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Saturday Night Fever ( Jason / Joanna - Physalis )

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Saturday Night Fever ( Jason / Joanna - Physalis )

mercredi 18 janvier 2023, 18:18:18

C'est un samedi soir déchaîné au Club Nine Live, une des discothèques branchées du centre-ville de Seikusu.

Ca se presse à l'entrée. Les places sont archi-prisées. Les videurs font un tri drastique entre les VIP qu'ils laissent entrer avec les honneurs et le  Vulgum Pecus traité à peine mieux que du bétail et trié à la tête du client. T'es bien sapé ? C'est le prérequis indispensable. Tu va pas recevoir une médaille pour ça. T'es pas accompagné de minettes en mode ultra allumeuses ? T'as intérêt à aligner les buffetons ET que ta gueule plaise au mec de la sécurité, sinon "Bye bye mon gars".

C'est la cohue chaque samedi pour réussir à rentrer dans la boitre ultra-select. Mais ce soir, c'est pire. La soirée est "spéciale" puisque le célèbre DJ E-Motion sera aux platines toute la nuit et promet un Mix d'enfer en plus des moments "Mousse" et "Happy Hours" qui vont être organisés au cours de la soirée.

L'intérieur est bondé. La musique electro est assourdissante. Les lumières sans cesse en mouvement flashent, clignotent, aveuglent à tout va. Elles occulent ou mettent en valeur tour à tour les centaines  de corps dansants. Partout om le regard se pose des gens occupent l'espace. Sur la piste. Près des bar. Autour des tables. Même les salons VIP ont l'air pleins à craquer. C'est la grosse ambiance.

Comment dans ces conditions être surpris de trouver notre bien fameuse Satyre, attirée ici (on ne sait comment) par la magie étrange qui régit son existence ? Elle était au bord d'un cours d'eau sur Terra, en train de profiter d'une fin de soirée tranquille au milieu d'une clairière bucolique. Quand soudain quelque chose l'a démangée. Elle s'est relevée, a regardé autour avec surprise, comme si elle avait entendu quelqu'un l'appeler. Et puis sans crier gare, elle s'est élancée, a fait un bond de cabri en l'air ... Et paf ! La voilà transportée ici et maintenant au milieu des néons et des stroboscopes. L'hiver teinte ses cheveux d'un blanc immaculé et ses yeux d'un bleu glacial. Elle est arrivée habillée pour une fois ! En tenue de parfaite petite raveuse. Microjupe en tissu flashy-réfléchissant (avec juste ce qu'il faut de longueur pour cacher sa petite queue en houpette mais pas beaucoup plus.) Ses jambes sont gainées de bas fluos ne s'ouvrant qu'au niveau des sabots. Le tissu coloré cache toute la partie des jambes de chevrette qui sont recouvertes du pelage blanc d'hiver. Quant au haut, la Magie l'a équipée d'un mini top honteusement révélateur. Mais visiblement, dans le contexte de la soirée, ca semble passer. De toutes façons la Satyre a l'habitude d'aller et venir strictement nue alors bon ...

D'abord aveuglée par l'ambiance lumineuse et assourdie par le bruit ambiant, elle comprend très vite dans quelle ambiance elle est tombée. Elle a levé les bras au ciel et avec un cri de joie s'est précipitée au milieu des danseurs où elle s'est trémoussée avec énergie et enthousiasme. Il ne faut pas longtemps pour que deux copains en goguette flashent sur cette jeune fille endiablée, honteusement peu vêtue et visiblement venue seule. Senzo et Toki. Deux copains, des fils à papa trop friqués rentrés ici à coup de biftons et décidés à essayer de pas repartir seuls ce soir. Ils tentent leur chance en venant danser pas loin de la Satyre, roulant des mécaniques dans leurs beaux costards. Ils se la jouent et ca semble marcher. Ils se rapprochent petit à petit de la danseuse solitaire. C'est quand ils finissent par quasiment danser avec elle en coller-serré qu'ils se disent que la partie est gagnée.

La scène peut parait un moment surréaliste. Et pour cause, la fille qu'ils draguent, outre l'odeur fleurie qui émane d'elle en permanence, porte bel et bien une paire de cornes visible comme le nez au milieu de la figure ! Pourtant ils n'ont l'air de n'en faire aucun cas. (De même que l'ensemble des présents d'ailleurs.) Existe t'il un sortilège inconscient qui occulte la perception des humains ? Est-ce que les habitants de Saikusu sont à ce point habitués à voir des choses surnaturelles ? Ont ils juste tous bien trop abusé de la drogue ou de l'alcool pour ne même plus calculer qu'une fille se promène avec une paire de cornes au milieu d'eux ? Allez savoir !

Bref. La connection semble se faire. Et c'est fort logiquement qu'ils proposent ensuite d'offrir un verre à la Miss qui (évidemment) accepte. Et les voilà tous les trois partis en direction du bar où après quelques temps, un verre d'alcool est posé devant chacun d'eux. Entre deux boums boums de la musique, on peut parfois l'entendre bavasser.

- Ah oui c'est la première que je viens ici, j'avoue que c'est carrément chouette.

( ... )

- DJ E-motion ? Jamais entendu parler. Aucune idée des instruments qu'il utilise non plus.

( ... )

- Ca s'appelle comment vous dites, ce qu'on boit ? Un TGV ?  ... ah ! C'est plutôt fort !

Non pas que l'idée de finir ivre soit du genre à déplaire à la Satyre, bien au contraire. Volubile et sémillante, elle ne remarque évidemment pas que pendant que l'un des compères occupe toute l'attention de la fille, l'autre en profite pour glisser discrètement un cachet dans le verre de celle qui s'avère être leur proie de ce soir. Visiblement, tout le monde ne partage pas la même définition de "faire la fête" et à en jauger par le naturel avec lequel les deux ont mené leur opération, ils sont des habitués de la manoeuvre.

La Satyre semble bien partie pour ajouter son nom à la liste des victimes de ces deux playboys d'opérette ... Un comble quand on connait la concupiscence naturelle de cette race. On se dit que ces deux ballots là auraient peut-être pu se passer du coup de la drogue pour parvenir à leurs fins ...





Jason / Joanna

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Re : Saturday Night Fever ( Jason / Joanna - Physalis )

Réponse 1 mercredi 18 janvier 2023, 19:17:46

La berline se stoppant, le jeune homme regardait la queue dehors. Comme imaginé, il y avait bien du monde pour ce soir unique. DJ E-motion aux platines, c’est quelque chose. LA soirée d’après certains. Envieux de décompresser, le mâle avait entendu parler de la boite et s’il préfère d’autres types de soirée, il s’était dit que ça ne serait pas une mauvaise chose que d’aller s’amuser. Au mieux, il pourrait même rencontrer quelques crédules personnes qui auraient envie de s’amuser ! Tout le monde serait gagnant en ce doux soir.

Sortant de sa berline, l’homme observa les lieux. Il trouva que vu les tenues, c’est assez tenu décontractée et non chic. Voyant les videurs au loin – à savoir des gorilles – il se dit qu’il serait contreproductif de se prendre la tête avec eux. Ainsi, il retira une partie de sa tenue pour se décontracter naturellement. Adieu costard cravate, il se mis à l’aise de sorte à se sentir bien mieux dans sa peau. Un jeune quoi !
Se sentant donc fin prêt, il avança au culot vers l’entrée sans faire la queue. Oui, l’homme était ainsi à jouer la carte du culot. Cependant, il n’allait pas jouer le fils à papa. Voyant qu’un collègue tapa l’épaule de l’autre pour signaler sa présence, il approcha pour discuter brièvement avec les loubards ! Ne se la jouant pas du tout hautain, il tenu la grappe à ces hommes pendant une bonne dizaine de minutes jusqu’à ce qu’une personne dans la foule demande à entrer. Remettant au compteur les choses pour les gardiens, sans aucun problème Jason pu entrer ici. Il laissa d’ailleurs un pourboire conséquent aux videurs prouvant que pour entrer il ne faut pas forcément jouer avec l’argent ou des gros bras… Il suffit d’être sympa et montrer qu’ici, tu leur apportes de l’argent et surtout … pas de problèmes ! Même pas besoin de sortir la carte de son rôle de pdg ou des pseudos connaissances avec le DJ du soir !

