Fêter dignement une victoire [Pv]

La victoire avait couté cher et Soliès le savait bien. Mais après une telle bataille, il faisait bon de vivre, c’était d’une certaine manière particulièrement satisfaisant qu’il sentait l’air entrer dans ses poumons, faisant presque mal tant c’était bon. Son rire, grave, sonore, était sans doute la cause de certaines de ses douleurs… promis, quand il serait passé sous la tente des rebouteux et qu’il serait remis, il irait fêter cela. Et rien de mieux que la ripaille pour cela. Grand paillard devant l’Eternel Ardant, il ne connaissait pas meilleur moyen que cela pour savourer le fait que c’était son ennemi, et un ennemi valeureux, qui brulait au milieu des siens… et il n’y avait qu’un seul endroit où l’on pouvait faire la fête dignement.

*
*    *

La porte était toujours aussi petite et le géant du se baisser pour passer l’entrée du Nyora’s Club. Oh, bien sûr, quand vous pensiez « géant » vous envisagez peut-être une dizaine de mètres de haut, bien sûr, mais ce n’était pas le cas. Les tribus de géant d’où venait Soliès, la taille moyenne avoisinait les trois mètres. Et les plus grands peinaient à dépasser cette moyenne de plus d’une tête. Lui, il en était à et donc était réduit à passer la porte en s’inclinant ; pour être déjà venu, il savait parfaitement que les nyoras auraient parfaitement à sa taille, une salle, à sa disposition. Elles étaient douées ces minettes. Elles avaient toujours ce qu’il fallait.
Pour faire la fête, le géant n’était pas venu seul, bien sûr. L’aurait-il voulu qu’il n’aurait pas pu. Question de sécurité. Il était accompagné de deux compagnons de beuverie – il n’y avait pas d’autres mots. Il s’agissait de plantins, de mecs qui devraient normalement rester dehors mais bon… pourquoi ne pas les emmener eux aussi. C’étaient deux géants,dans la moyenne par rapport à lui, mais qu’importait….
Toujours un peu courbé, à l’intérieur, il s’adressa à la jeune femme qui faisait office d’hôtesse d’accueil.

« Salut beauté… y a un peu de place pour moi et mes deux amis ? »

Et sans même attendre une réponse de sa part, il rajouta.

« Et mets deux filles avec nous, qu’on se détende bien… on a quelque chose à fêter, alors je compte boire manger et lutiner à foison ! »

Il rit, de manière sonore. Il imaginait peut-être un peu l’inquiétude d’être petites avec un géant….

(PoV : Nea et Jun)

La journée avait bien commencé pour les nyoras. Une matinée tranquille et sans personne pour les importuner au club, une après-midi avec quelques clients de passage qui ont eu la gentillesse de dépenser une fortune en alcool et en nourriture… et le tout sans se taper les uns sur les autres ! En bref, des clients idéaux.

Mais c’est lorsque le soleil commence à baisser dans le ciel que la journée commence réellement au club. Les quelques travailleurs viennent prendre leur verre habituel, voir plus, et tandis que les premiers clients s’installent trois imposants gaillards passent la porte avec une certaine difficulté. Heureusement, certaines salles sont plus adaptées à leurs tailles et bientôt l’entrée le sera aussi ! Le temps que le charpentier vienne quoi…

Le chef du trio étant déjà venu, c’est sans surprise qu’il se dirige vers  Aya pour demander s’ils pouvaient se poser. Elle hoche la tête en souriant, indiquant une pièce bien plus spacieuse où ils pourraient s’installer confortablement. Après tout entre les géants et certains terranides particulièrement massifs il y a eu des aménagements au club ! Et puisqu’il leur faut deux filles…

Aya va voir du côté du vestiaire tandis que les géants vont s’installer, cherchant du regard Ada… mais elle n’est pas là ! Mais ce n’est pas bien grave, car outre les quelques employées humaines présentes deux autres nyoras sont déjà arrivées. Aya leur fait signe et leur explique la situation, et elle pourrait jurer voir des étoiles dans les yeux des deux filles.

