Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Funeste rencontre[Réservé]

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Heilayne Daelys Minh

Humain(e)

Re : Funeste rencontre[Réservé]

Réponse 15 jeudi 22 octobre 2009, 07:59:58

Le dos contre la porte, les iris de la comtesse commençaient faiblement à percevoir quelques objets plus près dans la pièce. Tapis, plafond, chaise, base du lit. En réalité, elle n’avait guère réellement l’envie de pouvoir tout voir ; certains diraient que son intuition féminine l’alarmait de ce qui se tenait devant elle. D’autres diront qu’elle n’était tout simplement pas idiote de penser que cet homme n’avait rien derrière la tête à une heure pareille et surtout, dans sa chambre. Ses lèvres se pincèrent lorsqu’enfin elle comprit. La nudité de l’homme devant, l’arrogance qu’elle décelait dans son ton de voix plus tôt rassurant, maintenant agaçant. Faire tomber les masques, allait-elle réellement le faire?

Les landes d’Ashnard sont reconnues pour toutes sortes de mauvaises rumeurs. Comment se pourrait-il qu’une famille de femme si pure, si douce puisse vivre sans avoir de visiteurs la nuit, de foudre du roi? Secret, tout ça n’était que des secrets…

Ses mains se relâchèrent tout en lenteur alors que Layne vint redresser son dos, gardant une distance moindre entre elle et la porte mais raisonnable entre elle et le Don. À sa première phrase, elle répondit.

« Mes domestiques sont au courant. » Siffla-t-elle du bout de ses lèvres d’un ton qui, si on y prêtait réellement attention semblait épris d’un brin d’arrogance. Elle devinait, en le voyant nue, en se remémorant ses demandes, sa dite gentillesse, ses servantes aux colliers… Son beau sauveteur n’était rien de plus qu’une ordure, comme celles dont sa mère la protégeait en l’isolant entre quatre murs, jadis. 

Le bonheur d’un adieu simple en tout terme ne pouvait visiblement pas être tenu. Les sourcils de la comtesse se froncèrent un instant sous la demande de son hôte, plissant un peu ses traits en cachant dans l’ombre l’agacement qu’elle éprouvait, qu’elle laissait transparaître. Non. C’était le seul mot qu’elle pouvait et voulait dire. Le au revoir s’en suivrait suivit d’un claquement de porte et ainsi de suite. Mais derrière cette dite porte, qui lui garantissait qu’on ne l’attendait pas avec cordes, jouets, et cetera? Son titre pouvait lui être utile si alors le Don visait plus haut que de simples esclaves, de simples arnaques. Il était sur qu’en voyant les ficelles de son piège, Layne comprenait qu’il ne vivait que de ça. Si l’or lui manquait, elle pouvait lui en donner. Si le titre lui manquait… Elle pouvait… Le marier…

Cette simple pensée fit frissonner tout le corps de la belle, lui extirpant une fine moue de dégoût. Oui, elle savait bien que l’homme qui lui serait attitré ne lui plairait pas, mais delà à épouser un revendeur d’esclave ; il fallait vraiment qu’elle soit dans de beaux draps.

Oh, Ares… Pourquoi n’est-il là que pour lui briser le cœur?...

« Oh, je n’oserais prendre les quelques piécettes qui vous restes, Don. Déjà hier de vous en faire voler était pour vous une raison de vous mettre en colère ; je ne me permettrais pas d’en prendre. D’autant plus que, et vous en conviendrez, je ne manque aucunement d’or. » Les yeux plissés et le ton de voix se voulant tout aussi arrogant que le premier, la belle se décrispa en se tassant un peu de la porte, décalant son corps vers la gauche. Ses yeux maintenant habitués à l’ombre, elle laissait vaguer ses iris dans la pièce, cherchant une solution à ce qu’elle voyait inévitable. Elle, se donner à un homme comme lui? Déjà, le masque de sa personnalité avait commencé à tomber. Douce, aimable, serviable était passé d’arrogante, sarcastique et agacée. Tout en marchant d’un pas très léger, le dos droit et l’allure noble, Heilayne s’approcha de l’une des fenêtres, glissant le revers de sa main contre le tissu qui couvrait les carreaux pour laisser glisser son regard à l’extérieur. Sans jamais regarder son hôte.

« Il y a sans doute quelque chose qui vous satisferait, que vous désirez qui pourrait vous faire changer d’avis sur le sort que vous me réservez depuis… J’ose dire depuis que vous m’avez piégé, rencontré. » Elle marqua une pause, laissant le dessus de sa main venir caresser d’un geste tout naturel le satin du rideau avec lenteur, une très grande lenteur… « Terres, or, femmes, titre…? » Ses paroles, plutôt fortes avaient baissés d’un cran, passant du parler au susurrement, comme incertaine.
''Et le printemps et la verdure
Ont tant humilié mon coeur,
Que j'ai puni sur une fleur
Toute l'insolence de la Nature.''

