Le carnaval de sang [Brimstone]

" Oui il y as quelqu'un qui va venir. Je le sait car il font partie intégrante de mon esprit. Je suis eux ils sont moi. Perona je vous recommande de vous tenir tranquille. J'ai remarquer que vous fixier intensément cet ours qui étais dans la salle du trésor. J'en ai déduis que cet objet doit certainement vous appartenir et que vous avez l'air d'y tenir. Si vous faite encore mine de vouloir me possèder pour me forcer à faire des bétise ou nous faire tuer tout les trois, je vous jure que mon autre moi n'hésitera pas à transformer votre peluche en confétis et si vous endomager un autre de mes corps je vous passe dessus. Somme nous clair ? " Demanda Brimstone autoritaire à Perona tout en rangeant tranquilement ses affaires.

Brimstone étais serieux et étais rancunier de nature. Perona avais besoin d'une bonne leçon de savoir vivre mais c'étais important si elle voulais sortir vivante de ce dédale avec Marine.

" Logiquement ils en ont au moin pour une heure avant qu'ils nous retrouvent cela nous laissent le temps de faire la paix et plus ample connaissance ? " Dit le Régulateur aux deux filles.

Perona gonfla ses joues, ce qu'elle faisait toujours quand elle était énervée. Comment osait il lui parler sur ce ton ? Ce n'était même pas un roturier, il n'était même pas un être humain ni même un être vivant comme elle arrivait a en prendre le contrôle ! Aucun objet n'avait été aussi vulgaire avec elle. Brimstone avait bien besoin d'une leçon de conduite et elle se sentait bruler de la lui apporter croisant les bras sur sa large poitrine d'un air boudeur elle tourna le dos au robot et lança avec dédain.

"Comment ose tu parler a Perona de la sorte après tout ce qu'elle a fait pour toi espèce de grosse mochetée ?! Sans Perona tu serais encore en train de crapahuter dans la boue avec les monstres !"

Un esprit un peu plus intelligent que Perona aurait déduis que, si les robots étaient venus le sauver, alors la vie de Brimstone leur était bien plus importante que celle de son ours en peluche et aurait immédiatement repris possession de son corps pour utiliser celui ci comme monnaie d'échange. Dommage que la princesse avait les neuronnes en forme de bretzels. Elle continua a taper du pied avec caprice

"Perona est une princesse ! Donnez lui le respect qui lui est dû !"

Comment voulez vous faire entendre raison a quelqu'un qui n'avait vraissemblablement aucune idée de la merde noire dans laquelle elle se trouvait ?

Marine fut étonnée que d’autres « Brimstone » soit dans la prison mais cela la rassura. Ils avaient donc bien une chance de s’en sortir. Dans une heure, semblait-il, ils seraient là. Il fallait patienter jusqu’à ce moment.

Perona continua son rôle de gamine pourrie, gâtée. La jeune femme sentait son sang bouillir. Elle était plutôt calme en temps normal mais là, elle était loin d’être dans une situation normale.

« Perona est une princesse ! Donnez-lui le respect qui lui est dû ! »

La gamine tapait du pied et leur tournait le dos comme si elle était offensée par leurs propos. Marine avait terriblement envie de la remettre en place.

« Vous n’êtes pas dans votre palais ici. Vous êtes au même niveau que nous et sans votre pouvoir vous seriez en petits morceaux. Même chose, si je n’avais pas protégée votre corps, vous seriez condamnée à vivre dans un autre corps ou même sans corps du tout ! Alors cessez vos caprices et tenez vous tranquille ! »

Elle ponctua sa phrase par une claque magistrale dans le visage de la princesse. Elle savait qu’à priori ni son discours, ni la gifle, ne mettrait de plomb dans la cervelle d’oiseau de la demoiselle mais au moins, à elle, ça lui avait fait du bien. Elle poussa un soupir, elle se sentait mieux tout à coup.

« Vous n’êtes pas dans votre palais ici. Vous êtes au même niveau que nous et sans votre pouvoir vous seriez en petits morceaux. Même chose, si je n’avais pas protégée votre corps, vous seriez condamnée à vivre dans un autre corps ou même sans corps du tout ! Alors cessez vos caprices et tenez vous tranquille ! » Cria presque Marine qui donna à Perona une baffe magistrale.

Perona resta complètement interdite et le régulateur lui même ne s'y attendais pas. Connaissant la princesse dans ses acces d'humeur malgré son cerveau proportionel à celui d'un bigorneau elle allais vraiment se mètre dans une belle colère. Ce que craignais le régulateur c'est qu'avec son pouvoir elle tente de tuer Marine et Brimstone n'avais pas besoin d'avoir à s'encombrer d'une gamine psychopathe et hystérique sur les bord.

