Le Désir Tabou. - Red King

01h23. La télévision tournait en boucle mais la pluie violente couvrait le son des émissions stupides diffusées à cette heure tardive. Le bruit de l’orage envahissait le miteux studio. Il lui était prêté par le clan comme pied-à-terre dans le centre ville ; le pavillon se trouvant en excentré, il lui évitait de nombreux aller-retour inutiles. L’espace de vie se composait d’une pièce d’une vingtaine de mètres carrés avec une télé, un canapé dépliable et une kitchenette. A côté, aussi grand qu’un placard à balais, la salle de bain avec un lavabo et une douche. Chiharu n’avait guère besoin de plus pour les rares venues qu’elle y effectuait.

Ce soir-là était exceptionnel. En vue d’un travail, confié par l’Alpha en personne, la louve avait décidé d’y demeurer jusqu’à son départ, au crépuscule. La nuit prochaine s'annonçait pénible et son frère aîné avait été missionné pour l’accompagner. Le contact n’était pas encore établi. Chiharu, plus prévenante qu’à son habitude, décida d’effectuer le premier pas avec un sms concis : Quelle heure demain ? Sous entendu, on se rejoint à quelle heure.  Cependant, l’herbe lui fut coupée sous les pieds quand la sonnette bruyante se distingua du vacarme de la tempête.

Jusqu’ici enfoncée dans son canapé, à se divertir sur son téléphone, la louve s’obligeait à quitter son confort pour rejoindre sa porte. Elle l’ouvrit, agacée pour découvrir son frère. A cette heure-ci ? La plupart des membres du clan vivaient la nuit, sa présence n’était de ce fait guère étonnante.
Par contre, ce qui risquait de le surprendre, était l’accoutrement de sa cadette, une simple culotte noire échancrée. Dotée d’aucune pudeur, Chiharu ne cherchait pas à cacher ses attributs.

« Putain, tu peux rentrer sans sonner, tu sais. Tu fous quoi là ? Oh ! Je sais ! Tu es venu pour que je te console ? Maman m’a dit que tu t’étais fait largué comme une pauvre merde. »

Leur mère avait averti Chiharu de sa rupture, déplorant simplement la perte de sa belle-fille appréciée. La louve en rajoutait juste une couche, amusée par la situation. De surcroît, l’approche grandissante de la pleine lune la rendait moins contrôlable qu’à l’accoutumée, ses sens et ses appétits en étaient exacerbés, une raison de plus qui expliquait son isolement dans son studio et l’urgence de leur mission.

« Bouge ton cul et rentre. » Elle se décala de l’entrée. « Y a de la bière au frigo. »

Ces derniers jours étaient plutôt pourrie, si le temps avaient tenue avant d'éclater en tempête (presque), il avait fait gris, un gris déprimant surtout avec mes histoires de cul, coeur. Je sortais depuis un moment avec Kyoko, une jolie louve docile et aimante. C'était plaisant et cela me changeait de ma "gracieuse" soeur, bien qu'il m'arrivait de parfois fantasmer sur elle.

Bien que brut, Chiharu avait son côté "câlin" si je peux dire ça, à me taquiner et s'approcher de moi autant que possible. Enfin je digraisse. Kyoko voulait des enfants et pas moi, elle se sentait prête à devenir mère, quand j'étais trop occupé à tenter de m'imposer pour devenir le prochain leader. On avait des engueulades et la dernière... fut la dernière.
On avait fini par rompre, me permettant d'être un peu plus libre.

Et ma fichu soeur avait eu une mission de l'alpha, sa m'avait gonflé, suis sur qu'elle le séduit pour avoir de l'avance sur moi. J'étais tout de même content d'être en soutien, mais c'était en soutien, pas en avant !
Je devais le lendemain allez retrouvé ma soeur, mais le boucan, l'orage et finalement ma prise de tête, je me décidais à venir faire chier ma ptite soeur.

Je mis pas longtemps à regretter ma vengeance, en courant sous la pluie, avec ma forme lupine. Mais mon ego me refusa le fait de faire machine arrière. Avec agilité j'arrivais sur les lieux, repris forme humaine, trempé, un sac sur le dos et sonna fortement pour réveiller ma sister. J'en aurais presque ricaner, mais je me sentais comme même con.

Enfin, la porte s'ouvrit sur, une soeur en jolie petite culotte noire sexy, des jolies seins entouré de trop de cicatrice, mais qui lui donnait son charme. Je l'avais quelques fois peloté, mais de son fait en forçant ma main par surprise. Sauf que ce soir, on était que deux et j'étais célibataire. D'ailleurs la voilà a me pîquer la dessus, Kyoko c'était venger en plombant l'histoire sur moi.

