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Quand la Nature appelle | pv Erelim

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Maeilera

Créature

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  • FicheChalant

    Description
    Reine des Licornes - venue tout droit de Faërie - Maeilera a échappé à la Reine de l'Hiver et tente de se reconstruire - avevc sa harde.

Quand la Nature appelle | pv Erelim

mardi 09 décembre 2025, 17:46:53

Depuis son arrivée sur terre, Maeleria avait perdu pas mal de choses : son territoire, des membres de sa harde, sa capacité à offrir sans penser et sa tolérance des autres races. Et, avait également oublié certaines choses, plus ou moins importantes. Et, il se trouvait que cette chose qu’elle avait oublié lui tombait sur la tête comme un œuf de dodo sur le crane d’un canard : étonnement et sans prévenir.

Dans le grand ordre des choses, chaque chose à sa place et chaque place possède un but. Malheureusement pour Maeleria, il se trouve qu’elle avait la place d’une femelle mammifère - même si magique - et que cela lui demandait une forme de reproduction dans le “grand ordre des choses”.

Les chaleurs des licornes ne sont pas matière à rigoler - d’aucuns pourraient penser qu’en tant que créature de pureté, les femelles licornes se montraient douces et affectueuses durant l’acte. Mais rien n’était plus loin de la vérité - si en règle générale les licornes se montraient plutôt sympathiques, lors des chaleurs elles devenaient dominantes, fortes et exigeantes. Les juments magiques cherchaient des reproducteurs puissants, capables de produire des petits survivant à la grande magie qui les habitait et leur faisant honneur.
Le mâle recherché devait être puissant, fort et de préférence agressif durant la période de rute - ils se battraient entre eux, entrechoquant leurs cornes et se mordant avec toute la hargne habituellement réservée aux prédateurs. Quand le vainqueur se dirigerait vers la femelle, ils se battraient à leur tour et il lui faudrait vaincre la tentatrice s’il voulait pouvoir devenir père.

Bref. Tout ça pour dire que les licornes sont théoriquement « pures » et « gentilles » - mais que durant les chaleurs et les ruts, elles deviennent mauvaises. Et, là, non seulement Maeleria se retrouvait dans une situation de « besoin », mais il n’y avait pas un seul mâle à la ronde capable de la satisfaire - ce n’était pas comme si elle allait tenter de séduire les pauvres traumatisés de sa harde ; la plupart étaient encore considérés comme des jeunes. 

Assise sur un banc, dans un parc, son corps couvert d’un fin linge bleuté - une couleur qu’elle portrait souvent - la licorne inspirait profondément pour se tenter de se calmer. Elle ne devait pas foncer sur la première bite venue et surtout ne pas tenter d’enfoncer le crâne d’un mâle juste pour prouver sa force - cela semblait réellement malvenu dans ce nouvel environnement. Se redressant lentement du banc en bois, son corps se dépliant comme un vieux livre craquant, elle fit une grimace - la magie en elle ruait comme un étalon prêt à galoper et si elle ne la laissait pas sortir, elle allait certainement exploser … et pas de plaisir.

Haaa …” entre le gémissement et le soupir, le son qui sortait de sa gorge était entrecoupé de grondements qui n’avaient rien à faire dans la bouche d’un herbivore. Malheureusement pour qui s’y tromperait, la licorne n’avait jamais été de ceux qui mangent de l’herbe…

Dans un sursaut, elle put sentir son corps craquer, assailli de magie, et se transformer. Bientôt, ce n’était plus une humanoïde, mais une centauroide qui se trouvait à sa place. Baissant les yeux, une autre grimace déforma ses traits alors qu’elle croisait ses bras sous sa poitrine, la tenue qui la couvrait s’était déchirée sur le bas sous la transformation.

Levant les yeux, la centaure regarda autour d’elle avant de s’enfoncer dans les bois entourant le parc. Elle ne pouvait pas rester là, elle allait faire une bêtise.

Elle allait trouver un endroit isolé et tenter de surfer sur ses envies comme d’autres le faisaient sur des vagues déchainées. Les chaleurs étaient aussi violentes qu’elles étaient brèves et le lendemain, elle pourrait reprendre sa vie normalement.

