la sorcière et le général (PV)

L'avant-poste de Durrandorne est une fortification de l'empire d'Ashnard situé à la limite des landes dévaster et des terre sauvage. Il à pour but de contrôler et d'empêcher les armée de pénétré dans les landes dévaster. C'est la fortification la plus puissante de la région. Ses murs sont d'une taille et d'une longueur à découragé les plus vaillant assaillant. Durandore jouit d'une réputation d'avant-poste imprenable. Il contrôle les va-et-vient sur le chemin de Maslow qui une des routes les plus rapide et plus sur pour rejoindre la capital d'Ashnard.

Dans la salle de commandement, Arthas scruter d'un regard glacial les rapports de ses éclaireurs qui faisaient des raide dans le territoire de Nexus afin de localiser un patelin d'où se serai réfugié la puissante magicienne Mélisende. Arthas était tombé, en lisant d'ancien parchemin dans la bibliothèque d'Aschnard, sur l'histoire de cette puissante magicienne déchu par ses paires. Il s'était donné pour mission de la retrouver. Une fois localisé, l'ile du crâne fut passé au peigne fin pour la retrouvé mais elle n'y était pas. Les recherches lui on porté sur son déplacement dans une petite bourgade dans le faite d'exister était une insulte à Ashnard, le Fief de Meisa. Le Chevalier Noire ordonna de retrouver la magicienne et de la ramener dans le plus puissant avant-poste, Durrandorn.

Pendant plusieurs jours, les éclaireurs gobelins et rôdeur d'Ashnard recherchèrent la puissante magicienne. Après des jours et des jours de recherches, ils finirent par la localisé et observa ses moindre fait et geste. Ils attendirent que Mélisende sorte du Fief en direction de la forêt pour l'aborder. Ils parvinrent à l'encerclé sans pour autant se dévoilé et un des rôdeurs se montra face à la magicienne. Il se mit à genou et prononça ces quelques mots.

-veuillez acceptez mes sincères respect ô grande magicienne, Mélisende. Je suis le messager d'un homme important et je vous livre ce mots.

Il s'éclaircit la voix et continua.

-vous êtes cordialement invité par mon maitre afin qu'il puisse vous faire part d'une propositions qui, je pense, pourrais grandement vous intéresser. Je vous pris de bien vouloir nous suivre, nous vous escorteront jusqu'à lui.

Cela faisait un moment maintenant que Mélisende habitait dans le fief du seigneur de Meisa. Elle l’appréciait beaucoup notamment lorsqu’il se trouvait dans son lit mais elle savait aussi qu’il entretenait des relations ambigües avec la dame du fief, une certaine Selene. Une chose que la magicienne supportait difficilement. Si elle aimait avoir des amants, que ceux-ci en préfère une autre ne lui plaisait pas du tout.

Quoiqu’il en soit la vie lui plaisait même si elle commençait à quelques peu s’ennuyer. Soigner les petits bobos des gens n’étaient pas particulièrement stimulant pour l’esprit éveillé et avide qu’elle possédait.

Pour l’instant, elle se contentait de cet endroit, le temps de reprendre ses marques dans ce nouveau monde.

Ce jour, elle se rendit en forêt pour cueillir certaines plantes ne poussant pas dans sa serre. Or, elle en avait besoin pour certaines de ses préparations. Soudain, elle sentit des présences autour d’elle. Elle savait qu’il ne s’agissait certainement pas des hommes de Meisa, ils se seraient déjà identifiés.

Mélisende poursuivit sa cueillette sans faire cas des personnes autour d’elle. Elle était tout à fait capable de se défendre seule et avait d’ailleurs envie de s’amuser.

Ils surgirent bien vite devant elle mais ne cherchèrent pas l’attaquer. Ils semblaient plutôt vouloir la rencontrer. Celui qui semblait être leur chef se dirigea vers elle et s’agenouilla en signe de respect, une chose appréciée par la magicienne.

