Orgies et bonnes notes (RP libre)

Sa demande est rapidement exaucée par la nymphomane qui lui triture les boules comme si c'était la dernière chose au monde qu'elle pourrait avaler. Le spectacle est aussi excitant que dépravé sous son regard stupéfait. Une bombasse est en train de se jeter littéralement sur lui pour satisfaire ses envies les plus primaires.

Le port du masque ne l'empêche pas de voir l'envie de la regard de la belle femme plus âgée que lui qui se régale au point d'en baver copieusement. Puis la séparation, une nouvelle fois, alors qu'il commençait à prendre un plaisir fou d'une autre manière. Se faire sucer la queue puis les couilles par deux affamées à tour de rôle est un fantasme pour pas mal d'hommes. Avec de la chance il pourra sans doute parvenir à associer les deux au court de la soirée.
Surtout que les deux femmes semblent obéir au doigt et à l’œil de son compère quand il leur aboi un ordre. Lui aussi pourrait tenter sa chance le moment venu.

La femme qui était venue le sucer la première venait d'être abandonnée froidement par son camarade alors qu'elle l'invitait à venir lui baiser la bouche selon son envie. Celui-ci préférant visiblement s'amuser avec la mangeuse de couilles qui lui offre rapidement le même traitement qu'à Shin.

Un poil hésitant au début, le lycéen pose une main dans la jolie touffe de cheveux rousse qui est à portée de bras en lui annonçant qu'il est libre.

- Moi je veux bien !

Les couilles endolories après un traitement aussi vorace lui a permis de souffler un peu et a rendu son sexe un peu plus endurant. Insensible serait peut-être même un terme plus approprié.

- Après la mangeuse de couilles, j'ai droit à l'avaleuse de bite.

On remarque qu'il n'est pas encore assez à l'aise pour tutoyer sa partenaire. Cette gêne n'est qu'orale en tout cas. Son bassin vient rapidement remuer pour lui permettre d'entrer dans cette bouche offerte une fois qu'il a laissé à la femme le temps de se tourner vers lui.

Le retour de ces lèvres humides réalisent un nouveau miracle sur sa trique qui se met à tressauter d'impatience. Comme si son insensibilité n'était qu'une illusion. Sa seconde main vient saisir le crâne de la belle pour lui permettre de mieux bouger en elle. Puis se sont ses genoux qui se plient légèrement en collaboration avec ses hanches pour lui permettre d'effectuer des pénétration en poussant vers le haut.

Très vite ses couilles encore couvertes de salive viennent cogner sur le menton déjà bien dégueulasse de sa victime.

- Oooh, ouais ! C'est trop bon ! Bouffez-moi la bite ! Prenez là au fond ! Comme ça ! Vous aimez vous étouffer dessus ?

Il l'a vue plus tôt venir se mettre minable sur la bite de son camarade. Alors pourquoi il devrait se priver lui aussi vu qu'elle en redemandait clairement ? Quand l'explosion approche trop, il marque une pose de quelques secondes en restant logé en elle pour repartir de plus belle la seconde d'après.

En l'espace de cinq minutes, l'inévitable se produit. Ses doigts s'entremêlent dans les cheveux de la belle avec poigne alors que tout son corps se raidit. Puis c'est l'explosion. Un mois maintenant qu'il passe chaque instant de libre à étudier. Pas de porno, pas de masturbation. La pauvre va subir le résultat de quatre longues semaines de frustration et Shin se fout éperdument des conséquences que cela pourrait causer.

Que ce soit l'une ou l'autre, qu'importe! Saya n'est pas là pour se vendre ni pour obtenir une note. il lui faut juste assurer de manière à ce qu'il n'y ai pas d'histoires ni de mauvaises critiques. Elle peut prendre sur elle le temps d'une soirée, après, ce sera oublié. Son changement de partenaire va de le sens du défoulement. Le garçon qui entreprend à présent sa bouche y va fort, d'entrée de jeu. A croire que voir l'autre ne prendre aucuns gants a brisé ses barrières respectueuses. ne manque plus que le tutoiement et il aura gagné le trophée du parfait petit puceau ... dépucelé.

Saya encaisse. Le garçon y met toute son énergie et pousse solidement sur ses jambes pour lui baiser le visage. Elle fait encore l'effort d'ouvrir grand la bouche. Elle n'a pas besoin de sucer puisque c'est lui qui mène la danse. Agrippée par les cheveux, elle est le parfait vide couille qu'il pouvait espérer.

"MMMFLFLLLLLLL!!!"

