la sorcière et le général (PV)

Un sourire gourmand et amusé aux lèvres, la magicienne se prêta de bonne grâce à l’inspection menée par le général. Elle aimait être regardée, observée, admirée, désirée. C’est une des choses qui faisait d’elle une personne totalement impudique.

Il finit par se plaquer contre elle, devant elle. Le général attrapa la cuisse gauche de la jeune femme et la plaque contre lui alors que son autre allait malaxer la fesse ferme de la jeune femme. Il se pencha et embrassa son cou faisant frémir la belle femme brune. Un baiser violent mais apprécier par la demoiselle. Sans autre forme de procès, il enfonça deux doigts dans son intimité faisant pousser un autre gémissement à la sorcière. Il commença à les bouger, excitant la belle demoiselle qui s’humidifiait.

« Je vois qu'on prend déjà plaisir! Mais rassure toi, je n'ai pas encore fini avec toi et loin de là »

Elle lui sourit.

« Mais je l’espère bien général ! »

Avec une certaine brutalité, il l’a poussa sur le lit où il l’a rejoignit. Il prit brutalement possession de sa bouche. Un baiser d’une intensité extrême. Un baiser sauvage pour le plus grand bonheur de Mélisende. Le baiser dura un bon moment. Moment durant lequel leurs langues s’affrontèrent, s’entrechoquèrent, se cherchèrent. La bouche du guerrier était dure et implacable ce dont s’était doutée la jeune femme. C’était ce qui l’avait d’ailleurs excitée.

Arthas abandonna son visage et sa bouche pour descendre le long de son corps doré. La sorcière gémit à chaque fois que la bouche du seigneur touchait sa peau. Elle serra le dessus du lit dans sa main comme pour s’y agripper. Bien vite, l’homme parvint au but de son exploration, l’intimité de sa partenaire. L’ensorceleuse sentit la langue du général contre son intimité puis s’insinuer en elle la faisant crier.

« Arghhhhh… hummmmmm… Oui… C’est bon… »

Son sexe tressaillait sous les assauts de la langue du général. La cyprine n’avait pas le temps de couler de son vagin, l’homme léchant le liquide avant. Mélisende était aux anges. Elle espérait que la suite serait encore meilleure. Elle passa une de ses jambes sur l’épaule d’Arthas afin qu’il puisse encore mieux accéder à son antre mouillée et si sensible.

Arthas prenait un malin plaisir à s'occuper du sexe de la belle sorcière. Cette dernière mouillait abondamment. Arthas senti alors que la jeune femme posa une de ses jambes sur son épaule et aussitôt le général la retint pour la caresser. Tandis que sa bouche et une de ses mains était bien occupé, l'autre main se plaça dans l'entrejambe de Mélisende et Arthas enfonça son majeur directement dans l'anus de Mélisende cherchant à lui arracher un cris.

Cette torture interne dura de longue minutes. Tous était mise en œuvre pour faire crier de plaisir et rendre folle la belle sorcière. Arthas se donnait à cœur joie dans cette entreprise. Puis enfin, après un temps interminable, Arthas se retira laissant à la jeune sorcière reprendre son souffle et se recula un peu. Il était juste à coter du lit et commença à défaire sa robe pour a son tour se dévoiler entièrement nu son membre tendu par l'excitation était à l'image du guerrier, grand et puissant. Il se rapprocha a nouveau du bassin de Mélisende et passa ses mains sous les genoux de la sorcière et il les remonta tout en s'allongeant contre elle. La sorcière avait à présent les jambe remonté contre elle laissant un accès libre de son sexe qui continuait de couler sur le lit.

C'est avec un certain plaisir sadique que Arthas enfonça violemment son sexe dans celui de Mélisende. Le puissant guerriers se lançais dans une série de va-et-vient d'une violence inouïe. Sans fatiguer, sans ralentir. Le général voulait ainsi prouver toute sa force. Après un long moment, Arthas fini par retourner Mélisende pour la mettre sur les genou et plaquer son visage contre la couverture du matelas. La cadence ne ralentissais pas le moins du monde.

Alors qu’Arthas œuvrait sur son sexe, il finit par enfoncer un de ses doigts dans l’anus de la jeune femme. Elle poussa un cri de plaisir. La sorcière prenait du plaisir aussi bien pas son sexe que par son anus. La sodomie ou la pénétration classique lui donnaient énormément de plaisir. Alors les deux associés provoquaient une véritable déferlante de plaisir dans le corps de la belle dame.

Se cambrant avec un plaisir évident, elle s’offrait avec délice aux douces tortures du général. Cela dura un long moment pendant lequel Mélisende ne cessa de gémir de plaisir. Mais soudain, Arthas l’abandonna. La jeune femme protesta.

« Non ! Revient ! «

C’était un ordre dans sa bouche mais elle comprit vite que le général ne comptait pas l’abandonner. Il s’était juste écarté pour se mettre plus à son aise et tout aussi nu qu’elle. Elle admira son corps puissant et musculeux et son sexe aux proportions en rapport direct avec la stature de son propriétaire.

La sorcière se laissa retomber sur les draps du lit attendant que l’homme revienne vers elle ce qu’il fit sans tarder. Il lui souleva les genoux contre elle et la pénétra brutalement. Le sexe humide reçut avec délice la verge gonflée du général. Il commença alors des mouvements intenses et puissants de va-et-vient. Cette brutalité ne déplaisait en rien à la jeune femme. C’était plutôt plaisant et cela la changeait de la douceur du seigneur de Meisa. Mélisende aimait la force et la brutalité dans les actes intimes. Cela lui donnait toujours de fabuleux orgasmes.