Entrant ici, il pu remarquer alors que la party battait son plein ! Des gens dansaient, d’autres s’embrassaient et certains flirtaient. Bref, une boite de nuit ! Le sourire aux lèvres, l’homme regarda quelques personnes ici et là et analysa la situation, mais ce qui l’étonna et attira son attention : c’est une personne qui semblait être plus énergique que tout le monde ici-bas ! Amusé, il regarda de loin celle-ci en essayant de ne pas la perdre de vue, mais … En vain. Avec tout le monde ici, c’est comme pister une sourie au sœur d’un égout !
Pourtant, un détail avait sauté aux yeux du mâle : sa paire de cornes ! Est-ce juste un accessoire ? Ou quelqu’un avait réussis à s’infiltrer ici et profitait de l’effervescence des lieux pour passer inaperçue ? Il voulait le savoir !

Ainsi, il profita de la zone, dansant avec quelques personnes, discutant brièvement à quelques demoiselles mais… son attention était ailleurs. Pensant avoir perdue l’inconnue il finit par doucement aller vers le bar et surprise ! Il la retrouva en compagnie des plus charmantes. Mince, aurait-il laisser passer son occasion ? Bien qu’il ait des pouvoirs, il ne désirait pas créer de soucis en ce doux soir, mais … un détail intrigua le jeune homme en apparence. En effet, alors qu’il allait se détourner de là, il vit quelqu’un prendre un truc dans sa poche et le mettre dans le verre qui semble être pour la demoiselle. Oh ? Ainsi donc, ces deux-là sont deux charognards qui tentent leur chance de façon subtile et illégale ? Soupirant longuement, c’est en admirant le dos de la demoiselle qu’il capta un possible détail. La forme des pieds de la demoiselle. Arquant un sourcil, il se demandait si ce n’était pas autre chose qu’une humaine. Ooooh… Voilà deux raisons de s’inviter à la fête. Le sourire aux lèvres, il murmura des mots qui furent inaudible au cœur de tout ce brouhaha.

« Vesper… Jeanna ! »

De l’ombre au sol, deux formes sortirent du sol pour prendre forme. Les servants démoniaques du mâle étaient de sortie et en tenue adaptée ! Il fit aussitôt le topo alors que les deux démones semblaient aussi intriguées par la créature qui jouait le rôle de la demoiselle de l’histoire. Elles théorisaient sur un esprit de la nature, ou une hybride ou furry. Quoi qu’il en soit, laissant les deux femmes faire des paris entre elles, le but était simple : séparer les deux mecs de cette femme.

Dans un premier temps, les démones approchèrent et entendirent ce que la demoiselle demandait et contre toute attente, c’est Vesper la bleutée qui approcha en venant entre un des mecs et Physalis.

« Un TGV ? Vers où le TGV ? Il va gare du fun ? »

Faisant un clin d’œil au jeune homme, elle le regarda de haut en bas et avant même que l’homme puisse s’adresser à son collègue, Jeanne apparue et sourit en coin venant titiller le menton de l’inconnu.

« Tu as l’air mignon toi ? »

Si les deux jeunes hommes ne tentaient pas de se débattre, les demoiselles viendraient presque « piquer » les deux beaux mâles à Physalis sans aucune gêne. Mais si les deux inconnus tentaient de résister, c’est alors que l’homme d’affaire approcherait demandant à Vesper si la place était prise. Un moment parfait pour que celle-ci regarde sa « proie » et l’incite à se barrer de là pour aller vers le dancefloor. Idem pour Jeanne qui draguerait ouvertement le jeune homme. Ils n’imaginaient aucunement comment ces derniers allaient finir, mais quand il s’agit de punition… En général c’est le prix fort.

Bref, arrivant proche de Physalis, le jeune homme fit genre de reconnaitre le breuvage et tira une moue étonnée.

« Attends… Tu bois ça ? Non mais … Quelle hérésie… »

Désignant brièvement les deux jeunes hommes, il allait interpeller le barman pour offrir un autre cocktail à celle-ci. En attendant, il allait lui faire la discussion si elle acceptait ou ne posait pas trop de questions d’ici là !

« Vous venez souvent ici ? Chouette la tenue ! Dit, tes cornes, c’est pour l’effet ou c’est … réel ? »

Penchant la tête, le jeune homme jouait le rôle de l’humain. Il se disait que se révéler à elle pourrait être une carte pour plus tard. En tout cas, il pouvait mieux l’admirer maintenant qu’il était à ses côtés et sourit en admirant sa beauté. Assis, il ne pouvait pas vraiment dire ce qu’elle était, mais tout vient à point qui sait attendre. Plongeant son regard dans le sien, il se laissait aussi bercer par l’acoustique de l’endroit et vérifia au passage si elle n’avait pas la tête qui tourne.

« Tout va bien ? Tu es seule ? Je veux dire… Tu t’amuses seule ? Tu n’as pas de partenaires ou des amis ici avec toi ce soir ? C’est rare ! Moi c’est Jason ! »

Et là, les verres arriveraient. Plus doux, mais tout aussi exquis. Il tendrait alors son verre pour trinquer avec celle-ci.

Physalis

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Re : Saturday Night Fever ( Jason / Joanna - Physalis )

Réponse 2 mercredi 18 janvier 2023, 23:15:43

- Mais ... que ... ?

Le temps de quelques battements de cils, voilà les deux "copains" chippés par deux démones sorties de nulle part. ( Ca encore, ce n'est pas trop grave. Vous connaissez l'adage, n'est ce pas ? Un de perdu ... etc etc). En revanche ce qui est grave, c'est que le verre d'alcool est retiré à la Satyre au moment où celle ci allait boire dedans. Outrage ! Sacrilège !

Elle lève un regard boudeur en direction de l'individu responsable de cet acte abominable et plisse un instant le museau.

- Ce qui est une hérésie c'est de me piquer mon verre !

Crie t'elle suffisamment fort pour être entendue malgré les basses percutantes du mix de DJ E-Motion. Mais l'assurance d'obtenir un nouveau breuvage en contrepartie semble l'adoucir. Au point qu'un sourire effleure ses lèvres alors qu'elle détaille des pieds à la tête le gaillard venu lui parler. Elle reprend d'une voix un rien enjôleuse après avoir décroisé les bras et s'être accoudée contre le bar dans une posture bien plus ouverte. Voire un rien aguicheuse, de par les vêtements révélateurs qu'elle porte.

- Saaaalut toi.  J'ai gagné au change on dirait alors.

D'autant plus que l'air de rien, elle finit par rapprocher discrètement d'elle les verres laissés par les deux autres lourdeaux. On fait feu de tout bois quand on est amenée en boite sans une thune et avec une grande soif, que voulez vous ? On a le droit de flirter tout en s'assurant de pas mourir de soif derrière. D'ailleurs ca ne l'empêche pas de répondre aux interrogations de l'homme avec naturel.

- Non c'est la première fois que je viens ! C'est plutôt cool. On est où d'ailleurs ?

La question aussi incongrue puisse t'elle paraître est lancée sur un ton de conversation. Comme si il était HABITUEL pour quelqu'un d'être entré à son insu dans une boite de nuit hyper branchée ... Quant à l'interrogation sur les cornes, elle la fait rire.

- Bien sûr que c'est des vraies ! Pourquoi j'en mettrais des fausses ... ?

Après s'être amusée à toucher la pointe de ses cornes du bout de l'index et à mettre une petite pichenette éloquente dessus, elle se met à jouer machinalement avec une de ses mèches blanches. Elle enroule et déroule le brin cotonneux autour de l'index et rajoute avec un oeil pétillant d'espièglerie.

- Je pourrais même te laisser les toucher plus tard, si tu es sage. ... Mais d'ailleurs ! Les deux filles qui m'ont chipé les deux types là-bas en avaient aussi.  T'as pas remarqué ? J'ai pas compris l'embrouille d'ailleurs. Mais c'est typique des démones ça de venir marcher sur les plates-bandes des autres si tu veux mon avis.
 
Des phrases prononcées avec nonchalance, légèreté. Comme si ces choses là étaient banales et acceptées dans la tête de Physalis. Elle ne semble pas se rendre compte du tout qu'elle pourrait potentiellement faire éclater des secrets ésotériques si bien gardés depuis des siècles. Coup de bol, il y a une musique de dingue et probablement que seul Jason est à priori capable d'entendre les commentaires de la Satyre. Existe t'il une magie cachée qui empêcherait les humains de comprendre ou de retenir les propos de cette cornue trop bavarde ? Est-ce qu'une chance insolente a quelque chose à voir dans le maintiens du secret ? Ou peut-être juste que c'est une nouvelle preuve que les gens ordinaires sont si désespérément idiots et pragmatiques qu'ils sont dans l'incapacité de comprendre même la vérité la plus évidente posée devant leur nez ...