Elle bave et peu habituée à ses excès, met ses pains en coupe sous son menton souillé pour ... faire quoi? Rapidement, ça déborde. Elle doit le jeter à côté? Elle se pose encore la question qu'une voix grave retentit à leur côté. Le directeur est là et les observe, caché derrière son affreux masque de cochon.

"Excellent, excellent, excellent! Deux sublimes catins! Ne ménagez pas vos efforts, ce n'est rien à côté de ceux que nos brillants étudiants ont produit cette année."

Il s'adresse à Saya.

"Pas de gaspillage, avalez moi tout ça."

Puis à Hase.

"Vous penserez à venir me voir dès que vous serez libre ... que je puisse profiter aussi."

Gros porc pensa Saya! Néanmoins, elle s'arracha à sa gorge profonde pour porter ses mains à sa bouche et boire la totalité de la substance visqueuse. Errrk! Pas bon!

Elle fit la grimace mais se remit à la tâche. le gosse ne ramollissait pas. Le seul changement vint quand il se crispa, grande annonce du raz de marée montant. La première giclée surprend Saya alors que la queue est au fond de sa gorge. Là, c'est hard. Elle éructe bruyamment avant de s'étouffer avec la suivante et celle qui suit encore.

"BWWAAARRRKKKKK!!!!"

Quelqu'un rigole pas loin. La secrétaire pousse fort sur les cuisses du garçon pour s'arracher à ce déluge. Elle en prend plein la gueule alors qu'elle tousse et crache. il termine de se vider sur elle et elle tente de se cacher derrière ses mains levées. Quand sa se termine, elle ose ouvrir un œil, l'autre est barré d'une longues trainée collante. Elle est couverte de sperme qui s'étiole et s'allonge le long de ses formes en longs filets compacts. Même Hase en a reçu sur l'épaule!

Visiblement le jeu sorti de la tête du lycéen ne semblait pas les intéresser, peu importe, autant se concentrer sur les sensations nouvelles de ce soir et la charmante proie qui lui aspire la queue comme une affamée, qui de son coté avait évolué, devenu plus experte et assurée, Ayanokoji prenait son pied à la voir ainsi, ressentant à nouveau la jouissance pointer le bout de son nez, les frissons revenir, et le voilà sur la pointe des pieds, crispés près à tout lacher dans la gorge de sa prof, si propre sur elle d'habitude.

Dans une cambrure parfaite, un cri qui reste silencieux, et une poigne ferme dans les cheveux d'Hase, une quantité impressionnante de semence est relâchée par Ayanokoji, remplissant à ras bord le gosier de la jeune prof qui ne devait pas s'attendre à une telle quantité.

Soudain la voix grasse et écoeurante du directeur se fit entendre derrière, se permettant de donner des ordres et invitant mon amante de la soirée à le rejoindre plus tard. L'attitude et le physique immonde de ce type donnait envie de vomir à Ayanokoji, s'il le fallait il comptait bien garder Hase toute la soirée pour lui éviter de se retrouver entre ses griffes.

Focalisant à nouveau se concentration sur leur quator, le lycéen décida d'offrir une récompense à ses deux dames, s'accroupissant pour les atteindre plus facilement, il tendis les mains vers chacune d'elles, pour commencer à masser leur entrejambe, avec une certaine maladresse au début, après tout, bien qu'il fasse preuve de sang froid, c'est la première fois qu'il manipule une chatte, le temps de s'y retrouver. Il finit par sentir une sorte de bouton qui en arrivant dessus avait commencer à faire trembler sa prof de façon plus intense au point de lacher un petit cri. C'est sur ce bouton qu'il allait se focaliser, atteignant également celui de Saya.

La bouche de la jolie soumise est la première à subit les durs lois de la nature masculine. Un tsunami de crème épaisse vient lui repeindre l’œsophage pour finir sa course directement dans l'estomac de de cette dernière. Pas le temps pour elle d'y goûter cette fois car Shin saute plusieurs étapes sans même le faire exprès.

Ce n'est que lorsqu'elle tente de le repousser qu'il réalise ce qu'il vient de faire. Et... il n'éprouve aucune gêne ou remord. L'effet de l'encens sur l'étudiant est toujours présent. Le plaisir, la luxure, rien d'autre ne compte désormais. Puis c'est elle qui est venue offrir sa bouche à bite sans que qui que ce soit le lui ordonne. Personne ne l'a entendu dire "non" quand elle s'est fait baiser la gueule comme une vulgaire prostituée des bas quartiers.

