L'arène de fer

Situé dans une citée usine appartenant au collectif du Dieu Machine l'arène de fer est à la fois une construction de pierre et de métal de la taille de deux terrains de foot. L'arène bénéficie d'équipements modernes mais garde un air antique afin que les spectateurs s'y sent chez eux.



De nombreux spectateurs venaient donc pour voir ses terribles sports sanglant et se délecter du spectacle avec exitation car le Dieu Machine promètait du spectacle non seulement sanglant mais aussi sexuel. Les combats étant mixte.



Sous l'arène plusieurs combatants attendaient dans une cellules individuelle prèt à en découdre sous une musique millitaire assez énervante. Chacun avaient une bonne raison de vouloir combattre au risque de se faire tuer malgré la promesse des hommes de fer aux yeux rouges qu'ils avaient les moyens de les faire revenir d'entre les morts. Ils n'empêche que leur actions avait été restreintes notament on avais pris leur équipements pour leur donner des armes conformes qu'ils devaient choisirs sur l'écran ci dessous.



Outre cela leur pouvoirs avaient été limité. Les hommes de fer leur avaient implanter quelque chose qui limitait leurs capacités. Toutefois ces difficultés vallait le coups le collectif du dieux machine ayant promis au vainqueur le souhait de ce que leur coeur désire le plus au monde.

Je me trouvais dans une cellule de prison, enfin plus une cage. Je me rappelle de peu de chose j'étaie en train de concevoir une technique similaire à une arcane, mais le but était de maîtriser son adversaire en frappant au menton avec suffisamment de puissance pour paralyser le système nerveux assommant mon opposant, mais pas trop sinon la mâchoire se déboîterait et le choc perdrait 90% de sa force.

C'est lors de la finalisation de cette attaque que mon pied dérapa dans le vide et je tomba dans une lumière aveuglante. Quand je pus revoir de mes yeux j'étaie au milieu d'une arène de style romaine, apparemment en cours de rénovation pour un spectacle, seulement l'attitude de certaine personne qui étaient très grandes me fit vite comprendre que ce lieu était hostile, aussi je tenta de fuir, mais les colosses m'en empêchèrent, je dû pratiquer l'art martial de ma mère pour frapper à la nuque, histoire de juste les paralyser, mais la suite ne fut pas du tout comme je l'avais estimée, les hommes ou ce que je prenais pour des humains m'immobilisèrent, puis je me trouva enchainé, Sabihime était confisqué à se moment ils ont dû m'injecter un liquide contenant un tranquillisant pour retenir ma folie, toucher à l'arme d'un samouraï revenait à toucher à l'âme de la personne elle-même.

J'appris par la suite que l'arène allait servir de zone de combat et que l'ultime vainqueur aura le droit de voir son souhait réaliser. C'était ironique, j'avais plein d'idée en tête mais mon sens de l'honneur me refusait le droit de combattre pour cette raison, la seule chose que j'avais le droit c'est survivre à ses combat et comprendre ce qu'était se monde pour le moins étrange.

Je fus conduite devant une table où l'on me montra des armes, il n'y avait pas Sabihime, ni un katana, il y avait un sabre chinois, mais rien qu'en l'admirant je vis très vite que cette arme ne pouvait pas être en accord avec mon style de combat. Aussi je décide de ne prendra aucune arme, je défis mon bandage autour de ma poitrine et le coupa à la moitié pour me faire deux mitaines.

Restait à savoir ce qui allait m'arriver et si le maître de l'arène allait être d'accord avec mon choix. La lumière du soleil m'éblouit l'espace d'un instant.


Le combat pour ma survie allait commencer.

Sameshima Kabuto était assis en tailleur dans sa cellule attendant que son tour pour combattre viennent. Il se demandait encore pourquoi il avait accepter de participer à ses joute qui ressemblait plus à une pendaison en place publique qu'as une prison. Et puis cette musique lui taper le système.

Quelque jour plus tôt, l'homme dénommé « Kamikaze de Nexus » faisait ses premiers pas dans la cité d'Aschnard dans l'espoir de prouver sa valeur et son honneur. Puis il avait entendu parler d'un tournoi proposé par des étrange bonshommes de fer qui offrait au vainqueur une récompense forte intéressante mais la gloire d'être connu du grand publique comme étant un grand guerrier était déjà une très bonne récompense.

Kabuto ne disait rien, il était déjà passablement énervé par le comportement des organisateur et le faite de lui avoir priver de son « Shiranui » son katana l'avait enlever toute envi de rire. Il pris comme une insulte le faite qu'on lui propose une autre armes que la sienne, mais mieux vaut être armé quand le combat commencera. Il choisit donc la lance.