Don

Avatar d'Aphrodite

Re : Funeste rencontre[Réservé]

Réponse 16 jeudi 22 octobre 2009, 18:02:32

Il la laissa marcher jusqu'au fenètres. Les volets étaient fermés, et celles ci également. Il n'était pas bête au point de la laisser filler par les toits. Qui plus est le fait qu'elle utilise son nom montrait qu'elle avait réussi a comprendre. Il aurait pu être un bourgeois verreux, il aurait pu être un marchand d'esclave quelconque, il ignorait d'ailleurs comment elle avait fait le rapprochement, mais a présent elle savait. Et a présent il était clair qu'elle le voyait dans son plus simple appareil. Les masques étaient tombés, malgré tout, Heilayne semblait toujours distante, voire plus distante qu'avant, elle s'était renfermée dans une arrogance qui ne ressemblait a rien a ce qu'elle laissait paraître hier. Et Don sourit, ça serait bien plus interessant que ce a quoi il pensait, en définitive Heilayne avait une personnalité bien plus complexe que celle qu'il avait a la base imaginé, certes il avait tendance a un peu sous estimer ses proies a ce niveau là, mais il n'aimait rien de plus que de briser ce genre de personnalité, en faire des êtres soumis a sa volonté ceux qui avaient a la base les plus grandes puissances créatives derrière eux. Pour sa peine, il ferait d'Heilayne une esclave de grand standing, et il allait s'occuper en détail de son entrainement pour le devenir. Elle méritait au moins celà après tout.

Immobile, il la laissa avancer avec lenteur jusqu'a la fenètre. Elle se savait surement déjà perdue, et a moins qu'elle ne possède quelques pouvoirs elle ne fuirais pas, elle ne le pouvait tout simplement pas. Néanmoins le Don était sur ses gardes. Devait il prendre les devant et arrêter Heilayne si la fenètre devait mysterieusement éclater, disparaître ou qu'il ne la voie passer au travers ? Ou devait il la laisser savourer la douce angoisse qui ne s'était pas encore emparée d'elle pour le moment ? Il y avait un temps pour la force, comme un temps pour tout, a présent c'était l'heure de voir si Heilayne de Daelys allait pouvoir se confronter a la triste réalité de sa déchéance sociale : passer de l'un des étages les plus élevés de la pyramide mondiale pour finir dans le plus bas de celui ci...Comme elle savait qui il était, elle savait surement ce qui allait l'attendre, ou était elle si innocente qu'elle ne pouvait s'en douter, il s'assit sur le lit et la regarda faire, il la regarda parler. Elle lui proposa des terres, des femmes, des titres. L'esclavagiste la laissa énumérer celà et finit par lancer avec un ton des plus mielleux


"Un titre, des femmes, des terres ? Vous pouvez m'offrir tout celà ? C'est bien aimable a vous de me l'apprendre."

Après tout celà ne voulait pas forcement dire qu'elle les possédait, la noblesse d'Ashnard étant ce qu'elle était, qui pouvait être sur qu'Heilayne disait la vérité ? Don se leva du lit et marcha a pas lent vers elle tout en poursuivant

"Mais vous êtes une femme intelligente, même si pour le moment je ne sais de vous que votre nom de famille, je pense que vous arriverez sans problème a la même conclusion que moi."

Brusquement Heilayne se sentit prise par le poignet et attirée vers le colosse qui la plaqua contre lui, maintenant fermement son corps avec son bras tandis que sa main la tenait par celui ci

"Qu'est ce qui m'empechera de réclamer tout celà de bon droit une fois que vous m'appartiendrez ? Mademoiselle de De Daelys, j'ai bien peur que maintenant que vous connaissez mon secret...Je ne peux pas vous laisser partir."

Il l'embrassa alors de force. La serrant contre lui, elle pouvant sentir contre son ventre l'intégralité de sa virilité a son contact qui n'attendait qu'a faire d'elle sa chose
Oh mon dieu vous avez vu l'heure?

Nombre de victimes : 37
Le plus chouette c'est Don!
Thème de Don
http://www.tourdejeu.net/annu/fichejeu.php?id=7595
N'oubliez pas de voter pour notre forum tous les 2 jours sur Tour de jeu si vous voulez que nous soyons connus rapidement!

