Le Désir Tabou. - Red King

Chiharu fait face à une horde d’humains enragés mais elle est loin de se douter qu’un vampire, leur ennemi naturel, tire les ficelles en amont. Mais ils auront le temps de faire le point plus tard, avec Akuro et l’Alpha. Pour l’instant, la louve endure les coups, un grand sourire aux lèvres. Quand un de ses assaillants s’approchent un peu trop, son crâne se fracasse contre le sien. Il se recule, le nez en sang. L’un de ses comparses s’approche pour mettre un nouveau coup de poing à la japonaise.

« Salope, tu vas parler ?
- Préparer immédiatement le départ et tuer ses chiens galeux.
- Je préfère ça ! »

Avant que le canon ne soit pointé sur la louve, Akuro lui vient en secours et use, comme leurs adversaires, d’une arme à feu pour les obliger à se replier. Les humains font bien moins les malins et plusieurs tombent face à l’écart de puissance entre eux et le loup. De son côté, Chiharu n’a pas l’intention de perdre le pari, lancé à son initiative. Elle se disloque un poignet dans un grognement de douleur afin de se libérer.

Son aîné a pris une nette avance. Malgré ses blessures, la louve enragée se bat vaillamment et fait payer les coups au centuple à ses tortionnaires. A deux, ils finissent vite par prendre le dessus et se débarrasser de la racaille. Les renforts ne sont pas encore arrivés que les corps gisent au sol. Certains sont morts, d’autres juste inconscients. Car il faut tout de même en garder quelques-uns entiers pour pouvoir les interroger le moment venu.

Assise sur un humain au limite de l’évanouissement, Chiharu compte les corps et fait le poids sur le vainqueur. « Putain, t’as gagné ! Constate-t-elle avec dégoût. Si tu avais pris la peine de me libérer, ça aurait été plus équitable. » Mauvaise perdante, elle récolte avec sa défaite de nombreuses blessures. Heureusement, avec leur nature surnaturelle vient une guérison plus rapide bien qu’elle ne soit pas exceptionnelle, non plus. Quelques jours de repos, les soins adéquats, Chiharu sera comme neuve !

Les renforts passent la porte. Ils sont une petite dizaine avec à leur tête, Saeko. Elle est l’une des proches de l’Alpha, à la charge de sa protection lors de ses déplacements et de l’unité de renforts. Sa force n’est un mystère pour personne ; elle prend bien vite les choses en charge à son arrivée. Sous ses ordres, les différents humains sont appréhendés, divisés en deux groupes : les morts et les vivants. La scène est nettoyée afin de n’attirer les soupçons d’autres humains.

Pendant que ses subordonnés s’affairent à leur tâche, elle s’approche d’un pas des deux loups : « Bon travail ! Vous devriez aller vous reposer. On se charge du reste. » Sa main tendue vers Chiharu, Saeko l’aide à se relever. « Passe te faire soigner ! » D’un haussement d’épaules, la louve répond : « C’est rien ! Je suis en pleine forme ! » Elle quitte le hangar, d’un pas assez lent et invite Akuro à en faire de même. Une fois dehors, elle se tourne vers lui : « Chez toi, c’est plus près, non ? Par contre, on va devoir prendre les transports en commun… »

Je trouve que l'on avait été plutôt soft, franchement, il n'y avait pas de démembrement, juste des bons coups de crocs et griffes, avec des litres de sang, mais c'était pas grand chose. Bon par contre, sa nous faisait de belle tâche.
J'explosais de rire à ma soeur en colère, j'en avais oublié son gage, elle va s'en mordre les doigts. Pour l'heure j'étais plus inquiet par l'apparition de ce vampire. Il faudra rester aux aguets.

- Te libérer ? C'est toi qui a foncé dans le tas. Je te pensais capable d'agir sans mon aide, et puis, tu n'aimes pas quand c'est trop facile. Me moquais-je d'elle, elle n'appréciait pas la pitié de sauver une demoiselle en "détresse".

La pluie dehors c'est arrêter et nos compagnons arrives, prenant le relai. Je fais mon rapport à la louve dès qu'elle vient vers nous. Chiharu elle est déjà sur le point de sortir. Saeko reste pro, mais en bonne anticipatrice, je sais qu'elle me garde à l'oeil, pour rester dans mes bonnes faveurs lorsque je deviendrai l'Alpha. Elle est efficace, par contre, ce n'est pas la plus belle des louves, ses rares avances, je les lui ai refuser.