« Veuillez acceptez mes sincères respect ô grande magicienne, Mélisende. Je suis le messager d'un homme important et je vous livre ces mots. Vous êtes cordialement invité par mon maitre afin qu'il puisse vous faire part d'une proposition qui, je pense, pourrais grandement vous intéresser. Je vous pris de bien vouloir nous suivre, nous vous escorteront jusqu'à lui »

Elle haussa un sourcil voilà une chose pour le moins inattendu mais pour le moins intéressante. Ainsi, quelqu’un d’important voulait la rencontrer. Cela pimentait sa journée pour le moins morose.

« Soit ! Mène-moi à ton maître. Je suis très curieuse de le rencontrer »

-avec grand plaisir, veuillez bien me suivre je vous pris. Je dois vous prévenir que nous allons faire un long chemin. Suivez moi.

Le rôdeur guida la magicienne un peu plus profond dans la forêt vers un endroit ou des chevaux y sont attaché. Il en décrocha un et l'amena devant la magicienne tous en le flattant.

-mon maitre à insister pour que vous monter celui-là, vous n'avez pas de soucie avec les chevaux ? Sinon je peu le chevaucher avec vous.

C'était un cheval noire pure race, le général Arthas voulait prouver son plus grand respect envers la  sorcière de la sorte. Le chemin mis deux bonnes heures avant d'arriver vers un campement à la tombée de la nuit qui portait la bannière d'Ashnard et les armorie du Chevalier Noire. Mélisende fut conduite vers une grande tente. Le rôdeur adressa un signe de tête au deux gardes qui laissèrent le passage libre. En faisant signe avec une extrême politesse, le rôdeur indiqua l'entrée.

-je vous en pris, mon maitre vous attend avec impatience. Il à fait tous ce chemin depuis Ashnard pour vous voire.

À l'intérieur on pouvait voir que c'était clairement une tente de quelqu'un de très important. Très peu de décoration mais de grande valeur. Un lit d'une bonne taille, puis au fond de la tente, une énorme masse préparait ses armes. Il regardait une très belle épée qui se mit à réagir dès l'arrivé de la magicienne dans la tente. Tous en restant le dos contre Mélisende, l'homme s'adressa à Mélisende.

-je vous souhaite la bienvenue Mélisende la sorcière déchu.

il se retourna et dévoila son visage dont un aire glacial s'affichait dessus. Il s'approcha de la magicienne et lui pris la main pour lui faire un baise-main.

-je me présente, je suis le général Arthas d'Ashnard et vous avait un potentiel qui m'intéresse grandement. Mais d'abord puis-je vous offrir un verre?

Le Chevalier Noire servit dans deux verre en métal du vin et il en tendit un vers la magicienne.

Mélisende suivit l’homme et arriva dans une zone où des chevaux les attendaient. Le rôdeur se déplaça jusqu’à l’un des animaux et revint vers la magicienne avec. C’était un animal magnifique, entièrement noir au poil luisant et de haute taille.

« Mon maitre à insister pour que vous monter celui-là, vous n'avez pas de soucie avec les chevaux ? Sinon je peu le chevaucher avec vous »

Le cheval était un présent somptueux. Décidemment l’homme qui tenait à la rencontrer mettait toutes les chances de son côté. Mélisende s’avança vers l’animal et, sans aucune aide, attrapa la crinière et se hissa sans aucuns problèmes sur la selle. Elle était un peu gênée par sa robe longue, imposée par le seigneur de Meisa. Il préférait une tenue plus conventionnelle que celle qu’elle portait à l’accoutumé. Ce jour, elle était vêtue d’une robe longue en velours vert foncé et aux manches longues et amples. Elle portait une lourde cape de velours noir brodé de fils d’or. Par conséquent, elle monta en amazone.

« Merci, mais je peux me débrouiller seule »

Le rôdeur sourit et alla chercher son propre cheval. Ses compagnons étaient déjà en selle. Ils chevauchèrent pendant plus de deux heures avant d’arriver à un campement retranché composé de plusieurs tentes.