Artwork par Louis Cyphre (Cliquez pour voir l'art complet)

Heilayne Daelys Minh

Humain(e)

Re : Funeste rencontre[Réservé]

Réponse 17 vendredi 23 octobre 2009, 04:43:04

Ses yeux restaient glissés sur le paysage qu’elle apercevait des carreaux vitreux. Loin d’elle l’idée de fuir en brisant une vitre ; elle savait trop bien que sa force ne lui permettait guère d’en faire autant et son corps frêle se briserait si elle basculait et tombait. Elle savait trop bien ce qui l’attendait, comment faire changer un homme tel que lui d’avis? Oh, si seulement elle n’était pas qu’une vulgaire humaine, aussi. Un faible soupire vint franchir ses lèvres rosées alors que tout son corps quand à lui vint se raidir lorsqu’elle l’entendit se lever. Un mince frisson de dégoût lui parcouru l’échine dorsale alors qu’elle pouvait imaginer toutes les atrocités qui pouvaient passés dans la tête de l’esclavagiste. Dans le meilleur des cas, la comtesse deviendra femme de ménage. Et dans le pire… Un simple objet de divertissement…

« effect… hmf! » Sans pouvoir terminer sa phrase, Layne se fit attirer brusquement, échappant une très basse plainte de surprise. Son corps tenta un moment de se soustraire de l’emprise du Don mais sans plus. Elle n’avait aucune autre force que celle de sa parole simpliste. Elle pouvait tout lui offrir, tout ce dont un paysan sans avenir rêverait ; mais en contre partie, il était certain qu’elle n’allait rien lui donner si elle ne trouvait pas son propre compte.

Sa tête un brin reculé, Layne détourna le regard en soufflant ses paroles sur un ton plutôt rapide, saccadé.

« Il faut des rencontres, des missives, ça ne se passe pas aussi facilement ! »

Son dos se courba alors pour tenter de ne pas se résigner à embrasser l’homme qui, rapidement s’était rapprochée de son visage. Se penchant, encore, encore un peu et un peu plus, Heilayne ne pu malheureusement que se résigner à se faire quérir les lèvres, aussi dégoûtée soit-elle d’ainsi se faire prendre de force. Où était le romantisme, dans tout ça? Sa main libre vint s’apposer sur le torse nu de son hôte, pressant fortement ses doigts contre en tentent de le repousser un tant soit peu et de se soustraire de cette caresse contre ses lèvres. Ainsi que plus bas, là ou elle sentait bien sur toute la virilité de l’esclavagiste… L’horreur, en d’autres mots. Elle n’était habillée qu’en catin avec une simple robe verte et lui, déjà nu.

Elle pouvait bien trouver quelque chose à faire, quelque chose qui lui ferait vouloir une des choses qu’elle lui avait dit pouvoir lui offrir… Sans être trop brusque et en conservant, bien malgré la situation la délicatesse qui lui était mère, Heilayne vint décoller un peu ses lèvres des siennes, le dos courbé atrocement vers l’arrière, ce qui n’était pas de toute douceur ou de tout confort. Sa main posée sur son torse tentait de garder une certaine distance, aussi raisonnable soit-elle pour pouvoir parler, bien qu’elle sentait toujours son souffle plaquer contre sa peau laiteuse. « Je vous en prie, j’ai conscience que nous ne pouvons reculer à présent, puisque je devine ce que vous avez en tête et que vous jouissez sans doute de savoir qu’elle humiliation vous me feriez subir en me traitant ainsi… Mais il doit bien y avoir un moyen … Quelque chose à faire …? »

Ses mots soufflés très bas, comme par peur de se faire entendre au-delà de la chambre, Heilayne glissa ses iris sur l’homme qui la retenait, l’observant malgré la noirceur. Celle-ci ne semblait plus réellement embarrassante d’aussi près. Elle le sentait contre elle, sentait son souffle, ressentait son désir et imaginait ses pensées…
''Et le printemps et la verdure
Ont tant humilié mon coeur,
Que j'ai puni sur une fleur
Toute l'insolence de la Nature.''

Don

Avatar d'Aphrodite

Re : Funeste rencontre[Réservé]

