Une dette effacée et un prix a payer [PV L'empire Sildurien]

«C'est tout ? Rapporte plus la prochaine fois ! Sinon tu sais ce qui t'attends !»

Trois yakuzas comptent leurs billets dans une petite ruelle isolée et crachent sur un homme couvert de bleus. Ce dernier ne peut plus répondre pendant que ses bourreaux s'éloignent. Ça durait depuis un bon moment déjà, cet homme qui avait emprunté de l'argent à la famille Ikeda n'a pas su rembourser sa dette. Après cet affront, les yakuzas se sont montré de plus en plus violent envers lui. Avec la police refusant de l'aider, il ne pouvait qu’obéir. Malheureusement plus le temps passait et plus sa situation devenait difficile.Et les trois Yakuza aussi virent leur avenir devenir de plus en plus glauque. Leur supérieur perdait patience en remarquant qu'ils ne ramenaient plus grand chose et s'ils ne faisaient pas leur preuves, il pourraient facilement finir avec des doigts en moins ou pire. Vu leur faible rang, les remplacer ne sera pas un problème.

« On est obligé de venir à trois ? C'est pas comme si j'avais besoin de vous... »

Dans la banquette arrière d'une voiture noire et coûteuse, Koshiro grogne. Il en a marre de régler leurs problèmes et c'est pas la première fois. Jinsuke au volant ne peut pas rétorquer quoi que ce soit, tout comme Haruto et Kota. Mais s'ils ne réussissent pas à se rattraper d'une manière ou d'une autre, ils seront sûrement sévèrement punis au prochain faux pas. Après plusieurs minutes à se faire supplier, Koshiro avait accepté de les aider. Ils auraient pu voir directement l'endetté dans le point de rendez vous habituel ou il devait toujours donner plus d'argent mais aller voir là ou il vivait était une bien meilleure idée. Qui sait peut être qu'il y avait quelque chose d'intéressant. Trouver l'adresse n'avait pas été très difficile.

« Jte promet qu'on te revaudra ça... » Dit Haruto, soulagé, pendant que les deux autres acquiescent.

La voiture s'arrête devant une petite maison. Elle n'a rien de spécial, mais prouve que les hommes accompagnant Koshiro n'ont pas fait grand chose mis à part utiliser leurs poings bêtement. Il soupire et tout les trois s'avancent pour sonner à la porte. Personne ne répond mais Haruto s’impatiente et frappe assez fort, jusqu'à ce que la porte s'ouvre. Malheureusement la personne qui ouvre la porte n'est pas la bonne, enfin presque, car notre homme endetté avait une femme. Et particulièrement belle, assez pour faire siffler un des yakuzas derrière Koshiro. Ce dernier commença a la reluquer sans gêne, tout en lui expliquant la raison de leur présence.

« Ca fait un moment que vous nous devez de l'argent, alors je suis là pour essayer de trouver un arrangement. »

Il remarque la méfiance de la femme, normal. Si Haruto, Kota et Jinsuke sont plutôt costauds, sans parler de leurs visages pas très accueillants. Koshiro est plus agréable à regarder mais aussi plus imposant encore. Tenir ses trois hommes en respect ne lui poserait aucune difficulté, cependant effrayer leur interlocutrice pourrait bien leur faire perdre l'occasion de régler la situation autrement qu'avec le foutu mari. A tout les coups, il n'a rien pour payer. Lui faire confiance est juste une perte de temps. Prévoyant que la femme tente de refermer la porte, Koshiro s'avance juste assez pour pouvoir l'arrêter facilement, sans mouvement brusques. Il souris légèrement de manière rassurante et calme, usant de son charme, contrairement à ses trois alliés qui cherchent à l'intimider. Les deux premiers rappellent qu'ils sont à l'origine des blessures du mari, Kota rappelle qu'elle l'a déjà rencontré également et tente de la draguer en même temps. Un geste de la main les arrête.

« Je peux vous aider, mais il faudra vous montrer coopérative. Laissez moi au moins entrer pour qu'on puisse parler. Mes amis resteront dehors. » Kota commence à peine à râler et Koshiro réagit vite pour le réduire au silence. Un seul regard et une menace suffisent. Avec seulement un ordre, les trois voyous sont renvoyés vers la voiture ou ils attendront sagement. Sauf s'ils tiennent à aggraver leur situation. « Vous voyez ? Tant que je suis là ils vont se tenir tranquille. Me désobéir leur coûtera cher vous pouvez me croire. Alors je peux entrer ? »

Même si Koshiro paraît conciliant, il compte bien forcer le passage s'il le faut. Si ça arrive, elle n'aimera pas du tout ce qui se passera ensuite.

Marie n'a aucune idée de qui est ces drôles de gens, des criminels ? Mais que viennent-ils faire ici ? Elle a déjà dit cent fois à son mari de faire installer une caméra de sécurité dans l'entrée, mais non ! À cause de lui là voilà obligée d'ouvrir et se retrouver face à plusieurs hommes quatre on dirait ! Et en plus c'est ces monstres qui font du mal à son mari, et à elle surement d'ici peu, sans compter la violer, l'insulter, la fister et ils la laisseront toute nue et couverte de sperme dans son propre lit ! Enfin elle n'a aucun mal à voir cela venir bizarrement ! Elle a beau apprécier son mari, à cause de lui elle est dans la merde ! La blonde à pointes bleues observe donc ces hommes avec un air mauvais, elle n'est pas une fille fragile et vite apeurée, ils veulent du sexe, elle les baisera jusqu'à les épuiser et les tueras pendant qu'ils reprendront leurs forces ! Où leur servira un bon café au cyanure, ou vu qu'elle n'en a pas, elle usera le bon vieux poison pour rat qui traine dans le fond d'une armoire. Mais avant ça faut laisser rentrer ces quatre abrutis chez elle et faire comme si de rien n'était ! Elle va clairement devoir dresser son mari et le punir avec un gros strappons dans les jours à venir !

- Entrez donc, même si je n'ai aucune idée de ce dont vous me parlez, mon mari n'a pas de souci d'argent, il ne m'en a jamais parlé.

Elle les laisse donc entre et s'en va préparer du café au percolateur, un café bien corsé qui sentira super bon ! Puis elle laisse cela se faire et apporte des petits cookies faits maison ;

- Bon, installez-vous, et racontez-moi cette incroyable histoire.

Lorsque la blonde feins l'ignorance, Koshiro perd son sourire. Il sait très bien que ses hommes n'auraient jamais osé lui demander de l'aide sans raison. Le mari de cette femme avait une dette à payer et il remboursera d'une manière ou d'une autre. Finalement la jeune femme décide de tous les laisser entrer. Tant mieux ça allait juste rentre la tâche plus facile. Lorsque Koshiro fait signe à ses hommes de revenir, ces derniers obéissent visiblement rassurés de ne pas avoir à repartir bredouilles. Le frankenstein soupire, les trois gaillards qui l'accompagnent sont des incapables. Même si la blonde se montrait courageuse, elle n'a aucune chance contre les trois hommes. Mais ces derniers n'ont sûrement pas suffisamment de cran pour régler la situation par eux même. Après tout le moindre échec peut signer leur arrêt de mort.