- J'ai jamais autant éjaculer de toute ma vie.

Si cela peut le rassurer, le commun des mortels n'éjacule pas non plus en telle quantité. Pas sûr que le fais de s'être retenu un mois explique tout ce qui vient de se passer. serait-ce un effet de l'encens qui circule dans le gymnase ? Dieu seul le sait.

- Reviens par là ! Pas de gaspillage il a dit.

La barrière du tutoiement vient de céder à son tour. Le jeune homme se voit pousser des ailes, gargarisé par cette jouissance révélatrice. L'air ambiant semble si frais au contact de sa peau. Le mélange des odeurs semble aussi l'aider à se détendre autant que possible en faisant apparaître une facette de sa personnalité qu'il ne se connaissait pas.

Que sa main entre en contact avec le liquide visqueux qui coule sur le haut du front de sa soumise du moment ne le perturbe pas quand il lui tient la tête en place en s'attendant à ce qu'elle vienne nettoyer sa trique qui n'a pas faiblit d'un iota.

Une fois que son camarade terminait de son côté pour venir jouer avec les fentes qui doivent être sacrément humides des deux femmes, Shin décide de jouer le jeu en souriant de manière perverse.

Il commence par se redresser complètement et fait le tour du trio dont les membres sont imbriqués les uns dans les autres de bien excitante manière pour venir se positionner de sorte à avoir accès à la poitrine de la secrétaire qu'il commence à reconnaître petit à petit qu'il peut manipuler de sa main gauche en la glissant sous son haut moulant et le cul de l'autre femme aux nichons gigantesques qui pendent alors qu'elle tente de goûter à la chatte de son amie tout en se tenant à quatre pattes.

Jamais il n'aurait tenté cela auparavant avec une fille. Et pourtant le voilà qu'il se libère la voie pour venir faire claquer fort sa main droite sur le cul si imposant de celle qui s'était amusée à lui triturer les boules un peu plus tôt.

- Ce cul est énorme. Il me faudrait six mains pour l'attraper entièrement.

Sa main gauche arrête de caresser la poitrine ferme de la secrétaire pour descendre lentement le long de son ventre plat et couvert de sueur. Il se mit alors à penser "Alors voilà ce qu'on ressent quand une attrape une poignée de porte brûlante durant un incendie."

En poursuivant sa descente il entre en contact avec le bras de son camarade et s'excuse en penchant la tête pour voir le lieu de l'incident afin de faire un constat à l'amiable.

- Ah ! Pardon !

Shin se repositionne alors au niveau de ses deux mains. La droite reste collée à ce gros cul en le caressant tout en venant l'empoigner par moment pour tester jusqu'à ses doigts pourront s'y enfoncer pendant qu'il descend la main gauche en contournant le bras de son camarade pour chercher directement les lèvres intimes de la belle secrétaire.

- C'est chaud et humide...

Tout en avalant sa propre salive de travers en découvrant cette agréable sensation sur ses doigts, il pose une question à l'autre garçon.

- J'ai trop envie de baiser, pas toi ? Je te laisse choisir si tu veux, mais décide vite.

En témoigne sa bite dont du liquide gluant et transparent coule depuis sa fente qui n'arrive plus à se refermer correctement. Retenir sa propre bave de couler de la commissure de ses lèvres s'avère également difficile.

Saya n'a pas assez d'une langue pour se lécher ses mains poisseuses de foutre. Elle a prit la faciale de sa vie et apparemment, l'étudiant est aussi surpris qu'elle par la quantité délivrée. Elle en a partout et l'odeur persistante reste bien là, collée à son visage. La secrétaire essaye de bouger, ses genoux commencent à lui faire mal, mais une main opportune vient s'insérer entre ses cuisses pour venir l'explorer dans un premier temps puis ensuite s'appliquer sur son bouton de rose. Elle hoquète sous l'intrusion qu'elle n'attendait pas et gigote.

Ses mains attrapent la première chose qui se présente, la queue de l'étudiant qui vient de lui tartiner la bouille. Elle le branle comme si elle voulait le traire jusqu'à la dernière goutte, entrainée par la caresse qu'elle subit un peu plus bas. Mais ce n'est rien comparée à la sensation folle qui la saisit quand mademoiselle Aoi vient ajouter sa langue à ce ballet. Oh que c'est bon! Et oh que c'est cochon! Saya gémit et se tortille, augmentant par là le contact avec la professeure. c'est sa première fois avec une femme et l'image torride qui s'inscrit dans son esprit lui fait presque honte.

"HAANNNN! c'est trop bon!"