La frimousse de lachevrette s'éclaire d'un sourire quand il se présente.

- Jason okay. Moi c'est Physalis ! J'ai connu un Jason autrefois. Look peau de mouton, marin. Du genre à aimer les voyages entre bonhommes. QUE entre bonhommes si tu vois ce que je veux dire. Les retours au port c'était quelque chose ... mais bon. J'ai débarqué ici seule, oui ! Puis j'ai rencontré les deux gars qui étaient là il y a encore trois minutes.

Elle agite vaguement la main en direction de la piste de danse.

- Et puis t'es arrivé ... et puis ... AH VOILA LES BOISSONS !

Elle acceuille avec un plaisir non dissimulé l'arrivée du verre promis. Un Cocktail avec petit parasol, paille et rondelle de fruit plantée sur un rebord. La grande classe. Elle prend le verre, le lève pour trinquer et soudain s'arrête, prise d'une allure sincèrement pensive. Son regard semble se perdre dans les nuances des différentes strates colorées de la boisson alcoolisée. .

- Le plus grand dilemme de l'Histoire. Est-ce qu'il faut mélanger comme une bourrinne ou aspirer lentement et continuellement en commençant par le fond et en remontant tout doucement ... ? Un avis sur la question  ... ?

Verre levé, prêt à tinter contre le sien, elle ne semble attendre que le verdict de l'homme sur ce débat philosophique de comptoir avant d'enfin trinquer et boire à son tour. Comment s'y prendra t'elle ? Mélange ou sirotage ... ? Qui pourrait le dire ?

Jason / Joanna

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Re : Saturday Night Fever ( Jason / Joanna - Physalis )

Réponse 3 jeudi 19 janvier 2023, 02:11:57

Le moins qu’on puisse dire, c’est que les deux idiots avaient du culot. Oser essayer de draguer une inconnue de cette façon… Ils seraient punis en conséquence, mais ça, c’est en offscreen ! Pour l’heure, c’est le démon la star du show et la satyre aussi ! Quand son verre lui fut pris, elle sembla bouder. Ignorait-elle vraiment ce qui allait se passer sans son intervention ? En tout cas, il l’écoutait bouder semblant presque le sermonner selon lui. Et bien ça pour une surprise ! Il ne s’y attendait pas, mais qu’importe…. Quand elle comprit qu’un autre verre lui serait servi, c’est comme une enfant qu’elle réagit. Elle semble s’adoucir comme si elle changeait de visage. Et ben dit donc ! Elle semblait être une vraie montagne russe en émotions, mais ce n’est pas pour déplaire le jeune mâle qui profite de la proximité pour analyser celle-ci. Une femme comme on en voit peu ! Le genre qui justement lui plait en général !

« Gagné au change ? Hmmm… Le temps nous le dira. Même si à mon humble avis… Oui ! Moi au moins je ne tenterais pas de mettre une drogue dans ta boisson hahahaha ! »

Voilà qui était fait et dit. Les autres n’avaient qu’à bien se tenir. S’ils avaient une petite gâterie… c’est bien glacé ou brûlé qu’ils termineraient leur nuit. Mais ne s’en souciant peu, il se concentra sur la demoiselle aux cornes réelles visiblement. Elle avait d’ailleurs une belle descente et profita de l’absence des deux condamnés pour soutirer leurs verres. Et bien quelle soif ! Le jeune homme se demandait s’il ne fallait pas prendre directement une bouteille ! Amusé, il la laissait donc répondre à ses diverses questions et reprit la parole. Il lui expliqua où ils étaient, à savoir le nom de la boite de nuit.

« C’est une boite assez connue, mais qui est surtout prise d’assaut quand des célébrités viennent mettre de l’ambiance comme ce soir. Être là, c’est avoir de la chance en tout cas ! »

Lui faisant un clin d’œil, c’est là qu’elle avoua que ce sont de vraies cornes. Montrant que c’est vrai, elle fit même une petite vanne à ce dernier. Amusé au plus haut point par son attitude voilà un moment qu’il n’avait pas côtoyé pareille demoiselle. Elle semble avoir de l’énergie à revendre ! Un bon point, car à ses heures lui aussi de beaucoup d’énergie à revendre en tant que démon qui plus est. D’ailleurs, la remarque sur les démons le fit rire et il observa celle-ci avec plus d’intérêt.

« Les démons dis-tu ? Il faut que tu sache… Les gens n’ont pas trop conscience des êtres différents. Mais par chance… » Il approcha de son oreille et lui dit à cette dernière. « J’y crois et plus que de raison. »

Mystérieux, n’avouant pas encore son appartenance, il reprit au sujet des démons.

« Oh en soit… Les démons en général font ce qu’ils leurs plait ! Non ? Qui plus est, l’amusement est une de leurs activités favorites. Mais et toi donc qu’es-tu ? Si tu as des cornes, tu es une hybride ou … un être plus mystérieux encore ? Ne t’en fais pas, je ne dirais pas ton secret à n’importe qui. »

Essayant de la mettre en confiance, il expliqua aussi la situation à savoir que ces deux humains tentaient de la droguer pour obtenir des faveurs. Généralement transformer celle-ci en simple objet et pas que sexuel. Si ça se trouve, ils auraient voulu ses cornes… Bref, n’insistant pas sur la chose, il voulait passer à autre chose : eux ! C’est ça le plus important se disait-il.
Se présentant à lui à sa suite, il sourit devant ce prénom. Charmant pensait-il. Et les boissons arrivèrent ! Une boisson avec divers étages colorés. Si pour l’homme d’affaire ce n’est pas une chose incroyable, pour la biquette cela semblait être tout nouveau et elle s’extasiait dessus. Sa question étonna le jeune homme qui fit tinter leurs verres tranquillement avant de porter le verre à ses lèvres.

« Hmmm… dilemme en effet. Pour ma part, j’aime pencher le verre et boire couches après couches. D’autres préfèrent mélanger directement. Mais personnellement, je pense que ce soit, je vais le savourer en admirant la ravissante partenaire que j’ai devant moi. Puis… si l’envie lui dit … Je lui proposerais d’aller danser ! »

Lui faisant un énième clin d’œil, il bu tranquillement un peu d’alcool curieux de voir comment elle elle le boirait. En tout cas, il eu même une autre idée et le lui confia avec amusement.

« Après pour les plus audacieux… On prend un peu de l’alcool du verre et … on embrasse l’autre pour partager l’alcool. Il parait que le goût devient plus … excitant ! »

Les jeux d’alcool ce n’est pas forcément son truc, mais jouer ainsi ça l’amuse. Il imaginait bien par exemple verser du miel le long de sa nuque et lécher la peau de cette dernière. Bien des idées lui venaient en tête, mais il ne fallait pas lui faire peur avec sa gourmandise voyons… Attendant de voir sa réaction, quand ils auraient bu un peu, si rien de particulier ne se passait, il dirigerait une main vers une des siennes pour alors lui faire signe du dancefloor. Le message était clair : s’éclater sur la piste !

Si elle acceptait son offre, il l’emmènerait alors sur la piste pour tenter de la faire vibrer ! Danser, c’est bouger, gigoter, se rapprocher, se reculer, tournoyer… D’une certaine manière, ils se chauffaient et d’ailleurs, si elle était dans le mood, à un moment donné un viendrait derrière elle presque l’enlacer telle une invitation. Pour au final se reculer. Une façon de la narguer. En tout cas, il essayait de la frustrer et surtout essayait aussi de ne pas se faire marcher sur les pieds, car un coup de sabot c’est clair que cela lui ferait très mal ! Vibant avec elle paisiblement en ce doux soir, l’homme montrait clairement son intention de se faire plaisir et d’ailleurs, encore une fois si elle le lui permettait ou si ce n’est pas elle qui le faisait avant, lors d’un rapprochement de face il prendrait son menton en main et lui sourirait de façon coquine.

« Tu danses à merveille ! »

Un compliment qui en dit long sur l’instant présent. Il kiffait la nuit actuelle !