« Des géants ? Oh, Ada les garde toujours pour elle… on va enfin savoir si la taille est proportionnelle tiens ! »

«  Génial ! T’as pas intérêt de tout garder pour toi Nea ! »

Jun tire la langue, indiquant clairement qu’elle a envie d’en profiter autant que son amie. Rapidement, le duo rejoint la salle où se trouvent les géants : Nea entre en première avec quelques bouteilles à la main et vêtue d’une robe blanche à la fois élégante et sexy, ce qui est sans doute aidé par le fait qu’elle ne porte rien dessous, tandis que Jun porte un ensemble de lingerie noir la couvrant assez pour ne pas être vulgaire, mais pas trop pour ne rien gâcher de la vue. Elle dépose sur la table un grand plat avec de la viande et divers fruits et légumes pour accompagner les boissons.

« Bonsoir messieurs ! »

Nea ouvre une première bouteille en les saluant, tandis que Jun leur fait un coucou de la main avant de venir se glisser entre deux d’entre eux. Elle semble clairement plus admirative et excitée qu’autre chose, et tandis que sa sœur remplit les verres elle amorce la discussion :

« Ce n’est pas tous les jours qu’on a la chance de voir des géants comme vous ! Vous êtes super impressionnants ! »

Voilà, comme ça les conditions étaient claires. Nous étions trois, ils allaient boire à foison, manger à s’en faire péter la sous ventrière, et sans doute profiter de deux jolies nymphes qui se plieraient en quatre pour s’offrir le plaisir de jouer avec eux malgré la différence de taille et peut être une petite crainte, une légère appréhension quant à la taille du machin. Mais bon, c’était sans grande importance. La femme de l’acceuil leur proposa une salle  et du coup, forcément, le trio s’y rendit pour s’installer. Pour la compagnie, elle leur fit savoir qu’elle allait faire en sorte de trouver deux perles pour eux… tout était donc parfait !

Ils n’eurent pas beaucoup à attendre et bien veite, deux femmes joliment vêtues. L’une d’un drapé blanc élégant mais laissant beaucoup – presque tropp – deviner, et l’autre de sous-vêtements presque vulgaires mais pas à ce point. Vague diriez-vous ? Og pour ce qu’elles allaient encore les porter, selon Soliès. C’était sans grande importance.

« Bonsoir les filles… »

Bien sur, inutile de répondre par un bonsoeir Charlie. Elle déposèrent de la nourrture à foion – ça mangeait pas mal, les géants après tout, tout comme ça buvat beaucoup – et la plus plantureuse des deux commença directement à ouvrir une bouteille d’un alcool. L’autre était déjà au contact, entre les deux compères de Soliès, un peu plus petits que lui, des étoiles dans les yeux.

« Ah oui ? C’est vrai que d’habitude, quand nous venons, c’est plutôt Ada qui nous reçoit… »

Le géant  glissa sa grosse paluche dans le dos de la petite brune.
L’autre surenchérit alors, en posant directement sa main sur les fesses de la petite Nyora..

« A croire qu’elle en avait l’exclusivité… »

Soliès ricana et profita alors pour être le premier servi et remercia Nea d’un signe de tête. Le verre faisait petit mais bon, il en boirait plusieurs.

« Voilà Brontès et Stéropès. Moi c’est Soliès. Et vous, c’est quoi vos petits noms mes chéries ? »

Etant des habitués, les deux nyoras ne sont aucunement surprises de voir le trio déjà installé lorsqu’elles arrivent avec tout ce qu’il faut pour passer une bonne soirée : des bouteilles, de la nourriture à foison, et bien entendu elles-mêmes !

Rapidement, chacune commence à s’occuper des clients à sa façon. Nea débute en remplissant des verres de vin, donnant le premier au dénommé Soliès, tandis que Jun semble tâter le terrain… ou plutôt, se faire tâter par les deux autres géants dont les mains se font exploratrices.

« Moi c’est Jun, et elle Nea ! »

La plus petite des deux nyoras répond, enthousiaste et clairement pas dérangée par les mains baladeuses des deux géants l’encadrant. Au contraire, elle semble même se placer de sorte à leur faciliter la tâche alors que Nea termine de remplir les autres verres.

« Et voici messieurs ! »

Jun ayant choisit de s’installer entre les deux ‘petits’ géants, c’est tout naturellement que Nea se pose à côté du troisième et plus grand du trio. Elle se pose beaucoup de question sur la morphologie de leurs invités, Ada leur ayant déjà fait des sous-entendus sans jamais vraiment lâcher de vrais infos…

« Ada n’est malheureusement pas là ce soir, mais nous allons nous assurer que vous passiez une très bonne soirée ! »

Jun hoche la tête aux paroles de Nea, tout aussi confiante d’elle. Ce qu’Ada fait, elles savent le faire aussi ! Et il n’y a pas de raison pour que ce soit toujours elle qui s’amuse avec les grands gaillards comme eux, si ?