Réponse 18 samedi 24 octobre 2009, 15:35:10

Don se riait des défenses d'Heilayne qui était aussi vulnérable qu'un cygne blanc, cygne blanc qui serait bientôt un des écrins qu'il posséderait a son doigt. Il avait définitivement possédé une bonne pioche en prenant possession de la jeune fille, une chance auguste qu'il ne croyait pas trouver dans les plus profond bas fond de Nexus. Décidement, il n'y avaient que les ordures qui avaient de la chance en ce bas monde, la richesse de Don ainsi que son "talent" pour tomber sur des femmes de trempe exceptionnelle tout comme Heilayne était inégalées, le marchand d'esclave eut un sourire arrogant alors qu'il la regardait, c'était typique de la noblesse, et encore plus de la noblesse d'Ashnard: Heilayne n'avait aucun moyen d'assurer son indépendance actuellement, alors elle essayait de se protéger en proposant a Don monts et merveilles, et Don souriait parce que pour de nombreuses raisons il savait qu'il n'aurait pas a faire autant d'efforts pour obtenir ce qu'il désirait. Car après tout il possédait non seulement une confiance en lui bombée des succès qu'il avait rencontré au cours des années. Il savait comment procéder avec ce genre d'impondérables. Don sussura a Heilayne après qu'elle se soit dégagée de son baiser

"Vous savez mon nom, mais vous ignorez bien des choses de moi et de mes méthodes, Mademoiselle de Daelys. Je ne doute d'ailleurs pas que j'obtienne votre prénom au cours des heures qui vont suivre. Me permettant de savoir définitivement qui vous êtes."

Le Don s'approchait d'elle alors qu'il la forçait a restait contre lui et lui lançait

"Premièrement, je suis un artisant qui aime son métier, l'argent est une commodité qui en découle et qui est au combien plaisante, mais elle n'en est pas moins une commodité dont je suis capable de me passer, par amour pour mon métier."

Par celà Don expliquait a Heilayne que si il était marchand d'esclave, ce n'était pas pour être riche, mais surtout pour pouvoir entrainer des jeunes filles comme elles dans la soumission, sa main dans son dos se balada et se mit a palper sa fesse droite, controlant la qualitée de sa marchandise.

"Secondement, il faut peut être des missives, des rencontres et d'autres formalités administratives, néanmoins je suis sur que quelques semaines passées auprès de moi vous transformeront sans aucun problème en une poupée de chiffon qui me sera totalement dévouée, après quoi vous forcer a m'obeir pour obtenir ce que je désire ne sera guère plus difficile qu'une simple formalitée."

Don allait faire d'elle une esclave soumise, tout ce qu'elle lui promettait, il l'aurait, gratuitement Sa main se ressera sur son fessier alors qu'il abordait le dernier point

"Et troisièmement...Vous ne trouvez pas qu'il fait chaud ici?"

Fit il alors que d'un coup sec sa main sur ses fesses se resserait sur sa robe et l'arrachait d'elle.
Oh mon dieu vous avez vu l'heure?

Nombre de victimes : 37
Le plus chouette c'est Don!
Thème de Don
http://www.tourdejeu.net/annu/fichejeu.php?id=7595
N'oubliez pas de voter pour notre forum tous les 2 jours sur Tour de jeu si vous voulez que nous soyons connus rapidement!

Artwork par Louis Cyphre (Cliquez pour voir l'art complet)

Heilayne Daelys Minh

Humain(e)

Re : Funeste rencontre[Réservé]

Réponse 19 dimanche 25 octobre 2009, 09:07:17

« Jamais. » Avait-elle sifflée tout juste après l’affirmation de son agresseur. Lui, connaître son prénom? C’était, hélas, la dernière chose la rattachant à la noblesse en ses murs. La manière dont il prononçait son nom de famille lui retirait tout mérite, la façon qu’il la tenait rendait son corps aussi poisseux et souillé que celui d’une putain ; non, son prénom restera enfermé à doubles tours. Déjà, elle lui avait dit se prénommer Layne. Ce n’était pas tout à fait faux, mais comment pouvait-il le savoir? Il fallait, bien évidemment, qu’elle reste dans cette optique du mensonge. Ses sourcils vinrent se froncer lorsqu’elle commença à sentir la main de Don devenir plus baladeuse, entreprenante. La jeune femme voulue se pencher encore un peu pour se décoller du corps de l’homme, tenter de se soustraire de son étreinte ; mais son corps n’était pas aussi flexible pour qu’elle se plie de la sorte. La mine dégoûtée, elle ne pu malheureusement pas lui retirer sa main, celle qu’elle avait de libre restait pressée contre son torse nue, tentent de garder une distance entre eux deux.

Ses hanches se secouèrent cependant de gauche à droite pour tenter de lui faire comprendre de la lâcher, mais, bien qu’il ait pu le comprendre, cela ne voulait pas dire qu’il allait arrêter. Bien au contraire, et elle le savait. Il était répugnant, voila tout. Dans la tête de la comtesse, ce que lui réservait son hôte n’était plus un mystère. Ce n’en était pas moins dégoûtant, mais elle le savait. Jamais elle n’allait lui donner la jouissance d’entendre une femme de son rang le supplier, de ça, elle en était certaine. Il pouvait la prendre non pas sans quelques plaintes, refus, gifles peut être même. Mais delà à le supplier de la relâcher, de ne pas lui faire de mal ; il pouvait se mettre le doigt dans l’œil.