Physalis

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Re : Saturday Night Fever ( Jason / Joanna - Physalis )

Réponse 4 jeudi 19 janvier 2023, 13:21:34



Boui ... l'information sur le nom de la boite ne la renseigne en vérité pas plus que ça. Mais ca n'a aucune importance. L'insouciance des Satyres est après-tout proverbiale. Qu'elle profite cette nuit, elle verra bien dans quelle situation elle se réveillera le lendemain. Il sera temps d'improviser. En revanche la nouvelle de la tentative d'empoisonnement lui tire une grimace.

- Arf les sagouins ... faire ca en début de fête c'est criminel.

Parce que en fin de fête ce serait OK ? Vraiment, cette créature a une échelle de valeurs morale qui lui semble propre ...

- Merci, du coups !

Elle écoute l'homme en face d'elle. Et à un moment, elle finit par vouloir réagir. Elle pose une main sur la hanche, lève un index et énonce avec emphase.

- Alors ... avant toute chose. Je vais t'oter d'un sérieux doute. JAMAIS tu me confonds avec une démone. C'est vrai que j'en ai les cornes, les sabots ...

Disant cela et pour faire démonstration, elle tend une jambe et vient "fort par hasard" caresser du bout du sabot le bas de celle de Jason.

... et j'ai rien à leur envier "ailleurs" si tu vois ce que je veux dire.

La déclaration lancée avec un ton concupiscent et un clin d'oeil entendu ne laisse en effet planer aucun doute sur le sujet. Elle écarte les bras et pivote d'un petit tour sur elle même. Elle s'immobilise quelques secondes alors qu'elle tourne le dos, relève le pan de sa jupe pour dévoiler la petite queue de chevrette qu'elle remue avec provocation et amusement. Son oeil pétille de malice un instant avant que d'un bref pivot, elle présente de nouveau sa face au Démon.

- Je suis une Satyre ! Une créature créée par les dieux de la nature, de l'abondance et du plaisir pour ...

Elle fronce un instant les sourcils. Quelle est au juste la fonction de sa race dans l'ordre cosmique ... ? Hormis égoistement faire la fête et foutre le bordel.

- ... faire des trucs ... divins. Vachement sérieux.  Genre récompenser les mortels méritants ...

Ceux capables d'organiser les évènements les plus orgiaques. Une valeur rarement approuvée par les religions modernes et c'est bien triste. La team marketing de chez papa Dionysos doit être sacrément mauvaise. Parce que sur le papier, vous connaissez beaucoup de gens qui refuseraient de signer si une religion proposait de danser boire et baiser à longueur de vie pour en plus être récompensés au final ? Non, évidemment ...

Elle écoute avec intérêt la réponsede Jason à propos de "l'Enigme des cocktails". Le compliment, facile et direct semble pourtant faire mouche car elle affiche un sourire lumineux.

- T'es pas mal non plus. Et oui ! Bien sûr que je veux danser !

Mais avant cela, il faut bien trinquer car le mouvement est amorcé. Les verres tintent et elle choisit d'utiliser la technique de la "paille qui remonte". Jusqu'à ce que son partenaire de boisson évoque "l'audacieux mouvement". Hors de question pour une Satyre de ne pas saisir une perche pareille. Elle a un rire joyeux et tire une loooooogue lampée sur la paille avant de se rapprocher de lui avec l'intention évidente de répondre à l'invitation. Elle vient coller son corps gracile au sien, glisse ses mains sur le col de sa chemise pour inciter l'homme à  se pencher et coller ses lèvres aux siennes. Grand comme il l'est, l'opération ne peut pas se faire sans un peu de bonne volonté de sa part. Elle laisse  le bienfaiteur s'abreuver à la source de ses lèvres.  La bouche de la Satyre ont un goût étrangement doux et fruité auquel a tôt fait de s'ajouter le goût de l'alcool. Elle ne se presse pas. Prolonge le baiser le temps qu'il faut pour que rien ne soit gaspillé et le fait durer même encore un peu davantage. Douce, passionnée il y a dans ce contact quelque chose d'enivrant et pour tout dire de surnaturel, propre à faire tourner la tête à n'importe quel mortel.

Mais inévitablement, leurs lèvres viennent à se séparer. Avec malice, Physalis glisse.

- Je te le devais bien. Merci pour le verre.

Il est donc temps d'aller danser ! Quel que soit le degré de chauffe qu'a pu provoquer le contact avec la créature, elle ne semble pas vouloir abandonner l'idée d'aller se trémousser sur la piste ! Sauf que évidemment, il y a un gros détail à régler avant. Elle vide son verre à cocktail qui avait déjà été bien entamé mais ne s'arrête pas là. Les deux verres d'alcool blanc laissés par les deux gars de tout à l'heure sont tour à tour avalés d'une traite.

- Wouh ! La danse maintenant !

Ca encaisse, une Satyre ! Elle a des siècles d'entrainement et possiblement une biologie très adaptée à l'ingestion d'alcool. Pourtant, avoir un organisme totalement immunisé à l'alcool serait d'une tristesse infinie pour une créature dont l'ivresse est un mode de vie. Alors les trois verres avalés dans un estomac vide produisent quand même leur petit effet. Les joues se colorent et prennent une jolie couleur de pêche alors que les yeux deviennent brillantes.

Elle prend la main du démon et se laisse entrainer au milieu de la foule ! Plus petite que la plupart des gens ici et loin d'être dans un lieu familier, elle lui fait confiance pour mener la route et trouver leur petit coin de dancefloor où cette fois, elle se lâche et s'en donne à coeur joie ! Ah quel plaisir de voir ce petit bout de cabri se tremousser sans retenue, au rythme de la musique électronique. Elle a le tempo. Elle a de l'énergie à revendre. Et elle n'a surtout aucune honte à exprimer la musique avec son corps ! La danse est l'expression corporelle ultime. Le langage le plus naturel et simple qui s'affranchit de tout vocabulaire superflu.

Et il n'y a besoin d'aucun traducteur pour comprendre ce que ses mouvements disent : Je suis heureuse / J'aime la vie / Yep tu me plais. Ah oui ce dernier point est très éloquent. Elle répond aux rapprochements de Jason sans complexe, jouant le jeu du coller-serré, laissant les mains se ballader parfois avec malice sur le torse ou les bras du danseur. Est-elle frustrée quand celui-ci s'éloigne par jeu ? C'est bien possible ! Mais ca fait partie du jeu de séduction. Où serait le plaisir si il n'y avait pas d'enjeu ni d'ambiguïtés ?

Confidence pour confidence, elle répond d'une voix forte pour espérer pouvoir se faire entendre au milieu du bruit.

-T'es plutôt doué aussi ! Au moins pour la danse !

Sous-entendu équivoque qu'elle n'a pas pu s'empêcher de faire. Les Satyres sont des allumeuses, impossible d'aller contre cette nature. D'ailleurs puisque monsieur joue à faire le difficile, voilà la chevrette qui s'amuse à se rapprocher d'un autre gars situé à quelques pas d'eux. Un baraqué, moins grand que Jason mais qui compense avec des bras qui laissent supposer quelques belles heures passées à soulever de la fonte dans une quelconque salle de sport. La Satyre vient se coller à lui pour danser, sans beaucoup de subtilité mais avec une certaine efficacité à en juger par l'expression surprise mais ravie du costaud. Suivant les rythmes de la musique, les deux se rapprochent dangereusement sans que le regard de Physalis ne quitte celui de Jason. La manoeuvre manque fort peu de subtilité mais elle est effectuée avec une grâce espiègle. Un appel du sabot pas discret pour un sous destiné à titiller la jalousie de Jason.

Les yeux de la Satyre lancent une question muette qui donnent l'impression de dire.

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Jason / Joanna

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Re : Saturday Night Fever ( Jason / Joanna - Physalis )

Réponse 5 jeudi 19 janvier 2023, 15:31:45

Laissant la satyre réagir à diverses choses, l’homme devait avouer que la demoiselle semblait avoir une morale discutable. Mais il n’en dit rien. En tant que démon, lui-même n’est pas blanc comme neige, c’est le cas de le dire. Se laissant remercier, il l’écouta parler et visiblement donner son avis sur les démons. Elle n’en était pas un ? L’avait-elle accusé ? En tout cas, il aimait bien sa franchise et semblait vouloir mettre les points sur les I. Que grand bien lui fasse, elle ne serait pas traitée comme une démone, bien au contraire. Quand elle montra d’ailleurs quelques attributs, il vint à hausser un sourcil. Elle ne semble pas du genre pudique et ce n’est pas sa tenue qui dirait le contraire. Amusé, il montre lui aussi un regard pétillant d’une malice bien démoniaque tandis qu’il imagine encore plus de choses. Les satyres sont souvent mélangés avec des créatures infernales de part leur moitié bouc et humain… Or, le bouc est la créature de Satan !!!  La laissant vendre sa propagande, il la laissait dire ce que sont censés faire les satyres et ne se priva pas de parler en même temps qu’elle, cela donnant une scène assez amusante.