« Vous devez avoir vos habitudes avec elle ? »

La question vient de Jun. Verre à la main, elle s’amuse à faire passer ses jambes de droite à gauche alors qu’à l’inverse Nea les as croisées et est pour le moment plus immobile. En voyant le sourire qu’elle a soudainement sur le visage, Nea devine que sa sœur ne va pas tarder à sortir une question bien plus tendancieuse dans les secondes qui viennent…

« Je suis sûre que vos mains sont tellement grandes que vous pouvez bien saisir ses gros seins avec, non ? »

Et voilà que la nyora commence son petit manège, cachée derrière un faux air d’innocence. Cela dit Nea dit bien admettre qu’avec de telles mains, sa poitrine devrait être bien mieux stimulée qu’à l’habitude…

Les deux créatures de charme étaient bien différentes l’une de l’autre. Nous avions la plus petite des deux, qui était clairement la plus joueuse, a priori, puisqu’elle était là, entre les deux géants, à se complaire dans les énormes mains qui passaient sur son corps. Elle n’était nullement intimidée et semblait se complaire à la situation… l’autre était plus distante, elle servait les boissons et se montrait plus réservée. Chacune avait ses charmes et cette deuxième, Nea donc, était plus grande, plus plantureuse. Elle avait le sein lourd, volumineux pour sa morphologie. Autant vous dire que cela plaisait particulièrement à Soliès.

« Enchanté mes chéries… »

C’était June, donc, qui avait pris le pas sur les deux. Chose amusante, il aurait parié sur l’inverse… mais bon, ce n’était pas très important. Les deux jeunes femmes s’assirent alors, June entre Brontès et Steropès, et Nea à côté de Soliès.

« Tout le monde est servie ? Vous aussi les filles ? »

Soliès attendit que les deux nyora soient servies avant de lever son verre.

« A la victoire ! Et à la prochaine belle bataille ! »

Les verres s’entrechoquèrent entre les géants, en espérant que les demoiselles auraient fait de même avec eux.

« C’est pas grave, vous avez l’air parfaites pour remplacer… mai oui, elle était toujours disponible pour nous recevoir… »

Il y eut un petit rire gras.
Les mains sur Jun avaient un peu cessé, le temps de boire un peu du verre, mais déjà, Brontès, plus petit que Stéropès, reprenait, avec sa main su sa cuisse, couvrant celle-ci entièrement…
Nea faisait plus neutre, presque froide. Il suffisait, pensa Soliès, de la dérider un peu… mais il ne fit rien, non par manque d’envie mais parce qu’il fut coiffé au poteau par la petite Jun. Il éclata de rire de bon cœur.

« Quelle généreuse petite tu fais, t’assurer que ton amie ne reste pas dans son coin… »

Soliès glissa un bras autour de la taille de Nea.

« Allez, viens par-là toi… on va vérifier… »

 Et sans avoir besoin d’y mettre beaucoup de force – elle était légère comme une plume – il la souleva pour l’amener sur ses genoux.

« Alors, voyons voir cela ! »

Il plongea une main dans son décolleté pour e extraire un obus et le prendre en main avant de glousser.

« Il fait petit, dans la pogne… »

Cela faisait bien rire Stéropès apparemment…
Mais Soliès, lui, commença à le masser. Un peu rudement ceci dit.

La soirée s’annonce très bien : à peine arrivées, les filles deviennent le centre de l’attention des trois très grands gaillards et Jun ne se gène pas pour venir se glisser entre deux d’entre eux pendant que Nea fait le service. Rapidement, tout le monde est à l’aise et avec un verre bien rempli… après tout la vaisselle n’est peut-être pas totalement adaptée à des géants, mais ça n’empêche pas les verres de pouvoir contenir une bonne quantité de vin !

« C’est bon pour nous aussi ! »

Enjouée, Jun attrape son verre en répondant tandis que Nea fait de même en la laissant prendre les devants. Après tout elle semble beaucoup s’amuser, alors pourquoi la priver de son plaisir ? Elles se joignent à eux pour trinquer, pas nécessairement au fait des batailles qu’ils livrent et assez neutres dans tout ce qui touche aux tensions diplomatiques entre les nations de ce monde. Après tout, elles n’en font pas réellement partis.