Information donner, je sors et retrouve ma soeur qui veut s'inviter chez moi, j'ai alors un sourire mesquin et jet un regard autours pour voir si des regards ne traine pas... personne. J'agrippe Chiharu contre moi, empoignant son fessier férocement.

- Bien, alors à partir de maintenant tu es ma chienne. Pour une semaine, je peux tout te faire. Tu vas vivre chez moi durant ce petit temps, que je puisse te baiser à volonté.

Je claque son cul, et prend sa main, nous dirigeant, non vers la ville mais un peu en dehors.

- On a une planque à dix minutes d'ici. Y a une moto, ce sera plus simple. On pue le sang et y a pas de bus à cet horaire là. Souriais-je en regardant ma montre, 5h du matin...

Comme prévus, on s'éloigne de la ville, entrant dans la forêt mais restant en bordure, pour enfin arrivé à une cabane et un garage, je récupère les clés et sors la moto. J'ai envie de me poser à la maison, un brin fatigué, alors je me dépêche, Chiharu monte avec moi et nous sommes partis.
Un quart d'heure plus tard, nous arrivons dans un quartier résidentiel, en partie par des lycans, se mélangeant aux humains. Je range la moto et m'étire, avec un sourire satisfait et pervers avant de relooker ma soeur.

- A partir de maintenant, quand on sera seul tu m'appeleras "maitre" ou "grand-frère". Je te veux nue à la maison et ne cache pas tes appendices canin, t'es sexy avec.

Je viens lui rouler un patin rapide en lui touchant les fesses et m'éloigne pour ouvrir ma maison. Elle y est rarement entrée, mon ex n'appréciant pas sa présence, sa mettait la pagaille, donc je ne l'y invitais que très peu.

- Je vais te chercher ton collier et ensuite on terminera la soirée. Je lui souris coquin, ayant hâte de me défouler dans un lieu plus grand et plus propre que ce taudis d'appartement bon marché.

Un pari n’est intéressant que quand il est gagné ; dans le cas présent, Chiharu est assaillie de remords. Mais une parole donnée ne peut être reprise malgré les présages données par la soudaine proximité d’Akuro, elle ne faiblit pas et le suit. L’aube se levait ; la pluie s’était arrêtée. Mais comme son aînée, la louve reste trempée d’avoir couru sur la pluie, imbibée de sang de leur combat. Les transports en commun ne passent pas ; il fait bien de le lui rappeler.

La fatigue se profile, menée par ses blessures. Or, une fois arrivée à la planque où un moyen de locomotion leur est enfin accordé, elle se sent déjà revivre, de plus d’être obligée de marcher. Sa charmante maison est facile à rejoindre. La japonaise n’y a que rarement mis les pieds à cause de Kyoko. Puis, le domicile ne l’intéresse pas tant que ça. C’est plutôt la perspective de se poser qui l’anime. Son appartement est plus éloigné.

Les premières directives sont données sur le pallier de sa porte. Un baiser rapide accordé, sa main sur ses fesses. La louve n'a pas le temps de réagir qu’il ouvre la porte. Chiharu y trouve un lieu de vie propre et bien rangé. Loin de son miteux studio insalubre, elle aurait parié y entendre des rats se balader la nuit dans les murs. Ça ne ferait qu’écho à la moisissure et aux nombreuses fuites qui y traînent déjà.

« Un collier, râle-t-elle, bien que la perspective de continuer leur soirée l’égaye un peu plus.  Ta machine à laver est où ? »

Elle a vite exécuté l’un des premiers ordres : se mettre nu. Il lui permet surtout de se débarrasser des vêtements poisseux. Sans réponse, peut-être qu’il ne l’a pas entendu, Chiharu les laisse avec ses chaussures dans l’entrée. Elle n'a pas non plus envie de dégueulasser la maison et d'être obligée de faire le ménage derrière…
Enfin, la louve se laisse tomber sur le canapé. Des bleus marquent son corps à différents endroits où elle a reçu des coups, son poignet se remet doucement. Finalement, ses blessures ne sont pas si terribles.