Mélisende descendit de cheval et suivit l’homme qui l’a conduisit jusqu’à la tente principale.

« Je vous en pris, mon maitre vous attend avec impatience. Il à fait tous ce chemin depuis Ashnard pour vous voire »

Mélisende pénétra la tente, peu meublée mais aves un mobilier raffiné. Un homme se tenait dans le fond de la tente. Il était en train de fourbir ses armes. A l’entrée de la magicienne, la lame de son épée se mit à briller. L’homme se leva et vint alors vers elle. Il était grand, immense, carré, taillé pour la guerre.

« Je vous souhaite la bienvenue Mélisende la sorcière déchue – il vint vers elle et lui baisa la main - je me présente, je suis le général Arthas d'Ashnard et vous avait un potentiel qui m'intéresse grandement. Mais d'abord puis-je vous offrir un verre?  »

Arthas prit deux coupes qu’il remplit de vin. Il en tendit une à la magicienne. Cette dernière la saisit.

« Merci, général. Je préfère sorcière ou plutôt magicienne à sorcière déchue. J’ai été destituée par certains de mes pairs mais je ne me considère pas comme déchue »

Elle fit quelques pas dans la tente.

« En quoi est-ce que je peux vous intéresser ou vous aider, général Arthas ? »

La sorcière Mélisende accepta son verre et lui fit une remarque sur son statut de sorcière destitué.

-certes je vous pris d'accepter mes mes excuses.

Mélisende était toutefois curieuse de connaitre les raison de sa présence dans ce camp et lui en posa la question. Une réponse que le général Asthar ne se fit attendre

-autrefois, vous étiez connu dans le palais comme étant l'une des sorcières les plus puissante et des plus influente que Terra n'a jamais porté. Vos pouvoir dépassait de loin tous les pratiquant de magie

Il but une gorgé de son vin et continua dans sa phrase.

-malheureusement, des mages et magiciens ont eut peur de votre pouvoir et ils ont fait tous ce qui était possible pour vous nuire, aujourd'hui vous n'avez plus la même notoriété qu'auparavant vous vous êtes affaiblit.

Le regard du général ce faisait plus persistant et plus déterminé.

-à Ashnard plus personne ne croit en vos capacité. Mais moi, je suis sur du contraire. Vous avez d'ailleurs récupéré votre demeure sur l'île du crâne à ce qu'on ma rapporté, bref quoi qu'il en soit, je crois en vos talent et c'est pour cela que je vous fait part de ma grande envi de vous voir à l'œuvre dans mon entourage. C'est bien cela, agissait pour moi et je vous promet de faire mon possible pour que cette affront fait sur vous soit vengé dans le sang et la souffrance.

Asthar voudrait vraiment voire Mélisende dans ces rang, il était près à lui offrir encore d'autre offrande pour que la belle sorcière soit à son service, mais il préférait attendre encore un peu avant de tous lui dévoiler.

Mélisende n’aimait guère qu’on lui rappelle le fait d’avoir été vaincue. Sa seule consolation tenait en ce qu’il avait fallu plusieurs magiciens et sorciers pour la maîtriser. Il était vrai qu’une partie de ses pouvoirs ne lui était pas encore revenu. Il lui avait fallu user d’une énorme partie de son pouvoir pour parvenir à se libérer. Ce dernier se reconstituait petit à petit mais son niveau était encore assez loin de ce qu’il avait été.

« À Ashnard plus personne ne croit en vos capacité. Mais moi, je suis sur du contraire. Vous avez d'ailleurs récupéré votre demeure sur l'île du crâne à ce qu'on ma rapporté, bref quoi qu'il en soit, je crois en vos talent et c'est pour cela que je vous fais part de ma grande envi de vous voir à l'œuvre dans mon entourage. C'est bien cela, agissez pour moi et je vous promets de faire mon possible pour que cet affront fait sur vous soit vengé dans le sang et la souffrance »

Voilà des mots qui lui convenaient bien mieux. La vengeance, un vrai délice pour elle.