Comme on pouvait s'en douter, la petite maison n'a rien de spécial, même à l'intérieur. Il n'avaient presque rien à offrir, rien ne valait le coup d'être volé à l'intérieur. Sauf une chose, la blonde. Elle possédait un beau visage, une poitrine volumineuse, un cul bien rebondi... Bref tout ce qu'il faut pour qu'une catin rapporte pas mal d'argent. Pourquoi pas la faire travailler ?   

Pendant que la blonde part chercher de quoi grignoter, les quatres hommes explorent... Pas grand chose, l'endroit n'a rien de désagréable mais y a rien d'intéressant. Ou presque. Koshiro s'arrête devant une photo de famille ou on y voit le fameux mari, sa jolie femme et un enfant. Intéressant. La blonde finit par revenir avec des cookies et propose à tout le monde de s'installer, continuant sa farce inutile. Seul Koshiro s'assoit , ses deux hommes restent debout derrière la blonde. L'autre est parti explorer plus loin, pour trouver ou est la chambre de l'enfant, histoire que la blonde ne puisse plus mentir. Il revient quelques secondes après y avoir fait un tour, l'enfant sur la photo était bel et bien celui de la blonde.

« Il n'y a rien d'incroyable, votre mari nous dois de l'argent, il faut payer. » Pendant qu'il parle, il allume sa cigarette « Ca fait bien trop longtemps qu'on attend et vous n'avez pas assez d'argent je me trompe ? On est pas généreux d'habitude alors estimez vous chanceuse » Évidemment qu'elle peut pas. Peu à peu le ton de Koshiro deviens glacial « Vu que votre mari n'a pas l'air de tenir ses promesses, je préfère m'arranger avec vous. Vous pourriez bosser pour moi, dans un de nos bordels, pendant quelques temps jusqu'à ce que votre dette est effacée. Qu'est ce que vous en dites ? » Il observe sa réaction un instant, mais avant qu'elle puisse répondre « C'est mieux que mettre en danger votre enfant. » Haruto, Kota et Jinsuke rigolent. « Ce serait dommage qu'un accident arrive. C'est bien votre gosse sur cette photo non? » Il montre à la blonde la photo qu'il avait trouvé, même si c'est pas son enfant, rien ne changera mais le gamin reste un bon outil de pression.

Si la blonde se rebelle, Haruto et Jinsuke sont derrière pour l'en empêcher et la forcer à rester à sa place. Soit elle vend son corps soit elle laisse sa famille mourir et elle les rejoindra quand tous les hommes présents se seront fait plaisir avec son corps. « Alors? »

Haruto pose sa main sur l'épaule de la blonde tout en observant sa poitrine « Allez on prendra bien soin de toi c'est promis » Un sourire pervers se dessine, il sait que Koshiro va surement l'autoriser à profiter de la situation.

«  En tout cas mieux que son mari je paris. » Les Yakuzas rient encore « Haha  pas faux, vu à quel point il est facile à défoncer! Et bordel ce qu'il est naif! » Ils continuent de se moquer de lui, jusqu'à ce que la femme fasse son choix.

« Si c'est oui jveux tu te prosterne devant moi » commande Koshiro « Et demande bien gentiment d'être mon esclave si tu veux pas que ton enfant meure trop jeune. » Normalement il n'a pas besoin de faire ça, l'envoyer directement dans le bordel devrait suffire mais la blonde est vraiment bien foutue, ne pas profiter de l'occasion serait du gâchis. Alors il attend que la blonde bouge son cul, assis comme un roi avec ses trois hommes qui continue de la reluquer sans gênes.

Marie en effet valait le coup, grosse poitrine, longs cheveux blonds, yeux bleus, en 40 on l'aurait vue comme une déesse digne de dominer bien des hommes ! Mais pour le moment elle laisse le groupe s'installer dans le salon sur les canapés au besoin, du Ikea, rien de marque en effet. Tout ici est bien trop récent pour avoir une valeur d'antiquité, même les quelques tableaux vitrés sont des répliques, rien ici n'est signé et le style est moderne. Elle prépare donc des cacahouètes et des chips, mais aussi du coca et de l'eau pour venir poser cela au salon, elle sait quand même recevoir des gens ! Un verre par personne, et il y a sans doute du café en préparation vu qu'on entend le percolateur tourner, elle fait cela à l'ancienne ! Pas de machine à dosette jetable chez elle, du vrai café en grain moulu au moulin électrique et mis en boite ensuite. Non seulement c'est moins cher, mais en plus aucun ne risque d'avoir un rat mort broyé avec les grains dans une usine en chine. Elle écoute donc le chef qui fume, quel odieux personnage ! Elle n'aime pas qu'on fume chez elle et fronce le regard, non, mais oh ! Et puis il a beau faire genre, ils n'auront rien par la force, au pire la violer une fois, puis ne pouvoir jamais revenir, car elle aura leurs visages en tête ! Et elle est totales le type de femme qui irait porter plainte en restant bien calme, froide, calculatrice, c'est sans doute elle qui tient les comptes ici, d'où le fait qu'elle soit surprise de cette demande d'argent soudaine ! Elle s'installe donc face à lui en tenue ordinaire, pantalon noir suivant son corps sans le moulé, chemisier noir qui suit sa poitrine et puis le ventre, laissant bien deviner l'opulence de sa poitrine naturelle ! Dessous des dessous bleu marine brodés et armature pour le soutien-gorge qui doit soutenir cette grosse paire de loches !

- C'est hors de question, et menacer mes enfants ne vous aidera pas.

Elle boit un peu de café, qu'elle venait de faire et leur a mis le thermos sur la table avec quelques tasses, il y a même du sucre et des dosettes de lait. Elle lui explique ensuite le raisonnement, car elle n'est pas idiote à dire non juste pour le contrarier, elle reste assise sans craint des deux autres gorilles :

- Pas la peine de vous énerver, la raison est simple, je dois aller chercher mon enfant tous les jours, car mon mari "travaille", enfin je suppose. Puis je dois faire le repas, mais aussi les courses, et garder cet appartement en ordre, je suis une femme au foyer voyez-vous ?

Elle boit encore un peu, en effet, ça serait bizarre qu'elle ait soudainement un boulot, et qui va garder les enfants, cela demanderait une babysitter et des frais en plus, personne n'y gagne finalement. Et elle se doute qu'une rentrée de plus aiderait sa maison. Elle l'écoute donc faire son numéro avec l'esclave et les deux pervers faire les chauds, dont un qui la touche, elle l'observe et hausse un sourcil le dénigrant du regard, elle n'est pas intéressée par lui, seulement par le chef.

- Disons que j'ai une autre offre à vous faire, après tout vous me semblez intelligent, tuer mon enfant ne me fera pas travailler pour vous, et me violer tous ensemble ne vous assurera pas d'avoir une bonne travailleuse à portée de main.

