Vous voulez mon identité quand j'étaie humaine, soit si vous voulez l'entendre alors écoutez bien car je ne répète jamais deux fois une chose.
Je m'appelais Mathilde Tabetaï, j'avais pleins de surnoms comme l'allumeuse ou encore la pute, mais je n'y faisait guère attention. Maintenant c'est la Faucheuse, la Dame Noire ou encore l'ange de la mort.
Quand j'ai rendu mon dernier souffle j'avais 16 ans, un âge bien trop petit pour souffler la flamme de la vie, depuis il c'est écoulé une semaine.
Je suis ... j'ai été ... je suis une femme, une simple humaine, j'ai croisée des démons mais je suis toujours restée une humaine sans pouvoir quelconque, maintenant je suis un esprit de la mort ou un shinigami comme les japonais aiment le dire et je porte les deux sexes sur moi.
De ma vie d'humaine j'ai toujours eut un penchant pour les femmes, maintenant je n'en ai que faire, car rare sont les occasions qui se sont présentées.
Mon physique a bien changée depuis que je suis devenue une servante de la Mort, ma poitrine qui était un de mes atouts c'est retrouvée diminuée, mes muscles ont fondu et j'ai gagné en souplesse, j'ai beaucoup plus de sensibilité au niveau des sens du touchée et du goût. J'ai perdu ma voix, ma vue et mon odorat, la Mort jugeait que cela n'était pas nécessaire.
J'ai conservée ma dextérité et mon sens de l'équilibre, mes cheveux rougeoyante se sont vue changé en cheveux marron, mais si l'on regarde de plus près on peut voir que j'ai aussi des cheveux noire, le tout vole au moindre vent. De mes magnifique yeux d'ébène je n'ai plus que des yeux mort dont la cornée du fait d'être devenue opaque donne une teinte argenté.
Ma psychologie en a pâtit, mais il faut dire que je l'ai bien méritée, avant j'étaie égoïste, je ne pensait qu'à blesser les autres, enfoncer mon doigt dans les détails qui font souffrir. Suite à ma mort et encore maintenant j'ai peur de retomber sur des gens qui me feront souffrir, je suis craintive, mais de ma mort j'ai acquis une chose précieuse, l'instinct de conservation. Mais de ce nouvelle apparence est née aussi la haine à l'état pur et le désespoir. Aussi je me montre froide, sans sentiment qui ressort sauf un sadisme qui m'était inconnue de mon vivant. Je me montre cruelle et le pire c'est que j'adore entendre les pleures des autres, ainsi que la chaleur de leurs sang sur mon corps.
Je vais vous racontez comment j'en suis arrivée à ce point là. J'enfonçais encore les professeurs et les élèves, comme j'étaie intelligente je pouvais me permettre de recevoir des heures de colles, que je ratais. Puis un jours ... non ce n'est pas un jours, c'est le jours où le premier flocon de neige tomba, j'eus une drôle de lettre me demandant de me rendre derrière le gymnase. Par défis j'y alla, mais toute la classe me tomba dessus, me ligotant, nu, sur la neige froide.
La suite me donne encore des frissons, il faut dire que je les avaient tous plus ou moins mit à bout et l'opportunité de me rendre la pareil était trop tentante, surtout quand les cours son banalisés. Quoi qu'il en soit ils me firent passer une très longue séance de torture physique et morale, mais voilà, cela leurs faisaient tellement de bien de me voir me tortiller de douleur qu'ils ne purent s'arrêter.
On retrouva ma dépouille cinq heures plus tard, je n'était pas morte, mais mon état ne m'accordait aucune chance de survivre, ma peau avait été dépecée, comme on le fait pour un animal. Ils avaient aussi ouvert mon ventre et sortie tous ce qui ne me tuerait pas instantanément, réduisant ces dernier en charpies et en bouillie indescriptible. Je ne sait d'ailleurs pas pourquoi j'ai tenue aussi longtemps, sans doute à cause de la lumière bleu qui m'avait entourée pendant ces cinq longue, très longue, heures de supplice. Mes jambes et mes bras ont été sectionnés avec un scie et mit dans une broyeuse, c'est dire la haine qu'ils me portaient.
Je donna mon dernier souffle au moment où les policiers voulurent bouger mon corps, enfin ce qu'il en restait, au final personne, même pas ma mère, ne demanda la dépouille, elle avait depuis toujours eut une sainte horreur de a personne, me battant matin et soir. Un prêtre voulut bien recueillir ma dépouille et l'enterrer dans le jardin près du lycée. Je restait assis sur le tas de terre, étant devenue un fantôme, je put voir dix fois mon corps déterré par des lycéen pour s'amuser à le détruire davantage pour être jeté comme un vulgaire déchets dans le trou et se faire recouvrir vite fait.
C'est là que ma colère prit le pas et je me mit à concentrer ma haine pour faire des dégâts dans le lycée, augmentant davantage ma haine et c'est là que la Mort apparut et me proposa une solution, je devenais une servante, une shinigami, m'offrant une nouvelle vie, mais en échange je devait apprendre à calmer mes pulsions meurtrières. J'eus donc un nouveau corps similaire mais avec de grande différence, pour éviter que je ne tue les personnes qui m'ont tués, mais j'appris très vite à me fier à mes deux sens, j'acquis une vision similaire à ceux des serpent et un toucher qui me permet de savoir énormément de chose.
Je fugue du territoire des shinigamis et me perdit sur la Terre, le hasard voulut que je me retrouve dans la ville où je suis morte. Kyoto.
Situation de départ : Vierge, son ancien corps ayant été violé, connait et est effrayée par le bondage et autres torture physique.
Autre : Porte toujours une énorme faux sur son dos et peut le dissimuler à la vue des autres, ainsi que le couteau qui lui avait entaillé le corps de son vivant.