Il croisa les doigts pour qu'elle se tienne tranquille malgré la claque de Marine. Mais il s'attendais aussi à ce qu'elle explose comme une bombe.

" Bon tout le monde est calmés ? " Demanda timidement le régulateur.

-Hj-Désolé petit post-Hj-

Oulà, c'était un pari risqué que prenait Marine, Perona aurait très bien pu s'évanouïr et écraser sa petite tête avec le corps de Brimstonne si elle avait un semblant de logique, ce dont elle semblait dépourvue, au lieu de ça la gifle la stopa net, portant une main tremblante jusqu'a sa joue qu'elle osait a peine toucher alors que ses lèvres se pinçaient et que ses yeux se plissaient dans une horrible grimace alors que les larmes lui montaient aux yeux un cri perçant sortit de sa bouche, une plainte digne d'une gamine de 10 ans qui fit trembler un peu la cellule alors que Perona se mettait a se rouler par terre et a taper des pieds et des mains.

"Elle a giflé Perona ! La petite sotte ! OOoooouuh ! Perona la hais elle la hais elle la haiiiis ! Perona est une princesse elle te fera enfermer vieille peau et quand on te coupera la tête ça sera bien fait pour toi ! OOUIIIIIIIN ! SANDJI, PERONA VEUT SON SANDJI !!!!"

Elle n'allait pas la fermer là. Oh non, c'était même rapé pour ça, elle était en train de faire un véritable caprice.

Si lui filer une gifle lui avait fait du bien, Marine comprit que pour ses oreilles c’était une mauvaise idée. La princesse se mit à hurler de toute la puissance de ses cordes vocales. Marine commençait vraiment à en avoir marre de cette fille. Elle lui tapait sur les nerfs et pas qu’un peu. La sale gosse continuait ses vocalises. Impossible de la faire taire.

Là, Marine finit vraiment par perdre les pédales ce qui lui arrivait rarement mais là les limites étaient franchies. D’un mouvement vif et précis, elle plaque Perona face contre les barreaux. Elle avait passé son bras autour du cou de la princesse.
 
« Ou tu te tais ou je te tue en te brisant la nuque »

Là, la voix de Marine avait prit un ton des plus glaciales. Elle ne plaisantait pas. En une fraction de secondes, elle pouvait la tuer.

« Et inutile de tenter de contrôler Brimstone, si tu essayes, je te brise la nuque quand même et tu te verras contrainte de te passer de ton petit corps chéri. Alors tu comptes te tenir tranquille ou pas ? »

Perona n’avait pas grande utilité et les gardes ne feraient pas grand cas si certains prisonniers s’entre tuaient.

" Misère de misère ! " Grinça Brimstone qui eu l'air désolé par le comportement de Perona et l'énervement de Marine qui plaqua la princesse contre un mur et la menaça de lui briser la nuque. Cette fois Brimstone fut obligé d'agir pour empècher Marine de comètre l'irréparable.

" Allons ! Allons ! Calme toi ! Ce n'est pas de sa faute. C'est celle des esclavagistes de cet horrible endroit et cela nous tape tous sur nos nerfs. " Dit le régulateur qui écarta gentiment Marine et pris Perona dans ses gros bras pour la bercer et la calmer.

" Tu le retrouvera ton Sandji, mais tout ce que je te demande c'est que tu te calme et que tu sois tranquille jusqu'à ce qu'on vienne nous tirer d'ici et surtout que tu ne fasse pas de bétise. " Dit Brimstone à Perona doucement afin qu'elle ce calme.

Il esperais qu'en ce montrant paternel Perona soit un peu plus contrôlable et soit capable d'écouter.

Mais Perona avait déjà perdu conscience, surement essayait elle de reprendre immédiatement le contrôle de Brimstone pour qu'il mette une raclée a Marine et règle cette affaire définitivement, peut être se croyait elle plus rapide que son brisage de nuque et capable d'utiliser ses réflèxes bien mieux que la militaire ne pourrait, peut être même exploiter le fillon de base qu'un personnage de RPG ne peut normalement être tué sans l'autorisation du joueur...

Ou pas.

Les yeux de Perona virèrent au blanc alors qu'un peu de bave commençait a lui coulait de la bouche. La peur de la menace de Marine venait de lui faire perdre connaissance, de peur. Tout simplement. A présent la militaire et le robot avaient un poids mort sur les épaules. On eut dit que Perona faisait tout pour leur mettre des batons dans les roues depuis le début...Celà dit rien n'empecherais plus les robots de Brimstone de débarquer a présent.


