Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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La démone du moulin [Gerd - Physalis ]

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Gerd

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    Sorceleur de l'Ecole de l'Ours, sur la Voie depuis un demi-siècle au moins. Il connaît son métier et vend ses compétences contre monnaie sonnante et trébuchante. Vous êtes un monstre gentil ? Prouvez-le ! Votre cible n'est pas un monstre ? Ca se négocie ! Vous avez un joli minois et une fente entre les jambes ? Gare au lumbago !

Re : La démone du moulin [Gerd - Physalis ]

Réponse 15 jeudi 16 mars 2023, 02:21:05

Lorsque la satyre se laissa aller sur le ventre, le membre turgescent glissa hors d’elle sans la suivre, un mince filet les liant sur quelques centimètres avant que le mélange de fluides sans teinte et quelques traces blanchâtre soient les seuls témoins de leur unicité. Et tout comme ils coulaient d’elle en maculant les draps sans la moindre once de culpabilité, des gouttes perlèrent depuis l’aine du sorceleur pour y tomber, les deux se rejoignant dans leur mépris total des sentiments du vieux Gustave.
Le mutant a pris quelques potions pour participer à sa vigueur et son endurance exceptionnels, mais il se sentait tout de même plus vivant qu’auparavant. Il lui semblait qu’une partie de la toxicité des élixirs avait été traitée par son corps avec rapidité, en tout cas bien plus rapidement qu’en temps normal. Il se sentait, pour la peine, d’autant plus vigoureux. Il n’avait jamais senti l’effet de ce mélange sans le contrecoup des toxines en lui. C’était différent et enivrant. Il pouvait comprendre l’enthousiasme de Gustave. Il comprenait moins son entêtement à vouloir la garder pour lui, au-delà d’une potentielle jalousie, très mal placée au demeurant.

Il ne refusa pas la bouteille tendue même si, il le savait, il pouvait tenir une dose d’alcool non négligeable. Sa seule véritable chance de finir rond comme un ballon était d’enchaîner les bouteilles l’une après l’autre pour ne pas laisser le temps à son organisme de décomposer les molécules d’alcool. Il pouvait décomposer des toxines mortelles pour un humain normal, alors l’alcool… Il en buvait pour le goût, dira-t-on, comme pour socialiser, et ce vin se prêtait aux deux plaisirs.
Tout en buvant quelques lampées, il pouvait deviner les mouvements de la satyre en-dessous de lui, et déduire ses intentions à ses paroles. Il fallait dire qu’il était difficile de ne pas anticiper les idées de la belle, au moins dans les grandes lignes. Son parler était franc et son ton était transparent. Il esquissa un sourire comme elle parlait de s’occuper du valeureux soldat travailleur, et ne tressaillit qu’à la sensibilité de son manche encore humide lorsqu’elle le prit en main. Il finit sa gorgée et reposa la bouteille en baissant les yeux sur elle.

« Ce soldat adore faire du zèle, » ricana-t-il avant de se taire dans un soupir de plaisir.

Il leva la tête et ferma les yeux quelques secondes tandis que sa langue roulait autour de son vît raidi, recueillant le fruit de leurs efforts comme pour s’en nourri. Les satyres se nourrissaient-ils de ça ? Remarquerait-elle qu’il était stérile ? Est-ce que ça faisait la moindre différence ? Gerd n’avait pas la tête à se replonger dans des histoires entendues il y a des décennies, ou à explorer sa mémoire à la recherche de passages savants lus durant ses arrêts studieux. Il ne pensait qu’à la main qui branlait la base de son sexe et à cette bouche chaude qui le tétait avidement.
Il baissa les yeux sur elle à nouveau, croisa son regard coquin et eut un rire léger et complice en passant une main dans ses cheveux. La main resta là un instant avant de passer sur un de ses cornes, l’autre main passant sur l’autre. Elle semblait avoir adoré ça la première fois, alors elles se refermèrent dessus, les empoignant bien. Il s’en servit pour la diriger, guider ses lèvres le long de son manche, la faisant remonter jusqu’à la corolle de son gland et redescendre à mi-chemin, jusque là où sa main s’affairait à le stimuler.
Il y alla doucement d’abord, et les mouvements s’amplifièrent et accélérèrent évidemment petit à petit. Il donna finalement de ses propres reins, ses soupirs montant en gémissements et en grognements à mesure qu’elle réveillait son appétit. Il ne lui fit aucun quartier jusqu’à ce que son excitation s’accompagne des frissons et fourmillements familiers qui le firent ralentir.
Il poussa sur les cornes, la retira de son manche, gardant ses lèvres ouvertes au bout de son gland. Il la laissa continuer à le branler en la regardant dans les yeux et une nouvelle décharge de sperme s’écoula bientôt sur sa langue avant qu’une série de jets se jette dans sa bouche sans se faire prier. Il grogna en se délivrant mais il n’attendit pas d’en avoir fini pour passer à la suite.
Un filet blanc croissant continuait de couler du bout de son gland sur son manche lorsqu’il se baissa en avant à nouveau, usant de sa prise pour faire basculer la satyre, la mettant sur le dos. Mais cette fois, il lui lâcha les cornes, passa ses bras derrière ses genoux. Il lui remonta les pattes, les leva de chaque côté de sa tête et s’avança au-dessus d’elle en laissant sa verge buter contre sa vulve ouverte et s’y enfoncer comme il se baissait contre elle en râlant.