Elle marque une pause et pose sa tasse sur la table pour reprendre :

- Voilà mon ma controffre, je bosse de 9h à 16h pour vous, mais pas dans un bordel, qui sait si mon mari n'y va pas dans mon dos... Ou un ami à lui, ou quelqu'un de mon boulot... À la place je prends vos clients ici, un par un, si ça doit être plus d'un mec à la fois OK, mais pas plus de trois à la maison, sinon je n'aurais jamais le temps d'effacer les traces. Si vous voulez un groupe plus grand, je propose l'hôtel en bas de la rue, discret et pas cher, la chambre sera retenue sur mes gains.

Elle pense un moment et espèce que ça lui ira, et puis elle se relève fusillant au besoin les deux gorilles, elle retire son haut, puis défait le soutien-gorge et finalement elle défait le pantalon et la petite culotte, elle laisse le tout sur le canapé et lui dit alors face à face, enfin la table entre eux :

- Si mon offre vous va, vous pouvez me baiser dès maintenant, vous et vos collègues, on a jusqu'à 16h, toute fois...

Elle se déplace et va prendre dans un meuble un collier de gros chien, sans doute l'ancien animal de la famille, visible sur quelques photos. Elle l'enfile et prend aussi la laisse sans l'enfiler et va cette fois devant le chef. Elle s'agenouille alors et se penche en avant pour se prosterner et lui tend la laisse d'une main :

- Vous vouliez une esclave, mais si vous prenez mon offre je vous une offre une chienne, qu'en dites-vous ?

Elle joue un coup de poker clairement, mais dans le fond, si elle peut être payée et ne pas devoir trop quitter la maison, sauf en journée... Puis le coup de la chienne devrait sans doute exciter un pervers dominateur comme cet homme, il pourrait l'avoir rien que pour lui quand il veut, la tenir en laisse, la faire coucher avec de vrais chiens peut-être même ! Elle prend un risque, mais elle semble déterminée à prouver qu'elle protègera son enfant et les apparences devant sa famille et ses collègues, le reste... Disons qu'elle est curieuse pour le moment, est-il un idiot, ou un vrai dominant ?

Décidément cette femme a du cran. Même avec des menaces et plusieurs hommes visiblement plus forts qu'elle, elle garde son calme et déguste son café comme si de rien était. Les yakuzas  sont surpris lorsqu'elle regarde ses invité avec autant de férocité que de calme. Koshiro sourit, les réactions de la femme l'amusent. Plus il l'observe, plus elle l'intéresse. Elle semble avoir l'étoffe d'une leader. Le genre de femme amusantes à baiser. Mais malgré son comportement, elle ne refuse pas les demande du yakuza devant elle. Tout ce qu'elle veut, c'est continuer d'être une femme au foyer et préserver son image auprès de sa famille. *Bonne idée* se dit Koshiro, ça rendra les choses bien plus exit antes. Elle propose des horaires et plusieurs autres indications pour cacher son nouveau boulot. Bref tout ce qu'il faut pour que son mari ne remarque rien.

«  Hm.... Tant que tu fais ton travail... Le reste m'importe peu »

Comme pour prouver sa motivation, la blonde se déshabille complètement. Même si elle tient respect les brutes d'un seul regard, elle n'échappe à plusieurs sifflements. Les cuisses de la femme au foyer parviennent facilement à exciter les hommes autour d'elle. Koshiro sent déjà son membre viril grandir, comme pour complimenter la vue en formant une bosse massive. Et cette bosse grandit encore lorsqu'elle donne l'autorisation aux hommes de la baiser s'ils acceptent. Lorsqu'elle se déplace pour chercher quelque chose, tous les hommes la reluquent. Lorsqu'elle se trouve à portée de main, Koshiro choppe le joli cul qu'il voit passer et la laisse repartir assez vite, curieux de voir ce qu'elle allait faire ensuite.

« Dommage j'aurais pu t'éviter de servir mes hommes, mais vu que tu insiste je vais les laisser te prendre aussi peut-être.  »

Et elle revient avec un collier de chien autour de cou et offre à Koshiro la laisse, tout en se prosternant devant lui. Comme un roi ce dernier la regarde de haut mais ne cache pas sa joie, la situation le fait rire. Il peine à se retenir et ses hommes aussi, ils sont tous impatients de commencer. Après s'être calmé, le jeune chef se penche vers sa nouvelle chienne et attrape son colier fermement pour qu'elle le regarde.

« Ta proposition me plait mais je ne crois pas qu'une chienne puisse se permettre d'imposer des horaires à son maitre.  »

Tout en parlant il attache la laisse, ignorant toute plainte. Peu importe si son mari a le cœur brisé ou si son enfant découvre que sa mère est une pute, elle travaillera qu'elle le veuille ou non. Elle n'a rien à demander et mérite juste une punition pour son insolence. Le maitre plaque le visage de sa chienne sur le sol, pour qu'elle se retrouve le cul à l'air, montrant sans doute une belle vue à ses hommes qui bandent sûrement. Puis un puissant bruit de claque retentit à travers la salle. La fesse de la mère rougit vite sous le coup et son maitre n'attend pas avec de répéter le mouvement.

« Tu viendras me servir quand je le commande et tu n'as pas intérêt à refuser.  »

Le fessier de la blonde se déforme à chaque coup, chaque fessée pousse la chienne à crier et son maitre ne s'arrête pas. Les voisins l'entendent sûrement mais n'y feront rien pour éviter d’attiser la colère des Yakuzas régnants sur leur quartier. Peu importe si cela continuera jusqu'à 16 heures et si son précieux mari assiste au spectacle. Plus elle s'entête plus la douleur s'intensifie.

« Je ne t'entend pas répondre !  » Ordonne t-il durement. Il continue de frapper comme une brute et ne s'arrête pas, pas tant qu'elle n'a pas obéhi.

Finalement la réponse arrive, il parvient à forcer à accepter par la force. Satisfait, Koshiro s'adosse à nouveau sur son siège, laissant à sa chienne l’occasion de se redresser. Lorsqu'elle le fait, il l'a tire de force vers son entrejambe qu'elle manque de percuter. Un sexe massif l'y attend et elle ne peut pas le manquer.

« Bien, vu que tu es motivée je veux bien t'aider à cacher ton secret tant que tu sera une bonne chienne  » Il soupire puis la regarde « Libère mon sexe je suis serré à cause de toi. Dépêche toi.  »

Son ton dur montre de la colère mais en vérité, il est terriblement excité, il veut dominer cette femme et la briser petit à petit jusqu'à ce qu'elle devienne complètement sienne. Il la force à s’exécuter encore s'il le faut quitte à démolir son cul et la rendre incapable de marcher. Elle a qu'à déserter la ceinture, déboutonner le pantalon coûteux devant elle.  Lorsque le membre viril de Koshiro est libéré, il frappe lourdement la joue de la chienne. Le jeune homme possède un monstre, digne des plus grands étalons et capable de réaliser les phantasmes des plus gourmandes.

« Allez montre moi ce que tu sais faire, considère ça comme un test.  » Après quelques secondes; une question lui vient à l'esprit. « Au fait c'est quoi ton nom » Il comptait bien l'appeler chienne sans se préoccuper de son vrai nom mais connaître son prénom pourrait être bien utile.