Son regard se posa sur une jeune femme qui passa avant lui. Cela l'étonna, une femme dans un tel jeu ? Kabuto allais de surprise en surprise. En attendant il était toujours dans sa cellule et attendant la suite des évènements.

Eleindra faisait partie de ceux qui étaient venus de leur plein gré. Elle avait entendu parlé de futur grand combat organisé par un certain « Dieu Machine ».Une grosse récompense était  à la clé. Le dieu prétendait réaliser le souhait du vainqueur. Le combat était bien sur intéressant mais c’était surtout pour l’organisateur qu’elle était venue. Son but était de le rencontrer afin de voir ce qu’il était et aussi pour lui montrer sa partie machine.

Eleindra s’était donc rendu là bas par ses propres moyens et avait cordialement été invité à entrer dans une cellule individuelle On lui retira son arme en lui expliquant qu’elle serait bien entendu restituée. L’objectif était sûrement d’éviter que les participants s’étripent avant le début du combat. En attendant son tour pour choisir une nouvelle arme elle regarda les autres combattants. Il y avait pas mal d’humains et notamment des femmes en bon nombre. Elle vit  une jeune fille revenir de la salle où l’ont pouvait faire le choix des armes, sauf qu’elle n’avait pas d’armes avec elle. Simplement les poings bandés. Cette fille était folle de croire que cela serait suffisant, à moins qu’elle ait un pouvoir spécial.

Un homme machine vint lui signifier que c’était à son tour de faire son choix. Il ouvrit la cage et la conduisit dans la pièce. Devant elle, de nombreuses armes, une seule à prendre. Les armes blanches ce n’était pas son truc. Elle savait s’en servir, l’entraînement subit au labo avait été fait pour lui permettre d’utiliser tous types d’armes. L’épée ferait donc son affaire. Le type qui s’occupait de lui donner son arme lui fit comprendre qu’elle devait faire brider son bras. Elle allait tout de même pas passer entre les mailles du filet non ?

- Etes vous le dieu machine ? Si c’est le cas, serait il possible d’avoir un entretien quand le jeu sera terminé ? D’ailleurs j’espère que votre truc de clonage ce n’est pas des foutaises…

Eleindra avait confiance en ses compétences de combattante mais n’était pas folle, le peu qu’elle avait pu voir dans le sous sol de l’arène lui avait montré que certain étaient bien plus fort qu’elle.

Elle retourna dans sa cage sans avoir de réponse de la machine. Malpoli va ! Il ne restait plus qu’à attendre que tout le monde soit prêt et les festivités commenceraient.

Selene s'amusait avec la grosse épée dont la garde ressemblait aux ailes d'un dragon déployées. Cette arme frisait le ridicule mais ça ne l'empêchait pas de taillader dans l'air, parant une épée invisible et ripostant d'un coup d'estoc dans le ventre d'un ennemi tout aussi invisible. Puis, s'étant lassé de la grosse épée, Selene essaya de soulever le Morgenstern qui lui tendait désespérément les bras – ou les pics- ; Selene adorait les armes amusantes comme celle-là mais elle dut se faire une raison car elle n'avait pas la moitié de la force nécessaire pour manier une arme aussi lourde. Elle laissa donc tomber l'énorme masse bardée de pointes et jeta son dévolu sur un glaive. Elle en testa brièvement l'équilibre, puis satisfaite, le rangea dans sa ceinture. On l'avait privé de son sabre mais Selene s'en fichait comme d'une guigne. L'immortelle maniait toutes les armes adaptées à sa physionomie. Et pour cause, elle avait eu plusieurs siècles pour toutes les maitriser.

Elle prit également une lance et fit une grimace à une machine en prétextant qu'elle n'avait pas précisée qu'on ne devait prendre qu'une seule arme. Serrant son bien comme s'il s'agissait de son morceau de pain annuel, elle rejoignît sa cage en lançant des regards méfiants à tous ceux qui pourrait lui voler son bout de bois. Lorsque la cage se referma, elle relâcha sa vigilance et décocha des sourire satisfaits à ses opposants qui attendaient dans les autres cages.

L'immortelle n'était pas venu là pour gagner le prix. Elle n'avait pas peur de mourir car l'instinct de survie l'avait déserté depuis longtemps. Elle était là pour s'amuser et jouer avec des adversaires qui ne mourraient pas au bout de trois passes d'armes. Peu importe de perdre ou de gagner. Il fallait du sang, de la sueur et des larmes.
Avec le sourire d'un enfant qui attend le père noël, Sélène se coucha sur le sable froid de sa cage, serrant toujours sa lance dans ses bras, et s'endormit paisiblement.