« Tu n’as rien contre un peu de gymnastique j’espère ! »
Gerd ··· sorceleur de l'Ecole de l'Ours

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Physalis

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Re : La démone du moulin [Gerd - Physalis ]

Réponse 16 mardi 25 avril 2023, 14:53:41

Encore une fois, la chevrette accueille la brutalité de son partenaire avec ravissement. Elle laisse les mains autoritaires de l'homme se refermer sur ses cornes et lève vers lui un regard brillant accompagné d'un sourire lorsque très brièvement elle retire le membre viril de sa bouche. Il n'y a pas besoin de mots pour que les deux partenaires se comprennent. Une main toujours serrée autour de la base du vit, elle se penche pour en lécher la hampe, de la base jusqu'au bout du gland. Plusieurs fois de suite. Puis elle s'abandonne à la force du guerrier à qui elle laisse le soin de la guider. Fermant les yeux, elle se laisse mener et prend de nouveau le membre en bouche. Le rythme des va-et-vient de sa tête s'accompagne de bruits de succions auxquels se mélangent des gémissements d'aise. Excitée, la Satyre laisse une de ses mains glisser jusqu'à son entrecuisse trempée où ses doigts commencent à œuvrer, massant le mont de vénus et le trésor caché qui s'y dissimule

Le rythme s'accélère. Encore, encore et encore, sous les directives impérieuses du guerrier. Et les gémissements étouffés de la belle suivent, s'amplifient. Jusqu'à soudain s'interrompre quand le guerrier se retire de la bouche qu'il baisait avec vigueur. La Satyre saisit immédiatement ce qui se passe, elle se redresse, bouche ouverte et langue tirée, seins tenus en coupe pour recueillir le fruit de la jouissance de son amant.  Les longs jets blancs l'éclaboussent. Elle était prête à les recevoir. Si la majorité finit dans sa bouche et sont avalés avec avidité, d'autres se perdent sur son visage, ses épaules, son cou et finissent par descendre en trainées blanches jusqu'à ses seins.

La Satyre encore essoufflée lève un sourire triomphant vers le sorceleur mais celui-ci ne lui laisse aucun répits. La voilà bientôt basculée sur le dos, pattes tenues en l'air par la poigne d'acier de l'homme. Souffle court, cheveux en bataille répandus autour de sa tête, la peau de la belle qui n'a pas été éclaboussée de foutre est à présent recouverte de sueur.

Et pourtant, elle ne semble pas vaincue. Voir son amant se redresser dans une posture conquérante, prêt à la dominer de nouveau de sa stature et s'enfoncer en elle allume une braise au fond de son regard.

- Oui ... oui ! Vas-y ! Prends-moi, encore ! Donnes-moi tout !

Une invitation superflue pour le Sorceleur qui abat le poids de son corps sur elle. Son membre n'a aucune peine à glisser en elle, tant elle était excitée et prête à le recevoir.

Déjà amenée au bord de la jouissance par le brutal traitement qui vient de lui être imposé, il ne faut qu'une poignée de coups de reins supplémentaire pour que la créature explose en un orgasme puissant. Son corps frêle est saisi de spasmes alors qu'elle s'époumone et vocalise sans retenue son plaisir, faisant retentir ses cris bien au delà de la paisible clairière dans laquelle le moulin se dresse. Qui remarquera que autour des rives, boutons d'ors, coquelicots et marguerites éclosent au même moment ? Que les bourgeons des arbres s'ouvrent soudainement et que des feuilles nouvelles commencent à recouvrir les branches qui étaient nues il y a quelques instants encore ... ?

Certainement pas les deux amants en tout cas, bien trop absorbés par le moment présent. Corps arqué en arrière, à la fois soutenue et écrasée par la force du surhomme en train de prendre son plaisir avec elle, la Satyre jouit sans discontinuer pendant une longue minute au moins. Un exploit qui la laisse vide, essoufflée,  tremblante. Elle est comme une poupée de chiffons entre les mains de l'homme à qui elle se donne.

