Je me trouvais dans une cellule de prison, enfin plus une cage. Je me rappelle de peu de chose j'étaie en train de concevoir une technique similaire à une arcane, mais le but était de maîtriser son adversaire en frappant au menton avec suffisamment de puissance pour paralyser le système nerveux assommant mon opposant, mais pas trop sinon la mâchoire se déboîterait et le choc perdrait 90% de sa force.
C'est lors de la finalisation de cette attaque que mon pied dérapa dans le vide et je tomba dans une lumière aveuglante. Quand je pus revoir de mes yeux j'étaie au milieu d'une arène de style romaine, apparemment en cours de rénovation pour un spectacle, seulement l'attitude de certaine personne qui étaient très grandes me fit vite comprendre que ce lieu était hostile, aussi je tenta de fuir, mais les colosses m'en empêchèrent, je dû pratiquer l'art martial de ma mère pour frapper à la nuque, histoire de juste les paralyser, mais la suite ne fut pas du tout comme je l'avais estimée, les hommes ou ce que je prenais pour des humains m'immobilisèrent, puis je me trouva enchainé, Sabihime était confisqué à se moment ils ont dû m'injecter un liquide contenant un tranquillisant pour retenir ma folie, toucher à l'arme d'un samouraï revenait à toucher à l'âme de la personne elle-même.
J'appris par la suite que l'arène allait servir de zone de combat et que l'ultime vainqueur aura le droit de voir son souhait réaliser. C'était ironique, j'avais plein d'idée en tête mais mon sens de l'honneur me refusait le droit de combattre pour cette raison, la seule chose que j'avais le droit c'est survivre à ses combat et comprendre ce qu'était se monde pour le moins étrange.
Je fus conduite devant une table où l'on me montra des armes, il n'y avait pas Sabihime, ni un katana, il y avait un sabre chinois, mais rien qu'en l'admirant je vis très vite que cette arme ne pouvait pas être en accord avec mon style de combat. Aussi je décide de ne prendra aucune arme, je défis mon bandage autour de ma poitrine et le coupa à la moitié pour me faire deux mitaines.
Restait à savoir ce qui allait m'arriver et si le maître de l'arène allait être d'accord avec mon choix. La lumière du soleil m'éblouit l'espace d'un instant.
Le combat pour ma survie allait commencer.