En effet l'offre est alléchante, ils y gagnent tous les deux, elle garde une vie normale en apparence, pour son mari et ses enfants, et le vilain y gagne quand même une nouvelle pute pour sa collection ! Qui pourrait dire non à cela ? En plus elle a des jouets pour les jeux sexuels, voilà de quoi pimenter les choses et lui faire croire qu'elle sera une petite chienne. Elle l'entend pourtant se plaindre, oh les horaires ? La seule chose importante finalement, c'est que sa famille ignore tout, toute nue et inclinée devant l'homme elle attend et écoute ses réponses. Il pourrait la forcer à vivre nue tant que son mari est absent, baiser le chien de la famille ou encore se goder en live sur internet quand il voudra pour le public qu'il voudra. En soi elle serait tout le temps à ces ordres, et lui aussi à des choses à faire dans la vie, s'il a du temps libre, il la convoque et elle vient le baiser, où il vient chez elle, tout dépendra de l'heure. Est-ce si contraignant ? Elle attend donc et le visage plaquer au sol ne dit rien, elle le laisse fesser son joli gros cul et tranquillement le laisse continuer. Elle attend donc qu'il  râle encore un peu et voie qu'il veut une réponse, elle y répondra donc et l'écoutera encore donner des ordres. Rien de surprenant ici, il veut qu'elle le pompe ou le baise, un classique, ce n'est pas comme si elle s'attendait à mieux venant d'un simple Yakuza. Elle se remet donc assise sur les genoux et va ouvrir le pantalon de l'homme, libérer son énorme pénis qui finalement, n'est pas si grand tant la moyenne de ce pays est forte. Pour la surprendre, il faudrait clairement quelque chose de plus, trois couilles ? Deux bites ? Un pénis inhumain ? Quoi qu'il en soit là elle n'est ni déçue, ni surprise et vu QI'il bande déjà elle a lécher la queue de la base à la pointe, a-t-il vraiment besoin de son nom alors qu'il va la baiser comme une chienne ? Elle embrasse le gland et puis lui répond en le regardant :

- Marie monsieur.

Et hop elle s'empale la gueule sur sa grosse bite et commence à pomper cela allant toujours plus profond, car c'est la seule chose qui plait aux hommes dans ce monde, être pompé en profondeur et sentir leurs bites bien au fond. Elle bave bien dessus en même temps ce qui va lubrifier le tout, elle peut donc de par son expérience le faire assez simplement, branlant légèrement la queue quand elle n'est pas totalement en bouche, car après tout, faible humaine qu'elle est... Elle doit respirer pour vivre !

Marie suce bien, très bien même. Assez pour que les trois autres hommes l'observent avec envie, pressés d'avoir leur tour. Ils devront être patients et se contenter d'admirer le spectacle. La blonde avale une bonne partie du membre imposant sans grande difficulté et continue d'aller plus profondément encore.

«  Oh, t'es douée... Ton mari est bien bâti lui aussi ? Ou t'aime en voir d'autres quand il a le dos tourné ? »

Bah peu importe, même si Koshiro ne montre rien de spécial pour l'instant, il est clair que Marie mérite plus. Et elle s'apprête à l'avoir, après tout l'homme qu'elle suce n'est pas humain et peu à peu, elle commence à le sentir. Le muscle qui semblait à son maximum continue de grandir et prend une taille inhumaine. Pendant que le yakuza soupire d'aise, appréciant les sensations qu'elle lui offre. Oui le travail avait commencé simplement, mais le sucer devenait de plus en plus difficile. La gueule de la chienne est vite mise à l'épreuve lorsqu'il approche de son maximum. Le corps du frankenstein la fait lutter pour continuer et ce dernier le remarque vite.

«  Ne ralentis pas ! »

Sur ces mots, il prend la tête de sa chienne et enfonce son membre beaucoup trop gros jusqu'à la base. Que Marie soit poussée à ses limites ou non, peu importe, il se retire et recommence. Ses mouvements empêchent la blonde de respirer mais il continue. Il grogne de satisfaction et baise la bouche de sa chienne comme si elle était déjà sienne. Après tout à quoi bon se contenir ? Elle avait prouvé rapidement qu'elle n'a rien d'une débutante, alors elle doit assumer. Des bruits indécents retentissent dans la salle, la gorge de Marie est mise à mal à chaque coup de reins qu'elle reçoit. Le menton de la chienne percute les bourses immenses de son maître qui commençait à l'étouffer. Lutter est inutile et l'endurance de Koshiro semble hors norme. Il accélère comme si de rien était et lorsqu'il sent que son membre a enfin atteint un taille proche du maximum, il se retire.

«  Continue, essaie de me faire jouir. »

Il avait bien dit qu'il voulait voir de quoi elle est capable et montre qu'il relâchera pas son jus facilement. Finalement le frankenstein atteint enfin sa taille maximale, une taille digne d'un orc, largement supérieure à celle d'un humain. Recouverte d'épaisses veines et aussi de nombreux petits picots, prouvant l'intensité de son excitation. Koshiro la laisse continuer tout en soupirant de plaisir et en tenant fermement la laisse. Les autres tentent de s'approcher à plusieurs reprise mais Koshiro les éloigne à chaque fois, comptant bien s'amuser avec elle en premier. Pas question de partager pour l'instant. Finalement Koshiro finit par jouir, pas sans avoir poussé Marie à le servir avec plus de ferveur. Une longue et épaisse corde de semence s’échappe de son membre avant de s'étaler un peu partout sur le corps de la blonde mais aussi sur le sol derrière elle. La quantité est conséquente mais après ça, son sexe ne montre aucun signe de fatigue.

«  Dit moi t'as quelques jouets ici ? Une perverse comme toi en a surement quelques uns je me trompe ? »

Elle a surement des godes que les autres hommes pourront utiliser sur elle, pendant qu'elle continuera de sucer son maitre. L'un d'entre eux d'ailleurs ne gêne pas pour fouiller mais ne trouve rien.

«  Il sont dans ta chambre non, allons y, on sera mieux là bas. »

Elle continuera de sucer son maitre dans le lit conjugal et se faire baiser par le sexe ihnumain qu'elle venait de faire éjaculer. Recouvrir ce lit de sperme excitait pas mal Koshiro qui ordonna à sa chienne de marcher à quatre pattes pour guider son maitre jusqu'au jouets et au lit.