- Ouai, c'est ça, console moi sister. Grognais-je tandis qu'elle se pousse pour me laisser entrer.

Avançant, je lui tape le cul et me dirige directement vers la salle de bain, retirant rapidement mes vêtements pour ne pas foutre de l'eau partout.

- Je me douche. Lançais-je, lui faisant un doigt d'honneur sans la fixer.

On s'aimait comme ça chez nous, tout en finesse. Rapidement nue, porte entre-ouverte, je mis mes vêtements dans la machine à laver et entre dans la douche.

- T'était en train de regardé quel merde ? Avec notre ouïe, j'avais entendue le grésillement de la télévision, et à cette heure-ci... un film de cul ? Y a quoi à la télé ? Sur qu'on vit plutôt la nuit, mais bon, les séries qui passaient sur les chaînes franchement...

De si simples paroles, pourtant, Chiharu les prenait comme un accord à le rejoindre sous la douche, à le consoler. Un sourire carnassier s’étirait sur ses lèvres mais elle lui laissa un peu de temps, pour se mettre nu et commencer à se laver. Attaquer tout de suite ne lui donnerait aucun avantage.

Elle se mouva jusqu’à la porte entrouverte, sans entrée, le dos collé au mur, face à la télé. Ah. La japonaise aurait peut-être dû l’éteindre si son attention n’était captivée par cette dernière, désormais et rien de plus normal à cette heure-ci, un film érotique était diffusée. Elle se précipita vers la télécommande pour éviter de lui donner raison, simple affaire d’égo.

« Je sais pas, je la laisse juste tournée. »

Le moment opportun lui était offert. Sa culotte tomba rapidement au sol et elle pénétra à pas de loup dans la minuscule pièce. La cabine de douche était à son image, étroite et intimiste. Deux personnes y entraient avec difficulté dans un contact rapproché, les corps collés l’un à l’autre.

La porte ouverte, Chiharu y entra et poussa un peu son frère de dos vers le robinet, pas assez pour qu’il devienne une gêne. Son corps se compressa contre lui afin qu’elle puisse fermer la porte.

« C’était si gentiment demandé, je suis venue te b- consoler. Sois content, tu ne vas pas rester un vieux con avec les couilles pleines. »

Il l’avait toujours refusé pour ne pas tromper sa louve chérie mais visait la position de l’Alpha, sans héritier actuel. Ce dernier possédait presque toutes les femmes du clan à ses pieds. L’exclusivité n’existait plus, un argument qu’elle avait souvent avancé, en vain.

Pourtant son but était d’atteindre cet objectif. Chiharu l’aidait, parfois. Elle se désintéressait du pouvoir, des manigances politiques. Loin d’être une stratège, de posséder les qualités requises pour exercer au mieux, elle se complaisait dans son rôle de soldate. Or, torturer son frère en lui laissant croire qu’elle visait sa position… La louve ne pouvait s’en empêcher.

Ses mains se baladaient sur le torse musclé de son frère. Elle se glissa contre le mur le plus proche pour y coller son dos et saisit son poignet pour l’obliger à se tourner à son tour. Les mouvements étaient compliqués, leurs corps se frottaient d’autant plus à chercher la meilleure position. « Mmh. C’est mieux comme ça, non ? »

Je savais pertinament la réaction de ma soeur à mes propos, après tout, cela fait un petit moment qu'elle tentait de se rapprocher. Assez culotés pour le faire alors que la famille n'était pas loin. Et si je n'avais pas céder jusqu'à la, c'était pour me prouver que j'étais maitre de mes désirs.

Ainsi, si je me dis quand est-ce que je cède, c'est "normal". Et ce soir, j'avais bien prévus, que, si Chiharu retentait une approche, j'y répondrais. C'est pourquoi aussi, j'attendais qu'elle vienne me rejoindre et qu'il m'était difficile de ne pas bander d'excitation à cela.
Je ricanais en entendant clairement la télé s'éteindre... j'avais eu juste ? L'eau chaude se mit à couler sur moi et je sentis l'odeur de ma soeur, devenir rapidement plus présente, avant d'être pousser par elle pour pénétrer dans la douche.

- Tsss...

Je manque de rire, elle avoua clairement son envie de passer une nuit ardente avec moi, son grand frère Akuro. Je sentais la chaleur de Chiharu derrière moi, ses jolies seins contre mon dos. Puis ses mains venant me caresser.