Elles boivent avec eux, Nea riant à la remarque sur Ada. Ça, disponible… elle l’imagine très bien ! Elle qui est une… comment le dit Yor déjà ? Ah oui, une ‘size queen’ ! Un terme tiré d’elle ne sait où, mais qui colle très bien à l’autre nyora.

Tandis que Jun s’amuse cette fois-ci à mettre Nea dans l’embarras – sans réellement le faire, après tout cette dernière est là pour une bonne raison – elle écarte légèrement les jambes en voyant l’un de ses deux voisins lui caresser la cuisse. Après tout s’il peut ne pas s’arrêter en si bon chemin…

De son côté, Nea pose de justesse son verre sur la table avant de terminer sur les genoux du plus grand des trois géants. De là où ils sont, les deux autres doivent apercevoir sa culotte – du moins ils la verraient si elle en portait une. Nea glisse une main sur le torse du géant, tandis que l’autre se pose sur sa cuisse.

« Je suis curieuse de voir ça moi aussi. »

Et sa curiosité est vite satisfaite, la main du géant venant attraper l’un de ses gros seins pour jouer avec. Elle a beau avoir une poitrine plus que généreuse, elle fait presque petite ! Mais par contre, elle doit bien admettre que c’est très plaisant d’avoir une si grande main dévouée à la peloter.

« C’est agréable cela dit… »

Elle sourit au géant, tandis que Jun s’amuse de la situation en réfléchissant à quoi demander ensuite. Elle a bien une idée, mais se demande si ce n’est pas trop tôt… elle regarde ses deux voisins, se demandant à quoi ils peuvent penser en voyant Nea se fait tripoter ainsi. Puis en regardant la main du géant posée sur sa cuisse, elle a une petite idée !

« C’est fou quand même, vos doigts sont vachement plus épais que les pénis des gens qui viennent ici habituellement… vous devez en faire des heureuses ! »

Est-ce que c’est osé ? Oui, sans doute. Est-ce que c’est moins pire que l’autre provocation qu’elle a en tête ? Oui, clairement ! Mais visiblement ça amuse Nea, qui caresse l’un des doigts de Soliès en le fixant du regard.

Ils trinquèrent tous les cinq et en profitèrent un peu. Comme si une fille en plus n’arait pas été de trop… mais non, deux suffiraient. Soliès avait Nea sur ses genoux, pelotant sa lourde et imposante poitrine. Certes, elle faisait minus sur les genoux du géant et s poitrine, sans faire menue, passait quand même pour standard dans les grosses paluches que lui massaient les seins… et elle ne semblait pas tellement s’en plaindre, vu comment elle se calait. Offrant une jolie vue à Brontès et Stéropès qui eurent une lueur d’amusement. Soliès n’eut pas besoin de mots pour comprendre, non ?

Parlons-en de Brontès et Stéropès, tiens. La petite June était bien avec eux, semblait-il, puisque l’un d’eux lui palpait le cuissot.
 Brontès éclata d’un rire gras et sonore en entendant la jolie Jun faire son commentaire…

« Tu veux un élément de comparaison, ma jolie ? »

Stéropès surenchérit.

« Comprends-la, la petite, d’habitude, c’est Ada qui joue, elle est peut-être trop étroite, celle-là… »

Ils s’esclaffent alors que Nea jouait avec le doigt de Soliès, doigt qui vint doucement glisser contre les lèvres de Nea, comme pour l’inviter à le suçoter…. Il faudrait qu’elle outre un peu grand bien sûr. Les géants étaient des individus épais, au propre comme au figuré, mais ce n’était pas déplaisant pour certaines. Là où d’autres, par contre dégustaient salement. Mais bon, celles qui dégustaient, généralement, elles dégustaient sans trop se plaindre. Elles n’avaient pas le choix.
Mais il y avait un côté provocant dans les propos du géant, vis-à-vis de Jun…
D’ailleurs une main avait remonté le long de l’intérieur de la cuisse.

« La garde pas que pour toi ! »

L’autre géant à côté de Jun avait commencé à la palper aussi. Il lui avait agrippé le sein, et c’était presque comme s’ils se disputaient un peu la nyora, à savoir sur quels genoux elle irait…
Soliès, lui, avait sa Nea sur les genoux et avait dénudé un sein pour le malaxer fermement pendant qu’il vidait son verre de l’autre main.