Marie pouvait totalement sentir la fixation des autres hommes vers sa bouche bien chaude et baveuse, qui glisse sur le pénis du chef comme si c'était facile. Oui elle a déjà pompé des bites, c'est horrible dégoutant et totalement déplaisant en gout surtout. Mais bon, les mecs en raffolent et faute de pouvoir baiser sans les faire bander, faut bien sucer. Sans compter que beaucoup en jouissent comme des petites putes et puis délaissent la meuf en débandant et ne baisant pas. C'est pour celles que Marie à des godes et vibro, même si son mari assure, parfois... Il reste un homme et donc limité dans la durée. Elle entend la question et roule des yeux, qu'il est puéril, comme si elle avait le temps de pomper d'autres mecs que son mari y'a rien ici à part le chien et le mari, sa fille n'a certainement pas de pénis et est bien trop petite pour avoir un petit ami... De plus ce dernier serait bien trop jeune au gout de Marie. Poussée à aller plus vite elle le laisse faire se concentrant elle, sur sa respiration pour ne pas vomir sur sa grosse turgescence bien dure et chaude, l'air de rien chatouiller la glotte n'est jamais le meilleur moyen de garder le contenu de l'estomac à l'intérieur de ce dernier. Elle le laisse donc profiter et le voit enfin ressortir, elle a senti la chose bander bien fort dans sa gorge et ne tarde pas à reprendre d'elle-même la fellation rapide. S'en est presque comique, il a eu besoin de tout ça pour enfin bander dur ? Il ne serait pas impuissant lui ? Ou bien en phase de le devenir ? Enfin qu'importe, tant qu'il reste dur après la fellation pour la baiser, encore que ces trois copains pourraient faire l'affaire pour la satisfaire. La bite pompée rapidement lui rappelle certains pornos allemands, une grosse et large bite qui fait impressionnant à la caméra, mais bon, ça reste une bite humaine. Trop longue et elle frappera le col causant douleur et désagrément, trop large, et les femmes les plus jeunes et serrées auront du mal à la faire rentrer sans déchirure à l'entrée du vagin. Il y a encore des hommes qui ne jurent que par la taille ? Pourtant ils savent qu'un simple doigte bien utilisé suffit à faire jouir une femme, pas vraie ? Ça doit être le côté compétitif des mâles, toujours vouloir plus que son adversaire, le souci c'est que ça ne prend pas en compte les besoins de leurs femelles adorées.

Elle aspire donc sa grosse bite rapidement et bave sur ses couilles, elle entend la demande pour les jouets alors qu'il vient à jouir sur sa langue et dans sa bouche, au moins il ne tente pas de la tuer en jouissant directement au fond de sa gorge. Elle recule un peu la bouche pleine et voit encore des jets partir vers ses seins nus et le haut de sa poitrine. Là par contre il la surprend un peu, c'est plus que son mari en une soirée, et ce n'est ici qu'une seule jouissance avec quoi, deux, trois éjaculations de suite ? En plus c'est consistant, épais, collant, gluant même... Dégoutant ! Mais bon elle avale ce qu'elle a en bouche comme d'habitude pour faire plaisir et ne grimace pas, ni ne sourit. Elle le regarde ensuite et voit qu'il tient bon, pourquoi il veut des jouets dans ce cas ? Elle se relève donc quand il parle d'aller en chambre et répondra sur le chemin :

- J'en ai quelques-uns, ceux que mon mari connait, et le reste.

Elle pénètre dans la chambre du couple et choppe un mouchoir sur le bureau pour nettoyer le sperme chaud, elle le jette ensuite à la corbeille et dos aux hommes va ouvrir sa penderie, se pencher en avant et déplacer la latte du fond pour sortir une boite à chaussure assez lourde. Elle se redresse et la pose sur le bureau, l'ouvrant devant eux avant de se tourner pour aller s'agenouiller et prendre une boite sous le lit. La première contenait ce que la mari ignore, lubrifiant, vibromasseur avec petite protubérance pour le clitoris, vibromasseurs "oeuf" sans fil qu'il faut commander avec un téléphone moderne, et aussi des plus anciens avec boitier à pile, malheureusement sans piles. Elle ne sort pas cette boite souvent vu la poussière dessus. Se tournant à genoux elle pose la seconde boite sur le bureau et l'ouvre, dedans des menottes à fourrure noire, sans clés, elles s'ouvrent avec un bouton que la captive peut presser. Il y a aussi un bâillon boule en cuir avec la boule en latex le tout en noir, un mords et même une paire d'oreilles de chien avec une ceinture à porter sur les hanches pour la queue de chienne, pas de modèle anal par ici ! Il y a aussi un feutre pour écrire sur la peau qui s'efface à l'eau chaude et il va de soi que le collier qu'elle porte devait venir de ce kit !

- Voilà, ça, c'est les jouets que mon mari aime, les miens sont relégués sous la penderie...

Elle se redresse face au groupe toujours toute nue, il va enfin la baiser ? Sans doute, comme sa mari tenter de la traiter comme une chienne au passage ? Autant pour son mari, elle le fait, parfois c'est amusant, puis au moins avec ça il bande bien fort... Autant pour ce gars-là, elle doute qu'il soit aussi doux que son mari, mais bon elle verra bien, au pire elle se fera baiser sur le lit du couple par un inconnu pendant que d'autres tenteront de l'aider à jouir avec des sextoys, ce qui ne semble pas une si mauvaise idée dans le fond.

Sans discuter, Marie obéi et guide les hommes jusqu'à sa chambre avant de chercher les sextoys qu'elle avait caché. Pendant ce temps Koshiro se désabille complètement lui aussi, afin que ses vêtements ne le gênent pas. Tant pis si ça paraîtra ennuyeux. Il dévoile alors sa musculature sculptée, prouvant un entraînement régulier et dépose sa tenue sur l'endroit le plus proche. Certes toutes les femmes ne sont pas fan de grands costauds mais heureusement le Yakuza restait agréable au regard.

Peu après, Marie montre sa petite collection de jouets. Rien de bien surprenant mais bien assez pour que des clients puissent avoir de quoi s'amuser. Elle possède même des oreilles et une queue de chien, à croire qu'elle sait ce qu'elle veut. Rien de mal à cela, si elle ne s'amuse pas un peu, ça rendra juste le travail plus difficile pour elle et les clients. Enfin sauf pour les soumis et les masochistes peut être. Afin de compléter le tableau, Koshiro n'hésite pas à prendre les fameuses oreilles et les poser sur la tête de sa chienne. Évidemment il se colle à elle pour le faire, enfin c'est surtout son membre toujours aussi énergique qu'il colle contre le fessier bombé. Une fois couronnée, la chienne se retrouve plaquée contre son maître qui observe son visage.

« Ca te va vachement bien. Ton mari est bien chanceux... »

Il dit cela spontanément mais sait bien que son pauvre compliment arrivera certainement dans un mur. Il laisse donc échapper un sourire malgré lui et ne s'éloigne pas. Il entoure la femelle avec ses bras puissants et l'embrasse. Il attrape les lèvres douces de sa chienne avec envie puis emmêle sa langue avec la sienne. Bien qu'il l'aie traité comme un véritable objet sexuel au début, il fait preuve de passion cette fois mais pas juste pour plaire. L'un de ses hommes filme avec son téléphone, un grand sourire aux lèvres. Koshiro lui en avait donné l'ordre en montant les escaliers. Pour motiver les premiers clients à venir, il n'y a rien de mieux que des photos ou des vidéos montrant de l'action. Les deux autres hommes se prêtent au jeu, prenant quelques clichés, surtout pour montrer ses formes. Enfin il n'en fallait pas une centaine non plus mais ils les prenaient certainement pour leur galerie personnelle. S'ils osaient désobéir et montrer ces images partout, ils savaient bien qu'ils finiraient par le payer cher.

