Guider et servir ! Jusque dans ton lit - ft Tilla

Derrière la confiance se dissimulait le doute. Tilla ne le laissait la submerger ; son attention entière était dédiée à son partenaire. Nulles hésitations ne surent gâcher la tendresse de l’instant. Chacune de ses caresses était empreinte d’une douceur sensuelle. Leur nuit ne se résumerait pas par le stupre et un accouplement machinal mené par un besoin instinctif, ils résulteraient d’une volupté délicate et d’une union intime entre ses deux amants. Dans ses grandes pupilles brillantes, la lueur du désir trônait, maîtresse de ses émotions.

A sa délicatesse peu commune se mêlait une grâce enchanteresse quand elle vint reposer sur ses genoux. La suite l’étonna. Autant que les mots si subtilement choisis par son partenaire. Son visage rayonnait tel un soleil dans les ténèbres nocturnes. De simples mots, qui la firent fondre et embrasser, à nouveau son amant. Ain était bon avec elle mais elle ne savait guère quelles paroles seraient appropriées pour s’adresser au lourenas. Un simple merci traversa ses lèvres pures.

 « Il me tarde de découvrir l’extase entre tes mains, Ain. »

Le prénom sonna mélodieusement d’une voix enchanteresse.
Tilla avait toujours eu l’impression d’être un simple bout de viande aux regards des hommes. Jusqu’au terranide où un véritable désir les unissait, loin d’un simple appétit primaire.
Elle ne s’attendait pas à ce qu’il se préoccupe à son tour de son plaisir, de cette manière. Sans y prendre garde, la blonde se retrouva allongée contre le matelas de fortune et la culotte ôtée.

Son petit sexe imberbe se dévoilait au regard de son partenaire. Sentir l’observer lui faisait monter le rouge aux joues et déposait ses mains pour se couvrir. La situation était intimidante, embarrassante et ô combien séduisante. Ses cuisses s’ouvraient doucement et il put s’installer confortablement au creux de ses jambes fuselées.

Ses doigts rencontrèrent sa peau brûlante. Un frisson parcourut son corps tremblant. Bientôt, sa voix s’éleva contre le tissu léger de la tente. Ses mains déposées contre ses lèvres, elle étouffait son plaisir pour n’attirer l’attention d’un quelconque intru. Ainsi, l’expression de son bien-être demeurait dans leur intimité ; Ain était le seul à pouvoir profiter de ses sons inédits.

Chaque attention provoquait une réaction unique à la chevaleresse. Elle n’avait encore jamais exploré cet aspect, bien que ses doigts avaient su à quelques reprises la soulager dans des instants solitaires. Cela restait bien différent de sentir l’héritier s’occuper de sa fleur. Il était si délicat alors que ses phalanges taquines parcouraient son bourgeon. Il n’avait besoin de plus pour observer ses muscles contractées et entendre sa voix étouffée.

Le bout de sa langue s’immisçait dans une délicate caresse. Sa tête, soudainement rejetée en arrière, témoignait de cette sensation délicieuse. Si Tilla avait été capable de parler, elle aurait exprimé à quel point chaque attention lui était exquise. Mais l’embarras la réduisait au silence. Son corps témoignait de lui-même. A ce rythme, il lui suffirait de quelques brèves minutes pour la conduire au paradis, malgré des efforts colossaux pour ne pas y céder trop vite.

Le regard brillant et pétillant de désir me changeait pas mal des lourenas beaucoup plus... Prédateur ou soumise. Plus tourner vers le sexe et le besoin de calmer une pulsion puissante, que d'autre émotion. Elle, j'y voyait autant de désir, que de joie dans ce moment-là. Toute les humaines regardait pareil leur amant, mari ?

Tilla était des plus heureuse de pouvoir s'unir avec moi et j'appréciais beaucoup, nous prenions notre temps malgré le désir, je me trouvais plus calme et moins abrupte, capable d'apprécier autrement ce moment intime entre nous deux.
Pratiquement nue, Tilla ne gardais plus que le soutien-gorge, mais pour le moment j'étais plus intéresser par sa féminité, imberbe ou alors de tout petit poil blond comme sa chevelure, qu'on ne voyait pas tant ne sentait qu'au moment ou mon visage s'y frottait.