-Hj-Vous pouvez continuer sans moi pour le moment a moins que vous décidiez de tenter de la réveler :p-Hj-

Brimstone chercha à calmer le jeu. Il s’adressa à la fois à la combattante et à la princesse. Ce fut cependant inutile. Marine sentit le corps de la fille devenir mou. Elle la lâcha. La gamine s’était évanouie. Décidément, cette fille n’était bonne à rien mais au moins elle ne criait plus.

La jeune femme reprit peu à peu ses esprits. Elle jeta un coup d’œil à Brimstone. Elle se sentait terriblement honteuse d’avoir ainsi perdu le contrôle. Elle chercha maladroitement à s’excuser.

« Je suis désolée. Je n’aurai pas due mais elle m’a vraiment beaucoup énervée. Néanmoins je n’aurai pas du – elle regarda le corps endormit de la princesse – Ben je suis quitte pour m’occuper d’elle une nouvelle fois. Je lui demanderai de m’excuser quand elle se réveillera et elle se fera une joie de m’envoyer sur les roses et de me traiter de tous les noms »

Marine se baissa sur le corps évanouie et prit son pouls. Visiblement, elle allait bien. Elle porta le corps inanimé et le déposa, doucement, sur le dos, au sol. La combattante se releva et regarda le régulateur.

« A votre avis, vos compagnon sont loin de nous ? »

Perona c'était évanouis. C'étais assez contraignant mais au moin elle dormait et ne criais plus. Marine décida de l'allonger sur un coin le moin sale de sa cellule et la laissa dormir. Elle étais vraiment honteuse de son comportement et Brimstone ne pus s'empècher de fantasmer un peu une boule se formant à l'entrejambe.

« Je suis désolée. Je n’aurai pas due mais elle m’a vraiment beaucoup énervée. Néanmoins je n’aurai pas du. Ben je suis quitte pour m’occuper d’elle une nouvelle fois. Je lui demanderai de m’excuser quand elle se réveillera et elle se fera une joie de m’envoyer sur les roses et de me traiter de tous les noms. » Dit elle en regardant Perona et se retournant pour regarder la machine.

Brimstone gené se tourna pour ne pas qu'elle vois son état mais un peu tard. Marine avais vite vue que le Régulateur était une machine sexuée.

« A votre avis, vos compagnon sont loin de nous ? » Demanda Marine par réflexe.

" Environ 50 minutes peu être un peu moin. Perona nous à quand même été utile en laissant des traces avant que nous tombions sur elle. Cella va nous permetre de nous retrouver. " Répondit la machine qui s'asseya pour cacher sa gène.

Marine hocha la tête à la réponse du régulateur. Un peu moins d’une heure et ils sortiraient de cet enfer. Il n’y avait plus qu’à attendre et à prendre son mal en patience.

Elle regarda Brimstone s’asseoir. Ce dernier semblait… gêné. La jeune femme avait remarqué la bosse au niveau de son pantalon. Elle avait rougie. Elle ne pensait pas que l’homme machine puisse être munit de ce genre d’  « outil ». Elle était un peu déstabilisée.

A son tour, elle s’assit. Curieusement, elle s’installa juste en face du régulateur.

« On fait quoi en attendant leur arrivé ? »

Marine se sentait un peu inutile et l’inaction lui pesait. Elle savait gérer son stress mais cela n’empêchait pas la lassitude.

« Si vous avez une idée, je suis preneuse. J’ai horreur de rester à rien faire et vous ? »

Brimstone vis la fille rougir et il en fut quelque peu déstabilisé.

« On fait quoi en attendant leur arrivé ? Si vous avez une idée, je suis preneuse. J’ai horreur de rester à rien faire et vous ? » Demanda t'elle en s'asseyant face à lui.

" Heu ! aucune idée pour tout vous avouer je suis un peu gener. Comme vous avez remarquer je suis pourvus d'organes sexué et une jolie combatante comme vous est parfaitement mon genre. Cela peu vous paraitre un peu bizare provenant d'une machine mais je suis à la recherche perpétuelle d'exploration de la vie biologique et de la notion du plaisir et c'est justement cette notion de plaisir rechercher que j'ai décider de quitter l'endroit ou j'ai été créer. J'appele cela le bug." Dit le régulateur en se tatonant la tête et poussant un soupir.

" Maheureusement j'ai eu peu de plaisir, voyez vous j'ai plutôt tendance à faire peur. Je me limite alors au sensation forte et à mon travail de mercenaire. Vous voyez ce que je veut dire ?" Demanda la machine.