« Pas trop jalouse ? »

Sans surprise, les échanges deviennent très vite lubriques. Il faut dire que Jun a la fâcheuse tendance à être très directe, tout en faisant mine de poser des questions innocentes… c’est qu’elle sait se montrer joueuse, et n’hésite pas à le faire pour voir Nea se faire pelotée. C’est qu’elle aime toujours la voir se faire prendre, c’est quelque chose dont elle ne se lasse pas… pas plus que l’idée d’elle-même gérer les deux géants qui l’entourent !

Alors maintenant que leur chef, du moins elle le suppose, joue avec les gros seins de son amie elle en rajoute une couche en parlant de leurs doigts. Le trio saisit la perche, lui demandant si elle a besoin d’un élément de comparaison. Elle affiche un sourire espiègle, regardant les doigts posés sur sa cuisse…

« Non non pas besoin, je suis sûre de ce que j’avance… »

Mais pour ce qui est d’être trop étroite… les géants seront surement surpris de la voir s’adapter comme il faut le moment venu. Et en parlant de s’adapter, elle voit que Nea s’amuse bien en suçant le doigt de Soliès. C’est qu’elle en est presque jalouse à force, c’est elle qui se fait de plus en plus peloter grâce à ses efforts ! Enfin, efforts… elle devrait peut-être se montrer plus directe ?

« Ada vous prend à deux en même temps d’habitude ? »

Voilà, ça c’est direct ! Bon, peut-être un peu trop ? Jun et la subtilité ça fait deux, et tandis que Nea reboit une gorgée de vin pour accompagner leur chef qui a décidé de libérer l’un de ses seins du vêtement trop encombrant. Une première étape le bienvenu, qui lui permet de profiter de plus de sensation tandis que Jun commence à se faire peloter à son tour.

« Allons messieurs, ne vous disputez pas… Jun est une grande fille, elle peut se faire tripoter par deux personnes en même temps… et bien plus. »

Et toc, la revanche de Nea est prise ! Elle sourit et échange un regard complice avec Soliès. Jalouse, elle ? Pas du tout, bien au contraire. Jun a peut-être deux géants pour elle, mais Nea a le plus gros morceau après tout ! Cest une répartition tout ce qu’il y a de plus équitable. Et tandis qu’elle prend son temps avec Soliès, Jun elle se fait assaillir de mains baladeuses… difficile de savoir combien de temps sa tenue va tenir ainsi !

Les deux femmes étaient aux antipodes l’une de l’autre. Jun était volubile, loquace, joueuse, mais Nea était plus réservée. Cela ne l’empêchait pas d’être assez aventureuse, mais plus sur la réserve, dans le comportement. Ou alors, Soliès l’intimidait ? Voilà qui n’aurait pas été surprenant, il en aurait intimidé plus d’une. Mais si ça n’aurait pas surprenant, c’était foutrement peu réaliste. Soyons clairs :  ils étaient sur Terra, ici, et cela voulait dire que des créatures étonnantes, elles devaient en voir passer. Et ce n’étaient pas des mijaurées, mais plus des Marie-couche-toi-là.
Mais c’était une bonne chose. Des prudes auraient déçu. Ils étaient là pour la fête, alors bon !
Soliès se ravissait de sentir les lèvres de Nea sur son doigt, comme une sublime promesse pour la suite. Elle promettait silencieusement et sensuellement d’être douée de ses lèvres. Et d’ailleurs, la main se fit plus vigoureuse sur le sein nu, pressant et malaxant, pinçant le mamelon, et le tordant doucement. Il espérait peut-être un peu plus de réactions de la part de la plus plantureuse des deux filles.

« T’inquiète ma jolie, on va te partager… »

Stéropès se marrait bien et se rapprochait de son comparse pour permettre à) Jun de s’installer sur leurs deux genoux et écartant bien ses propres cuisses.

« Ada, elle est du genre à vouloir venir profiter de toute la troupe et pas que des chefs, hahaha… deux, trois, quatre, rien n’est assez… va falloir lui faire honneur ! Tu te sens d’attaque ma belle ? »

Brontès donna une bonne claque sur le cul de Jun.

« Oh j’ai une idée… et si on t’utilisait comme assiette ? Venir bouffer à même ta peau. Venir bouffer ta peau…… ça me tente bien… t’en dis quoi ? » [/color]

« Bonne idée… j’imagine déjà venir bouffer un morceau de viande sur sa fente de catin… » [/color]

« Moi je te boufferai bien les seins nature ! Ils ont l’air bien ronds et bien fermes. De quoi y mettre un petit coup de croc ! » [/color]

Les deux commençaient à se lâcher.

