Marie en effet valait le coup, grosse poitrine, longs cheveux blonds, yeux bleus, en 40 on l'aurait vue comme une déesse digne de dominer bien des hommes ! Mais pour le moment elle laisse le groupe s'installer dans le salon sur les canapés au besoin, du Ikea, rien de marque en effet. Tout ici est bien trop récent pour avoir une valeur d'antiquité, même les quelques tableaux vitrés sont des répliques, rien ici n'est signé et le style est moderne. Elle prépare donc des cacahouètes et des chips, mais aussi du coca et de l'eau pour venir poser cela au salon, elle sait quand même recevoir des gens ! Un verre par personne, et il y a sans doute du café en préparation vu qu'on entend le percolateur tourner, elle fait cela à l'ancienne ! Pas de machine à dosette jetable chez elle, du vrai café en grain moulu au moulin électrique et mis en boite ensuite. Non seulement c'est moins cher, mais en plus aucun ne risque d'avoir un rat mort broyé avec les grains dans une usine en chine. Elle écoute donc le chef qui fume, quel odieux personnage ! Elle n'aime pas qu'on fume chez elle et fronce le regard, non, mais oh ! Et puis il a beau faire genre, ils n'auront rien par la force, au pire la violer une fois, puis ne pouvoir jamais revenir, car elle aura leurs visages en tête ! Et elle est totales le type de femme qui irait porter plainte en restant bien calme, froide, calculatrice, c'est sans doute elle qui tient les comptes ici, d'où le fait qu'elle soit surprise de cette demande d'argent soudaine ! Elle s'installe donc face à lui en tenue ordinaire, pantalon noir suivant son corps sans le moulé, chemisier noir qui suit sa poitrine et puis le ventre, laissant bien deviner l'opulence de sa poitrine naturelle ! Dessous des dessous bleu marine brodés et armature pour le soutien-gorge qui doit soutenir cette grosse paire de loches !
- C'est hors de question, et menacer mes enfants ne vous aidera pas.
Elle boit un peu de café, qu'elle venait de faire et leur a mis le thermos sur la table avec quelques tasses, il y a même du sucre et des dosettes de lait. Elle lui explique ensuite le raisonnement, car elle n'est pas idiote à dire non juste pour le contrarier, elle reste assise sans craint des deux autres gorilles :
- Pas la peine de vous énerver, la raison est simple, je dois aller chercher mon enfant tous les jours, car mon mari "travaille", enfin je suppose. Puis je dois faire le repas, mais aussi les courses, et garder cet appartement en ordre, je suis une femme au foyer voyez-vous ?
Elle boit encore un peu, en effet, ça serait bizarre qu'elle ait soudainement un boulot, et qui va garder les enfants, cela demanderait une babysitter et des frais en plus, personne n'y gagne finalement. Et elle se doute qu'une rentrée de plus aiderait sa maison. Elle l'écoute donc faire son numéro avec l'esclave et les deux pervers faire les chauds, dont un qui la touche, elle l'observe et hausse un sourcil le dénigrant du regard, elle n'est pas intéressée par lui, seulement par le chef.
- Disons que j'ai une autre offre à vous faire, après tout vous me semblez intelligent, tuer mon enfant ne me fera pas travailler pour vous, et me violer tous ensemble ne vous assurera pas d'avoir une bonne travailleuse à portée de main.
Elle marque une pause et pose sa tasse sur la table pour reprendre :
- Voilà mon ma controffre, je bosse de 9h à 16h pour vous, mais pas dans un bordel, qui sait si mon mari n'y va pas dans mon dos... Ou un ami à lui, ou quelqu'un de mon boulot... À la place je prends vos clients ici, un par un, si ça doit être plus d'un mec à la fois OK, mais pas plus de trois à la maison, sinon je n'aurais jamais le temps d'effacer les traces. Si vous voulez un groupe plus grand, je propose l'hôtel en bas de la rue, discret et pas cher, la chambre sera retenue sur mes gains.
Elle pense un moment et espèce que ça lui ira, et puis elle se relève fusillant au besoin les deux gorilles, elle retire son haut, puis défait le soutien-gorge et finalement elle défait le pantalon et la petite culotte, elle laisse le tout sur le canapé et lui dit alors face à face, enfin la table entre eux :
- Si mon offre vous va, vous pouvez me baiser dès maintenant, vous et vos collègues, on a jusqu'à 16h, toute fois...
Elle se déplace et va prendre dans un meuble un collier de gros chien, sans doute l'ancien animal de la famille, visible sur quelques photos. Elle l'enfile et prend aussi la laisse sans l'enfiler et va cette fois devant le chef. Elle s'agenouille alors et se penche en avant pour se prosterner et lui tend la laisse d'une main :
- Vous vouliez une esclave, mais si vous prenez mon offre je vous une offre une chienne, qu'en dites-vous ?
Elle joue un coup de poker clairement, mais dans le fond, si elle peut être payée et ne pas devoir trop quitter la maison, sauf en journée... Puis le coup de la chienne devrait sans doute exciter un pervers dominateur comme cet homme, il pourrait l'avoir rien que pour lui quand il veut, la tenir en laisse, la faire coucher avec de vrais chiens peut-être même ! Elle prend un risque, mais elle semble déterminée à prouver qu'elle protègera son enfant et les apparences devant sa famille et ses collègues, le reste... Disons qu'elle est curieuse pour le moment, est-il un idiot, ou un vrai dominant ?