« Vous êtes bien sur de vous Don, trop sur de vous-même. Vous pourrez me faire subir milles et unes tortures, autant physiquement que mentalement : jamais je ne vous obéirais. Vous n’êtes rien de plus qu’un pouilleux sur des landes gouvernées par des bâtards, jeune homme prenant par la force ce qu’il ne peut avoir autrement. » Les sourcils froncés, elle parlait bas, toujours. Son ton de voit n’était ni un hurlement, ni un susurrement, elle parlait simplement.

Néanmoins, il était certain que ses paroles étaient lancés par dernier secourt. Layne était coincée, elle en était consciente. Tant qu’à l’être, pourquoi ne pas insulter son agresseur? Ce n’était pas vulgaire certes, mais c’était ce qu’elle pensait. Son corps se raidit un peu plus lorsque sa main vint se presser un peu plus sur ses fesses. Elle voulue le gifler, le frapper mais n’en fit rien. Elle n’allait tout de même pas lui donner ce plaisir jouissif de prendre une femme qui se débat. De la violer en voyant la peur dans ses yeux.

S’il fallait qu’elle se fasse humilier ici, maintenant, elle allait le faire humblement.

« Chaud…? » L’interrogea-t-elle un instant avant de sentir le tissu de sa robe légère se déchirer et d’extirper un crie de sursaut d’entre ses lèvres. Sa main plus tôt posée sur le torse du Don pour garder la distance se plaqua rapidement contre sa poitrine, retenant un morceau de lin par pudeur. Son corps tremblait un peu bien qu’elle luttait mentalement pour le faire cesser ; elle commençait malgré tout à avoir peur. Si elle pouvait, elle aurait prier pour qu’Ares vienne à son secourt. Ou était-il, encore avec d’autres de ses prêtresses, la laissant ainsi se faire humilier, elle? Oh, cette jalousie…

Sans un mot, Layne ne faisait que retenir le tissu, la tête légèrement penchée en tentent de garder un minimum de fierté dans cette accoutrement fort en nudité. « Êtes-vous satisfait, maintenant…? » Susurra-t-elle sans réellement être convaincue, commençant cette fois à ne plus trouver le jeu amusant du tout.
''Et le printemps et la verdure
Ont tant humilié mon coeur,
Que j'ai puni sur une fleur
Toute l'insolence de la Nature.''

Don

Avatar d'Aphrodite

Re : Funeste rencontre[Réservé]

Réponse 20 lundi 26 octobre 2009, 00:17:58

Le "Jamais" d'Heilayne fit exploser de rire Don qui en hoqueta presque. Le marchand d'esclave lança

"Comme toutes les nobles vous avez la fibre théatrale, mais comme vous le savez je ne suis issu de nulle lignée, navré si je ne suis pas a la hauteur de vos espérances en guise de méchant, mais ça ne m'empeche pas de posséder l'intégralité de votre corps alors que je ne suis qu'un roturier, vous pensez peut être que votre esprit est a l'abris mais vous le savez au plus profond de votre âme. Comme le buvard s'imbibe de sang : Je contaminerais les bastions de votre corps par le temps et par mon être. Et petit a petit je bernerais votre espoir, je bernerais votre volonté et vos attentes et vous tomberez entre mes bras, poupée docile, comme une esclave soumise."

Don tel le serpent se mettait a sussurer les paroles a son oreilles, les mots pour l'intellectuel sont plus destructeurs que l'esprit, les notions sont plus dévastatrices que le mal que le corps pouvait ressentir, il était donc important pour l'esclavagiste de maintenir cette oppression, ce désespoir en cassant le bonheur d'Heilayne et en la persuadant qu'elle ne serait jamais plus heureuse.

"Certes, je suis un pouilleux qui prend par la force ce qu'il désire, et vous vous êtes une noble dame pleine d'honneur et de dignité. Ma question est simple : Qui vis dans un chateau parré des plus beaux atours et qui vit dans la rue vétue comme une catin ? Vous semblez espérer qu'une rétribution divine va me tomber sur le coins de la nuque si jamais je vous souille. Mais la réponse est évidente mademoiselle de Daelys, si vous ne le faites pas vous même, personne ne le fera. Soyez donc raisonnable, a vous promener ainsi vous saviez que celà arriverait tôt ou tard, vous avez juste eu la chance de tomber sur quelqu'un ayant un maximum de manières et un minimum de maladies."

