Doggy sentit un léger cliquetis venant de son pantalon, son sourire se fit plus large encore, la modification du système d'ouverture fonctionnait donc bien, il avait eu raison d'en améliorer la portée. Loin de son vaisseau et de Cerbera pour l'empêcher de nuire, il se sentait libre. Il tendit le bras comme pour récupérer son passe mais à la place se saisit du poignet fin de sa future victime. Il commença à détacher sa ceinture dans le même temps.
" Je pense que vous... Ne révélez pas tout ce que vous avez à cacher... " Il était ravi, il avait gagné, Il allait pouvoir laisser libre cours à ses perversions. Son museau ne le trompait pas. Elle n'était pas originaire de Terra. " Vous venez de la Terre n'est-ce pas..." Il affirma simplement, son regard figé dans celui de la femelle.
Il sentit sa ceinture se relâcher donc il s'attela à ouvrir son pantalon, qui bientôt s'affaissa jusqu'à ses pattes, qu'il libéra d'une saccade. Il souleva son shirt légèrement, révélant un torse musclé et couvert d'une fine couche de fourrure blanche, encadrée d'un liseré noir donnant sur un poil bleuté soyeux. Il abaissa son shorty sombre et une étrange surface métallique apparut contre l'entrejambe du canidé. Il retira l'étrange accessoire et le jeta à terre avec un air dédaigneux. Il se retrouva ainsi dévêtu devant Marine, son sous-vêtement ayant suivit le même parcours que le pantalon synthétique quelques secondes avant.
"Peut importe... Votre droit de passage sera simple... D'autant plus que votre corps ne me ment pas... Vous en avez besoin autant que moi..." il fit d'une voix douce, presque mielleuse. Son corps exultait de multiples phéromones canines, un léger parfum musqué provenant de lui et l'entourant comme une aura de virilité bestiale. Son sexe rose et tendu pointait déjà hors du fourreau de fourrure délicate. Il était tellement en manque qu'il en avait complètement oublié ses manières de gentleman. Sa poigne sur le poignet se fit plus forte, comme si il craignait que sa proie ne s'échappe.
"Faites l'amour avec moi... Et je vous laisserais en paix..." il expliqua, son regard laissant transparaître une profond solitude et un manque d'affection critique, malgré son attitude dominante.