Elle aussi a envie de prendre ses initiatives. Son corps réclame plus d'intensité et le fait qu'ils jouent et s'amusent à quatre laisse envisager des perspectives intéressantes. Elle n'hésite qu'une seconde et se retourne brusquement pour rouler un patin bien baveux à Hase. Elle aussi sent le sperme. Elle aussi a le menton souillé. Faisant fi des règles, Saya arrache son masque tout en continuant de l'embrasser avant de jeter d'un air taquin.

"Le sperme, ça te va bien!"

Puis elle se donne une claque sur les fesses après avoir remontée sa jupe et baisser sa culotte.

"Allez! Au plus rapide!"

Indécent, scandaleux, pervers, tellement de mots qui pourrait décrire la scène se passant entre ces quatre protagonistes de la soirée face à des personnes pieuses. Bien loin de ce genre de préoccupations, Ayanokoji continuant à chauffer Hase de ses doigts, observe le spectacle des deux brasiers ardents face à lui. Saya perdant tellement pied qu'elle envoya voler son masque, pour rouler un patin des plus indécents à sa collègue de la soirée. Cette scène faisant prendre encore plus de vigueur à la queue du lycéen qui sourit sincèrement d'exaltation en les voyant perdre pieds un par un, ne se rendant pas compte lui même qu'il n'est pas si différent d'eux à cet instant.

Desserant sa cravate sans la defaire, il aggripa la crinière de Hase et l'enfila autour de son cou avant de l'enrouler dans sa main pour en faire une laisse, lui arrachant attaches de porte jartelle et sous vêtement pour lui enfiler deux doigts qu'il fait bouger à vive allure, sentant malgré tout l'hymen faire obstacle, il veilla à ne pas lui transpercer, pas pour l'instant en tout cas. Cela confirma cela dit ce qu'il pensait jusqu'alors, elle était vierge. Se glissant derrière elle et venant frotter sa queue contre la chatte de Hase, il tira sur sa laisse, lui murmurant à l'oreille.

- Tu n'es qu'une chienne en manque, très bien, tu seras la mienne.

Accompagné d'une violente claque sur le fessier, bien plus forte que celle de son camarade, il lui roula un patin bien plus expert qu'auparavant, ayant bien observer Saya faire juste avant.

- Toi là, j'ignore ton nom, mais j'ai cru comprendre que tu voulais la secrétaire, alors je te laisse l'honneur de la prendre en premier, je m'occupes de celle là pour l'instant.

Avant de reprendre son baiser sauvage, et prenant l'un de ses seins à pleine main le malaxant avec adresse. Son sexe durcissant toujours plus, s'hérissant presque à l'entrée du vagin de son jouet.

Le sang ne fait qu'un tour dans le cerveau de Shin lorsqu'il réalise qu'il a le chemin libre pour devenir enfin un homme. Ce n'est comme ça que les adultes définissent le fait d'en être ou non. Mais les ados sont débiles et pouvoir faire preuve de virilité d'une façon ou d'une autre est une manière pour eux d'exister et de se démarquer au sein d'un groupe.

Il va alors pour se saisir de l'épaule de la secrétaire quand il glisse et la fait basculer en avant. Hasard ? Coïncidence ? Signe du destin ? Le fait est que dans cette position Saya pourra voir directement le visage de l'autre femme qui se fait monter dessus comme le font les animaux dans les documentaires animaliers.

Le sexe dressé et dur, et l'excitation n'aidant en rien, le lycéen à un peu de mal à trouver l'entrée par laquelle passer durant les premières secondes. Dans le dos de la joli secrétaire, une bonne levrette semble être de circonstance.

- Merde...Merde !

A l'instant où il trouve son bonheur, il enfonce sa trique qui beigne encore dans un cocktail de sécrétions diverses d'une traite pour tenter d'atteindre le fond de cet orifice qui lui est offert si ouvertement.

- Hooooouuuuuuuu !

Ce garçon si calme et réfléchit au quotidien s'est transformé en véritable bête. Une main sur l'épaule de sa partenaire et l'autre sur sa hanche. Il commence à la prendre sans aucun ménagement. Comme il l'a fait avec sa bouche plus tôt.

Le rythme reste lent ceci dit car il a peur d'avoir un autre accident si son zèle prend le meilleur sur lui. En tout cas il ne lésine pas sur les coups de butoir. Quitte à pousser très légèrement le corps de sa partenaire au passage qui n'est qu'à quelques centimètres de l'autre couple.