- Quoi ? Tu comptes aidés ton chère frère à se branler sur toi ? sa petite soeur ? Je ricane, moqueur.

Ne tournant pas la tête, je ne peux voir son visage, mais elle s'éloigne et me retourne, me venant à me faire frotter contre elle et surtout avec une meilleure vue l'un sur l'autre. Nue, comme plus jeune lorsque nous jouions ensemble. Mon phallus commençait à s'ériger contre son bas ventre, tandis que je plante mon regard perçant sur elle.

- Ce n'est pas plutôt toi qui aurait besoin d'être doigter en une louve fontaine ?

Je la taquine, alors que ma main droite vient empoigner son fessier, et que je frotte naturellement mon bassin au sien, avec l'envie grimpante de me taper ma soeur. Bon sang ce que c'est pervers... mais au combien bandant !
Je me demande avec combien de mec elle à coucher. Connaissant son envie de dominée et de ne se soumettre qu'a plus fort, doit pas y en avoir beaucoup. Sauf l'alpha... Ce vieux pervers.

Après quelques instants, ne résistant pas à l'envie, je "l'attaque", venant l'embrasser fougueusement , collant nos corps nue, ardent, avec l'eau chaude coulant sur nous, dans un scène torride et incestueuse.

Face à lui, Chiharu se saissait de sa virilité gonflante d’une ferme caresse. « Avoue, ça sera pas la première ! » Ses lèvres s'étiraient avec malice. « Me doigter ? J’ai pas besoin de toi pour ça. Viens plutôt me baiser. »

La japonaise n’avait jamais caché ses intentions vis-à-vis de son aîné, multipliant les insinuations et avances rejetées. Certaines nuits solitaires, elle se prêtait à fantasmer une nuit torride en sa compagnie et pallier son absence de ses doigts. La frustration était née de ce désir insatisfaisait, de ce fantasme récurrent. Elle le convoitait, tout de suite. Sous l’eau chaude, son corps s’embrasait de cette passion longtemps repoussée.

Ses lèvres s’emparaient des siennes avec passion, marquant un premier pas vers le stupre. Chiharu déposa ses doigts libres dans sa nuque pour entraver toute tentative de fuite. Elle exerçait une pression et l'embrassait avec bestialité.

La ligne était franchie ; elle ne le laisserait plus rebrousser chemin jusqu’à l’entière satiété de son appétit sexuel. Si celui-ci peut exister. Son avidité l’a longtemps consumée mais maintenant que le pas s’apprête à être franchi, peut-elle seulement imaginer s’en passer ?

Lors de leur torride baiser, sa main qui avait empoigné son épaisse queue la gratifiait de sensuelles caresses. Elle le ferait sombrer avec elle dans les abysses de la volupté. Si sa loyauté n’était qu’une vaste chimère, Chiharu serait allée jusqu’à annuler l’importante mission pour profiter avec son frère des plaisirs de la chair. Mais elle subsistait, au-dessus de tout instinct primaire et besoin aussi primordial que celui de se faire prendre par son aîné tout de suite.

Avec habileté, elle guidait le gland renflé vers les portes de son intimité.

« T’attends quoi ? Prouve-moi que tu es un vrai Alpha… A moins que ses années à prendre Kyoko en missionnaire t’es ramolli ? Toujours la même meuf chiante, la même position, je te plains. » Ce n’était que des suppositions lancées par Chiharu. Mais à ses yeux, l’ex de son frère n’était guère intéressante : trop calme, trop rabat-joie.

Kyoko n’appréciait pas non plus le regard incestueux que portait la cadette sur son compagnon. Si la pratique était assez répandue entre les loups -souhaitant garder un sang-pur, un tabou réel demeurait sur cette pratique. Aucune noble intention n'animait Chiharu qui ne souhaitait que se taper son aîné, le seul de leur fratrie qui lui inspirait un tant soit peu de respect et un désir destructeur.

Ma soeur n'hésita pas une seconde à prendre ma trique dans sa main, ce qui me fit grogner de satisfaction. Elle en rajouta une couche qui me fit ricaner, faisait-elle référence à la fois ou j'étais venu me branler dans son lit pour la taquiner, durant une absence. Marquer un peu, mais sans y jouir.