Soliès susurra alors à Nea.

« Pas trop jalouse, ma mignonne ? »

A force de provocation, il n’est pas étonnant de voir les géants de plus en plus entreprenants. Entre Jun qui les chauffe autant que faire se peut et Nea qui en rajoute une couche une fois la perche tendue, ce qui doit arriver arrive : Soliès se met à tripoter la plus faussement réservée des deux avec plus de fermeté, lui arrachant un gémissement et un regard lubrique.

Du côté de Jun, les géants ne sont pas en reste : elle se retrouve vite à cheval sur leurs jambes, les siennes bien écartées. Ses fesses claquent d’un bruit presque assourdissant dans la pièce, la faisant rire et répondre aux provocations des deux grands gaillards :

« Si Ada peut le faire, alors moi aussi ! »

Elle gonfle les joues avec une certaine fierté, sûre et certaine de pouvoir encaisser les deux queues des géants si ceux-ci ont envie de la pénétrer ensemble. Mais pour l’instant, ils semblent surtout avoir envie de jouer des mains et de la langue. En les entendant, Jun penche son verre et fait couler ce qu’il reste de vin sur sa poitrine.

« Oh zut… du coup vous allez m’aider à enlever tout ce vin ? Je suis sûre qu’avec vos langues ça devrait être rapide… et ça même si je suis encore plus maladroite après. »

L’idée d’avoir les deux langues des géants léchant son corps fait frissonner Jun de plaisir, tandis que Nea regarde la scène avec intérêt et amusement. Elle regarde un instant Soliès, tout sourire :

« Pas du tout… après tout, vous ne comptez pas vous contenter de regarder n’est-ce pas ? »

Pour être sûre d’être bien comprise sa main vient se poser entre les cuisses du géant, directement sur la bosse que cache difficilement son vêtement.

« Présomptueuse va ! Grandes prétentions, grandes preuves ! »

Brontès pouffait un peu en pelotant le sein de Jun, sans la moindre vergogne. Et voilà qu’elle renversait volontairement et avec une fausse maladresse son vin sur ses seins….

« Ben tiens… moi qui pensais juste mettre de la bouffe sur ton corps et y mettre les dents jusqu’à atteindre ta peau. »

L’autre géant ricana et mit une petite claque sur la cuisse légère de Jun. Et sans crier gare, sa grosse tête se pencha sur le petit modèle pour laisser sa langue venir laper le vin sur le sein de Jun, laissant peu de place à son comparse qui protesta un peu mais choisis de laisser faire, remontant sa main du genou à l’intérieur le plus charnu et sensible de la cuisse de la jeune femme. Vers là où aurait dû se trouver chez une personne plus normale, une culotte.

« T’as raison de pas être jalouse ma belle. Mais ouais, je vais juste regarder pour le moment. Pas deux, mais toi… je suis sûr que si tu écartes un peu la bouffes tu peux avoir la place pour jolie petite dance bien cochonne, je me trompe ? »

Il pressa le sein un peu plus fort, à la recherche d’un gémissement, sans doute, avant de relâcher et lui mettre une petite tape sur la cuisse.

« Force moi à ne plus seulement te regarder, juste en dansant, seule, sur la table… t’en es capable, hein ? »

Le chef des géants se pencha et, avant qu’elle ne bouge ou quoique cela d’autre, ferma un court instant ses sens sur son sein, et téta un peu la belle grosse mamelle de la nyora. bien sûr, ce geste ne comptait pas. Il était sûr qu’elle pour pouvait faire montre de trésors de lubricité gestuelle, n’est-ce pas ?

Jun s’amuse comme une petite folle. Maintenant que les géants ont commencé à lui donner des idées pour la suite, elle prend les devants en se renversant du vin dessus et… les deux gaillards, après avoir commenté la situation, ne se gênent pas pour venir enlever tout ce vilain vin qui aurait pu tâcher ses vêtements s’ils n’étaient pas d’un noir profond. Enfin surtout l’un d’eux, car sans surprise le second n’a pas la place de venir glisser sa tête au-dessus de sa poitrine. Heureusement, il a tout de même la bonne idée de venir faire glisser ses mains jusqu’à son intimité et constater qu’elle aussi est humide. Vin ou autre chose ? Ou peut être un mélange des deux ?

