[ J'ai du complètement oublier le lieu, mais bon c'est pas grave x) ]
Une chose était sur, l'atmosphère était vraiment pesante, Heine ne savait que dire en la présence de la jeune terranide. Il voyait la queue de Shad se balançait de droite à gauche. Elle aussi était nerveuse ? Cela réconforter légèrement Heine, qui pensait être le seul dans ce cas ici. Il poussa un soupir, c'est vrai qu'il fallait trouver un endroit quelconque où s'assoir, mais cette endroit était vide, vide de banc, même pas un mur où s'appuyer. Peut être que personne ne venait là ? Et donc, logiquement, l'installation de banc n'était nullement nécessaire. Il ne répondit pas à la phrase de Shad, ne sachant que répondre et surtout dans l'impossibilité de le faire. C'était la première fois qu'une telle chose arrivée, lui, rester comme ça sans rien dire devant quelqu'un... Bref, il la vit passer à cotés de lui, il sentit la queue de la jeune terranide frôler le poignet de Heine, bizarrement la sensation du frôlement entre la queue et la main était plutôt agréable et machinalement il avait caressé la queue en retournant sa main, doucement le temps qu'elle passe a cotés de lui.
Il la vit s'assoir en tailleur, disant que c'était plus confortable et mieux que rester debout. Heine ne dit rien, fermant les yeux et soupirant. Il alla s'assoir à cotés de la jeune terranide, une jambe tendu et l'autre plié tout en regardant au loin d'un air vide. Il était vrai que si il voulait, il aurait pu tourner les talons puis marchait lentement en dehors de cette forêt, mais l'envie n'était pas présente de déjà quitter la jeune femme, il voulait rester mais n'en savait pas la raison. Cette sensation était nouvelle, il ne l'avait jamais eu avant ce moment précis. Il tourna la tête, regardant Shad qui avait la tête en arrière, regardant le ciel en souriant, ses oreilles bougeant au grès du vent, comme cela Heine la trouver belle, tout cela la mettait vraiment en valeur. La main de Heine alla frôler celle de la jeune femme, avant de la prendre, glissant ces doigts entre les siens doucement, sans vraiment s'en rendre compte, toujours en la regardant.
La pression commençait doucement à tomber, enfin pour Heine. Son coeur commençait doucement à battre plus vite, surement car il tien la main de la jeune femme. Il se sentait bien comme cela et serait rester des heures à la regarder. Ce n'était pas vraiment dans sa nature, et il était le premier à s'en étonner. Lui qui rester toujours seul dans son coin, lui qui ne parlait à personne et fessait seulement ce que ses patrons lui disaient, le voilà à admirer quelqu'un sous le clair de lune pendant une nuit fraiche. S'en vraiment s'en rendre compte, un sourire se dessina sur son visage, chose rare aussi, lui qui n'avait pas l'habitude de sourire.