« Voilà qui me comblerait et je suis heureuse que vous croyez toujours en mes capacités. Ceux qui n’y croient pas, auront une bien mauvaise surprise ! »

Elle alla au devant du général et se planta devant lui, presque collée contre lui.

« Cela ne me dit toujours pas ce que vous attendez ! Que je rejoigne votre armée, certes mais dans quel but ? Et en plus de la vengeance, une chose que je pourrais faire seule, une fois mes pouvoirs revenus, que me proposez-vous ? »

Le général regard amusé mais sans le laisser paraitre sur son visage la sorcière venir s'appuyer contre lui. Elle lui fit part de interrogation au sujet de son utilité au sien de son armée.

-serez vous assez patiente pour atteindre votre niveau d'antan ?

Ashtar bu une gorgé de son vin et se retira pour se déplacer vers son équipement. Il savait pertinemment qu'il été actuellement risquer de se laisser séduire par cette belle femme. Il faudrait qu'il fasse en sorte qu'elle soit dévoué a sa cause et pour cela il devrait lui dévoilé pourquoi avoir choisit elle plutôt d'une autre. Le Chevalier Noire observa son épée réagir et plus le temps passait et plus elle luisait et émanait un puissant potentiel magique.

-il y à quelque chose que j'aimerais beaucoup m'approprier et cette chose est caché dans un fief non loin d'ici. D'ici quelque jours il sera envahit et il sera réduit à l'état de cendre.

Il fini son verre de vin et se resservit un autre. En suite il tourna son attention vers Mélisende et s'en approcha pour se coller contre comme dans la situations précédente sauf que là il se montra plus imposant qu'avant cherchant à lui faire deviner qu'il était plus que déterminé.

-ce village vous le connaissait très bien j'ai besoin de non seulement vos service mais aussi de vos connaissance. Ne sous-estimait pas ce que Ashnard peut vous offrir. Ce que vous le désirez, je pourrais vous l'apporter une fois ma puissance et ma gloire installé. Aidez moi dans ma tâche et vous serez gracieusement récompensé.

Moebius remplit verre entamé de Mélisende et le va le sien pour trinquer

-quel choix ferez-vous? Resterez-vous fidèle à un fief qui ne vous apportera rien ou accepterez-vous mon offre et joignez-vous à moi. ensemble, vous et moi,  refaçonnons ce monde

Mélisende observait les déplacements du général sous la tente et écoutait ses explications. Visiblement, il ne se laisserait pas prendre à ses charmes. Tout du moins, pas pour le moment. Il voulait bien plus d’elle et elle n’obtiendrait pas sa confiance ou des confidences de cette manière. Quelque part, elle en était ravie. Les hommes capables de lui tenir tête étaient rares et d’autant plus précieux à ses yeux hors celui-ci s’accordait parfaitement à elle. Ils avaient la même soif de pouvoir et ne lésinaient pas sur les moyens pour l’obtenir. C’était bien mais il y avait une faille à ce dispositif qu’elle lui fit bien vite remarquer.

« Admettons que je vous prête mon concours, et par là j’entends mes connaissance et mes pouvoirs, qui me dit que vous ne chercherez pas à m’éliminer une fois que vous aurez ce que vous voulez ? »

Bien sûr, ce serait difficile de se débarrasser d’elle mais comme il le lui avait fait remarquer, ses pouvoirs n’étaient pas encore revenus à leur niveau premier.

« Et puis, le seigneur du dit fief passe pas mal de temps avec ma personne – elle sous entendait bien sûr qu’elle en était la maîtresse – Il peut me donner ce que je désire. Qui me dit que vous ferez mieux ? Après tout, lui ne cherchera pas à me tuer »

Elle sourit, provocante en se collant encore plus contre Arthas, alors qu’elle buvait une gorgée de vin qu’il venait de lui resservir.