Aux premières paroles du régulateur, Marine avait l’impression d’être la femme de Loth transformée en statue de sel. Elle n’aurait jamais pensé que l’homme d’acier puisse la trouver attirante et encore moins qu’il puisse rechercher un plaisir quelconque.

En même temps, bien qu’il soit fait en partie de métal, il avait des sensations et une sorte d’âme humaine. Alors pourquoi ne chercherait-il pas du plaisir ? Les êtres humains le font bien.

« Malheureusement j'ai eu peu de plaisir, voyez vous j'ai plutôt tendance à faire peur. Je me limite alors aux sensations fortes et à mon travail de mercenaire. Vous voyez ce que je veux dire ? »

Elle hocha à nouveau la tête.

« Oui, je comprend. Moi, je n’ai vécu que pour et par le combat. En fait, je ne connais pas grand-chose d’autre. Quelque part, je vous envie. Au moins, vous avez eu un peu de plaisir dans votre vie, ce n’est pas mon cas »

Elle sourit tristement. Il avait une autre chance. Il n’était pas seul, ils étaient plusieurs comme lui. Tous et un seul en même temps.
 
Elle le regarda à nouveau.

« C’est dommage que les gens puissent avoir peur de vous. Vous êtes un homme bien »

Elle avait volontairement choisie le terme « homme ». Marine ne le percevait pas vraiment comme une machine plutôt comme un homme recouvert de métal.

Si Brimstone n'étais pas aussi inexpressif il aurais certanement sourit à ce compliment qu'ont le traite plus en humain que comme une chose aussi il allas un peu plus loin dans ses confidences.

" Ce qui est marrant c'est que lorsque Perona est tomber sur mes double elle as crus que c'étais une personne différente. Voyez vous afin de m'échapper j'ai du par précaution faire des double de mon cerveau et concevoir un gigantèsque réseau. Tout ce que ce corps là ressent les autre corps le ressent aussi bien qu'ils peuvent bloquer ses ressentiment pour le bien de leur mission. En fait je ne suis qu'un pur esprit de ruche comme le serais les fourmis et les abeille. Si ce corps vennais à mourir ou être détruit ce ne serais pas grave étant donner que mes autres corps gardent les informations ou les sensations donner par celuis ci. C'est en quelque sorte une forme d'immortalité. " Dit il.

Il resta quelque peu silencieux et réfléchit. Il ne pouvais pas demander cela en fait cette demande était quelque peu maladroite du fait que ça programation n'étais pas destiné à faire du charme mais toutefois il se risqua toujours à demander.

" Pardonnez moi si je vous choque mais cela vous dirais que je puisse vous prendre pour un acte sexuel ? " Demanda t'il le plus poliment possible.

La combattante écouta les explications de Brimstone. Ainsi, il fonctionnait avec ses semblables comme une ruche. La mort de l’un ne compromettait pas la survie de la colonie. Oui, c’était une forme d’immortalité. Dès l’instant où l’esprit et l’âme survivent, on pouvait parler d’immortalité. C’était une conception intéressante.

« Pardonnez moi si je vous choque mais cela vous dirais que je puisse vous prendre pour un acte sexuel ? »

Heureusement que Marine était assise sinon elle serait tombée par terre. Il lui demandait d’avoir un rapport avec elle. Quoi de plus normal ! Une demande de ce genre alors qu’ils se trouvaient dans une situation des plus précaires. C’était inattendu.

Étonnamment, si la jeune femme était surprise par la proposition, elle ne l’a considérait pas comme impossible. En y réfléchissant, elle n’avait jamais été vraiment consentante dans ses rapports précédents avec d’autres hommes. Aucuns hommes ne lui avaient ouvertement posé la question. Elle observa le régulateur toujours aussi inexpressif. C’était étrange, cet être lui semblait infiniment plus humain que tous ceux qu’elle avait côtoyés auparavant.

« D’habitude, les hommes ne demandent pas vraiment. En tout cas, ceux que j’ai… côtoyé »

Elle jeta un regard à Perona toujours évanouie avant de regarder dans les yeux rouges du régulateur.

« Vous… vous voulez faire ça ici et maintenant ? »

Elle jeta un coup d’œil aux alentours de la cellule. Les gardes ne se trouvaient pas vraiment près de la cellule. Ils avaient dus s’éloigner pour échapper aux cris perçants de la princesse.

« D’accord mais à une condition, ne me faites… pas mal »

Ses joues étaient cramoisies mais elle avait envie, et c’était bien la première fois, d’être avec quelqu’un.