Toujours aussi directe... Bien que c'est tentant, je ne vais pas lui donner tout de suite ce qu'elle désire. Même si ma verge semble assez impatiente avec sa main sur ma "queue".
Je ne pus toutefois réfréner une puissante envie de l'embrasser sauvagement, baiser qu'elle répondit avec tout autant de fougue. Elle agrippant fermement ma nuque, comme pour ne pas me laisser fuir, cela m'amusait. Elle n'avait pas tort, je pouvais continuer de jouer avec elle, et là, elle m'en laissait moins l'occasion.

Elle continuait de me branler et ma bite grossir entre ses doigts. Bon sang que j'avais envie de la baiser... Et d'ailleurs elle m'y incitait, toujours de manière grinçante et provocatrice. Mais se serait trop rapide... Elle cherchait à avoir une réponse vive de moi, et bien qu'elle utiliserai le fait que je ne passe pas à l'action pour de la faiblesse... Je choisis autre chose.

Sans préavis, je vins enfoncer trois doigts dans sa féminité, grognant quelques peu féroce.

- Si j'agissais sur un coup de chaud, serais-je digne d'un Alpha ? Qui dominerai vraiment ? J'en ricane et vins lui mordre le cou, lui faisant un suçon pendant que mes doigts tournent dans sa chatte.

- Oh Kyoko à plus de charme que sa. Et tu n'imagines pas tous les endroits ou je l'ai "baiser" pour reprendre tes mots. Je l'ai prise dans tellement de position différente... Dans tellement de lieux... Je souris mesquin. Pas sûr que t'ai déjà été sauter autant de fois. Il faudrait que je fourre ta chatte durant plusieurs jours, semaines ?

Elle me provoquait ? Et bien moi aussi. Je ne connaissais pas franchement la vie sexuelle de ma soeur et je m'en foutais. Bon, Kyoko était très rarement celle qui désirait qu'on sorte de notre petite routine sexuelle, c'était le plus ennuyeux, mais j'arrivais à la faire céder et l'entendre glapir pendant que je la prenais était des plus excitant.

J'étais ainsi curieux de voir comment réagirait Chiharu, jalouse ? Rien à foutre ? Au défi ? Boudeuse/gromellante ? Je vins lécher son cou et griffer légèrement son fessier de mon autre main sur son jolie derrière.
De ma main sur son vagin, je vins titiller son clitoris. Cherchant à connaître les points "faibles" de ma soeur. Anal ? Vaginal ? Clitoridienne ? Mamaire ?

A l’intrusion brusque de ses doigts, le corps de Chiharu se cambre et ses lèvres s'entrouvrent : « Akuro… » Son prénom s'échappe dans un murmure étouffé. La louve n’est pas du genre à se cacher ; les voisins se font souvent spectateurs involontaires de ses sauvages ébats. Or, par fierté, elle a essayé de se réduire au silence, pour ne lui donner une occasion de plus de la faire languir davantage. Elle en oublie jusqu’à sa réponse, tant son plaisir et son désir prennent le pas.

Son corps échauffé s’enflamme sous son doigté expert mais elle désire plus. Sous ses provocations, se cachent des suppliques. Quoi qu’il en pense, le pouvoir est dans les mains de son aîné depuis le début. Plus calme, plus raisonné qu’elle, il a toujours réussi à se contrôler quand elle se languissait de désir pour lui depuis ses premières chaleurs. Chiharu est trop impulsive et fougueuse pour réguler cette frustration accumulée au fil des années. Elle n’attend que lui, son corps entier implorant de lui donner satisfaction.

Il fait maintenant l’éloge de Kyoko mais sa cadette peine à le croire. Cependant, ses paroles lui laissent imaginer un avenir plein de promesses… Elle le ferait tenir ses paroles, aux mots. « J’espère que tu es endurant… » Dans ses pupilles luisent une lueur de défi. Et la griffure lui arrache un frisson tandis que son pouce s’occupe de son bouton de plaisir. Que cherche-t-il à faire ? Ses dents se plantent dans sa lèvre inférieure, tant elle peine à tenir.

Chiharu est habituée à un sexe plus sauvage, plus immédiat. Si elle est loin d’être indifférente aux attentions de son aîné, c’est autre chose qu’elle attend, qu’importe la manière. D’une main, elle vient saisir sa main pour retirer ses doigts et se tourner face à la vitre. Son frère est désormais collé à son dos. Elle récupère sa main et utilise les mêmes doigts pour les enfoncer ; désormais, elle s’en sert et les bouge pour se procurer du plaisir. Sa virilité est bloquée entre ses fesses, frottée contre.