« Pour faire des trucs … Divins ! Très sérieux, comme récompenser des mortels et … S’amuser ! »

C’est gentiment dit, bien entendu, il connait les nombreux dessins qui les représentent et généralement c’est tout sauf seuls ! Ils sont généralement à l’origine de nuits endiablées à plus de cinq pour ne pas dire le double ! Aaaaah.. Voilà un moment que l’homme n’a pas cédé à bien des pulsions. Riant en tout cas sans se moquer, il devait trouver la chevrette assez amusante et légère à vivre, ce qui le change des gens qu’il côtoie en général.
Proposant de danser, avant cela ils boivent un peu et contre toute attente, la demoiselle le surprend. En effet, alors qu’il avait balancé une boutade, voilà qu’elle le prend aux mots et l’embrasse avec la ferme intention de laisser couler le breuvage de bouches à bouches. Saisit au col, l’homme comprends son intention et posa une main sur sa gorge comme pour garder un semblant de contrôle. Jouant de différentes hauteurs, il fait circuler le liquide d’une bouche à l’autre, la langue venant titiller sa jumelle brièvement alors que le liquide passe d’une cavité buccale à l’autre. Le goût de l’alcool se mixe à la douceur de ses lèvres et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’elle connait son domaine !
Rompant le baiser après un moment, un fin filet de salive les relie mais se brise aussitôt alors quelle le remercie pour le verre. Un remerciement auquel il répond sans attendre, ayant clairement apprécié le geste.

« De rien… Quand tu veux pour recommencer hehe. »

L’air taquin, il ne semblait pas contre reproduire le geste. Lui un saint ? Allons… Lui et elle se sont bien trouvés on dirait en ce doux soir. Elle termine tous les verres présents comme une morte soif et s’élance avec lui sur la piste ! Satyrday Night Fever !

Le courant semblait clairement bien passer entre eux. Et pour cause, lors des danses, les deux se cherchaient ouvertement ! Celle-ci répondait tout aussi naturellement que lui à ses appels et tout deux se titillaient de façon subtiles ou plus directes. Lui qui était venu se changer les idées, il avait trouvé là la partenaire idéale qui ne se prenait pas la tête ! Pour sûr, il ne sait pas comment finira la soirée, mais il veut déjà avoir un lien avec cette dernière. La revoir éventuellement.
En tout cas, il se plaisait à voir ses différentes actions et rendait coups pour coups à celle-ci jusqu’à ce qu’elle joue sur une corde bien sensible : la jalousie ! Voyant cette dernière approcher un autre homme, il bouillit intérieurement de voir celle-ci le chauffer mais compris aussi son petit jeu. Voilà qui est bien épicé, tout ce qu’il aime ! Se mordant la lèvre, il la foudroya sur place, l’air clairement de dire : tu ne paies rien pour attendre ! Voulant lui faire payer à sa façon, il trouva aussi une minette qui collait au cliché de la blonde aux gros seins, malheureusement, celle-ci n’était pas bonne danseuse… Alors en l’invitant, il se fit marcher sur les pieds ! Au diable l’embrassade, il la fit tournoyer quelques secondes et la renvoyait dans la foule avant de revenir auprès du cabri malicieux.

Si la belle avait encore son partenaire de face, c’est par derrière qu’il viendrait doucement se presser contre elle, bassin contre fessier. Une main venant effleurer une corne, il ne touchait pas directement ne se sentant pas encore assez sage. Au contraire. Son visage allant vers sa nuque, il l’embrassa subtilement avant de lui susurrer à l’oreille quelques mots taquins.

« L’autre partenaire n’a pas de sabots… Mais était terriblement maladroite… Et toi ? Ton Apollon est-il doué ? »

Caressant sa taille pour débuter un peu de coller-serré, il frémit en sentant son corps frêle et pourtant plein de malice. Restant ainsi un petit moment à la chercher, il finit par de nouveau approcher de ses oreilles en pointe et en mordiller une avec tendresse avant de lui glisser à l’oreille quelques mots taquins.

« Les démones… Tu serais contre les revoir ? Ou bien … plus on est de fous, plus on rit ? »

Audacieux, ne s’étant pas présenté comme démon, il passerait sans doute pour un humain qui a l’amour de l’exotisme. En tout cas, une main caresserait son ventre pour remonter jusqu’à ses doigts jusqu’à ses lèvres, les caressant avec un mouvement tendancieux. Se sentant gourmand, il la fit tournoyer et sourit à l’autre danseur, signe qu’il l’emprunterait encore quelques instants. D’un geste expert, il tenta de la faire se cambrer en arrière, tenant son dos d’une main habile et un bras de l’autre tel un tango endiablé. Se penchant avec elle mais la maintenant debout, il embrassa sa nuque, manquant de faire raper ses canines tel un vampire avant de la redresser et plonger dans son regard. Dardant la langue, il viendrait flatter ses lippes en lui donnant droit à un clin d’œil tout ce qu’il y a de plus coquin.

« Les Satyres sont synonyme de gourmandise non ? Qui penses-tu dignes ici… de nous accompagner pour une autre danse… Plus tard ? »

Jouant aussi sur les mots, son regard lui ne laissait aucun doute quant au type de danse : une danse à l’horizontal ! A deux, a quatre si les démones venaient ou plus … Il montrait en tout cas ses couleurs petit à petit, semblant bien entreprenant depuis leur petit jeu. Aurait-elle réveillé la bête ? En tout cas il était prêt à lui donner autant qu’il recevrait ! Dansant et s’amusant comme un fou, c’est au détour d’un pas de danse qu’il lui avoua à l’oreille toujours sur un ton suave.

« Si tu le veux… Je renonce à mon droit de sommeil ce soir ! »

Les dés sont jetés !

Physalis

Créature

Re : Saturday Night Fever ( Jason / Joanna - Physalis )

Réponse 6 jeudi 19 janvier 2023, 16:55:48

Le manège de Jason avec la blonde semble beaucoup amuser la Satyre qui ne rate pas une miette de la scène. Voit t'on une étincelle jalousie naître dans son regard pendant qu'elle danse avec le barraqué ... ? Visiblement non. Elle est soit très partageuse soit au contraire sûre d'elle au point de ne pas se sentir menacée. 

Et puis ... Jason finit par revenir. Alors qu'elle dansait avec "monsieur muscle", elle sent le contact de son bassin derrière elle. Loin de chercher à échapper à ce contact audacieux, elle ondule au contraire à son contact, continuant de suivre le rythme de la danse tout en imprimant des mouvements très provoquants. La petite queue en houpette émergeant parfois du bord de la jupe se presse subtilement et en rythme contre le bas-ventre de son partenaire. Elle même, chauffée à la fois par l'alcool et par la situation semble loin de rester indifférente ... La petite flamme d'excitation semble allumée en elle et elle ne la quittera pas tant que le démon continuera à jouer avec elle ainsi.

De son côté, monsieur muscle semble plus que perplexe. Il hésite visiblement entre plusieurs attitudes. Jouer les coqs, pour s'imposer face à ce rival malvenu ? Se détourner vers ... (oh hasard) ... une blonde plantureuse délaissée ? Sa confusion n'en est que plus grande quand Physalis qui se fait titiller par le Démon regarde droit dans les yeux le costaud alors qu'elle commente sans pudeur.
 
- Il est pas mal "Apollon". Joli corps, pas farouche. Il donne envie.

Elle se tait quelques instants, le temps de laisser une fois encore la jalousie monter un peu avant de tourner la tête, chercher un instant à happer les lèvres de Jason et souffler à son attention unique.

- ... mais le physique fait pas tout. C'est l'Attitude qui compte. Et il est possible que ... tu sois un peu au dessus de ce point de vue.