Ne se privant pas pour se vanter il regarda Heilayne avec des yeux gourmands tenter de préserver le peu de dignité qu'il lui restait. Elle lui demanda si il était satisfait et Don répondit avec honnêteté

"Vous semblez croire pouvoir résister, et pouvoir croire que vous ne m'avouerez jamais votre nom, pourtant celà sera la première chose que vous avouerez sous ma délicieuse torture."

D'une simple poussée il la fit s'asseoir sur le lit avant d'avancer sur elle, comme un félin près a mordre.

"Des guerrières farouches m'ont suppliées de les garder en leur pouvoir, de puissantes sorcières ont imploré que je continue a les enchanter et des terranides sauvages étaient prêtes a se tuer entre elles pour être la prochaine a partager ma couche, qu'est ce qui vous fait croire que vous, petite noble de pacotille n'ayant jamais été confrontée a la duretée de la vie avez une chance de me résister?"
Oh mon dieu vous avez vu l'heure?

Nombre de victimes : 37
Le plus chouette c'est Don!
Thème de Don
http://www.tourdejeu.net/annu/fichejeu.php?id=7595
N'oubliez pas de voter pour notre forum tous les 2 jours sur Tour de jeu si vous voulez que nous soyons connus rapidement!

Artwork par Louis Cyphre (Cliquez pour voir l'art complet)

Heilayne Daelys Minh

Humain(e)

Re : Funeste rencontre[Réservé]

Réponse 21 lundi 26 octobre 2009, 00:58:36

Layne voulue reculer la tête lorsqu’il lui susurrait les paroles mais, par soucis de curiosité ou tout autre, elle n’en fit rien. Il parlait beaucoup pour un homme ne voulant que la luxure et l’or. Oh non, comme il lui avait avoué ; ce n’était que l’art qui l’intéressait. Quel beau tableau avions-nous sous les yeux. Une femme se faisant traiter de comédienne et un marchand d’esclave, artiste. Si le contexte aurait été tout autre, peut être est-ce que la belle aurait trouvé le tout amusant, mais, non.

« Nous verrons bien. » Dit-elle simplement, laissant vaguer le reste de la phrase dans l’élan du silence. Sa main retenant le tissu se pressa un peu plus pour tenter, vainement, de garder donc sa dite pudeur encore quelques minutes, le plus de temps possible.

Il n’y avait donc plus aucune sortie à l’aide de son titre qui lui serait possible d’exploiter. Elle devait donc agir comme elle pensait bien de faire, ou tout le contraire. Quel malheur d’être née femme, pensait-elle un bref instant. Avec la musculature de son agresseur, elle aurait pu rivaliser dans un combat, dans une bousculade tout ou plus. Qu’elle femme faible était-elle et montrait-elle… Mais quel homme ne jouirait pas d’avoir pu mettre le doigt sur une damoiselle aussi frêle qu’elle, aussi fragile qu’une poupée de porcelaine? Au contraire, si elle aurait pu apprendre les mauvaises manières, se montrer hautaine, forte de caractère ; peut être est-ce que tout cela ne se serait jamais produit?

Jamais elle n’aurait été le voir, jamais elle n’aurait eue envie de voyager, de se libérer des lourds murs d’Ashnard. Peut être, que des suppositions… Pendant ses pensées et, heureusement, elle ne le regarda pas directement. Son regard l’aurait peut être fait trembler de dégoût mais, lunatique, elle restait coincée dans son piège. La simple poussée, par contre la fit sortir de ses songes. Son fessier vint se poser sur les draps du lit alors que, d’un geste plutôt rapide, elle se remonta un peu, geste pour but de s’éloigner un peu du rebord.

Il la rejoint et, tout en jurant silencieusement de le voir si près du but, Layne l’écouta. Puis, d’un ton plutôt mielleux, elle souffla.

« Peut être voudriez-vous que je vous supplie de me garder ici comme l’ont fait vos guerrières ou peut être préférerez vous que je vous implore de continuer de m’enchanter. Ou alors, peut être voudrez-vous que je tue ma voisine pour partager votre couche ce qui, vous en conviendrez, ne me réussirait pas. Quel ennui serait-ce de tant vouloir, de tant avoir… » La comtesse marqua une pause, laissant son dos venir s’apposer contre les couvertures dans un fin soupire, l’air ennuyée. C’est de cette mine lasse qu’elle poursuivit, glissant le dessus d’une de ses mains contre son front.