« Enfonce ta queue… » Qu’importe où. Qu’importe la manière, avant qu’elle ne succombe à l’envie. Son point faible est seulement la pénétration. Là, tout de suite, elle ne peut plus tenir en place. Sa patience s’effrite si vite qu’elle n’attend de réponse. La porte de la cabine de douche s’ouvre et la louve s’en échappe trempée : « Lui au moins saura me baiser. » L'alpha. Bien entendu, elle parle de lui. Mais l'idée de devoir le rejoindre la saoule déjà. D'autant plus qu'il n'est, pour la première fois, qu'un second choix.

Entendre le soupire ardent de ma soeur m'excite, j'en bande et en plus, la cruche oublie de me toucher, se laissant complètement faire sous le plaisir de mes doigts. C'est moi qui domine et dicte la soirée... j'adore ce sentiment, j'en souris narquois et la taquine en parlant de mon ex.

Et elle réagit plus... sur la durée ! Je manque d'éclater de rire, la connaissant je vais avoir la vie dur, mais l'idée de la prendre en tout temps, n'importe quand et pendant une longue durée... m'exalte.  Je m'en pourlèche les lèvres.

- Et bien il faudra tester ça. Je préfère éviter de me vanter, la connaissant, tout ce qui n'ira pas me serra jeter à la tronche et cela reste désagréable, relou.

Puis soudain elle se retourne, reprenant ma main tandis que ma verge glisse contre son cul, avec une jolie vue de ses courbes, je viens mordiller son épaule sans me retenir. La pauvre louve n'en peut plus, je souris mesquin dans son dos et... Trop lent.

Chiharu sort de la douche et me cherche, je verrais presque rouge et retiens à peine ma colère. Si je me jet sur elle, je perds, mais si je ne le fais pas, je sais très bien qu'elle fera ce qu'elle dit. Que ce soit par ego ou pour bien se satisfaire.

- Le vieux arrive encore à bander !?

Je ne la laisse pas répondre que j'agrippe violement son cou, l'étouffant en partie, la faisant reculer contre le mur. De mon autre main, je relève sa jambe gauche et profite de cette position et de nos corps nues, ardent de désir... Pour la pénétrer brutalement. Mon gland force l'entrée de ses lèvres humides et s'enfonce chaudement en elle.
"bordel je me tape ma soeur !"

Mon sexe écarte bien sa féminité, serrer et bien humide, chaudement acceuilis en elle, je donne de rapide et puissant coup de rein, baisant ma soeur avec fermeter. Et bon sang que c'est bon ! Est-ce le fait de changer de chatte à fourrer ou celle de ma sister qui est si... galvanisant.

- ahn... tu mouilles tant que sa d'être fourrer par ton grand frère ?! La provoquais-je en prenant mon pied, avec un grand sourire pervers.

La soirée risque d'être longue... très longue !

Dans cette situation où l’attente devient un véritable supplice, une torture, Chiharu envisage vraiment de rejoindre l’Alpha. Ses mots sonnent comme une provocation de plus mais elle ne pense qu’à satisfaire ses instincts embrasés dans cette douche bouillonnante.

Par chance, Akuro prend ses responsabilités. Il la saisit et la ramène à lui, la positionne et la prend. Ses dents se plantent dans ses lèvres alors que son épaisse queue s’enfonce en elle avec brutalité. Sa simple présence la comble de plaisir. Il ne tarde à bouger, lui arrachant ses premiers et bruyants gémissements.

Ses paumes s’écrasent contre le mur devant elle, à la recherche d’un appui. « Oui… C’est tellement… Bon… » Malgré qu’il cherche à la provoquer, Chiharu est bien incapable de mentir. Si jamais, elle avait nié, son corps suffisait à révéler la supercherie. De ses jambes écartées à sa peau frémissante, chaque assaut lui accordait un plaisir impossible à dissimuler ; au contraire, son être entier en réclame toujours plus.

Pour elle, se faire prendre ainsi par son aîné est un fantasme longtemps mûri. Depuis ses seize ans, à peu près, les avances avaient commencé, toujours plus poussées au fil des années. Son frère les avait toujours rejetés mais cela n’avait pas empêché l’imagination débordante de Chiharu animée quelques nuits solitaires. Elle s’était longuement imaginée coucher ensemble.  Cette première fois entre eux dépasse toutes ses attentes.

