Phrase du jour

"Si j'avance, suivez-moi ! Si je recule, tuez-moi ! Et si je meurs, vengez-moi !"

Henri de la Rochejaquelein.

"The louder they are, the stronger they howl !"

Faites du DW6 jusqu'à pas d'heure et essayez de ne pas avoir UNE réplique en tête.

Agissez envers les autres comme vous aimeriez qu'ils agissent envers vous.

Confucius dans Entretiens du Maître avec ses disciples

je l'ai cité dans pas mal de dissert' de philo

"Si j'avance, suivez-moi ! Si je recule, tuez-moi ! Et si je meurs, vengez-moi !"

Henri de la Rochejaquelein.

" Il a reculé du coup on l'a tué ... c'était quoi la consigne suivante déjà ? ... Et meeeerde ! "

Les compagnons de feu Henri de la Rochejaquelein

"Avoir vu quelque chose des centaines de fois ne vaut pas l'avoir vécu une seule fois"

Dicton coréen

Parce que je trouve que ça colle bien avec le régistre de LGJ :

"La parole humaine est comme un chaudron fêlé, où nous battons des mélodies à faire danser les ours, quand on voudrait attendrir les étoiles."

Flaubert. T'peux pas test.

Vu sur Facebook ce matin

"Les clubs de strip plus jamais, se faire toucher les couilles par un travelo ukrainien une fois mais pas deux !"

Merci x)

vu sur facebook aussi :

A partir de mai 2014, ce, à travers l'Europe, tout enfant à naître aura pour obligation de recevoir une puce RFID sous-cutanée. Les hôpitaux publics de l’Union Européenne viennent d’en être avertis.

- Ta mère suce des bites en enfer !
- Je sais, elle m'en a parlé. Mais toi, qui te l'a dis ?

Requiem, chevalier vampire, T2

-La drogue c'est mal m'voyez ?

"mon prof de santé sociale, et il l'a bien fait avec l'accent south park"

"Le paradoxe du dictionnaire: les mots ne s'expliquent que par d'autres mots."
 
Un malin plaisir (1993)
Citations de Antoine Blondin

L'homme sage apprend de ses erreurs. L'homme encore plus sage apprend des erreurs des autres.

"L’Etat est le plus froid des monstres froids. Il ment froidement ; et voici le mensonge qui s’échappe de sa bouche : “Moi l’Etat, je suis le peuple.”   

F. Nietzsche (le philosophe, pas la tueuse ><)

Moi, j'aime bien les citations de Nietzsche quand elles sont un peu plus borderline...

En supposant que l’on con­sidère, avec l’œil railleur et indifférent d’un dieu épicurien, la comédie singulièrement douloureuse, en même temps grossière et subtile, que joue le christianisme européen, je crois que l’on serait pris d’un étonnement et d’un rire inextinguibles. Ne semble-t-il pas qu’une volonté ait dominé l’Europe pendant dix-huit siècles, la volonté de faire de l’homme un sublime avorton ? Mais, celui qui s’approcherait, avec des aspirations contraires, non plus en épicurien, mais armé d’un marteau divin, de cette dégénérescence et de cette corruption presque despotiques de l’homme, telles qu’el­les nous apparaissent sous les traits de l’Européen chrétien (Pascal, par exemple), celui-là ne devrait-il-pas s’écrier avec colère, pitié et épouvante : « Ô maladroits, présomptueux maladroits, vous qui vous apitoyez ainsi, qu’avez-vous fait ? Était-ce là une besogne pour vos mains ? Comme vous avez endommagé et détérioré ma plus belle pierre ! Que vous êtes-vous permis ? » — Je voulais dire que le christianisme a été jusqu’à présent la plus funeste des présomptions. Des hommes qui n’étaient pas assez hauts, pas assez durs pour oser façonner l’homme en artistes ; des hommes qui n’étaient pas assez forts, pas assez prévoyants pour laisser agir, par une altière contrainte de soi, la loi primordiale de la dégénérescence et de l’anéantisse­ment sous ses faces multiples ; des hommes qui n’étaient pas assez nobles pour voir la hiérarchie, la diversité profonde, l’abîme qui séparent l’homme de l’homme ; de tels hommes ont conduit jusqu’à présent les destinées de l’Europe, avec leur principe de l’« égalité devant Dieu », jusqu’à ce qu’apparût enfin une espèce amoindrie, presque ridicule, une bête de troupeau, quelque chose de bonasse, de maladif et de médiocre, l’Européen d’aujourd’hui !…