Aussitôt demandé, aussitôt exaucé! Le geste du garçon est sec et Saya bascule en avant, cambrée, les fesses en l'air. Devant elle, elle n'a qu'à quelques centimètres le visage extatique de Hase Aoi qui semble accéder à un univers miraculeux. A croire que c'est sa premi.... Non!!! Sa première fois, dans ces conditions? Saya tente de lui dire quelque chose, n'importe quoi pour l'accompagner car c'est un moment important dans la vie d'une femme. Mais son cavalier ne la laisse pas apporter le réconfort qu'elle voudrait et cherche lui aussi, à sortir de son ignorance.

La secrétaire n'a pas besoin de beaucoup réfléchir pour comprendre que lui aussi est puceau. Derrière elle, il explore, cherche maladroitement et manque même de se planter d'orifice. Quand par mégarde, il presse contre l'anus fermé, Saya écarquille les yeux et lâche un son étouffé avant de donner un coup de rein pour l'orienter un niveau plus bas. Là, sa chatte trempée est prête à accueillir n'importe qui, n'importe quoi. Il s'enfonce en elle et elle exhale un long soupir de satisfaction. La queue de son amant est ... correcte, très correcte... plus grosse que celle de Mako en vérité et la sensation qui écarte ses chairs alors qu'il va plus loin manque déclencher un orgasme.

Il prend ses marques et la tient fermement, affichant sa nouvelle virilité alors que son bassin vient s'emboiter contre les fesses de Saya à chaque retour. Y aller doucement ne semble pas être son trip. Il y va fort et leurs chairs claquent. Elle halète, cherche son souffle qu'il coupe à chaque coup de reins. la chevauchée est sauvage et la secrétaire s'affaisse au sol pour rejoindre une Hase ravie.

Les deux femmes ne sont que des objets sexuels et leurs visages proches ont la même expression: celle de la salope qui se fait bien baiser.

C'est parti, c'est maintenant qu'Aya' va savoir si le sex est aussi incroyable que tout le monde le dit, bien qu'il en ai déjà eu un bon aperçu des plus agréables jusqu'à présent. La présence de l'encens le rend de plus en plus insatiable à cet instant. Ne sentant même pas les tremblements d'angoisse de Hase, il vient écarter ses parois sans ménagement. Bien que le passage s'avère extrêmement étroit et qu'il se retrouve bloqué à un moment. Faire sa première fois dans une orgie, c'était pour le moins original. Mais plus question de réfléchir pour l'instant.

Donnant un coup sec, la queue du lycéen déchire sans plus de cérémonie, l'hymen de l'enseignante, laissant une bon filet de sang évacué, tandis que les muscles de la chienne face à lui se raidissent sous le poids de la douleur. Mais elle lui avait demandé de la prendre fort, et c'est bien ce qu'il comptait faire. Sentir sa queue compressé à ce point la rendait bien plus sensible et Aya' sentit une grosse vague de chaleur le traverser. Agrippant à pleines mains les hanches de son amante, le voilà qui ressort le foureau jusqu'à la garde quasiment pour entrer d'un coup encore plus sec, encore et encore, laissant des gémissements incontrôlés s'échapper et un sourire de prédateur sur son visage. Laissant tomber le masque de la neutralité absolue qui le caractérise si bien d'habitude.

Emporté dans la frénésie, il y va de plus en plus fort et de plus en plus vite, ne prenant plus en compte le bien être de son esclave, uniquement le sien. Fouettant ses fesses de la main tel qu'on cravacherai un cheval pour aller plus vite, les marques rouges commençant à se dessiner, tandis qu'une main aggripa la nuque d'Hase pour la pencher en avant et qu'elle roule un patin de salope à sa compagne de fortune. Tandis que le regard d'Aya se posa sur son compère qui semblait ne plus être présent mentalement, ayant laissé la bestialité humaine s'invoquer à sa place, donnant encore plus de fougue à notre protagoniste, qui allait titiller l'anus de son amante.

- Putain, je comprend que les gens soient accro au sex, surtout avec une chienne comme toi Hase, il se pourrait que te prendre devienne un de mes passes temps favori, même après ce soir.

L'espère de cocon dans lequel se trouvait le quatuor est en train de fondre comme neige au soleil quand d'autres personnes décident de venir profiter du spectacle de plus près. Une femme semble avoir apprécié l'échange entre la secrétaire et celle qui semble être Hase-sensei vu qu'elle se pose à genoux à proximité d'elles pour chercher à les embrasser dès qu'une occasion se présente à elle.