« Baise-moi, Grand-frère… » Cela fait bien des années, qu’elle avait abandonné cette appellation pour se limiter au prénom de son aîné.  Pourtant, les mots sortent naturellement de sa bouche haletante telle une invitation à se lâcher. La boîte de Pandore est ouverte… De longues journées sensuelles les attendent…

Mon pieu se plante dans le vagin de ma soeur et je l'entends pour la première fois vraiment gémir ! Sa résonne bien en moi et elle peut sentir mon phallus grossir un peu plus, comme si baiser ma soeur était vraiment excitant !
Et à vrai dire, l'entendre me "supplier" de la prendre, et avec ce "grand-frère" que je n'ai plus entendu... Ma queue gonfle encore plus entre ses lèvres intimes !

Mon membre occupe tout l'espace de son jardin secret, frottant ses parois humides et me laissant coulisser à foison en elle. J'en jappe de plaisir et m'enfonce vigoureusement dans sa féminité, claquant et tenant son cul.

- Ahn putain oui ! Ton frère va te fourrer comme jamais !

C'est une expérience différente et exaltante au possible, tout mon corps est tendue sous le plaisir, mes oreilles se redresse et ma queue lupine apparait sous le fait de me laisser autant allez.
J'ai envie de ravager ma soeur... qu'elle ne trouve pas d'autre bite aussi bonne que la mienne et laisse tomber le vieux alpha.

Je lèche son corps, humant son parfum sauvage et sensuelle. Trempé, sa la rend un peu sexy, bien que moins de chevelure, mais surtout.... je doit à plusieurs reprise faire attention à ma position. Le sol est trempé et quand je donne des coups de reins pour bien la pénétrer en profondeur, je glisse un peu. Pas super pratique, mais je n'ai pas envie de m'éloigner et stopper ce moment de plus grisant !

Mon bassin claque contre le sien, dans des bruits érotiques et humide, sans capote, je me tape ma soeur, Chiharu, ne sachant même pas dans quel cycle elle est. Pourtant... je compte bien jouir en elle et pas qu'une fois !

La position n’est pas idéale, un peu en équilibre avec une jambe levée sur un sol glissant, sans véritable appui ; Chiharu peine à tenir ainsi. Pourtant, il lui est difficile de songer à bouger, à s’arrêter ne serait-ce qu’une minute pour changer de pièces ou de position.

Le sentir en elle est une sensation si délicieuse, d’autant plus que sa queue déjà bien épaisse se gorge un peu plus à mesure qu’il la prend sans retenue. Ses vas-et-viens puissants lui arrachent d’obscènes sons des lèvres. Sa voix résonne si fort dans la petite salle de bain que les voisins doivent se faire spectateur de leurs ébats endiablés…

C’est si bon. La louve en oublie le reste, l’Alpha, la mission pour ne penser qu’à son aîné derrière elle, si vigoureux et sauvage. Il la comble à la perfection tant par ses mouvements que par sa virilité chaudement installée. Son corps entier devient sensible, bouillonnant. La simple claque sur les fesses, ses mots outranciers lui arrachent un frisson, l’excitent plus encore. Et elle ne peut songer qu’à la nuit ardente qui les attend… Et aux prochaines.

Mais ses pieds continuent de glisser et elle se plaque contre le mur pour tenter de trouver un semblant d’appui, en vain. L'acharnement de son frère l’amène vers l’orgasme mais elle peine bien à se lâcher complètement tant la menace de tomber se fait forte.

Le plaisir finit par prendre le dessus, si proche de la délivrance, ses oreilles et sa queue blanches apparaissent à son tour. Ses doigts se crispent.

« Putain… » Chiharu sent qu’Akuro est freiné par la position précaire. A chaque fois qu’il glisse, ses coups de rein perdent de sa puissance, frustrant sa cadette. « Au salon… murmure-t-elle haletante. »

Ces mots sont pénibles… La louve a tellement envie de continuer, de le sentir satisfaire et prendre possession de son corps en chaleur… Elle n’arrive déjà plus à se passer de lui.

Je ne sais pas si j'ai déjà eu d'aussi intense ébat ? Pas avec mon ex, elle couinait étant "fragile" ou plutôt moins guerrière. Mais ces couinements n'étaient pas sensuel et après je me faisais toujours engueuler, de quoi me couper parfois l'envie...

Là, je prenais fougueusement Chiharu, bien que moins stable. Ma soeur ne se gênait pas, ou ne pouvais pas retenir ses gémissements et o combien sa me faisait bander en elle !!!
J'en grognais de satisfaction à la baiser ardemment, mes bourses claquant contre elle à chaque coup de bassin. Franchement je prenais mon pied et ce, même si le fait de glisser, rendait la chose un peu plus délicate.