Elle se fait mordre l'oreille (une partie sensible, sachez le !) et en frissonne. Un frisson qui se transforme en léger gloussement en entendant la proposition indécente formulée par le démon. Le jour où un.e Satyre dira "non" à une proposition honteusement décadente, sachez que deux choses auront pu se produire.

> Soit votre mise aura été en dessous du prérequis et déclinera parce qu'il a des plans autrement plus fumants en tête.

> Soit votre mise aura été cosmiquement trop haute au point de même réussir à choquer ces créatures dont la débauche fait partie de leur essence. Dans ce cas quelque part, cela mériterait une médaille du dieu de la décadence lui même ainsi qu'une mention honorable dans plusieurs livres de psychiatrie.

Puisque la proposition d'une partie de sabots jambes en l'air à plusieurs ne fait clairement partie d'aucun de ces deux extrêmes, Physalis s'exclame.

- Un mec pour trois ?! T'aurais plutôt intérêt à assurer ...

Et bien sûr elle ne semble pas une seconde s'interroger sur le fait que cet homme apparemment "normal" soit en contact avec deux démones voire leur commande. Soit elle n'est pas en état de réfléchir à la question soit son insouciance proverbiale la pousse à s'en ficher royalement !

Quant à l'idée de la proposition ... Les jeux féminins sont distrayants. Un peu. Mais rien ne vaut un membre masculin aux yeux de la Satyre quand il s'agit de passer à l'action ! Elle est partageuse la Physalis, mais avec modération. Les ressources masculines s'épuisent vite, même en tenant compte de l'incroyable vigueur que la proximité d'une Satyre peut magiquement apporter. La validation est tacite donc, mais visiblement soumise à condition de performance.

Docile pour l'heure,  la danseuse suit les mouvements proposés par l'homme et se tortille sous chacune des caresses. Elle happe les lèvres qui lui sont tendues, laisse les mains de l'homme se balader où bon elles veulent. Et tout cela, sans jamais perdre le rythme de la danse. Elle s'immobilise debout après avoir frôlé de très près la station horizontale quand elle a été renversée en arrière.

grand costaud est encore là. Elle affiche un large sourire, entendu et prononce distinctement.

- ... ou d'apporter des renforts avec toi.   


Aubaine ou coups foireux pour le mec bodybuildé ? Lui même a du mal à sembler sûr de la question ...

- Dormir c'est surfait, tu sais. Allons-y !


Une manière de répondre à la question de Jason. Elle est visiblement prête à le suivre dans ses délires, qu'importent où ils vont mener pour l'heure ! C'est une carte blanche qui lui est donnée. Paroles en l'air de mâle qui veut se la jouer ou véritable plan partouze en train de se monter ? Qu'importe, Physalis sera là pour y assister ! 

Jason / Joanna

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Re : Saturday Night Fever ( Jason / Joanna - Physalis )

Réponse 7 vendredi 20 janvier 2023, 00:07:50

Des fois, il suffit d’une petite étincelle pour déclencher les plus gros incendies et ce soir, c’est le cas. L’étincelle a trouvé preneur ou plutôt preneuse ! Cette Satyre mettait dans tout ses états le jeune homme qui imaginait mille et une choses en ce doux soir. Après un moment à jouer des sentiments d’autrui, l’homme revint à sa principale beauté abandonnant une empotée de service pour revenir à la belle biquette. Cette dernière était une vraie flamme vivante et quoi de mieux que de se réchauffer ?

Quand le mâle se pressa derrière elle, cette dernière répondit aussitôt en pressant son fessier à son bassin. Un contact des plus divin qui initiait bien des choses. Un soupire et une morsure de sa propre lèvre devant un tel mouvement excitant ! La belle venant chercher ses lèvres, il répond au bref baiser tandis qu’elle donne droit à son avis. Oh ? C’est flatteur de se savoir au-dessus d’un autre et cela le rassurait, car l’homme est du genre compétitif surtout en termes de femmes. Il reste un démon après tout !

D’ailleurs en parlant d’être démoniaque, le jeune homme semble avoir bien des idées et il les dit à l’oreille de la belle chevrette. Cette dernière répond alors une chose simple mais sincère : il a intérêt à assurer. Le moins qu’on puisse dire, c’est que son égo est piqué à vif, mais elle a aussi raison. S’il connait l’endurance de ses deux comparses… Du côté de la Satyre il n’en sait rien. Serait-elle la gourmandise de trop ? En tout cas, il reste collé à elle, caressant son ventre plat la plaquant contre lui.

« Je me sens prêt à relever le défi ! »

Séduisant celle-ci de façon subtile, il jouait des positions, des proximités et soufflait contre sa peau de diverses façons. Elle se permit même de faire une proposition et cela excita l’homme. Des idées lui vinrent en tête et il se mordit la lèvre. Allait-il reproduire une de ces fresques antiques où l’on voit une satyre au cœur d’une orgie intense et sensuelle ? Il vint embrasser sa joue avant de glisser vers ses lèvres pour lier sa langue à la sienne. Visiblement les dés sont jetés et il sourit en coin.

« Hmmm… Bien… Je vais voir qui pourrait être disponible pour nous… D’une certaine manière, la température montera crescendo ! »

Lui faisant un clin d’œil, il l’invitait à le suivre pour alors l’emmener vers la sortie. Faisant signe à ses comparses, ces dernières se faufilèrent dans son ombre et tout deux pouvaient partir dans sa berline qui l’attendait dehors. Le chauffeur se montrant surpris par la présence d’une invité d’un nouveau genre, il ne tarda pas à annoncer leur destination : le pavillon ! L’immense voiture se mit en route et durant le trajet, l’homme ne pu s’empêcher de caresser une de ses cuisses et parfois embrasser sa nuque ou directement ses lèvres, promettant monts et merveilles. Bien entendu, il n’en faisait pas trop ! Car si parler est bien, il est plus dans l’action et d’ailleurs, il l’invita sur ses cuisses lors du trajet pour mieux pouvoir la câliner.

« J’espère que tu ne seras pas déçue, mais ça, c’est à moi de gérer et j’y compte bien ! »

Glissant une main sous sa jupette, il se mordit la lèvre et titilla sa petite queue touffue tandis que l’autre caressait sa cuisse velue. Les sabots cela peut étonner, mais lui semblait adorer son exotisme et le lui faisait savoir lors de caresses sulfureuses et … audacieuses. Une main palpa son fessier, pressant son corps contre le sien. Le chauffeur lui de son côté ravalait sa salive, voyant l’homme clairement prendre son pied sans aucune pudeur. L’intimité ça le connait ? Absolument pas !!!

Arrivant alors devant une charmante villa, il l’invita à descendre de la voiture après une énième embrassade et lui montra l’extérieur. Un petit jardin entretenu servait de mise en bouche, puis une fois entrer, ils pourraient admirer une belle salle de vie spacieuse où chacun pourrait clairement trouver son bonheur. D’ailleurs, avec un regard furtif, elle pourrait capter qu’il y avait une pièce « piscine ». A l’étage se trouvait une sublime mezzanine avec une chambre immense et avec une vue sur la ville. De quoi bien rêver !
La décoration elle était assez diverse. Des coins étaient nippons, d’autres plus exotique comme les îles. Bref… De quoi voyager.
La laissant admirer, il resta à ses côtés et caressa le bas de son dos, lui laissant le temps de s’imprégner des lieux. Cependant, sa nature revenait à la charge et parfois, il embrassait sa nuque avant de s’exprimer de façon tentatrice.

« J’espère que la vue te plait car … La nuit et le temps qu’il faudra… tu pourras rester ! »

Ne tenant plus, il l’embrassa chaudement pour alors la soulever férocement et la déposer sur un meuble. Pressant son bassin au sien, il sourit en coin et l’admira de sa position à peine plus basse.

« Mes … amies arriveront après, idem pour des invités… Profitons ensemble pour débuter, qu’en dis-tu ? »

N’attendant pas de réponse, il embrassa sa nuque et y déposa un doux suçon, promesse d’une nuit infernale. Ses mains caressant l’intérieur de ses cuisses, il l’invita à le ceinturer avec envie et sans même s’en rendre compte, il laissait émaner de lui des phéromones et … sa salive devint aphrodisiaque, rendant ses baisers d’autant plus délicieux.

Le brasier débutait entre eux !

Physalis

Créature

Re : Saturday Night Fever ( Jason / Joanna - Physalis )

Réponse 8 vendredi 20 janvier 2023, 10:08:10

Changement de décor pour la soirée, donc !