Cette sorcière savait ce qu'elle disait et se montrait plus difficile. Arthas devinait parfaitement que cette dernière n'était pas totalement désintéressé de la proposition. Buvant une gorgé à son tour du vin qu'il possédait, il fixa dans les yeux Mélisende et lui dit la manière la plus sincère.

-nous vivons une époque très dangereuse, moi même je cour un grand risque en venant directement, n'est-ce pas suffisant ? Je comprend toutefois vos doute  et à par vous donnez ma parole, je ne peu vous prouvez que je ne me débarrasserai pas de vous une fois mon objectif attend.

C'était quand même la parole d'un général qui est arrivé a son statut militaire que grâce à sa force et à son courage.

-je dois avouer toutefois qu'a part une malencontreuse trahison, je peu vous promettre de ne jamais vous faire quoi que ce soit qui pourrais vous nuire, de nouveau je n'ai que ma parole pour vous le prouvez. Il serait fort regrettable de perdre un potentiel allié de votre statut.

Le général se décrocha de nouveau de la sorcière et se mit à tourner autour d'elle tout en la regardant dans les moindre couture.

-vous dite que votre seigneur actuel peut vous offrir tous ce que vous désirez! Les chaine font-elles partie de vos souhait? Ces oripeau ne vous vont point du tous! Quel sont vos obligation dans ce domaine? Vous soignée des pecnot de leur mal de dos? Rien en tous cas qui ne permettent à vos pouvoir de réellement se développer. De plus, ce seigneur ne peu vous offrir que ce qu'il possède, qui à t-il dans ce patelin qui soit d'une réelle utilité pour une sorcière de votre puissance? Si ces les terres qui vous intéresse? J'ai plusieurs millier d'hectare qui sont ma propriété. plus de connaissance alors? Je peu vous fournir les connaissances les plus mystérieuse que la cité d'Ashnard possède. Ce que vous le désirez, je vous l'offrirait et si je ne le possède pas, je ferai en sorte de l'obtenir, qui à user de la force. En échange de quoi? De votre allégeance à Ashnard et de votre fidélité à mon égard sans pour autant être enchainé tel une bête.

Ces dernières phrases il les avait prononcé tous en regardant Mélisende dans les yeux, il voulait montrer ainsi combien il était sincère, combien cette était précieuse pour lui. Il serai dommage qu'elle se retrouve du mauvais coté quand les enfer s'abattront sur le Fief. Il tourna finalement le dos à la sorcière.

-vous êtes à présent libre d'aller ou bon vous semble. Si vous voulez retourner au fief pour la nuit réfléchir à ma proposition vous en avez le droit. De toute manière, même si vous prévenez votre seigneur, cela n'empêchera pas la suite des évènements. Dans le cas ou désirez passer la nuit au camp, nous avons une tente très bien installé et très confortable. GARDE!

Trois homme dont deux en armures et le rôdeur qui l'avait aborder pénétrèrent dans la tente.

-cette gente demoiselle est mon invité, traitait la avec tous le respect qui se doit.

Les gardes se détendirent un peu et acquiesça les ordres.

Tout ce que disait ce cher général était bien loin d’être faux. Il ne pourrait lui donner aucune preuve si ce n’était sa propre parole quand à ce que le fief pouvait lui apporter, c’était minime, elle devait bien l’admettre. Elle passait son temps à soigner les bobos et mise à part le fait que le seigneur la rejoignait souvent, elle ne pourrait guère usée de ses pouvoirs.

De plus, elle devait bien admettre que cet Arthas savait s’y prendre. Il la considérait comme une hôte de marque et tentait de lui apporter toutes les réponses à ses questions et à ses désirs ou presque.

« Cette gente demoiselle est mon invité, traitait la avec tous le respect qui se doit »

Les trois hommes qui venaient d’entrer semblaient attendre ses ordres. Rester ou s’en aller ? En fait, elle avait déjà fait son choix. Cet homme pourrait l’emmener loin, très loin.