- Ahn sister ! Ta chatte...

Je gémis à ses oreilles de louve et souris à sa queue aparaissant à son tour. Elle ne se maitrise plus, comme moi. Le premier round touche à sa fin, je le sens, pour elle, comme pour moi, mais avec nos tremblements et le sol glissant... Chiharu veut bouger, mais je n'ai pas envie de quitter sa féminité. Oh non, alors...

- Tiens toi à la vasque ! Lui ordonnais-je.

Sans me retirer, je nous laisse assez d'espace pour bouger et reste coller à elle alors qu'elle agrippe celle-ci. Je fais pareil, pardessus elle donc. Mes bras l'entourant et ma tête sur son épaule, nous offrant une vision bien pervers de nos visage transis par le plaisir dans le miroir. Bien que glissant, mes bras tendus permet que je ne recule pas et elle à enfin de quoi se tenir. Alors je reprends énergiquement mes va-et-viens dans sa féminité.

Sentir mon chibre serrer en elle, nos peaux chaudes se frotter l'une à l'autre dans cet ébat ardent, sa queue de louve tendue entre nous alors que je la prend, gémissant de plaisir. J'adore ! Je continue, jusqu'à sentir sa fleur se resserer sur mon érection et lui faire atteindre l'orgasme. Compressant mon phallus, le plaisir ressenti me fait aussi venir dans un puissant jappement de plaisir !

J'éjacule dans ma soeur.

- PUTAIN OUI !

La sensation de bien-être me détends et je remue encore en elle avant de me calmer et me retirer d'elle, prenant une serviette sèche cheveux pour nous sécher.

- Petite pause du premier round. Lui souriais-je pervers, un grand sourire aux lèvres de satisfaction. Alors ? Sa te fait quoi que je jouisse en toi ?

Ma soeur aime-t-elle un petit moment de calme entre deux, de douceur ou sa la gonfle ? J'essaie d'en apprendre un peu plus sur elle et de si c'est mieux que je me retire ou que je puisse continuer ainsi. Je me sèche en la fixant, attendant sa réaction.

Comme sa cadette, Akuro n’avait guère envie de couper les ébats si proches de l’extase. A la place de Chiharu, bien incapable de réfléchir dans cette situation, il trouva la solution : la vasque. A ses ordres, la louve l’attrapa de ses deux mains pour se maintenir.

La position est déjà plus confortable et elle peut mieux maintenir son corps. Il fait de même ; la différence se fait tout de suite ressentir quand sa queue s’enfonce plus profondément en elle. Cette sensation plus intense encore lui arrache de nouvelles obscénités des lèvres. Ses doigts s’accrochent à la céramique à en devenir douloureux. L’orgasme est si proche…

Il arrive, avec une violence qu’elle a rarement connue. Son corps se fait tremblant, ses parois se contractent autour de l’imposante queue de son aîné. Elle glape quand à son tour, il se vide… en elle ? Ah… Chiharu a complètement oublié de sortir les capotes, sous le feu de l’action, cette envie irrésistible, ce détail lui avait échappé. Akuro ne s’en plaint pas, elle non plus. Sentir le fruit brûlant de son plaisir lui arrache un dernier soupir de plaisir.

Alors qu’il se retire, la louve se relève les muscles tremblants après l’effort. Pourtant, elle est déjà prête pour la suite, impatiente de remettre le couvert. Mais elle accepte tout de même la pause proposée, s’abstenant de lancer une pique désagréable. Ce sera peut-être la seule qu'il laissera avant de partir en mission… Autant en profiter quelques secondes et savourer l’extase qu’il lui a offerte.

Elle se tourne vers lui, ses bras s’installent autour de son cou. Ses lèvres se collent au creux de son oreille. « Un bien fou… T’as aimé baisé ta petite soeur ? » Un rire suit ses paroles. Elle s’éloigne de lui pour rejoindre la pièce à vivre. Assoiffée après cette douche brûlante, Chiharu sort deux bières qu’elle décapsule avec ses dents.

« Tiens. Si tu veux, y a des capotes dans le meuble à côté du canapé. » La louve s’absente, retournant à la salle de bain pour prendre une serviette et se sécher. L’appartement étant déjà trempé… Ca ne sert pas à grand chose.

Bon sang que c'est bon de me taper Chiharu !
L'entendre glapir de plaisir d'être soulever par son frère ! Sentir sa féminité serrer mon érection et enfin, la faire venir !
Jouir en elle n'était pas mal non plus...