« Je ne compte aucunement vous résister autrement que de préserver un peu de mon anonymat. Je n’irai pas vous gifler, vous mordre, vous frapper ou tout autres actes qui vous ferait jouir de me voir ainsi me débattre. Peut être vais-je aimer être en votre compagnie, même? Peut être deviendrais-je aussi folle que vos servantes à ne plus savoir faire autre chose que de se toucher en voyant une femme de mon titre venir vous rendre visite. Mais, j’aurais tant eue à vous offrir de mon pleins gré, si vous m’en auriez laisser la chance.. »

Le morceau de tissu qu’elle retenait à l’aide de sa main libre vint se laisser glisser en bas de sa poitrine, laissant celle-ci maintenant nue. Son corps, aussi, en entière nudité. « Alors, qu’elle atrocité me réserves-tu? » Lasse, elle ne fit que tourner la tête vers la gauche, plongeant son regard dans la pénombre de la pièce sans réelle joie, ni réelle peur.


''Et le printemps et la verdure
Ont tant humilié mon coeur,
Que j'ai puni sur une fleur
Toute l'insolence de la Nature.''

Don

Avatar d'Aphrodite

Re : Funeste rencontre[Réservé]

Réponse 22 mercredi 28 octobre 2009, 17:13:13

Bien sur que si celà se serait passé de la même manière ! Comme tu l'avais si bien dit, ta seule erreur a été d'être une femme, si tu avais été un homme, tu aurais au meilleur des cas été ignoré dans cette ruelle, Don t'aurais bien mis quelques coups de pieds également, mais a moins que tu n'essaye de répliquer ça se serait arrété là. Mais ça aurait pu être pire : Tu aurais pu être une hermaphrodite et Don t'aurais déjà tordu le cou sans plus attendre. Oui, il n'était pas de ce bord là, pas du tout même et il aurait très peu goutté a la plaisanterie. Mais là pas de chance, tu était une noble, une perle rare que Don placerais avec plaisir sur son écrin. Le marchand d'esclave sourit alors qu'il voyait Heilayne continuer a lui tenir tête, a dire que l'on verrais bien. Mais pour Don tout celà était évident. Heilayne était une femme intelligente, elle ne lui aurait surement jamais laissé ses terres et aurait trouvé un moyen de le doubler. Il fallait qu'il brise son esprit si il voulait avoir une chance qu'elle se soumette. Son plan était qu'elle finisse par lui céder tout ça, et il aller donc rendre cette séance inoubliable. C'était d'ailleurs la première fois pour lui qu'il recevait une esclave "sauvage" qui n'avait pas été dressée aucunement dans ses appartements. Endroit généralement réservé aux esclaves expérimentées.

"Vous semblez encore confiante envers quelque chose. Vous n'avez aucune idée de ce que je vais vous faire subir, c'est grâce a ça que vous gardez la tête sur les épaules. Croyez moi celà ne durera pas."

D'un geste il bondit sur Heilayne et alors qu'il aurait pu commencer ses attouchements il se contenta de la retourner sur le lit et de maintenir fermement les bras de la noble dans son dos, s'asseyant sur son dos.

"Rien que pour toi, je vais agir dans les règles de l'art de la Noblesse. Rien que pour toi je vais inventer une forme spéciale d'initiation : l'Egairam."

Il tapa contre le mur a coté de son lit et cria

"Je sais que vous regardez ! Apportez le moi ! Maintenant !"

Des bruits confus se firent derrière la porte alors que d'un coup Heilayne pouvait sentir derrière eux la lumière s'allumer, signe que la porte avait été ouverte.

-V...Voilà maître, bien a point.

Le fait que Don se tienne au dessus d'elle l'empechait de tourner la tête, ce qui réservait la surprise a Heilayne de ce qui allait se passer. Soudain elle vit quelque chose de brillant devant elle, dans le noir de la piece.

C'était un fer porté au rouge brandissant la marque de Don.


"Tu m'appartiens a présent, ce petit cadeau est là pour te le rappeller pour toujours."

Il écouta ses éventuels cris de supplications (Eventuels XD) avant de plonger le fer sur sa fesse droite et la marquer comme du betail, la maintenant en place avec son poids et son autre main.
Oh mon dieu vous avez vu l'heure?

Nombre de victimes : 37
Le plus chouette c'est Don!
Thème de Don
http://www.tourdejeu.net/annu/fichejeu.php?id=7595
N'oubliez pas de voter pour notre forum tous les 2 jours sur Tour de jeu si vous voulez que nous soyons connus rapidement!