« J’ai déjà fait mon choix général. Je vous apporte mon concours. A moins que vous n’ayez besoin de ma personne au fief, je préfère dormir ici cette nuit et ainsi demeurer à vos côtés ! »

Elle but le reste de sa coupe et la déposa sur la table en adressant un grand sourire au général. La magicienne marcha avec grâce jusqu’au lit sur lequel elle s’assit. Il était très confortable pour un simple lit de camp. Elle croisa les jambes sous sa robe longue.

« Cette tente me semble très bien ! Je préfèrerai… dormir ici à moins que vous ne teniez vraiment à m’en faire changer »

Elle était très curieuse de nature surtout en ce qui concernait les hommes et celui-là semblait valoir le détour. De plus, à part Kamui, elle s’était abstenue d’autres hommes pour ne pas éveiller les soupçons à son égard et l’envie de nouveauté se faisait sentir chez elle.

Arthas regarda d'un regard amusé la belle sorcière lui accepter son offre. Elle but son verre et alla s'assoir avec toute la beauté qu'une telle femme pouvait dévoiler. Faut être fou, eunuque ou totalement insensible pour ne pas tomber sous le charme de cette fleur dont les épines peuvent être bien plus que mortel. Bien que le Chevalier Noire est une apparence froide et impitoyable, il était loin d'être une pierre. Arthas tourna son attention vers ses hommes.

-allez-vous en, je n'ai plus besoin de vous.

Les homme acquiescèrent et partirent laissant leur général seul avec Mélisende. Arthas s'approcha près de la sorcière. Tandis qu'elle s'adressait à lui.

-Cette tente me semble très bien ! Je préfèrerai… dormir ici à moins que vous ne teniez vraiment à m’en faire changer

-quand je vous ai dit que vous étiez à libre d'aller ou bon vous semble cela concerne même cette chambre. Bien sur il n'y a qu'un lit ici, mais rien ne nous oblige à ne pas partager la même couche. Par contre, j'ai le devoir de vous prévenir, il paraitrai que celle qui aurai dormis dans le même lit que moi se serai retrouver autant fatigué que la veille. Sinon faite comme chez vous, car sa l'est à présent, tous le campement ainsi que les domaine ou je serai présent vous appartiendra aussi, d'une certaine façon.

Le général n'était pas né de la dernière pluie et se doutait bien des intentions de la sorcière. Les rumeurs sur l'origine de ses pouvoirs serai peut-être confirmé ce soire même et si cela est vrai il se pourrait qu'elle atteigne son statut précédant plus rapidement que prévu et voir même le dépasser en restant en sa compagnie. C'est pour cette raison que le général lui avait fait cette remarque quelque peut indécente en outre de prendre un peu de bon temps. Il prenait ainsi de gros risque en acceptant de partager sa tente avec elle. Il se doutait bien de la suite des évènements, mais être général d'Ashnard n'implique pas une dose de risque?

D'un geste il décrocha deux trois lanière et retira les épaulière qui tenait son imposante cape noire. Ensuite il ôta les plaque et d'autre partie de son armure qu'il accrocha sur une sorte d'établie dont son épée démoniaque était déjà entreposé. La Daemon Sword s'illuminait d'une couleur violacé, c'était du à la présence de la sorcière après avoir dévêtit son armure, Arthas se retrouvé habillé d'une élégante robe noire qui contenais très peu de motif mais était fait dans un textile d'une grande finesse.

-veuillez excuser mon impolitesse mais cette armure devenait encombrante, mais comme nous somme à présent allié, ceci ne devrais point vous déranger, je me trompe ?

Arthas se doutait bien de la suite mais il préférait au bon soin de la Mélisende d'ouvrir le bal.

