Un rugissement de triomphe s'échappa des lèvres de Grayle lorsque son ancienne tueuse, les yeux révulsés, lui confiait avec une voix éclatée et aiguë qu'elle voulais qu'il continue de la violer. L'esprit de l'humain, rendu arrogant et désinhibé par les drogues, devint encore plus malicieux et pervers, convaincu de sa supériorité et de la justesse du viol qu'il lui avait infligé : après tout, elle en voulait plus et encore ! Grisé par la satisfaction d'avoir brisé une femme par la seule force de sa bite, il tira encore plus sur les bras de la belle tout en pilonnant sa chatte qui cette fois l’accueillait sans poser la moindre difficulté. Tirée en arrière, Sarya se retrouva entièrement plaquée contre le corps puissant de l'humain, dont les mains lâchèrent ses bras pour saisir ses seins qui rebondissaient à chaque impulsion.
- Qu'est-ce que t'es bonne Sarya ? O-On te l'a déjà dit ? Ha... ha... quelle question conne... je suis sûr que toute ta tribu de l'a dit ! rugit-il alors qu'il pétrissait ses seins en rythme avec ses coups de boutoir. La pauvre terranide était harcelée de partout, et commençait même à couiner sans arrêt lorsqu'une main baladeuse de l'homme vint caresser sa chatte écartelée et juteuse, harcelant son clitoris gonflé. Grayle avait senti qu'elle se contractait lorsqu'il l'insultait, un vrai fourreau brûlant et compressant sa verge gonflée à bloc sur laquelle elle rebondissait.
Une vraie masochiste dont il comptait bien profiter, et abuser...
- T'es le vide-couille des tiens, pas vrai ? Pour ça que t'es tout le temps à poil je suis sûr...
- Oui! Louve rêve de se faire baiser par toi et par tous les siens qui ne l'ont jamais prise comme toi tu fais !
- Mais quelle traînée ! ne peut-il s'empêcher de s'exclamer, la sentant gémir à cette insulte. La pauvre parvenait à peine à garder le fil de ses mots constants, alors qu'il la martelait encore et encore, sentant une douleur brûlante, désormais familière, s'embraser en lui. Il pinça son mamelon avant de tirer sur son sein.
- Alors, à partir de maintenant, tu sera le mien ! Crie le ! Haut et fort !
Il n'eut même pas besoin de lui demander : elle se mit à hurler à plein poumons.
- Hoooo oui! Louve est le vide-couille du beau gros mâle qui la viole !
- Bien ! C'est là qu'est ta place... et tu sais quoi ? gronda-t-il en serrant la mâchoire, se sentant au borde l'explosion. T'es le meilleur vide-couille que j'ai jamais eu le plaisir de baiser ! Son rythme cardiaque s’accéléra, alors que sa verge continuait de s'enfoncer en elle, envoyant jaillir des gouttes de semence et de cyprine sur ses cuisses et le sol à chaque allez-retour. Saisissant son clitoris entre deux doigt, il se cambra vers le ciel, avant de jouir, une troisième fois.
- Prend tout !
Il l'entendit gémir, couiner, crier, et hurler, alors qu'à son tour, Sarya se mettait à jouir avec une violence inouïe, ses entrailles repoussant le sexe de Grayle avant de l'aspirer encore et encore. Ils retombèrent sur le sol après de longues secondes, le souffle court. Sorti de sa chatte béante de laquelle coulait une rivière de semence, le sexe de Grayle tremblait, continuant d'expulser quelques jets qui s'écrasaient sur le bas-ventre de la shaman.
Ils restèrent ainsi pendant une longue minute. Puis, Grayle la repoussa sur le sol, se relevant avec hésitation.
- J'en ai encore envie...
En effet, malgré les trois orgasmes, son sexe ne semblait pas faiblir. Pire, il en redemandait, toujours aussi large et violacé. Lees grands yeux de Sarya avaient pris une teinte rosie, la magie rose circulant par le sperme de Grayle et s'infiltrant en elle. Se tenant debout, il savoura cette vision de la shaman vaincue, allongée sur le sol, du foutre -son foutre- coulant de son intimité violée.
- Bonne chienne.
Il se pencha sur elle, saisissant ses doux cheveux, avant de la forcer à se relever, ou au moins à se mettre à genoux devant lui. Il lui présenta sa verge, complètement souillée et dégoulinante face à elle. L'odorat de la terranide pouvait sentir, de plein fouet, l'odeur puissante et virile du mandrin, mais aussi celles de leurs fluides entremêlés, et contempler l'objet de sa défaite en gros plan.
- Pompe moi, Sarya. Si tu me satisfait, je te laisserais choisir la prochaine position. Allez, vas-y. Montre moi ce que tu sais faire. Si tu me déçois, tu n'aura plus jamais le droit à cette bite. A la place, j'irais baiser celles de ta tribu. Je suis sûr qu'elles sauront l'apprécier.
C'était bien sûr un mensonge. Il était absolument incapable de résister à Sarya. Tout son corps et son esprit était focalisé sur une seule chose : se reproduire avec elle.
Avec un mouvement sec, il plaqua son sexe contre son visage. Ses lourdes testicules déjà pleines frottaient contre son menton, tandis que son gland se perdait dans ses cheveux, le vit turgescent et surdimensionné se reposant le long de son museau et entre ses yeux.
- Allez, au travail !