Pour la motiver un peu plus, Koshiro glisse ses mains vers la chatte de la blonde tout en continuant de l'embrasser. Deux de ses doigts s'occupent des lèvres inférieures tandis que son pouce caresse le clitoris. Son autre main d'abord accroché à la taille de Marie, se dirige alors vers la poitrine que les autres yakuzas reluquent et photographient sans cesse.

«  Pensez à retoucher les photos, histoire que le mari ne reconnaisse pas la chambre, ni sa femme. Faudrait pas qu'il aie le coeur brisé! »

Les yakuzas rient et acquissent. Tous se fichent pas mal que la mari trouve sa femme, mais laisser Marie se cacher semblait amusant. Combien de temps aura-t-elle avant que son mari finisse par découvrir la vérité ? Et puis, Koshiro pourra utiliser ces photos pour la faire chanter plus tard.

Brusquement il enfonce deux de ses doigts en elle et explore le corps de la chienne de plus en plus profondément. C'est toujours amusant de chercher ce qui fait réagir une femme, bien qu'il aie tendance à préférer la force brute. Qui sait, peut être qu'elle finira par aimer si ce n'est pas déjà le cas ? En tout cas, le jeune homme fait preuve d'habileté en elle et parvient à trouver ses points les plus sensibles. Il les masse et parfois les malmène un peu. Tout comme les seins de la blonde, volumineux et fermes, qu'il prent plaisir à saisir avec son autre main. Finalement, Koshiro s'arrête et retire ses doit de la chatte, ils étaient couverts de mouille. Elle en a partout sur ses cuisses d'ailleurs. Sans un mot, tire la chienne vers le lit par la laisse.

«  Allonge toi et lève bien ton cul. »

Elle s’exécute et montre une belle vue sur son fessier, parfait pour plus d'images et surtout y loger un membre bien long. Mais il préfère frapper son membre sur la chatte mouillée, dans laquelle il veut s'enfoncer. Il saisit le cul de Marie sans retenir sa force et s’exécute. Évidemment elle est serrée mais cela ne l'empêche pas de progresser en elle. Il oblige la femme a prendre sa forme et lorsqu'il arrive jusqu'à la base, il pousse un gros soupir de plaisir. Sans attendre il commence à bouger, lentement, faisant attention de ne pas faire mal à sa chienne, pas tout de suite.

«  Commence à bouger toi aussi, montre moi comment tu baises ton mari ! »

Il dit ça avec un grand sourire. Il y avait de quoi être curieux vu comment elle l'avait sucé plus tôt, cette chère Marie arrive sûrement à faire passer des nuits endiablées à son mari. Koshiro ne demandait qu'à jouir, encore et encore. Ses réserves sont énormes et il compte bien se vider un peu avant de laisser la place à ses trois hommes. Ces derniers commencent à se toucher, bien trop impatient de voir leur tour arriver !

Pendant ce temps Koshiro tient toujours la laisse, s'amusant à tirer dessus parfois, tout en accompagnant les mouvements de sa chienne.

Marie avait bien précisé que c'était la boite des délires de son mari, pas les siens. Elle accepte juste cela, car il est son mari et elle est censée le garder au long terme, histoire de ne pas finir pauvre et à la rue. Pour la richesse évidement, vu la situation c'est mal barré, elle doit donc au moins sauver les apparences et rester en couple le temps de trouver un autre riche pigeon qui voudra d'elle malgré un enfant. C'est ça qui complique tout, peu d'hommes veulent de l'enfant d'un autre, sauf si c'est une fille éventuellement, mais ceux-là sont un autre genre de monstre bien sûr. Sentant la grosse bite frotter elle se prépare à tourner la tête, mais rapidement elle sent le serre-tête avec les oreilles, rhalala, quel pervers ce gars. C'est un délire courant chez les hommes, prendre les femmes pour des chiennes et vouloir qu'elles se comportent comme des délurées en manque total de contrôle de soi. Malheureusement pour lui, elle n'est pas ce genre  de pétasse de trottoir, elle a une haute estime d'elle et n'aime pas être prise pour une salope ! Finalement plaquée contre lui, elle sent sa longue queue s'écraser contre leurs ventres, ouais ça va faire mal un truc pareil, mais elle a l'habitude... Heureusement elle a même des capotes et du lubrifiant dans la table de nuit pour rendre sa vie plus agréable. Elle l'écoute donc commenter d'une oreille distraite, car elle réfléchit à quoi faire ensuite, sortir les capotes ? Elle entend pour les photos aussi et n'en fait rien, se rebeller ne servira à rien, il veut quoi au juste avec les photos ? Ah oui la vendre à ces amis, lui envoyer des clients, elle aura détesté le baiser et sera une catastrophe à cet acte. Soit elle ne sait pas embrasser, soit elle n'aime pas le faire, mais plutôt le second, elle a toujours trouvé dégoutant cet entremêlement de salive et de bactéries, surtout si en plus on ne vient pas de se laver les dents... Elle en aurait presque envie de vomir ! Elle se laisse toute foi doigter ce qui la fera se lubrifier un peu par les voies naturelles, elle pointe et l'observe parfois faire les joues roses, qu'est-ce qu'il fait trainer les choses, il est là pour la baiser ! Ne pas lui faire l'amour ! Elle a bien envie de juste le plaquer au lit, et le baiser pour lui faire comprendre qu'elle n'est pas ici pour prendre tout son temps. Et vu qu'elle est une femme humaine ordinaire, ce n'est pas compliqué de la lubrifier via le clitoris et ses racines, après tout cet organe est là pour cela.

Elle le sent donc enfin retirer ces doigts, mais il ne l'a ni fait jouir, ni mouillée comme la dernière des putes, contrairement à ce qu'on voit dans les dessins animés pour adulte ou les pornos, une femme ne dégouline pas de mouilles jusqu'à ses pieds, ou alors elle se pisse dessus, mais ça, c'est autre chose. Souvent au contraire on rajoute durant le tournage des gels et liquide pour faire croire cela, rendre la peau brillante et laisser imaginer que les femmes sont toutes des salopes. Donc dommage pour lui, elle est assez humide pour être prise, il en a sans doute sur les doigts pour les avoir plongés dedans, mais ça se stoppe là. Et à moins qu'il n'ait essuyé ces doigts sur ces cuisses, ces dernières sont toutes propres ! À sa demande elle va donc vers le lit, visiblement il va la prendre comme une chienne, en levrette, un classique assez simple et même reposant pour la femme. Elle ne va donc pas s'en plaindre, ça lui fait du boulot en moins ! Elle monte sur le lit, s'allonge sur le ventre et relève alors le cul en remontant les genoux vers son bassin. Elle le sentira ensuite venir rapidement, et rentrer sans même une capote ! Elle grogne un peu, puis gémit doucement et le laisse pénétrer ses chaires douces et chaudes, serrées certes, mais pas comme une pucelle ! Elle sait comment faire les choses, mais ça serait mieux avec une capote ! Elle le sent tenter le fond doucement, et sans surprise sa chatte s'adapte en longueur et encaisse cela, après tout elle est une humaine ordinaire ! Elle gémit donc et le laisse faire pour le moment, mais quand il demande de montrer comment elle baise son mari ? Bha, elle ne le baise pas, vu qu'il la baise ! Et puis souvent après la fellation son mari est hors service pour le reste de la nuit, donc elle utilise des godes... Elle gémit encore et le laisse jouer avec la laisse, cela dit elle finit à quatre pattes pour ne pas avoir la nuque défoncée par ses gestes !

