Masa n’eut aucun pouvoir sur la suite des événements – ou plutôt était-ce ce qu’il préférait se dire –.
Oui ! Parce qu’avoue-le : t’en as sacrément envie!
Arrête ! Oui… Mais… Arrête…
Oui, il avait abandonné son pouvoir de décision à l’appétit de la belle étudiante qui, sans se faire prier, avait profité de sa faiblesse pour lui retirer son pantalon, glissant sa verge maintenant raide hors de son petit boxer. Il n’avait rien fait pour le retenir et n’avait rien dit en la voyant pourtant très clairement se glisser sous la table, venir s’installer entre ses jambes. Il avait baissé les yeux dans les siens et il n’avait ressenti qu’un frisson d’envie le gagner.
Elle le mit au défi de répéter qu’ils faisaient quelque chose de mal et, en tout honnêteté, il s’en foutait. Il n’avait pas à craindre de renvoi ni quoi que ce soit : il n’était pas étudiant ici. Qu’est-ce qu’il avait à perdre ? Il en voulait, et la langue glissant sur son manche…
La caméra!
Il reprit l’appareil en main juste à temps pour le glisser sur la scène. Il la glissa sous la table, prenant un angle qui accompagnait Wisteria dans sa collation coquine tout en ayant l’avantage de cacher son visage, à lui – et sa stupide expression de plaisir ébahi –, pendant qu’elle le prenait en bouche et le suçait avec le plus grand des plaisirs.
Il gémit, soupira de plaisir en la laissant glisser et saliver le long de sa queue, attrapant le banc de sa main libre, s’y agrippant à s’en faire blanchir les phalanges. Il ferma les yeux, se concentrant sur les sensations ou refusant, plutôt, d’accepter de reconnaître sa faiblesse. Mais son déni ne dura pas longtemps, car plus elle le pompait et plus son excitation grimpait, et ses envies prenaient le pas sur sa raison, au point qu’il finit par prendre une initiative.
« Attends ! Attends ! Arrête ! Retourne-toi ! Tourne ! »
Il lui laissa le temps de saisir sa demande et, quand elle eut tourné pour, toujours à quatre pattes sous la table, se retrouver le cul contre sa queue, il faillit se retenir, mais le pervers en lui tendit la main pour attraper le string la couvrant et le tirer à bas de sa croupe. Il ne se fit pas prier, ramena la caméra à lui, la tourna vers son vît humide comme il le prenait en main pour le baisser dans sa fente et le laisser glisser dans son vagin trempé.
« Aaah ! Ah ouiii ! Petite… p… »
Se retenait-il ou n’arrivait-il plus à finir ses mots ? Il était abattu par l’énormité de ce qu’il faisait, mais il s’y abandonna, l’attrapant par l’élastique de la jupe de son uniforme pour la faire balancer le long de son membre et claquer contre ses bourses et, parfois, le bord du banc tant ils y allaient avec une ardeur croissante. Il soupirait en gémissant avec de plus en plus de mal à se tenir et, les larmes aux yeux, s’abandonnait à son plaisir en admirant les fesses charnues qui se refermaient sur lui et cette vulve ouverte qui l’engloutissait à chaque passage.