Bye bye le Nine Live et DJ E-Motion. Adieu grand Apollon barraqué, Jason n'aura pas essayé de l'emmener avec eux ! La Satyre aura embrassé ses doigts puis soufflé un baiser en direction de l'Adonis éconduit.

Physalis se laisse entrainer vers la sortie et semble soufflée au moment de sortir. Son regard se lève vers les ahurissantes structures de verre et de métal qui forment le centre-ville de Seikusu. Les rues quasiment désertées à cette heure sont illuminées par les centaines d'enseignes lumineuses au néon. Plus haut, seules quelques fenêtres de buildings sont éclairés, laissant entrevoir de minuscules et lointains petits clapiers dans lesquels vivent des familles.

- Woaw

Souffle t'elle à ce moment. Un murmure à mi chemin entre la stupéfaction et l'émerveillement. Elle se laisse pourtant entrainer vers l'avant, tenue par la main. Elle fait confiance à son amant du soir pour gérer quelque chose d'aussi trivial que gérer leur trajectoire. Elle reste le nez en l'air à contempler la mégapole.

Le couple finit par rejoindre la berline. La portière lui est ouverte et hop, d'un bond joyeux la voilà qui prend place sur la banquette arrière, bientôt rejointe par Jason qui l'invite à se jucher sur ses genoux. Le démon semble vouloir profiter de l'intimité fort relative de la voiture (bonjour le chauffeur !) pour entamer certaines approches. Parfait ! Les lumières de la ville sont une source d'attraction fascinante pur la Satyre ... mais que sont elles comparées à un homme prêt à entamer les préliminaires d'une soirée de galipettes ?

Une fois encore et sans surprise, elle répond favorablement aux sollicitations. Assise sans complexe sur les genoux de l'homme, elle offre son corps aux caresses les plus osées et encourage même son amant à aller plus loin encore encourageant ses mains exploratrices à descendre jusqu'au son petit mont de Venus ou abaissant son top pour mettre à nu une poitrine surnaturellement ferme et voluptueuse. Elle même, ne se prive pas. Ses lèvres pressent celles de Jason. Elle l'embrasse sans retenue et avec passion, ne rompant le contact que pour lui mordiller la bouche ou le cou.

Remarque t'elle les coups d'oeils fiévreux régulièrement jetés par le chauffeur dans le rétroviseur ?  Sans doutes. Et soit elle s'en moque, soit au contraire elle en profite, ravie d'offrir un spectacle à l'homme dont la soirée a jusque là été certainement très ennuyeuse.

Les mains de la cornue ne sont pas en reste au cours du trajet. Elles se baladent avec au moins autant d'audace que celles de l'homme. Elles ouvrent la chemise, caresses la peau à nu et sur la dernière partie du trajet, flânent autour du bas-ventre de l'homme avant de carrément ouvrir la ceinture et essayer d'en sortir l'engin. Elle en est à essayer de changer de position sur la banquette avec l'intention manifeste de prendre en bouche la chose quand soudain, le chauffeur annonce d'une voix mal assurée.

- Hum ... nous sommes arrivés messieur dame ...

Ah oui ... c'est vrai qu'il existe, lui ! Visage rouge, bosse proéminente dans son uniforme et casquette baissée sur les yeux pour ne pas risquer de croiser le regard des "patrons", il semble lui aussi VRAIMENT se demander ce qu'il fait là. L'annonce fait réagir la chevrette qui avait la bouche ouverte, prête à enfourner la friandise de chair qui s'offrait à elle.

- Déjà  ? ? ?

Elle se redresse. Regarde par la fenêtre. Et prend l'ampleur du décor qui les entoure.

- Désolée mon grand, c'est partie remise.

Elle murmure ces mots d'un ton sincèrement désolé. Vous pensez ces paroles adressées à Jason ? Ah, non ! Elle a chuchoté ces mots au membre viril avant de déposer un baiser sur le bout du gland et aider Jason à remettre tout ça dans le pantalon. Elle même rajuste ses vêtements en vitesse. Jupe baissée, petit haut remonté. Et hop ! La voilà qui s'extirpe de la voiture non sans une œillade pour le pauvre chauffeur qui lui tient la porte.

Elle se prête au jeu du tour rapide de la maison. Les jardins, check. Il fait froid mais c'est toujours bien pour la vue. L'intérieur, check. Vaste, spacieux, luxueux. Elle est pas tombée chez n'importe qui. Piscine intérieure et chauffée , yay ! Ca c'est la fête. Et puis évidemment ... son sixième sens Satyrien détecte immédiatement l'emplacement du bar à alcool. Un lieu qu'elle se fera un devoir d'aller piller un peu plus tard dans la soirée !

- Enorme, on va s'amuser !

C'est ce moment que choisit l'hôte des lieux pour passer à l'attaque. Elle pousse un cri de ravissement quand elle se fait soulever. Elle l'entoure de ses bras, écarte largement ses cuisses et l'enserre de ses sabots. Elle l'entend promettre que "d'autres viendront plus tard". Qu'importe. Les promesses d'ivrogne elle connait. Peut-être qu'effectivement le démon est sincère et que la soirée finira en partouze mémorable. Mais peut-être que pas. Elle s'en moque pour l'heure. L'insatiable Satyre a quelque chose à se mettre sous la dent devant elle et c'est bien ce qui compte.

Et soudain survient l'inattendu. Jason fait appel à ses pouvoirs. Sur elle ! Une créature déjà dominée par de puissants instincts sexuels. Est-ce que c'était bien nécessaire d'exciter davantage une Satyre déjà chaude comme la braise ?  Pas une seconde, vous vous en doutez bien. Si la créature a su refreiner "un peu" ses instincts jusque maintenant, là c'est terminé.  Elle semble secuée par un electrochoc et prend d'assaut l'homme avec une vigueur et une animalité insoupconnée. Elle arrache la chemise, s'attaque au pantalon avec des gestes fébriles, se colle à ses lèvres tout en répétant avec frénésie.

- Ohputainputainputainmerdemerdemerdeprendsmoiohouisputainlàtoutdesuitevitebordel

Ses propres vêtements volent, écartés ou arrachés à la sauvage. Seul compte pour l'heure de dégager la voie pour entamer un coït aussi brutal qu'instinctif. Elle aurait pu prendre le temps de s'étonner de vois sa chatte joliment épilée, comme c'est la mode ici dans ce monde. Petit cadeau de la magie qui l'a amenée ici. Mais non. La propriétaire de ce sexe offert est bien trop frénétique pour s'en étonner. Seul compte à présent la satisfaction immédiate du désir impérieux créé par la magie du démon. Malheur à Jason si il lui prenait l'idée malheureuse maintenant de se refuser à cet avatar de la luxure chauffé à blanc.

L'emploi de pouvoirs était elle une idée géniale ou le début d'une malheureuse suite de réaction en chaîne ? Jason semble sur le point de le découvrir !

Jason / Joanna

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Re : Saturday Night Fever ( Jason / Joanna - Physalis )

Réponse 9 dimanche 19 février 2023, 21:30:45

La soirée promettait d’être enormément intense pour le démon. Les satyres sont des créatures rares de nos jours, mais c’est surtout leur représentation qui est surprenante. Incarnation d’une luxure et d’une ivresse assumée, bien des rumeurs circulent sur eux. Pour le démon, c’est une chose étonnante, mais il n’allait pas passer à côté de l’occasion de bien connaître une créature de ce genre ! Lui-même de nature démoniaque, il ne dira jamais non à un moment de pur bonheur en charmante compagnie ! Si l’aspect bouc peut déranger certains ou certaines, du côté de Jason ce n’est absolument pas le cas ! Physalys est un être charmant de la tête aux sabots et il allait clairement lui faire comprendre !

Arrivant chez lui, il lui fit voir l’étendue de son luxe sans trop en faire. Celle-ci assurait qu’ils allaient s’éclater et ça, le jeune homme ne pouvait qu’être d’accord avec elle ! Lui montrant qu’il comptait bien la dévorer vivante, il apprécia sentir ses cuisses se refermer sur lui et usant de son don, il la sentit devenir fébrile. Est-ce qu’elle craque déjà ? L’effet semble immédiat et pour son plus grand plaisir, voilà qu’elle déchire son habit, et dénude celui-ci. Tendu en bas, il semble clairement prêt à l’action, c’est certain ! Le sexe du mâle chauffé à blanc  est prêt à fondre au cœur de ses entrailles et il résiste autant que possible à cette envie juste pour la frustrer encore un peu. L’embrassant de façon anarchique, savourant sa nuque et ses lèvres ainsi que sa langue, il arrive à souffler quelques mots, comme pour la rassurer.