L'humaine ne me repoussa pas, intimidé, elle ouvrit toutefois les cuisses pour me permettre de lui donner à mon tour un coup de langue sur sa fleur. Ses soupirs suaves et plus délicat était raffraichissant, comparé aux grognements d'une lourenase. C'était un peu perturbant aussi, moins sauvage et plus délicat, cela faisait appel à des émotions moins présent. Je n'irais pas dire si c'est mieux ou non, c'est différent.
Embrassant sa féminité, je jouais ensuite du bout de ma langue sur son bourgeon, plus sensible en général que ses lèvres intimes à une langue. Toutefois, cela ne me fit pas les délaisser pour autant, ma main qui ne me retenait pas de tomber sur elle, vint caresser ses jolies lèvres , faire leur contour. J'aimais la stimuler, la sentir tremblé, soupirer, et soudainement se trémousser lorsque mon doigt entrait dans ses chairs intimes.

... Je m'en mordis la lèvre, j'avais hâte de venir m'installer entre ses cuisses. Sa peau délicate prenait quelques rougeurs et la chaleur qu'elle dégageait s'élevait, moins que la mienne, mais tout de même. Alors je changeais entre son bourgeon et des baisers sur son ventre, redescendant ensuite.

Mon doigt se pliait et dépliait pour frotter ses parois intimes et la stimuler toujours plus, cherchant les partis sensibles de son anatomie. Elle remuait sur le lit, tentant malgré tout de se freiner, c'était mignon... Mais je ne comptais pas relâcher la pression, rajoutant un second doigt pour écarter encore plus sa féminité... Et la préparer à ma futur entrée.

Après un temps, elle n'en peut plus, son corps se cambra et les muscles de son vagin comprimèrent mes doigts, jouissant sur ma main. Tout son corps se relâcha, tandis que je retirais mes doigts et les léchais sensuellement sous son regard.
Voir son ventre trembler, s'essoufler, reprendre une respiration plus "normal" était satisfaisant et séduisant. Alors je pris position contre elle, mon membre dresser par la stimulation de la voir prendre du plaisir.

- Tu es vraiment mignonne Tilla. Lui souriais-je malicieux en lui volant de léger baiser alors qu'elle reprenait son souffle. J'espère que tu es prête à la suite, car cela sera encore plus intense. Lui soufflais-je venant lécher son cou et effleurer sa poitrine, glissant ma main plus bas pour diriger mon gland sur sa fente.

J'attendis toutefois, un geste, un regard de sa part pour commencer à la découvrir plus intimement.
Cela ne tarda pas trop, enfonçant alors mon membre, ouvrant ses lèvres intimes et la pénétrant en douceur, sans m'arrêter. Mon glaive brûlant s'enfourna en elle jusqu'à la garde, j'ondulais alors généreusement les hanches pour me sentir frotter ses parois intimes. Grognant de plaisir à ses oreilles, bougeant peu et lentement, le temps que nos corps s'adaptent l'un à l'autre pour commencer vraiment à nous unirs.

La chevaleresse tenta de résister mais le plaisir impérieux envahit son corps et s’y imposa dans une délivrance incroyable. Elle n’avait jamais ressenti de telles sensations auparavant. L’adresse d’Ain la comblait au plus haut point. Désormais, la blonde se faisait impatiente de passer à la suite. Son corps entier réclamait le lourenas de son regard fiévreux à sa peau brûlante. Il vint s’installer au-dessus de sa silhouette gracile. « Ain… Supplia-t-elle d’une voix sensuelle. Je suis prête… Prends-moi… »

Son gland gonflé écartait ses lèvres intimes ; son long chemin débutait. La blonde ouvra davantage ses cuisses pour qu’Ain trouve l’aise de s’y installer à son gré. Ses mains se déposèrent dans son dos. Elle ne chercha plus à cacher la rougeur qui hantait ses joues. A cet instant, seul le désir primait au point qu’elle oubliait sa situation : Le Lourenas prenait sa virginité. Enfin, la perdre n’avait jamais été un enjeu incroyable, à ses yeux. Tilla attendait juste la personne avec qui l’envie se manifesterait.