Quand les pas d’Akuro résonnent en sa direction, Chiharu se relève sur le canapé pour l’observer. « Je veux pas d’un accessoire que Kyoko a déjà porté. » Une seule condition plutôt raisonnable, pour une fois. Elle se lève pour le rejoindre. Ce court repos a suffi pour qu’elle reparte d’aplomb pour finir leur soirée bien entamée.

La louve a oublié mais la pleine lune est prévue pour dans deux jours, au beau milieu de leur pari… Certaines dernières, quand elle ne cause pas la transformation complète, exacerbe leurs sensations. Le jour la précédant et la suivant sont de la même trempe. Peut-être perdront une nuit, auquel cas, le pari sera légèrement repoussé. Ou Ils profiteront de la bénédiction lunaire dans leurs ébats endiablés.

Pour l’heure, ils sont encore sereins. Chiharu se plante devant son aîné encore habillé, pour le mettre au même niveau. « Tu désires quoi ? »

Je ne sais pas si Chiharu aime son appartement, en tout cas elle n'y met pas le moindre sous... ou elle n'a rien ? Elle est peut-être trop en mission et se fiche de son appartement miteux, mais en tout cas cela ne m'y invitait guère. D'ailleurs je me dis que si notre relation continue ainsi, j'irais pas la baiser là bas !

Arrivé à ma maison, je lui parle de ce que j'attends d'elle, le collier lui déplaît. Dommage, j'étais sûr que sa plairait à une chienne comme elle... En tout cas je lui montre du doigt la salle de bain, mais se dépoilant en même temps et moi lui tournant le dos, elle n'a pas vue.

Je récupère vite une boite de "jeux" auquel Kyoko était... trop intimidé. C'était aussi un peu gonflant de ce côté là, où lorsqu'elle faisait, elle ne se lâchait jamais, sa cassait mes envies. Mais Chiharu semble bien plus ouverte sur ça. Tant mieux !

En revenant, je trouve ma soeur nue et ne me gêne pas pour la mater, mes oreilles et ma queue de loup son aussi visible, s'agitant doucement. Elle a des bleus, mais sa guérira vite, alors je m'en préocuppe peu, et puis... c'est une battante, elle trouverai surement que je la rabaisse en faisant ça.

Elle refuse un objet/accessoire que Kyoko aurait déjà porté, amusant et... intéerssant, je caresse sa joue en lui tendant le collier.

- Ne t'inquiète pas, Kyoko a, comme tu le disais, une fâcheuse tendance à être trouillard et trop intimidé pour certaines pratique. On se demanderai si elle tient pas plus du chien que du loup. Me moquais-je de mon ex.

Je récupère ses vêtements au sol du coup et l'invite à me suivre à la salle de bain.

- Pour l'heure une bonne douche bien chaude est nécessaire, on pue et sens le sang de ces fichus humains.

Sans compter que j'en avais encore un peu le goût en bouche. La salle de bain était grande, une douche à l'italienne et un bain. La machine à laver ouverte, je me déshabille et la met à tourné avec nos vêtements, puis me retourne vers elle, le bain commençant à couler. Un coup d'eau pour rincer ma bouche, puis j'agrippe et colle ma soeur à moi, mon sexe s'érigeant lentement contre sa douce peau chaude.

- On se relaxe un peu pour se donner à fond après.

Le regard brillant sur les courbes de ma soeur, bien mieux éclairer ici que dans l'autre appartement, à la lumière jaune. Bon après il est vrai qu'on était presque le matin... un peu de sexe puis se coucher ? On avait le droit à un peu de repos, donc on viendrai pas nous emmerder aujourd'hui.
Je ne tarde pas à embrasser Chiharu avec la langue, caressant son fessier avec envie, j'allais pouvoir me déchainer en elle, sur elle durant plusieurs jours... miam.

Chiharu ne peut pas blairer Kyoko ; l’inverse est vrai. Alors, entendre Akuro la railler et lui donner raison suffit à lui faire plaisir. Malgré les efforts de l’ex, elle a vite remarqué lors de leur première rencontre son manque de cran. De même, quand un problème s’imposait avec la cadette, la trouillarde préférait en parler à son compagnon, plutôt que d’affronter le regard méprisant de la louve. Elle n'a jamais eu de courage ou la capacité de s’imposer.