- Hmm, vous plaisantez, il me baise bien plus fort que ça... Je n'ai besoin de rien faire avec un vrai mâle... Ahhnn

Bha oui, son mari quand il la baise, et n'est donc pas fatigué ni rien, la baise comme un ado baiserait une gamine, rapidement et efficacement pour se faire jouir sans penser à la femme ! Elle ne le trouve clairement pas assez rapide à son gout, mais ne veut pas non plus qu'il jouisse dedans !

- Pff, si vous mettez une capote je vous montrerai comment je vous baise moi...

Bon si elle avait un gode ceinture elle lui ferait une tout autre démonstration aussi, juste pour l'insulter et lui apprendre sa place. Mais elle n'a pas ce genre de choses chez elle, elle n'en a plus depuis le lycée où elle baisait avec une autre fille, ha la jeunesse !

«  Jte laisse en vie pour faire jouir les clients jte rappelle. »

Évidemment elle demande une capote, quelle femme ne le ferait pas dans cette situation ? Koshiro accepte et ordonne à l'un de ses hommes d'aller en chercher. Ils sont trop petits mais ça fera l'affaire. Une fois qu'il est prêt, le yakusa s'enfonce encore une fois dans la chatte de Marie mais cette fois sans faire preuve de douceur. Il le fait d'un coup et attrape l'un de ses fesses pour l'écraser, perdant peu à peu patience avec elle.

«  Si t'es pas capable de baiser mes clients tu seras bonne à rien ! »

Sa main claque les fesses de la chienne une nouvelle fois et accélère les coups de reins. Visiblement faire preuve de plus de douceur est juste une perte de temps avec elle, alors autant avancer plus rapidement. Koshiro ne retient pas ses coups et grogne pendant qu'il malmène la chatte de la blonde sans se préoccuper de son bien être. Si elle voulait être baisée, elle est servie car il la besogne sauvagement, cherchant juste à jouir.

«  Jme fiche pas mal que tu sois satisfaite au final ! Tant que tu rembourse l'argent que tu nous dois ! »

Ses coups sont écrasants et il laisse à peine l'occasion à la chienne de rétorquer. Elle joue mal son rôle et se permet de faire preuve d'insolence, à quoi bon garder cette merde ? Sous les coups de reins, le lit grince et vibre. Marie peut entendre son derrière recevoir des coups plus puissants les uns que les autres. Qu'elle accepte de se bouger le cul ou non, Koshiro comptait bien remplir les capotes de foutre les une après les autres. D'ailleurs il ne se retiens pas pour jouir une première fois et la blonde peut sentir l'énorme quantité de semence qu'il éjecte en elle. Au moins autant que sa première éjaculation. Sans attendre, il se retire et referme la capote avant de la jeter vers le visage de la chienne, puis en enfile une autre.

Il recommence alors à bouger, de la même manière et jouis plusieurs fois en elle. La blonde se retrouve avec une bonne partie de ses capotes toutes débordantes de foutre, alors que les autres hommes qui se branlaient devant le spectacle semblaient prendre un moment avant de pouvoir recommencer, râlant pour avoir leur tour, que Koshiro leur refusait férocement.

Au moins il avait terminé sa petite vengeance. La chienne pouvait enfin commencer à faire ce que son maître lui ordonnait.

«  Bouge. »

La tuer maintenant ? Ne comptait-il pas simplement la violer pour montrer à son mari qu'il peut attaquer sa famille, ça ne suffisait pas à motiver le mari ? En quoi la tuer va aider ? Rhalala il tente de lui faire peur faut croire, ou alors il est stupide, peut-être les deux, en tout cas au moins il sait baiser, et une fois avec une capote il fait ça mieux, ça glisse plus facilement. Elle peut donc le laisse y aller plus vite, et en plus parle à nouveau des clients, pourtant y'a pas grand-chose à craindre de ce côté. Le sentant plus motiver que jamais elle ne s'accroche un peu à son coussin et le laisse y aller comme une brute, le bon coté c'est qu'il jouira plus vite, et elle sera plus vite libérée de ce pervers et ces comparses qui doivent encore lui passer dessus. Elle gémit bien et endure donc son traitement sans trop de souci, elle mouille et entend son pauvre lit qui grince, va falloir resserrer les visse un jour, sinon il va craquer ! Elle encaisse donc et finit par le voir jouir et jeter la capote vers elle, pleine de foutre et assez gonflée quand même. Elle le regarde donc enfiler une suivante, il jouit vite, mais peut-être qu'il va la faire jouir quand même ! Ce qui heureusement se produit après cinq ou six baises, elle jouit avec le pervers et le sentit remplir enfin une nouvelle capote en elle. Et cela fait-il semble en avoir fini aussi, ou pas ? L'entendant elle s'avance pour le sortir de sa chatte et se retourne pour lui faire face, avant de le pousser dans le lit pour l'y allonger. Elle monte ensuite sur lui et vient se placer au-dessus pour s'empaler et le baiser avec férocité, elle peut aussi le fusiller du regard pendant qu'elle le baise en s'appuyant un peu sur son torse. Cela semblait rendre les autres jaloux ! Elle s'empale bien profond aussi et une fois au fond fait des petits cercles avec son bassin pour que la bite touche bien de tout les côtés en elle !

- Hmm, comme ça ?

Elle accélère un peu et puis reprend les aller-retour, l'air de rien baiser n'a rien de particulier, suffit de pistonner sur la grosse bite et hop tout est en ordre. C'est même facile pour elle, c'est comme faire des squats, mais à genoux et aussi rapidement que possible, car ça glisse bien à cause de la capote ! Mais elle a les mains libres avec ça, elle pourrait bien branler deux mecs, voir en pomper un en même temps comme dans un petit gang-bang. Mais pour le moment là voilà limitée à juste le chef et sa grosse bite juteuse qui jouit comme plusieurs mecs à chaque fois et ne semble pas fatiguer ! Elle gémit donc et accélère autant qu'elle peut pour le satisfaire et presser les choses, faut qu'elle finisse avec ces rigolos avant que son mari ne rentre, et elle doit encore jeter les capotes hors de vue du mari.

La femme ne se laisse toujours pas impressionner par les menaces. C'est comme si elle pense qu'elle est spéciale parce qu'elle baise bien mieux que d'autres femmes. Comme si c'est la seule. Les putes de son calibre sont rares certes mais il y en a d'autres. Elle pense sûrement que juste remuer son corps et faire sortir son foutre pouvait le satisfaire et si c'est le cas elle se trompe lourdement.