En voyant comment l'enseignante est traité comme une vulgaire chose, Shin se met à penser que Saya en attend sans doute de même de sa part. Après tout elle n'avait pas émis la moindre plainte après l'épisode du baise-gueule.

L'étudiant vient donc se saisir de la chevelure courte de la rousse et oriente son visage pour le tourner en direction de l'inconnue.

- Fais-lui goûter mon sperme !

Avec tout ce qu'il avait craché plus tôt il devait bien lui en rester de coincé au creux d'une joue. Ou peut-être qu'elle va en recracher un peu de ce qui lui est resté dans la gorge. Même sa langue doit encore avoir le goût de sa crème épaisse après s'être faite tartiner.

C'est alors que sans qu'il ne le remarque, un homme s'approche du couple de circonstance et enfonce sans ménagement deux doigts dans la rondelle de la jolie secrétaire lorsque son cul revenait vers le bassin de Shin.
L'adolescent va pour faire une remarque quand il est interrompu par l'homme qui parlait aux deux femmes plus tôt en leur annonçant vouloir s'amuser en leur compagnie plus tard.

- Il faut savoir partager, jeune homme. Regarde donc ce joli petit cul. Bien ferme. Tonique ! On pourrait faire un concert de percussion dessus.

Trop occupé à écouter les bêtises du gros bonhomme, cela offre l'occasion à l'inconnu de venir enfoncer un troisième doigt dans cet œillet. Et l'homme va même jusqu'à appuyer pour que tout y rentre jusqu'au dernier centimètre.

Les passions déchainent les curiosités. L'intimité du quatuor attire d'autres participants. A croire que les gémissements des deux femmes incitent les discrets à sortir de leur cocon. Les garçons font de leur mieux, chacun avec son propre caractère. Autant le partenaire de hase semble naturel dans sa manière d'être assez sèche et impersonnelle, autant celui qui prend Saya est un gentil étudiant malgré ses agissements et commentaires un peu discutables. La secrétaire a bien une idée en tête quant à son identité mais il reste encore un doute à lever.

De toute manière, ce n'est pas le plus urgent. Là, elle se fait solidement culbuter et le petit volcan qui s'est éveillé entre ses cuisses indique qu'elle prend son pied. le garçon la pénètre fort et elle a choisi de le laisser faire. La queue écarte ses muqueuses pour s'enfoncer profondément entre elle et son corps s'écrase contre hase à chaque coup de reins. Hase qui est d'ailleurs dans le même état qu'elle. Saya l'embrasse à nouveau. Leurs lèvres se collent comme des ventouses, liées par une pellicule de sperme qu'elles partagent. Saya en a à revendre. le garçon s'est littéralement purgé sur elle et elle en a même dans l'oreille. Elle gémit et une grosse bulle de foutre se forme à la commissure de ses lèvres pour éclater au visage de la professeure. C'est risible mais elle ne peut pas s'esclaffer, toute ravagée par son étudiant qui la malmène. Elle glisse même et manque perdre l'équilibre. Elle se rattrappe à une grosse masse molle: un énorme sein écrasé au sol. Hase ... Comment peut-on porter des trucs pareils et garder l'équilibre?

La question s'arrête là que ...

"HEY!!!!"

C'est un vrai cri de protestation qu'elle lance quand une gêne douloureuse vient lui percer l'anus.

"NON MAIS TU ..."

Ca s'arrête là... Elle s'est contorsionnée pour engueuler son étudiant et reste coi quand elle s'aperçoit que c'est monsieur le directeur qui lui torture les fesses de ses gros doigts. Un soir, juste un soir dans l'année... et après elle aura la paix. Saya serre les dents et bouge son fessier. C'est douloureux et sa rondelle est distendue. C'est sec et elle plonge sa tête entre ses bras en soufflant pour tenter de faire passer l'exercice un peu plus facilement... Se concentrer et encaisser... Et ce ne sont pas les baisers réconfortants de l'inconnue qui l'aident beaucoup.

« Maître » rien que d'entendre ce mot, si le pilon d'Aya' devait perdre en vigueur, cette simple élocution le réveilla un grand coup et le fit jouir instantanément pour la seconde fois de la soirée, mais cette fois dans l'intimité de sa soumise, n'annonçant pas pour autant la fin de la soirée au contraire, il en profita pour lubrifier le fondement de Hase et y enfonçait un doigt inquisteur qui vint fouiller cet antre jusqu'alors inconnu. Alors qu'il planta ses croc dans le corps de son amante, attrapant son cou qu'il mordit à de nombreux endroits, laissant profondément sa trace.