Peu à peu, l’héritier put découvrir son intimité, très étroite et vierge de toute intrusion. Il prenait possession de ce corps envoûtant, le premier. Par chance, il n’avait pas décidé d’opérer une intrusion brutale pour prendre le temps de la découvrir. Malgré sa préparation plutôt intense et le désir dont la garde ne manquait pas, sa queue se faisait pressée dans son intimité, soumise à des sensations intenses. Elle y était loin d’être insensible. Mais pour éviter d’alerter le reste du campement, ses lèvres étaient maintenues closes et ses gémissements étouffés tant bien que mal.

Il était désormais bien présent. Ain possédait ce corps tant désiré par de nombreux hommes mais dont il était le premier à pouvoir s’en emparer.
Ses jambes s’enroulaient autour du bassin de son amant. Ses lèvres prenaient possession des siennes. Avec douceur, sa langue se frayait son chemin. Tilla était bien incapable d’être aussi brusque qu’une lourenas. Elle serait vite capable de le recevoir plus brusquement. La chevaleresse ne désirait pas le savoir contraint à une douceur forcée par seul égard pour elle.

 « Ain… S’il te plait… Ne te.. ne te retiens pas… »

Tilla se laissait submerger par le plaisir. Elle était bien incapable de parler plus, contrainte par son embarras et ses gémissements. Malgré ses efforts pour réduire ses petits sons, son amant pouvait l’entendre glapir à chacun de ses mouvements.

Sentir Tilla céder et me supplier d'une voix si sensuelle... je dû refreiner une puissante pulsion, au risque de la blesser d'un coup de rein trop abrupte. Néanmoins, je répondis bien à sa demande et mon envie de la faire mienne.
Mon sexe commençait à découvrir le sien, Tilla s'ouvrit à mien, permettant de me coller plus amplement à elle, tandis que je soupirais de plaisir de nous unir.

Elle était serrer, comprimant mon érection dans sa fleur intime, me procurant bien du plaisir à la déflorer. Je plongeais ainsi mon regard dans le sien, continuant de pénétrer en elle. J'inspirais profondément, appréciant aussi d'avoir son odeur contre moi et chatouillant mon "museau". Mon membre termina sa procession et je ne pouvais me retenir de remuer, d'onduler contre elle afin de la découvrir entièrement. Elle vint me capturer de ses seins, tandis que je voyais son regard briller et m'embrasser. Un baiser auquel je répondis, ma bouche s'ouvrit en sentant une congénère langoureuse approcher. S'y glissant et s'enroulant pour un baiser plus langoureux entre nos, échangeant nos salives et nos désirs.

Sa fleur c'était bien ouverte à ma tige ardente et je commençais avec lenteur mon office, mon membre ressortant presque, avant de la pénétrer de nouveau, lent mais en profondeur. Mon humaine tentant de me dire de me laisser allez après avoir rompu le baiser pour reprendre notre souffle, j'en souris et caresse sa joue.

- Ne t'inquiète pas Tilla... je prends mon... temps. La nuit... n'est pas terminé. Lui soufflais-je chaudement.

Je grognais de plaisir, ma queue lupine remuant dans mon dos, vive et exalter par notre union. Je prenais grand plaisir à parcourir sa féminité encore et encore, avec lenteur et sensualité, nos corps coller et nos odeurs entremêler. Mes coups de reins se firent progressivement plus énergique, plus rapide, m'en mordillant la lèvre pour ne pas glapir trop fort.
La dévorant du regard, ses jolies courbes et sa peau d'albâtre si sexy, je déposais des baisers ardents sur Tilla pendant que je lui faisais l'amour, dans une position ou nous pouvions nous regardé plus facilement.