La position qu’il lui avait fait prendre avait un immense avantage. Le membre viril était en contact direct avec le point le plus sensible du vagin de la sorcière. Elle se mit à crier de plaisir à chaque que le gland de l’homme entrait en contact avec la paroi plus que sensible de son vagin. La cyprine coulait abondamment d’elle, se répandant sur ses cuisses, ses fesses et le drap du lit.

Arthas finit par changer de position en la mettant à genoux et en la pénétrant à nouveau. L’ensorceleuse enfouit son visage dans le coton qui recouvrait le lit pour étouffer les cris qu’elle poussait. Sa voix aurait risqué d’ameuter tout le camp. Dans une telle position, elle put glisser sa main jusqu’à son clitoris qu’elle se mit à caresser décuplant encore son plaisir.

Le général était déçut que Mélisende tentait de couvrir ses crient en plaquant sa bouche contre les draps du lit. Atrhas voulait clairement entendre le plaisir que la sorcière recevait de sa part, il voulait l'entendre crier, que tous le campement l'entendent eux aussi et même les habitants de ce maudit Fief tant le bonheur et le plaisir était présent en cette instant.

Toujours aussi brutal dans ses mouvements, Arthas voulait montrer sa domination à la belle sorcière. D'une main ferme, il agrippa Mélisende par les cheveux et la tira pour la mettre presque debout, plaqué contre le buste puissant du chevalier noire. Là, aucune barrière n'empêchait les crient de plaisir. Tenant toujours fermement la tête de la sorcière par ses cheveux, Arthas la força à tourner sur le coter afin que le creux de son cou puisse être libre d'accès et sans attendre, le général embrassa passionnément cette douce peau de son cou. Son autre main alla agripper un des seins et le malaxa fermement allant pincer et tordre de temps à autre le tétons. Malgré la position, Arthas arrivait toujours à donner de puissant coups de reins qui se faisait de plus en plus violent.

Puis dans une explosion extraordinaire, le général d'Ashnard jouit à l'intérieur de la belle sorcière et dans un râle puissant, il sentait sa semence aller au plus profond du vagin de la sorcière lui poussant un cris encore plus fort que tous les autres. Le silence revint dans la tente. Arthas à bout de souffle se coucha sur le ventre et se pencha sur le coté avec toujours son membre dans le sexe de la sorcière. Il reprenait son souffle. Cela faisait vraiment longtemps que le général n'avait pris du plaisirs en la compagnie d'une femme. Et pas n'importe la qu'elle. Mélisende,la puissante sorcière et si ces pouvoirs était autant puissant que ce qu'il venait de ressentir en elle, il savait alors que grâce à elle, il pourrait accomplir de grande chose.

-à présent... es-tu toujours sur.. d'avoir fait le bon choix ?, depuis quand... n'a tu...pas ressenti un tel plaisirs

Dit-il a moitié essoufflé et avec un sourire victorieux. Il était entièrement satisfait de ce pur moment de plaisir intense et maintenant restait à savoir si la sorcière avait autant apprécié le moment que lui,puis il ajouta enfin.

-tu entrevois ce qui t'attend en ma compagnie et encore, je n'ai pas fini avec toi.

Comme il n'avait plus fait l'amoure depuis des lustres, il ne faudrait pas longtemps pour que son envi et son excitation reviennent à la charge et qu'il reparte au combat.

Si la magicienne souhaitait étouffer ses cris, ce n’était pas le cas du général Arthas qui l’attira à lui avec brutalité en l’agrippant par les cheveux la faisant crier de douleur. Mais cette douleur fut de courte durée quand, se retrouvant contre le torse de l’homme, les mouvements continuèrent de plus belle. Tête penchée sur le côté, elle subissait avec plaisir les caresses associant douceur, force et brutalité. Un mélange détonnant pour la belle sorcière.

Vu sa nouvelle position, contenir ses cris de plaisir étaient impossible. Ils augmentaient d’ailleurs en intensité à chaque fois qu’un nouveau palier de plaisir était franchit. La jouissance arrivait à grand pas vu la vigueur avec laquelle son amant la prenait. Un amant puissant et qui appréciait cet échange autant qu’elle. Le plaisir coulait dans les veines de la belle ensorceleuse. Bientôt l’orgasme fut impossible à contenir, cela faisait trop longtemps qu’on ne l’avait pas possédée ainsi. Alors qu’Arthas s’enfonçait une dernière fois en elle, son corps se laissa aller et dans le même temps celui du général. Des spasmes la secouèrent de la tête aux pieds, des spasmes violents et une vague de chaleur intense l’inonda complètement. Son cri dut se faire entendre dans tout le camp tellement il fut puissant.

Elle retomba épuisée sur le lit, son amant contre elle et toujours en elle. Son souffle était haletant et des tremblements continuaient de l’assaillir, preuves de la violence de son orgasme. Le général avait tenu ses promesses comme le pressentait la magicienne.

« A présent... es-tu toujours sur... d'avoir fait le bon choix ? Depuis quand... n'a tu...pas ressenti un tel plaisir. Tu entrevois ce qui t'attend en ma compagnie et encore, je n'ai pas fini avec toi »

Mélisende sourit, elle non plus ne comptait pas s’arrêter là. Elle tourna son visage de femme comblée vers celui, victorieux de son amant. Elle ne s’offensa pas de son sourire triomphant. Il avait bien le droit de l’afficher vu le plaisir qu’il lui avait dispensé.

« Hummmm… oui, je suis persuadée d’avoir fait le meilleur choix qu’il soit. Je crois même que nous sommes fais pour très bien nous entendre, général »

Cet homme pouvait l’amener au summum de la puissance. Elle n’avait aucun doute là-dessus. La puissance qu’elle avait ressentie ne la trompait pas.

« La nuit est à nous, mon seigneur ! »

Et elle comptait bien encore en profiter.