- Tu n'as pas la moindre idée de ce que tu as déclenché, j'ai hâte que tu en prennes conscience, en attenda...

Sans pouvoir finir sa phrase, son regard sur posait vers la source du cri, il aperçu ce porc libidineux et écoeurant qui servait de directeur qui, sans demander l'avis de personne les avait rejoints, faisant clairement souffrir Saya au vu de sa réaction. Risquant de perdre son envie de faire quoi que ce soit en ayant ce type sous son regard, Aya' se leva et l'aggripa par le col et commençait à l'étrangler, le poignardant d'un simple regard.

- C'est notre soirée sale porc, et madame la secrétaire mérite un service de premier ordre, disparaît de ma vue ou je détruit ta réputation.


Choqué par la scène, le directeur au départ furieux, eut un regard rempli de terreur, car il savait la vérité sur Ayanokoji, et qu'il pouvait réellement détruire sa vie. Tandis que le principal fuyait la queue entre les jambes, Aya' pointa du doigt un étudiant étudiant bien plus séduisant et lui dit de prendre la place du directeur. Rejoignant Shin pour qu'ils échangent un peu.

- Occupes toi de Hase, fais ce que tu en veux, mais ne l'abime pas.

Se plaçant face à la bouche de Saya, l'étudiant lui caressa le visage avant d'enfoncer profondément sa queue entre ses lèvres, tandis qu'elle se faisait défoncer le cul par le nouvel étudiant venu. Aya' se sentait comme un chef d'orchestre, et la musique de ce soir, était grandiose.

(HRP : Désolé pour le spoiler en plein milieu, je ne sais pas quelle est la commande pour cacher un lien hypertexte dans un mot)

Les doigts du bonhomme crispent tellement la jolie Saya que le sexe de Shin aurait pu se faire séparer du reste de son corps tant elle s'est contractée. Les choses avancent alors très vite et le lycéen est encouragé par son camarade et un autre garçon de céder sa place sur la rouquine qui se fait enfiler par devant et derrière telle une brochette.

D'un côté la frustration de ne pas avoir eu l'occasion de se soulager dans la rouquine le dérangeait. Alors que de l'autre cela lui offrait une occasion parfaite de souffler et tenter autre chose avec la prof dont son camarade lui a confié la garde. Le plus beau dans cette affaire est qu'il a toute latitude pour tester ses pulsions les plus tordues avec elle tant que les choses ne vont pas trop loin.

Mais qu'elle est sa surprise quand il voit un groupe d'excités lui sauter dessus sans attendre. Son premier geste est de tenter de t'interposer pour la libérer de leur prise vu qu'ils sont déjà en train de lui tartiner le visage aux leurs queues tendues. Sauf que l'agent à l'entrée, accompagné d'une femme à la carrure identique, interviennent pour soulever ce petit monde avec une facilité déconcertante et l'emmener dans un coin tranquille.

Shin se baisse pour attraper le bras d'Hase : - On va aller là-bas, on sera tranquille.
Le garçon montre du doigt les radins qui sont libres en grande partie. Il faut croire que les gens étaient trop pressés et ont fait ça à même le sol. Comme lui...

En chemin il attrape trois petites bouteilles d'eau. Il en ouvre une qu'il tend à la prof et commence à boire dans la seconde. La troisième finira sur un des bancs des gradins sur lequel il pose ses fesses nues pour souffler un peu.

- J'ai le droit de faire ce que je veux avec toi et j'ai bien envie d'essayer ton cul pour voir. Mais pas tout de suite. Avant je veux m'amuser un peu et essayer d'autres trucs.

A peine sa phrase terminée, une ombre sort du dos de l'enseignante pour lui prendre la bouteille d'eau qu'elle avait dans les mains pour en renverser le contenu sur gros seins sales après tout ce qui venait de se dérouler.

- Je peux me joindre à vous ?

La voix provient d'une autre enseignante sans masque qui est en train de peloter allégrement les seins humides de sa collègue pour lui glisser à l'oreille : - Tu as déjà partagé une bite avec une autre femme ? J'ai toujours rêvé de le faire avec toi un jour, Hase-sensei. Après t'avoir vu à l'oeuvre tout à l'heure, je pourrais sûrement t'apprendre un ou deux trucs.

Cette proposition soudaine fait briller le regard de l'ado.

