais, à ma première journée de congé depuis des lustres (la fin de semaine je m'occupe généralement des affaires familiales sur Terra), j'avais décidé tout bonnement d'aller patiner, un peu comme font les gens normaux. Voilà que cette décision eut des répercutions délicieuses…

Une sensation que je connaissais bien commençait à jaillir en mon bas ventre, devenant de plus en plus intense à chaque coup de rein. Crispant les muscles pour retenir mon sperme le plus longtemps possible, je murmurai à ma partenaire


Mmm Shylee… Je crois que le premier Round va se terminer bientôt…