Je ne m'attendais pas à venir aussitôt, je pense que j'aurais pû tenir plus longtemps, mais le plaisir que me procurait cet acte inconnue m'avait submergé. Voir la belle Tilla entre mes cuisses, à genoux, soumise et pourtant si active était une chose troublante, surprenante, mais aussi bien agréable.
Je vins entre ses lèvres, à la fois pleinement heureux et satisfait et aussitôt gêner qu'elle ai dû goûter à "ça". Je ne tarde pas à m'enquérir de si tout va bien, et si ce n'était pas dégoûtant. Aucun lourenas n'aimant ça à cause de notre odorat, je ne savais ce qu'il en était des humains. Cependant la femelle sourit, un ravissant sourire, qui me fit lentement rebander avec son jolie minois et sa tenue pure.
De plus j'apprends que c'est sa première fois, je ne m'y attendais pas, vue que je ne lui avais rien demandé et qu'elle n'avait pas hésiter. Je note que la pratique commune chez les humains et souris en retour.
- Non, c'était très agréable. C'est la premières fois qu'on me fait ça, alors je ne suis pas déçus.
Ne m'attendant à rien, il aurait été difficilement de l'être. Je profite d'une petite pause en la relookant, pour reprendre mon souffle, cela me fait sourire de réaliser que j'avais arrêter de respirer sous l'action surprise. J'ai encore des choses à apprendre des humains ont dirai...
L'humaine revient contre moi, ma queue remuant dans mon dos, mes oreilles droites, mes mains se posent en retours sur son jolie fessier alors que nous entamons un nouveau baiser langoureux. Je peux y sentir le parfum du vin sur sa langue, ce qui n'est pas trop mal, alors que doucement, elle me pousse à reculer durant cet échange. Elle est plus délicate, plus lente qu'une femelle lourenas. C'est bien agréable de changer, voir de ne pas être brusquer.
Sentant le lit derrière moi, je romps le baiser pour m'y asseoir, faisant attention à ne pas écraser ma queue touffue, Tilla vint alors sur moi. Elle était vraiment si légère, j'étais heureux de ne pas être une masse de muscle, j'aurais craint de lui briser quelques os lors de l'acte.
- Tu es vraiment belle et sexy Tilla. Lui soufflais-je en venant humer son délicat parfum, alors que sa main vient enrober mon érection, qui se tend contre elle et le tissu la protégeant encore de ma virilité.
Sa question/demande, m'arrache un petit rire surpris, je lève ainsi la tête et plonge mon regard dans le sien. Est-ce que ma réaction à son acte buccal lui fait croire que je suis encore un jeune lourenas ? Elle me renvoit la même question que je lui avais poser, cela m'amuse, j'embrasse du bout des lèvres les siennes.
- Oh si, j'ai envie d'allez beaucoup plus loin. D'écourter ton sommeil et te faire chanter mon prénom, Tilla.
Pris dans l'action, je ne me disais pas si elle avait ou non de l'expérience, que ce soit une, deux, trois, cinq ou dix fois. Non, elle se sentait prête et c'est tout ce qui comptait.
Je reviens à son cou, l'embrassant, le léchant avant de lui faire un suçon, j'ai envie de laisser ma marque sur son corps. Ses soupirs coupler à sa main sur mon phallus, m'échauffe fortement et je ne compte pas m'arrêter là. Ce soir je vais la faire mienne...
Avec cette idée en tête, j'agrippe son bassin et la surélève pour la faire s'allonger sur le lit. Sans attendre de question ou autre, je tire sa culotte, afin de dévoiler le jardin que je vais bientôt arroser. Là encore je suis bien surpris, la pilosité (fourrure oblige) des lourenas, comme tout hybride est plus développer que chez les humains, si moi cela se voit moins, c'est qu'ils sont courts et blond. Chez les femelles, cela reste en dessous de chez les mâles, mais je dirais qu'elles peuvent être aussi "poilus" qu'un mâle humain, et que, sans rasoir ou crème, difficile d'être lisse comme une peau de bébé. Là, j'ai la jolie vision d'une pêche humide, délicate. J'en suis fasciné, je la caresse avec douceur.
- C'est beau. Soufflais-je en rapprochant mon visage d'entre ses cuisses
Mise à part cela, je suis heureux de voir qu'elle reste similaire à notre espèce, je sais donc comment m'occuper d'elle. Le tissu tombe sur le côté du lit et mes doigts font le contour de sa fleur, avant que je ne l'embrasse avec légèreté. C'est une des rares parties ou les femelles de mon espèce sont capable de se montrer vulnérable sans avoir besoin d'y allez abruptement. Alors je suis confiant, mais reste attentif, toutes les femelles n'y sont pas réactive. Qu'en est-il de Tilla ? Quels partie de son corps est sensible aux toucher ?
Ma langue goute délicatement à ce nectar perlant de sa pêche, tandis que d'un doigt expert, je stimule son bonbon rose, appuyant avec douceur dessus et lui faisant de petit cercle. Tilla me semble de plus en plus belle, à chaque seconde qui passe et pourtant je ne l'ai pas encore mise complètement à nue...