« Quand je vous ai dit que vous étiez à libre d'aller ou bon vous semble cela concerne même cette chambre. Bien sur il n'y a qu'un lit ici, mais rien ne nous oblige à ne pas partager la même couche. Par contre, j'ai le devoir de vous prévenir, il paraîtrait que celle qui aurai dormis dans le même lit que moi se serai retrouver autant fatigué que la veille. Sinon faite comme chez vous, car sa l'est à présent, tous le campement ainsi que les domaines ou je serai présent vous appartiendra aussi, d'une certaine façon »

Mélisende souriait devant les sous-entendus du général d’Ashnard. Il ne semblait pas particulièrement contre le fait de devoir partager sa couche avec elle, y compris sa personne.
 
La jeune femme toujours sagement assise observa Arthas alors qu’il se délestait de son manteau et de son armure. Il était vraiment très bien fait de sa personne, du moins pour ce qu’elle pouvait en voir. L’absence d’armure n’enlevait en rien son stature et sa carrure toujours aussi imposante. Elle avait très envie d’en découvrir davantage.

« Veuillez excuser mon impolitesse mais cette armure devenait encombrante, mais comme nous somme à présent allié, ceci ne devrais point vous déranger, je me trompe ? »

La magicienne fit un non de la tête alors que sa main caressait le dessus du lit avec sa main fuselée.

« Non, je vous en prie et puis vous êtes chez vous ou en tout cas dans votre tente. Il serait donc bien mal venu de ma part de vous l’interdire. D’ailleurs, libre à vous de vous mettre encore plus à l’aise si vous le souhaitez »

L’ensorceleuse se leva et dégrafa la lourde cape de velours noire qui la recouvrait jusqu’alors dévoilant sa tenue. Une longue robe de velours vert à la jupe évasée mais au buste et aux manches longues moulantes. La tenue la dissimulait entièrement hormis sa gorge où le décolleté plongeant mettait bien en valeur sa superbe poitrine. Elle alla déposer la cape sur la table.

« Vous ne voyez pas d’inconvénient à ce que j’en fasse autant général ? »

Son ton mutin comme son regard et son sourire était une invitation totale à l’intention du général d’Ashnard.

Arthas avait bien remarqué le petit regard joueur qu'avait Mélisende. Puis après une brève remarque elle se leva dans toute sa splendeur. Elle décrocha sa cape dévoilant une robe noire qui mettait son corps bien en valeur. Cette femme était dangereuse, elle savait tiré partie de son magnifique corps et elle arrivait à séduire le général. Elle avait transformé son hideuse robe en arme de séduction imparable. Elle s'avança et posa sa cape sur une table et avec un sourire charmeur elle s'exprima face au général.

-Vous ne voyez pas d’inconvénient à ce que j’en fasse autant général ?

-non pas le moins du monde, au contraire faite donc.

C'est avec un léger sourire au lèvre que Arthas s'approcha de la sorcière. Le désir était devenu grand pour le général qui n'avait pas eut la chance de gouter au plaisir de la chaire depuis très longtemps. Mélisende pouvait se féliciter car le Général Arthas ne pouvait plus rester la sans comme cela, il était de son devoir de répondre à l'invitation de la sorcière.

-vous êtes de toute beauté ainsi, c'est un vrai régale au regard.

Dès qu'il fut proche d'elle, il posa sa main délicatement sur le ventre et il tourna autour d'elle pour la prendre dans ces bras et ce retrouver derrière elle et ainsi sentir contre son corps celui de la belle Mélisende

-ainsi qu'au touché...

il approcha son visage près du cou de la belle sorcière et huma tous en faisant sentir son souffle contre sa peau.

-vous avez une odeur exquis, que diriez vous si votre nouveau seigneur vous proposez de passer un agréable moment en sa compagnie.

Dit-il en lui susurrant ces mots a son oreille. Son désire pour elle était plus que visible à présent.

La magicienne vit le général s’approcher d’elle et poser sa main sur son ventre tournant autour d’elle. Il se posa derrière elle et l’entoura de ses bras. Respirant son odeur, la touchant avec un désir évident.

