Missy scruta le corps de son amant qui se déshabilla, ne gardant qu’un boxer noir. Elle admira chacune des formes remarquables de William, si agréable à regarder, dont elle se languissait de sentir contre sa peau. Chaque mouvement qu’entreprenait son hôte la faisait frissonner, lui étant tous inconnus. Ses mains sur ses mollets, elles remontèrent tranquillement vers ses hanches, emportant avec elles sa robe qui se plia jusqu’à son ventre. Elle constata que sa tenue devra rester là, étant donner de ses bras et pieds liés, mais ce n’était pas pour la déplaire. Ceci venait également ajouter une certaine image qui allait bien à la situation...
Par la suite, William revint sur elle joignant leur corps de façon plus intime, plus de contact. Le cou de Missy emparé par la bouche de son amant, elle sentit des dents qui mordaient doucement sa chair, la faisant frémir et sourire. Pendant ce temps, une main se baladait près de sa culotte, traînant un moment à l’entré, puis se glissa entre la dentelle et la peau, se livrant vers l’intimité de la femme vampire. Les doigts adroits pressait les lieux délicat, plaisante aux touchers, faisant soupirer longuement Missy, tandis que William exerçait une succion sur son cou, ne faisant qu’amplifier le délice qu’elle vivait.
Lâchant son cou des fausses morsures, William réapparut au dessus d’elle. Leurs lèvres près à s’effleurer, gardèrent leur distance, partageant que leurs souffles. Ceux de la vampiresse était accompagner de gémissements, en tentant de les contenir au début, mais doucement, elle les laissa s’échapper vers William qui la regardait s’extasier. Son intimité toujours occupé par les doigts de l’amant filtra la cyprine qui recouvrit ses petites lèvres et son bouton qui gonflait sous le traitement. Tandis que ses gémissements s’accentuèrent, son hôte lui demanda à l’oreille ce qu’elle attendait de lui. Elle tarda à répondre, profitant d’un moment de ses caresses.
« Continue… ! »
Sous la pulsion du moment, elle avait lâché cela, mais elle désirait plus encore. En dressant un peu la tête, elle lui vola un baiser avant de se reprendre dans sa réponse, élaborant un peu mieux son désir.
« Mon corps t’es offert et je veux que tu m’enivre de plaisir. »
Des mots simples et directs, elle avait confiance en William pour qu’il comprenne. Ce qu’elle désirait aux fonds de ses paroles c’est qu’il laisse aller ses envies et pulsions, dans le rythme qu’il voulait et semblait avoir convoité depuis le début.