« Je vais te prendre oui… Ici… Ce soir… mais avant ! »

Ni une ni deux, saisissant ses cuisses, il la soulève plus haut. Avec force, il la monte plus haut et la bloque en l’air avec sa tête. Entre ses cuisses désormais, il embrasse sa chatte, sa fleur épilée et savoure ses pétales. Sa langue s’occupant de l’extérieur, bien vite il vient s’occuper de l’intérieur, adorant le goût du nectar qu’elle produit ! Un cunni, une bonne entrée en matière pensait-il. Avec un peu de chance, elle le bloquera un instant avec ses sabots, le forçant donc à s’occuper de son antre telle une bouche secondaire ! Et des pelles il allait lui en rouler ! Des bruits aqueux se faisaient entendre, mêlés à son gémissement de satisfaction. La satyre était une sucrerie que le démon pourrait consommer toute la nuit, toute sa vie même ! Sans doute est-ce à cause de sa solitude, de son manque de relation réelle avec quelqu’un… Mais là, il est en feu grâce à elle !
Bouffant son antre avec gourmandise, l’homme attrapa une de ses mains pour serrer celle-ci, signe de sa présence affirmée. Faisant cela un moment, il essaya de l’emmener jusqu’au point de jouissance, sans l’y amener pleinement ! Car si elle osait trembler, il s’arrêterait pour alors la déposer de nouveau sur la terre ferme et l’embrasser lourdement, se plaquant bien à elle.

« Putain… C’est bon… »

C’est le cas de le dire, mais …. Le meilleur est à venir. Le souffle déjà un peu en surchauffe, il soulève une de ses cuisses pour bien se positionner, la pointe de son sexe se mettant contre sa rose. La fixant, il envoyait clairement le message suivant : prête ? En tout cas lui l’était et il ne se fit pas prier pour répondre à son souhait de tout à l’heure ! Son sexe poussa les portes du Nirvana pour être aussitôt aspiré par celle-ci. Entrant dans le paradis de chaire qu’elle a, l’homme sentait sa luxure exploser. C’est comme une douce caresse en continu ! Ses chaires épousaient sa forme avec une précision chirurgicale. S’engouffrant jusqu’au bout, son gland embrassa les tréfonds de son être luxiriant et il souffla de plaisir et sourit à cette dernière.

« Putain que c’est bon… Tu es enivrante tu sais ça ? »

Et sans réellement attendre un instant de plus, il commença à bouger pour se retirer et revenir entièrement en elle ; débutant un long et plaisant va et viens. Le rythme accéléra petit à petit et son souffle se perdit au fur et à mesure. Baiser cette satyre était clairement une chose que l’homme appréciait, mais ce qu’il voulait s’était aussi ses impressions ! La prenant debout un petit moment, il se dirigea vers un canapé pour s’y asseoir et la laisser ainsi connecté à lui. Une main baladeuse caressa sa queue de bouquetine et il lui mit une fessée sur son cul de déesse. Assis, surplombé par celle-ci, il lui dit en grapillant toujours plus sa nuque entre deux coups de rein.

« Aller… B.. Bondis … Sautille donc sur moi… Epuise moi autant que je vais t’épuiser ! »

L’homme voulait craquer avec elle, toute la nuit. Voir… Plus ?

Physalis

Créature

Re : Saturday Night Fever ( Jason / Joanna - Physalis )

Réponse 10 vendredi 24 février 2023, 15:51:51

Allez essayer d'expliquer à une Satyre chauffée à blanc le concept "d'attendre"  on vous promet bien du plaisir ... Le "pauvre" Jason ( ou "fortuné" ? C'est une question de perspective) allait l'apprendre à ses dépends.

Si sa force lui permet de soulever la Satyre et de lui offrir les hommages que les gentlemen proposent aux lady les plus distinguées, ce genre de préliminaire malheureusement ne suffit pas pour combler les attentes de la créature dont les appétits sauvages  ont été aiguisés par les phéromones ... Tremblante, impatiente, elle prend à deux mains la tête de son amant du soir et le force à aller plus loin, plus vite, plus fort. Elle bouge le bassin, ondule, frotte son intimité sur la bouche de l'homme dans l'espoir d'y tirer le  plus de plaisir.

Ses soupirs de plaisir se mêlent à des manifestation d'impatience voire de frustration quand celui-ci s'amuse à l'amener au bord de l'orgasme et à la laisser plantée là, à la frontière d'un entre-deux tout à fait insatisfaisant ! L'exaltation ressentie par le démon ne semble pas du tout partagée. Il était temps qu'il la dépose au sol et passe enfin aux choses sérieuses !

Basculée sur le dos, elle l'attire à elle avec fébrilité. Elle s'agrippe à ses épaules, verrouille ses jambes autour de son bassin pour ne lui laisser aucune chance d'échapper à ce qu'elle estime être son devoir. Et quand enfin le démon consent à entrer en elle, c'est la libération. Elle ferme les yeux, pousse un cri où plaisir et soulagement se mélangent.

-Ah ouuuuui Enfiiiiin ! Vas y ! Vas y ! Vas y fort !

Chauffée comme elle était, amenée à deux doigts de l'orgasme, il ne faut que quelques coups de reins pour la pousser à exploser. Elle jouit violement, arquant son corps sous le sien et s'agrippant avec désespoir à ce qui passe sous ses mains. ( RIP la chemise à laquelle elle vient de s'agripper ... le tissu du canapé ne finira pas en meilleur état. Mais est-ce qu'un homme riche comme Jason sera du genre à s'en émouvoir ?). L'orgasme la secoue de longues secondes au cours desquelles elle perd haleine et est prise de spasmes incontrôlés et violents. Son entrecuisse s'inonde des fruits de sa jouissance, venant couler le long de ses jambes et enduisant le membre viril davantage encore.

Cette première jouissance à peine achevée, la Satyre rouvre les yeux. Son regard brûle du même désir inextinguible et bien loin de vouloir mettre fin aux hostilités.

- Enivrante, hein ? Je n'en ai pas fini avec toi ! Tu n'en es qu'à la première gorgée.

Ce n'est donc que le commencement aux yeux de la bouquetine qui se laisse changer de position, puis fesser avant d'adopter la posture "dominante" de la situation. L'ordre donné de "sautiller sur lui" ne semble pas avoir l'effet escompté. Cuisses écartées, Jason toujours en elle, la Satyre ondule plus qu'elle ne tressaute. Lentement, elle avance et recule son bassin en un coït lent, apte à entretenir "la flamme" de son amant. Un sourire sauvage étire ses lèvres alors qu'elle pose ses mains sur les joues du démon, le pousse à rejeter la tête en arrière et mordille avec appetit ses oreilles et son cou.
 
Elle titille le lobe du bout des lèvres, s'amuse avec le rebord de sa langue en descendant le long de la nuque. Et sans crier gare, elle plaque soudain ses lèvres au creux de l'épaule de l'homme, imprimant sur sa peau un suçon  aussi sauvage que visible. Ce n'est qu'une fois son amant marqué qu'elle consent enfin à reprendre des mouvements plus marqués.  Avec une énergie et un rythme croissant, elle soulève son postérieur et le laisse retomber, laissant glisser l'épieu de chair en elle de la pointe jusqu'à la garde. Et elle recommence. Petit à petit plus fort. Plus vite. Plus sèchement. Chaque mouvement provoque en elle un soupir d'aise qui accompagne le claquement provoqué par la rencontre des deux corps. La créature parait enflammée, infatigable. Capable de tenir ce rythme et de l'imposer à son partenaire jusqu'au point du jour s'il le faut voire même davantage.
 
Emportée par le plaisir, elle rejette la tête en arrière et ferme les yeux. Ses deux mains viennent saisir ses seins que les mouvements de va et vient du couple faisaient tressauter en rythme et animaient d'un mouvement hypnotique. Elle tient eux globes de chair aux galbes envoûtants juste sous le nez de l'homme. Une provocation involontaire ou parfaitement intentionnelle ? Allez savoir.


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