« Vous avez une odeur exquise, que diriez vous si votre nouveau seigneur vous proposait de passer un agréable moment en sa compagnie »

Mélisende sourit avec plaisir. Elle avait réussie à le tenter. Il n’était pas encore né l’homme qui pourrait lui résister et c’était très bien comme ça. Elle sentit son désir pour elle, contre elle. Elle aussi avait très envie de lui. Elle sentait qu’avec lui se serait différent d’avec Kamui. Ce dernier était toujours doux et tendre. Avec Arthas, elle espérait que cela soit différent, plus sauvage.

La magicienne se dégagea alors de lui avec douceur faisant quelques pas pour s’éloigner du général. Elle se retrouva face à lui à trois mètres de distance tout au plus. Elle glissa ses mains dans son dos quelques secondes avant de les ramener devant elle. Elle porta ses mains à ses épaules et dans un geste, elle fit glisser la robe au sol. Elle apparut totalement nue devant le général. Elle ne portait que rarement des sous-vêtements. La seule chose qu’elle continuait de porter était ses chaussures. Mélisende laissa retomber ses bras le long de son corps sublime.

« J’en serais ravie mon seigneur ! »

Le sourire toujours aussi mutin, le regard remplit d’envie et de désir, elle invitait Arthas à prendre possession d’elle. Ses seins pointaient insolemment devant elle alors qu’elle commençait à sentir son intimité s’humidifier.

Alors que Arthas tenait la sorcière dans ses bras, Mélisende se mit à sourire et elle s'enleva dans une grande délicatesse de son seigneur pour mettre quelque distance entre elle et lui. Le général senti toutefois une certaine frustration, une frustration qui s'envola rapidement quand il observa alors la sorcière. Mélisende avait décroché sa belle robe noire et l'avait faite tomber à même le sol. Elle se présentait totalement nue face au général et d'une voix joueuse, elle lui dit.

-J’en serais ravie mon seigneur !

-parfait!

Cette femme savait ce qu'elle voulait et sa Arthas le respectait. Avec un sourire de satisfaction, il s'avança vers elle et se mit à tourner autour comme si il vérifier une esclave avant son achat. Il fit glisser deux doigts contre la douce peau au niveau des fesse pendant qu'il savourait du regard la belle femme au corps parfait. Dès qu'il eut fini d'observer la sorcière sous toute ses couture, il se pointa devant elle montrant son imposante carrure. Sans un mot, il passa ses mains contre la taille de la sorcière et la tira contre lui. Il huma encore une fois directement dans le creux de sa nuque et de sa main droite, releva la jambe de Mélisende contre le long du corps de Arthas. Sa main gauche se mit à caresser la fesse gauche de la sorcière avec une certaine fermeté. Alors sans hésité, le général se mit à embrasser droit dans le cou de la magnifique femme. Sa main droite caressait le long de la hanche avant de remonter vers les fesses de Mélisende. Puis avec une certaine assurance, il enfonça deux doigt de sa main droite dans l'intimité qui commençait déjà à bien s'humidifiait. Alors que Arthas stimulait le sexe de Mélisende, il stoppa ses baisés et s'adressa à elle avec assurance.

-je vois qu'on prend déjà plaisir! Mais rassure toi, je n'ai pas encore fini avec toi et loin de là.

D'un geste presque brusque, Arthas poussa Mélisende qui recula un peu avant de se faire plaquer dans le lit avec ce puissant homme qui se retrouva à présent sur elle. Il l'embrassa alors avec une férocité qui laisse deviner comment se déroulera la suite des évènements. Il l'embrassa un bon moment toute en jouant avec la langue de la sorcière. Une de ses mains avait pris en otage un des ses magnifique sein et le malaxer fermement. Après ce cour instant il se décrocha de la sorcière et se mit à descendre le long du corps de Mélisende en laissant derrière lui un sillage de baisés. Il arriva enfin jusqu'au bas-ventre de la sorcière et enfin jusqu'à l'entré de son intimité. Arthas caressa a coup de langue le sexe de Mélisende juste avant de pénétrer sa langue avec fougue dans son vagin.