Je vois bien à son regard pétillant et malicieux qu'elle se retient d'une pique et étreint mon cou, moi je pose mes mains à son fessier, que je caresse, reprenant mon souffle. Alors qu'elle me taquine, me faisant frissonner à sa voix dans mon oreille. Cette fois, je préfère être sincère, alors que déjà elle s'éloigne...

- J'ai adoré te prendre oui, soeurette. Avouais-je presque sans gêne.

Alors qu'elle s'éloigne, je nettoie le sol et soupire tandis qu'elle-même vient mouiller plus loin. Je l'entends me proposer une bière et des capotes... signe que la soirée n'était pas terminé, ce qui me va !

- Merci.

Je récupère la bière, me baladant nue, tandis qu'elle fait les pas inverse... à croire qu'elle se fiche de moi. Un soupire, je dois une gorgée et passe un coup de serpillière rapide tandis qu'elle se sèche. Pour le coup, tout me refroidit un peu, mais la bière fraîche est agréable.

Lorsqu'elle revient, une fois sec, le sol est déjà plus propre et je fini de ranger la serpillière, bois une autre gorgée et sort les capotes, néanmoins... Je souris coquin en la mattant, me touchant un peu le chibre qui se dresse lentement.

- Je préfère te baiser sans préservatif. Donc si tu veux que j'en porte, viens me les mettre.

Voudra-t-elle le faire ? En tout cas, je profite qu'elle approche pour l'agripper et la tirer contre moi, venant l'embrasser fougueusement, une main sur son cul et l'autre dans ses cheveux, collant de nouveau nos corps nues l'un contre l'autre. Cependant, cette fois-ci, on est pas mouillé et on peu mieux ressentir le contact de notre peau chaude.

- J'ai envie de voir ma soeur à genoux, me taillant une pipe. Suis sûr que t'en meurt d'envie, non ?

Pour le moment je l'y force pas et je reste méfiant. Être dominant c'est bien, mais avec son sale caractère, si elle veut pas, je m'inquiète d'une morsure non désirée... Alors je tâte le terrain.

« Tu te branles déjà ? remarque la louve, amusée. Si tu en veux pas, pas la peine d’en mettre… Ta queue est bien meilleure sans. »

Dans le cas inverse, Chiharu l'aurait fait avec plaisir. Tous les deux sont d’accord pour s’en abstenir… Ça n'est qu’une gêne, qui risquerait de gâcher leur plaisir.

Pour l’heure, Akuro l’attrape et l’attire à lui pour l’embrasser. La louve sourit et entrouvre les lèvres pour venir répondre avec passion à son baiser. Son corps brûlant se blottit contre celui de son aîné ; la sensation est bien différente, plus agréable.

Une fois le baiser terminé, il est plutôt direct dans sa demande, sans pourtant l’exiger. Tant mieux, il se préserve ainsi d’une réaction imprévisible de sa cadette. S’il a commencé à prendre le dessus, à s’imposer comme dominant dans leur rapport, obtenir l’obéissance de Chiharu serait bien plus compliqué. Même s’il est en très bonne voie…

Un sourire étire ses lèvres et d’une voix malicieuse, elle répond : « Te sucer ? Mmh… Tu as déjà fantasmé à l’idée de me voir accroupie avec ta queue dans la bouche ? » Son emprise sur sa queue se referme, d’habiles caresses elle prend soin de la faire durcir encore une fois.

Chiharu finit par poser un genou devant lui. Plus docile que prévu, c’est une manière de le récompenser d’avoir cédé dans la douche et de montrer qu’elle peut très bien s’occuper de lui.
L’autre genou rejoint le sol et, devant son visage, se présente sa virilité à peine éveillée. Sa bouche ouverte, elle vient accueillir lentement le gland.

Sa langue caresse sa peau alors que sa main guide son sexe avec paresse. Son regard fixe son aîné, d’un air de défi. Sa lenteur est volontaire, pour l’énerver, lui faire perdre patience. Ca aurait été trop simple qu’elle s’occupe gentiment de lui, non ?

Après plusieurs longues secondes, elle commence à peine à le gratifier de quelques vas-et-viens traînards. Chiharu prend un véritable plaisir à sentir ses lèvres explorer sa peau ; la fellation l’excite plus qu’elle ne l’avouerait. Par chance pour son aîné, sa main plus énergétique compense la lenteur de sa bouche. La japonaise décide ensuite de la retirer pour venir l’explorer de sa langue, la faisant glisser sur son long.

Face à ses petites lèvres, la queue paraît bien disproportionnée.