Ce qui a le plus surpris la japonaise est une rencontre récente, chez sa mère. Elle s’y était arrêtée pour passer la nuit et Kyoko lui rendait visite. Depuis sa chambre, elle avait pu entendre toute la discussion lunaire. La compagne de son frère se plaignait de son refus d’avoir des enfants et demandait de l’aide pour le convaincre. Sous le charme de son adorable belle-fille, la génitrice finit par céder et en suivit quelques jours plus tard, une discussion pénible.

Chiharu n’a jamais pris la peine de raconter cette histoire à son aîné. Depuis, Kyoko lui est toujours apparue aussi perfide qu’un immonde vampire.
Animée d’une nouvelle joie, elle le suit, le collier au cou. Ses attributs lupins se manifestent quand Akuro ouvre la marche. Dans son dos, donc. Sa queue touffue se balance de droite à gauche avec une certaine aisance et gaieté. Ils arrivent vite à la petite salle de bain.

Il a pas tort. Ils puent. Chiharu est la première à entrer dans la douche, profitant que son aîné met le lave-linge en route. Mais Akuro la rejoint vite. Le dos de la cadette se colle à la paroi glaciale et ses bras entourent son frère. Sa virilité frotte contre l’intérieur de sa cuisse. Plus elle s’éveille, plus elle s’étend contre sa féminité. D’une main, elle vient l’aider à prendre contenance.

« Tu sais quel est le meilleur moyen pour se relaxer ? Lui souffle-t-elle à l’oreille, d’une voix sensuelle. La baise. »

A peine, la louve finit ses mots qu’Akuro s’empresse de l’embrasser. Elle y répond avec ardeur, se cambrant à ses caresses. Entre ses doigts, il prend bien soin de s’occuper de son fessier. Pour son plus grand bonheur. Chiharu ne compte pas vraiment lui accorder ce repos ; les quelques minutes passées assise lui ont suffit à retrouver la forme. La cadette se surélève à peine pour que le gland gonflé tape contre son entrée, et s’y fraye un chemin au chaud.

Ma soeur avec un collier... sa lui va plutôt bien. Je la préfère avec ses attributs lupin, ses petits n'oreilles et sa queue remuant d'excitation. J'étais partis pour un bain, mais Chiharu à visiblement envie de se "défouler" en choisissant la douche. Je la rejoins, ayant assez de place pour ne pas être écraser, bien que je viens contre elle, alors qu'elle m'étreint.

Mon membre se frotte à sa fleur, alors qu'un jet d'eau chaude nous réchauffe. Second round à la douche j'ai envie de dire... Elle ne tarde pas à caresser mon sexe pour l'aider à se dresser plus rapidement et viens me murmurer à l'oreille... des propos un peu trop vulgaire, non que cela me dérange, mais pour quelque chose de plus sensuelle, d'autre mot aurait été parfait. Malgré tout, je n'en reste pas moins excité et embrasse sauvagement ma soeur.

Mes mains sur ses fesses, je les masses fermement, soupirant contre ses lèvres que je mordille. Je ne m'y attends pas aussitôt, mais je sens rapidement mon sexe pénétrer ma soeur, je descends alors mes mains derrière ses cuisses et la soulève pour l'embrocher contre le mur.

- Hum putain... je suis bien au fond de ta chatte sister. Lui souriais-je bien coquin.

Je sens bien mon membre écarter les parois vaginales de ma soeur. La pourfendant, je commence à donner des coups de reins vigoureux en elle. C'est fou ce que j'apprécie la sensation de mon pénis en elle, est-ce le fantasme de me taper ma soeur ? Où on aurait une drôle d'alchimie fraternel ?
Ma queue fouette la parois, mouillé, le sons est percutant alors que je besogne farouchement ma soeur. C'est bien plus agréable de me taper Chiharu, qui n'a pas peur de recevoir mon énorme mandrin en elle, que mon ex, émoustiller mais intimider et parfois craintive que je la blesse en me laissant allez.

Je commence à glapir de plaisir en m'enfonçant encore et encore entre ses chairs avec mon pieu de chair. L'eau chaude sur nous, garde nos corps à une température plutôt élever, sans compter notre sang chaud de lycan. Grognant de satisfaction, je viens l'embrasser langoureusement, ma langue viens chercher la sienne et tourne avec elle lascivement.

Si c'est si bon de "jouer" avec ma soeur, je crains d'avoir de plus en plus faim pour son corps...