« Je suis sûre que je peux vous surprendre ! »

Ce n’est qu’après avoir prononcé ces paroles que Jun se dit qu’elle aurait pu tout aussi bien dire qu’elle pouvait les prendre tout court, ce qui serait tout aussi vrai grâce à ses capacités de nyora. Mais pour l’instant les deux s’amusent à la tripoter et la lécher, ce qui lui convient parfaitement… pour le moment.

Du côté de Nea, les choses se précisent également : le plus grand des trois hommes annonce qu’il va se contenter de regarder, du moins pour le moment, mais pas ses congénères. Non, il préfère regarder celle qui lui tient compagnie danser sur la table… entre autre choses sans doute.

« La table est bien assez grande pour ça oui ! »

Il faudra certainement bouger deux ou trois choses, mais rien d’insurmontable. Mais avant ça, il vient tout de même goûter le sein dénudé avec lequel il joue depuis quelques temps. Et maintenant, place à la danse ! Ou d’abord un petit ménage sur la table. Nea se lève et se penche pour déplacer quelques plats et bouteilles, laissant tout voir de ce qu’elle ne porte pas sous sa robe, avant de grimper sur le meuble. Le plus simple serait sans doute de lui offrir un striptease, mais où serait le défi ? Non, à la place elle décide plutôt d’allier une danse lente et sensuelle à sa tenue qui ne laisse pas grand-chose à l’imagination lorsqu’elle soulève le bas ou se penche pour laisser échapper sa poitrine de la robe. Et entre deux mouvements, elle tend une bouteille de vin aux deux géants qui s’occupent de Jun.

« Pour continuer sur votre lancée… ! »

L’un des géants ricana avant de mettre une tape sur la cuisse de Jun, un peu fort sans doute mais bon, demander à un géant d’y mettre aussi peu de force qu’un humain, c’était quand même un peu délicat… donc même s’il se retenait, il fallait bien comprendre qu’il ne pouvaiut pas non plus descendre à ce niveau.

« J’demande à voir tiens ! »

La petite Jun allait devoir montrer que grandes prétentions grandes preuves. N’est-ce pas ? en tout cas, Stéropès jouait bien volontiers de la langue pour nettoyer la fausse bévue de Jun. Soyons clairs, il fallait être idiot pour croire qu’elle ne l’avait pas fait exprès, ce qui justifia sans doute lmême un gentil mordillement sur le mamelon aviné. L’autre géant le laissa faire pour se contenter de remonter davantage la main ^pour venir lui palper l’entrecuisse sous la tenue…

« T’as l’air un peu impatiente quand même… »

Ben quoi ? C’était cela, non ? Il lui fit un sourire avant de caressément venir lui titiller l’abricot en espérant qu’il soit très mur, histoire d’avoir un fruit bien juteux sous ses gros doigts. Pire encore, il le fendit d’un doigt pour glisser en elle et tater un peu l’espace qu’il y avait là dedans. Sans doute un espace assez réduit, vu le format, se disait-il…
L’autre jeune femme, plus voluptueuse, et qui était restée plus sage jusque là, mona alors sur la table pour commencer à répondre à ce qu’elle devait bien faire. As avoir donner envie à Soliès de ne pas se retenir et d’intervenir. Et pour cela, quoi de mieux quie de sans doute déjàç révéer son absence du pudeur ? Elle qui faisait si sage… elle état clairement snseullme et Soliès souriaiit. Le grand géant l’admirait et  portait même une main  vers son entrejambe pour se sortir le bazar. Pas que ce soit pour se masturber, non, juste pour qu’elle voie réellemenyt quel effet elle faisait à sa trompe.

Quand elle tendit la bouteille de vin ? Ce fut Brontès qui la prit et que la regarda un onstant avant de dire.

« J’ai un meilleur iusage à lui faire… »

La petite bouteille, dans sa paume, descendit et le goulot vint doucement s’appuyer contre son sexe pour venir remplacer le doigt doucement…

« Sacrée bonne femme que t’as là, chef. J’espère que tu la feras un peu tourner ? »

En même temps, de là où il était…

« Quel cul… »

Soliès eut un rire gras avec ses compères.

« En même temps, rien à jeter… une sacrée pouliche que j’aurai bien emmené avec moi pour réchauffer ma tente en campagne… »

Son sexe se gonflait et durcissait à vue d’œil devant la danse de la belle Nea.