Est-ce que lui il en a fini ? Probablement pas, non ! Le nouveau round vient à peine de démarrer pour lui. Epaules rivées sur le lit défait, bassin tenu à la verticale par les bras de Gerd, la Satyre empoigne doucement ses seins et se met à les caresser. Elle lève vers son amant un regard brillant . Un regard qui veut dire "Continue. Fais de moi ce que tu veux".

Gerd

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Re : La démone du moulin [Gerd - Physalis ]

Réponse 17 samedi 06 mai 2023, 03:39:08

La Satyre avait vite fait de défaillir face au traitement qui lui était infligé. Elle partit en quelques coups dans un orgasme sonore et puissant que Gerd ne prit pas la peine de ménager. Il la soumit à la torture de ses allées et venues alors même que sa petite mort durait, et durait. Il ne se retint pas, constatant avec quelle ardeur elle réagissait à son passage et comment sa jouissance se prolongeait, venant à lui faire se demander, au bout d’un instant, jusqu’à quand elle pourrait tenir ainsi. Dans cette position, dans ces conditions, une minute est presque une éternité ; non pas que le sorceleur ait eu peur de fatiguer.
Car l’homme sentait en lui une énergie qu’il ne se soupçonnait pas. Il faisait cependant le lien avec l’histoire qui lui avait été contée sur les satyres, sur la façon dont elles rendaient vie à la nature, dont elles ravivaient la sève des hommes. Ils faisait le lien avec l’allant presque juvénile de Gustave. Depuis quand cela durait-il, déjà ? Les effets se cumulaient-ils, ou Gerd devait-il s’attendre à se sentir comme un jeune sorceleur de 30 ans après ça ? Il ne le savait pas, et il ne s’interrogeait pas vraiment. Il était concentré sur une chose, en réalité, et c’était le plaisir fou qu’il tirait du corps de la belle.
Quand elle finit par se calmer, il ralentit légèrement le rythme aussi, croisant son regard, la regardant porter les mains à sa poitrine et se toucher, ravie. Leurs regards se croisèrent et il sut parfaitement ce qu’elle voulait : elle voulait qu’il continue. Elle était tout bonnement insatiable, et était sans doute faite pour ça après tout, pour canaliser autant d’énergie sexuelle que possible pour la retransmettre au vivant.
Il voyait bien qu’elle était à bout de forces. La sueur perlait partout sur son corps, se mélangeant par endroits aux gouttes et filets de sperme qu’elle avait reçu à l’issue de sa fellation. Ses muscles étaient relâchés, mous. Elle était toujours réceptive, mais elle n’avait plus la capacité de répondre, était réduite à un réceptacle volontaire.
Il respecta cette fatigue et relâcha doucement ses jambes pour les laisser retomber autour de sa taille, contre ses jambes. Il redescendit, s’allongeant sur elle, son pelvis contre le sien, son sexe profondément fiché dans le sien. Il garda son regard dans le sien en souriant malicieusement. Il ne cessait pas d’être actif, mais il s’était largement calmé sur ses assauts. Au lieu de la rouer de coups de reins encore et encore, il resta là, au fond d’elle, et se mit à rouler du bassin, frottant son gland à la cime de son vagin et son manche contre ses parois humides, sa garde stimulant sa vulve et son pelvis frottant contre son bouton d’amour. Il resta là un moment, à la caresser avec douceur, maintenant le plaisir, le perpétuant, lui permettant de retrouver un peu de ses forces.
Combien de temps passa, il n’en savait rien, mais, au bout d’un moment, le plaisir commença à remonter entre eux, le corps de la créature commença à réagir à nouveau avec de plus en plus de langueur, et les gémissements, les soupirs revinrent doucement. Les roulements de bassin s’amplifièrent, s’accélérèrent, les corps se refermèrent l’un sur l’autre. La jouissance revint et le mâle, aux signaux désireux de son amante, reprit ses coulissements profonds, avec une rapidité et une force croissantes. Ils se perdirent dans un plaisir de plus en plus fort jusqu’à ce que leur frénésie les reconduise à une lutte se terminant à nouveau dans une agonie commune, Gerd se raidissant et se libérant à nouveau au fond d’elle tandis qu’elle retombait dans les abîmes d’un orgasme nouveau.
Ils en profitèrent sans retenue avant de s’arrêter et leurs regards se retrouvèrent, leurs corps toujours joints dans la même position. Le sorceleur sourit et se mit à rire, et il se pencha sur Physalis pour lui voler un baiser.
Gerd ··· sorceleur de l'Ecole de l'Ours

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