Alors qu’elle entrait dans une clairière - un étrange cercle servant de puit à la lumière et uniquement habillé d’un grand rocher ressemblant presque à une table - elle regarda autour d’elle avant de se laisser tomber au sol en frissonnant et grondant entre ses dents.

Il n’y avait qu’à espérer que cela passerait vite - et qu’aucun pauvre mâle esseulé n’allait passer par ici. Elle n’était vraiment pas sûr de pouvoir se retenir, car elle pouvait déjà sentir la brume de l’Envie immiscer ses mains vicieuses dans son esprit.

Mais comme on dit, un malheur ne vient jamais seul. Car alors qu’elle se retenait de toutes ses forces, elle entendit un bruit venir des bois sur sa gauche. Tournant lentement la tête - grinçante presque - elle figea ses yeux bleus sur l’origine du bruit.

Il s’agissait de …


Erelim

Créature

Re : Quand la Nature appelle | pv Erelim

Réponse 1 mardi 09 décembre 2025, 18:46:58

La Terre était un endroit où il était difficile de vivre lorsque l’on était un monstre de deux mètres cinquante comme Erelim mais il aimait cet endroit qui lui offrait des femelles de qualité, l’immense ville de Seikusu était un endroit parfait pour trouver de quoi satisfaire sa malédiction même si cela faisait bien longtemps qu’il ne pensait plus à elle, il agissait par pur instinct. Mais contrairement à Terra où diverses races cohabitent, sur Terre où la grande majorité des habitants sont des humains ne croyant pas au monstre, il devait se cacher. Il aurait évidemment pu faire un massacre et imposer sa présence et il l’avait déjà fait le jour où il s’était introduit dans un lycée pour fille, il avait si bien manger ce jour là il s’en souvenait encore malgré son esprit de plus en plus embrumé.

L’ancien chevalier de dieu était désormais un monstre qui survivait en s’offrant des femmes et il n’y avait rien ni personne pouvant l’arrêter, il y avait bien eu des chasseurs mais même les balles perforantes ne faisaient que chatouiller son de bête, même le feu n’avait pas eu raison de lui. La magie avait fait de lui une créature invincible pour le commun des mortels mais pour survivre, les succubes l’avaient maudit en l’obligeant à s’accoupler, lui l’ancien homme de dieu chaste qui n’avaient jamais connu de femme avant que ces démones détruisent une vie dont il n’avait absolument plus aucun souvenir.

Le colosse n’avait qu’assez peu d’endroit pour se cacher lors de la journée, préférant chasser la nuit là où les proies sont plus faciles à attraper, les bois étaient le seul endroit relativement calme même si parfois il s’approchait un peu trop du parc qui en bordait l’entrée. Si c’était pour vivre dans les bois et sortir chasser la nuit tombée, il aurait mieux fait de rester sur Terra mais Seikusu était bien plus dense et l’environnement plein de vice donnait un bien meilleur gout aux pauvres femmes qui devenaient ses victimes, c’étaient rares mais il y en avait certaines qui s’offraient au monstre de plein gré, avide d’expérience extrême, ces folles étaient un véritable délice.

Ce jour là il était donc dans les bois comme à son habitude lorsque son flair détecta qu’une femelle avait pénétrer son territoire, il n’en fallait pas plus pour réveiller la créature. L’odeur était puissante, cela trahissait de sa condition de femelle en chaleur mais ce n’était pas la senteur d’une humaine, cela n’était pas pour déranger le monstre qui s’était directement diriger vers sa proie directement. Son pas lourd et rapide faisait craquer le sol sur lequel il marchait, il ne lui avait pas fallu longtemps pour la trouver, une femme cheval nue se trouvait sur son territoire. Il s’approcha en la regardant, la gueule salivante déjà :

« Femelle ! »

Sa maitrise limitée de la parole ne cachait pas ce qui lui passait en tête à ce moment alors que sa gueule s’ouvrait sur des crocs immenses tout en dégoulinant de salive. Il n’était clairement pas amical envers le centaure :

« Toi, moi ! »

Alors qu’il ouvrait ses mains aux griffes acérées, il était difficile de savoir si c’était une déclaration de combat ou une menace en cas de refus de se soumettre à lui ou un ordre d’un tout autre genre.


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