Juste en s'entêtant comme un abruti, il réussi quand même à la faire jouir. La chienne commence enfin à prendre du plaisir on dirait, tant mieux. Après avoir allongé Koshiro sur le lit, elle le chevauche. Ses mouvements montrent son talent, elle bouge avec aisance, ça a l'air même facile. Elle parvient à arracher un rugissement à son maître qui ne compte plus se laisser jouir comme précédemment. Il laisse Marie faire son boulot, elle gémit en même temps. La bite du Yakuza s'endurcit plus, résister est toujours plus excitant que se laisser jouir après tout.

«  Ouais c'est bien. Occupe toi de mes hommes aussi, je les ai assez fait attendre ! »

« Enfin ! » « Je croyais qu'on allait passer la journée à regarder » « Allez suce moi aussi ! »

Koshiro laisse la femme décider de ce qu'elle veut faire des trois, mais elle doit continuer de le satisfaire en même temps. Certes il avait beaucoup joui mais il en voulait toujours plus. Il la sent accélérer les mouvements, cherchant sûrement à le faire finir vite. *Ah nan, pas cette fois ci* se dit Koshiro en croisant le regard de sa chienne quelques instants avec un expression assurée au visage. Comme pour lui prouver qu'il en a encore beaucoup à lui donner, il lui donne un gros coup de rein brusque, pour la faire rebondir sur lui pendant qu'elle s'occupe des autres hommes. Leurs membres sont moins imposants que celui de Koshiro, peut être plus plaisants pour elle (ou non qui sait) mais tout de même de bonne taille.

Le chef de la petite bande se redresse et plaque ensuite le cul de la blonde contre lui. Il remue son membre en elle, étire ses entrailles et la masse en profondeur. Il pousse un autre rugissement. Les autres hommes aussi semblent bien s'amuser, l'un d'entre eux lutte pour ne pas jouir trop vite. Pendant ce temps, Koshiro s'occupe du clitoris de sa chienne, il la masse, la pince doucement, tout en encourageant sa chienne a remuer son cul. Allez fais toi plaisir, c'est bien plus amusant ainsi. Il entament tout les deux une danse sensuelle qui rend les autres jaloux encore une fois.

«  La ferme » Répond Koshiro en entendant l'un d'entre eux se plaindre encore  «  Vous aurez votre tour si vous tenez le coup ! »

Il sent bien qu'elle peut les faire jouir rapidement et ils le savent aussi. Elle peut voir les trois gars lutter et l'un d'entre craque. Il relâche son jus en poussant un gros gémissement. Koshiro de son coté rugis de plus en plus aussi mais résiste toujours, la chienne devra travailler plus pour le faire jouir désormais. Par contre il ne se gêne pas pour prendre les hanches de Marie et la faire rebondir plus fort avant de la relâcher pour la voir bouger à nouveau. Curieux il touche aussi l'anus de sa chienne pour voir si ça lui plait, il ne pas très loin, juste quelques caresses pour voir si elle refuse.

«  Pfff on va finir par manquer de temps ! »

Évidemment, quand on s'amuse le temps passe plus vite, mais ce n'est pas fini. Peut être même que la meilleure partie commençait enfin ! La blonde allait devoir faire plus d'efforts pour satisfaire Koshiro et il comptait bien lui rendre la tâche difficile. Il peut encore jouir plusieurs fois en plus ! Elle pouvait sentir les couilles toujours bien remplies de Koshiro taper contre elle, quand il s'amusait à la pilonner rapidement sans montrer signe de fatigue.

«  Allez prend un de mes gars par le cul, c'est grace à eux que je t'ai trouvée quand même. Choisis celui que tu veux. »

Bon l'un d'eutre eux est déjà hors service mais les deux autres semblaient motivé pour y aller chacun leur tour !

Koshiro tente donc de la garder pour lui, la baiser plus près de son corps, pas de quoi l'impression, en plus ça fait encore attendre les autres gars ! Elle remue donc tranquillement loin de pouvoir jouir une nouvelle fois même s'il tente, elle vient de jouir, comme lui il va falloir du temps avant qu'elle puisse à nouveau jouir ! Mais les pauvres gars doivent attendre, l'un deux jutes en se branlant, brillant ce gars... Et tant qu'elle est coincée avec lui au corps à corps, impossible pour elle de s'occuper des autres, et il pilonne bien fort en plus ! Elle ondule donc tranquillement partiellement ennuyée de devoir encore attendre pour avoir les autres gars ! Et puis de quoi il parle, prendre un de ces gars par le fion ? Et en plus elle ne peut rien faire de plus pour accélérer les choses, il l'a baise par le dos, la tient par les hanches et ne la laisse pas retomber en avant pour s'occuper des gars... Elle est encore plus ennuyée que ces gars finalement.

Décidément le chef ne faisait pas beaucoup d'effet à cette femme ! Mais Koshiro ne peut s'y prendre qu'à lui même. Elle perd rapidement l’enthousiasme qu'elle avait plus tôt et même si elle ne se plaint pas, tout le monde sent qu'elle commence à s'ennuyer. Tout comme les hommes d'ailleurs qui commencent à en avoir assez de leur chef égoïste. Ce dernier soupire.

«   Raaah j'ai va j'ai compris ! Je vous laisse la place ! Faites ce que vous voulez  »

Ca le fait chier de s'arrêter ainsi mais insister ne servirait à rien. Ca rendra juste la situation désagréable pour tout le monde. Du coup, le frankenstein se retire et s’éloigne un peu pour s'étirer. Ses deux autres hommes eux n'hésitent pas à s'avancer un peu plus, l'un veut se faire sucer pendant que l'autre se fait chevaucher comme son chef avant. Évidemment celui sous la blonde se laisse faire un peu plus sagement. Il bouge en faisant attention à le pas trop gêner la blonde, juste assez pour qu'elle puisse pomper et branler son collègue efficacement.

Koshiro s'allume une autre cigarette et admire le spectacle. Est-ce qu'elle sera un peu moins ennuyée cette fois ? L'homme qu'elle suçait n'hésite pas à prendre sa tête et enfoncer son membre jusqu'au fond, vu qu'il est moins gros que son chef, elle peut le faire plus facilement. Il rugit de plaisir comme son partenaire qui chope le cul de la blonde lorsqu'elle est trop occupée à sucer. Lui aussi gémi lorsqu'elle s'occupe de lui.

Après quelque bouffées, Koshiro observe son troisième gars reprendre de l'énergie. Il bande à nouveau ! Evidement lorsque l'homme chevauché finit par éjaculer, il prend sa place et fait de son mieux pour ne pas décevoir la blonde, peut être plus difficile à dire qu'à faire !

Ne souhaitant pas attendre éternellement, Koshiro s'avance avec un des vibromasseur qu'il colle au clitoris de la blonde. Peut être que ça lui plaira ? Franchement il en a aucune idée mais c'est mieux que d'attendre. Le nouveau gars qui se fait chevaucher peine à tenir à son tour, c'est pas vraiment étonnant mais il prend son pied. Pendant qu'elle est prise avec les trois homme, Koshiro aide la femme à s'amuser un peu plus, enfin si elle peut encore jouir.

«   Eh ça m'apprendra à être égoiste tiens...  »

Murmure-t-il en suivant les mouvements des autres pour faire plaisir à la femme continuellement sans gêner.