Saya comprend à peine qu'on prend sa défense et le gros directeur la libère de ses doigts qui lui font mal. Elle souffle mais le répit et bref. Il ya du monde autour d'eux, beaucoup. Elle aperçoit des hommes qui se masturbent, des femmes qui se caressent. Elle a l'impression que leur petit groupe est le centre de toutes les attentions et elle pense vouloir prévenir les autres d'aller dans un coin plus discret. Mais elle n'en a pas le temps, tout va trop vite. Hase subit l'assaut de plusieurs types en rut et elle disparait sous un amas de queues. Derrière elle aussi, le répit est court. le garçon se retire de son vagin soudainement et deux mains fermes viennent saisir ses hanches avant que son anus ne soit à nouveau sollicité. Cette fois, la brulure est rectiligne et plus profonde que précédemment. Elle veut protester mais sa bouche est envahie sans ménagement. Son visage se retrouve écrasé contre un bas ventre dur et un sexe se fraye un chemin loin dans sa gorge. Elle hoquète, tousse et bave, tente de reprendre le contrôle mais la pression derrière elle est telle qu'elle ne peut pas faire grand chose.

Du coin de l'œil, elle voit Hase entrainée par le premier étudiant. C'est donc un inconnu qui la sodomise et il n'y va pas de main morte. Le garçon grogne et s'acharne, la pénètre sauvagement, l'encule comme un fou. Il semble perdre ses moyens et la perfore, dilatant son rectum, et curieusement, d'être utilisée comme une poupée sexuelle, et bien que ce soit douloureux, elle se surprit à accepter ce traitement. Le directeur avait fouillé en elle, l'avait torturé en creusant dans ses chairs. Le garçon, lui, limait correctement et la douleur s'estompa alors qu'il s'écrasait contre elle.

Et devant, elle suçait follement, gavée de cette grosse queue qui écartait les parois de son cou. Bouche grande ouverte, elle l'accueillait pour qu'il tape au fond du goulet de sa gorge. Les yeux de Saya se révulsèrent. Des monceaux de salive dévalaient de son menton et les bruits visqueux qui s'échappaient de sa bouche molestée augmentaient l'excitation des autres hommes. l'un d'eux n'en pouvant plus vint lui gicler sur le dos. Un autre se pencha pour lui palper les seins.

Absorbé par l'action, Aya' réalise tardivement tout l'attroupement qui s'était formé autour de leur quator, une véritable armé de queue en rut les encerclent, et quelques étudiantes, et membres du personnel sont trempés à les voir se laisser aller à leurs plus bas instinct, tandis que Saya qui au début de la soirée avait encore une chance de garder son image de secrétaire respectable, se retrouve en ce moment réduit à l'état d'objet tout juste bon à se faire fourrer jusqu'à l'épuisement.

Soudain, Aya' sent une morsure au niveau de son cou, ainsi qu'une paire de sein bien ferme et imposante dans son dos.

- Qui aurai pensé qu'une telle bestialité se cachait derrière ce visage impassible ?

La voix qui vient chuchotter ses mots dans le creux de l'oreille de l'adolescent est facilement reconnaissable. La présidente du bureau des élèves qui depuis l'arrivée d'Ayanokoji avait tout fait pour le pousser à se sociabiliser sans le moindre résultat. Prise par les vapeurs de l'encens qui avait fait voler en éclat ses inhibitions dû à son rang, elle souhaite profiter de cette occasion pour tenter une nouvelle approche. Ce qui cette nuit ne déplait pas à l'associal de service, qui avec une main libre, aggripe à pleine main, la chatte en chaleur de la très respectable Kirane qui lache un gémissement de plaisir, surprise par l'audace du jeune homme qui lui chuchotte dans le creux de l'oreille.

- Vous voulez jouer présidente, on va jouer. Mais ne venez pas vous plaindre demain.

La tirant par le bras, Aya' fait glisser  l'adolescente sous la secrétaire, face à face, alors qu'il dégage facilement l'étudiant qui fourrait Saya jusqu'à présent. Prenant sa place, Aya glisse sa queue entre leurs deux chattes qui se frolent, leurs poitrines imposantes respectives se compressant l'une et l'autre. Ayanokoji faisant le choix de s'occuper des deux en même temps. Le voilà qui frotte sa queue, comprimée entre les deux intimités, le rendant dingue, mêlé aux gémissements des deux femmes, il aggripe le cul de Saya pour mieux tenir en place, glissant une main libre entière dans sa chatte lui interdisant tout répis. Tandis Kirane lache un long gémissement à ce simple contact, trahissant son inexpérience, deux femmes à dépuceler ce soir, Aya' ne la fit pas attendre et la pénétra d'un coup, la faisant hurler sur place.