Jun sourit, s’amusant clairement de la situation. Les géants semblent avoir plein d’idées en tête, certaines proposées par sa personne ou aidées par ses perches tendues, et tout ça annonce justement que leurs perches vont bientôt l’être, tendues. Et vu les gaillards, elle s’attend à de sacrées perches !

Tandis que l’un a commencé à la déshabiller et lui lèche les seins, l’autre continue de tâter le terrain. Après une petite tape sur la cuisse qui a plus de force que ce qu’un humain ferait juste pour la faire claquer, il vient glisser un doigt entre ses cuisses puis en elle. Sans surprise, il est accueilli par de la mouille et un intérieur serré qui semble cependant vite s’adapter à lui.

De son côté, Nea continue d’en montrer beaucoup sans enlever ses vêtements. Elle est ravie de voir le chef des géants sortir l’artillerie, se léchant même les lèvres en voyant la taille du pénis qu’elle va prendre grand plaisir à chevaucher. Dire qu’Ada garde tout ça pour elle habituellement ! Mais avant d’aller encore plus loin, elle donne une bouteille de vin aux géants et l’un d’eux vient la glisser entre les cuisses de Jun. Celle-ci se scandalise presque, le fixant en disant :

« C’est froid ! Tant qu’à avoir quelque chose de dur entre les cuisses, je préfère que ce soit bien chaud… »

En bref, et dans toute sa subtilité, elle annonce clairement préférer un pénis. Ça fait sourire Nea, qui ne perd cependant pas le nord et continue sa dance. Rapidement, elle se retrouve à genoux sur la table avec les cuisses bien assez écartées pour offrir une vue plongeante sur sa chatte à Soliès. Il pourrait même venir la prendre dans cette position s’il le souhaitait ! Mais avant ça, elle se relève tout de même et finit par faire glisser sa robe au sol et l’envoyer vers le leader dans un mouvement de jambe maîtrisé.

« Je crois que je ne vais plus en avoir besoin, vous pourrez la garder en souvenir… »

Et maintenant totalement nue, elle tourne lentement sur elle-même avec les bras levés pour lui montrer avec quoi il va pouvoir s’amuser.

Bon, au moins, les deux miss avaient l’air de bien s’amuser… Soliès ricana un peu, bouffant des yeux la belle plante qui montait sur la table pour, commencer à s’exposer lentement, vulgairement. Non mais vraiment… elle avait de sacrés appâts, celle-là. Entre ses lochs et son derch, arrondi par de belles hanches, difficile de la dire peu attrayante. Il bouffait un peu la belle blonde qui se dévêtait quand il fut interrompu par le petit « refus » de Jun. Apparemment, ses compères n’avaient pas eu la meilleure idée du monde. Lui enfoncer la bouteille et l’enconner avec ne plaisait pas. Il pouffa un peu en les voyant ses faire un chouia reprendre avec une forme de provocation…

« Oh allez ma belle… faut bien préparer un peu les conduits…. Et tu vas la réchauffer en un rien de temps… »

Il y eut des rires gras mais sans plus, la bouteille réapparut en bord de table. Apparemment, la réaction de la demoiselle avait fait changer d’idées. Il ne fallait pas oublier qu’en cas de contrariété, vue l’activité locale, primo, difficile de revenir, et secundo, il y avait un risque de de circoncision surprise. Stéropès et Brontès se redressèrent un peu, la laissant un peu moins occupée momentanément…

« Y a un autre endroit que je voudrai bien bouffer, tiens… »

« Pas con… pendant ce temps, c’est elle qui pourrait bouffer… »

Comme si elle pesait une plume, Brontès lui saisit les hanches pour la soulever pendant que Stéropès regardais et lui soutins un peu les épaules. Puis les deux se rassirent, et la langue de Brontès sortit de son visage broussailleux de barbe pour venir jouer contre les petites lèvres de Jun. L’autre vint sortir sa marque ; un magnifique braquemard bien raide et bien épais, comme promis, ou peut-être même plus que promis…

« Alors, blondie, comment tu trouves la corpulence des géants ? »

Elle n’avait sans doute pas loupé cette miette du spectacle, n’est-ce pas ? Soliès s’était levé et s’était approché de Nea avant de lui saisir le menton… queue à l’air, presque au niveau de son visage, il la regarda avant de finalement lui lancer.

« Vu la taille de l’engin, je crois que commencer par sucer devrait aider à la faire rentrer, après… tu ne crois pas ? Et après je vais te foutre… tu vas gueuler, crois-moi ! »

De plaisir, bien sur !