Artwork par Louis Cyphre (Cliquez pour voir l'art complet)

Heilayne Daelys Minh

Humain(e)

Re : Funeste rencontre[Réservé]

Réponse 23 mercredi 28 octobre 2009, 18:02:00

Qu’est-ce que c’était, encore?
Son corps en entier se fit soulever, puis bousculer pour ainsi dire avant que, d’un geste non pas délicat, il la plaqua plat ventre contre les couvertures. Ainsi assit sur son dos, la respiration de la belle était moins forte, un peu étouffée même. Il fallait le dire, un colosse pareil sur soi, fait à 90% de muscles n’était pas très… léger. Elle entrouvrit les lèvres pour se plaindre de la position inconfortable mais n’en fit rien lorsqu’elle l’entendit parler, un peu bouger. Mais que voulait-il donc se faire apporter? La comtesse ne bougeait pas, elle se concentrait déjà à tenter de garder une respiration – correcte sous la brute. Ses iris tentèrent néanmoins de jeter un coup d’œil à la porte lorsqu’elle crue apercevoir de la lumière, mais, avec Don sur elle, elle abandonna bien vite. Surprise, surprise, on dit que c’est meilleur, n’est-ce pas ?

Sans mot, elle ne fit que l’écouter encore une fois. Elle savait bien que ce cadeau ne devait pas être de tout repos, mais delà à imaginer de se faire marquer au fer tel une vulgaire bête; son imagination n’allait pas aussi loin. Peut être se faire pénétrer aurait été envisageable, se faire subir d’autres tortures plutôt salissantes, moqueuses même, mais non.

Lorsqu’il approcha le fer chaud de sa peau et qu’elle pouvait déjà sentir la chaleur à quelques centimètres, c’est à ce moment qu’elle compris. Sa tête vint s’enfoncer rapidement dans les couvertures et il la marqua. Sa peau brûlait sous le fer et la comtesse serrait les dents dans les couvertures, se retenant de crier ce qui ne laissait s’échapper que des longues plaintes entre ses dents serrées. Son corps complètement raidit, Layne tentait de se défaire de son emprise en tirant son propre bras vers elle, gémissant silencieusement de douleur dans les couvertures.

« Un tas de muscle, v… violent, esclavagiste et q..qui marque ses trouvailles au fer… quel cliché… » Murmura-t-elle, entrecoupée de petit hoquet de douleurs. Les larmes avaient réussis à perler sur les joues de la belle ; c’était évident, ça faisait un ma atroce. Maintenant, elle comprenait pourquoi sa mère n’avait jamais voulue faire marquer le bétail… C’était inhumain, vulgaire et ô combien douloureux.

Tout en essuyant lentement ses joues contre les draps sous sa tête, Heilayne soufflait d’une respiration saccadée. Elle s’attendait au pire, maintenant.
''Et le printemps et la verdure
Ont tant humilié mon coeur,
Que j'ai puni sur une fleur
Toute l'insolence de la Nature.''

Don

Avatar d'Aphrodite

Re : Funeste rencontre[Réservé]

Réponse 24 mercredi 28 octobre 2009, 18:30:12

C'était peut être vulgaire, inhumain et ô combien douloureux, mais au moins on ne le volait pas, et chacune de ses victimes gardait un souvenir inoubliable avec lui. Le marchand d'esclave enleva le fer de sa fesse droite et le tendit a la soubrette qui l'attrapa comme si il s'était agi d'une relique sacrée, d'un geste il la congédia, celle ci partit sans demander son reste alors que Don restait les yeux fixés sur cette marque noire et rouge sur cette peau au blanc si pur, la marque ne cicatriserait jamais, eventuellement le temps la rendrait moins horrible, mais elle serait toujours là, toujours pour rappeller a Heilayne sa condition d'esclave. Don l'écouta et s'esclaffa avec mauvais gout.

"Ecoutez moi donc ça ! Un cliché moi ? Est ce que tu n'as pas mieux a faire que de critiquer le casting a ta propre vie ? Désolé si j'aime bien les classiques, j'ai tendance a ne pas demander leur avis aux jeunes filles avec qui je les regarde."

Et sans plus attendre il lui attribua une violente claque sur la fesse qu'il venait juste de marquer, juste pour profiter du fait qu'elle lui parlait en ce moment pour l'entendre crier. S'esclafant toujours il lança

"Mais princesse Cassandre, la vie n'est pas un long fleuve tranquille rempli de lueur roses où les preux chevaliers se battent en duel pour gagner vos chastes faveurs ! Il est temps pour vous de descendre de votre nuage et de faire face a la réalité, la réalité, c'est que le monde est composé de gens comme moi et qui n'hésiterons pas a faire ce que je m'apprête a vous faire juste parce que vous êtes de sang royal. Il est temps de se reveiller : vous êtes une esclave a présent, ce sceau prouvera a tous que je suis votre maître et votre destin a présent est celui d'une obeissance servile ! Et comme nous progressons dans l'Egairam, nous passons a la seconde étape."

Il la retourna pour l'avoir a nouveau face a lui et l'embrassa a nouveau, cette fois ci en revanche sa main se mit a courir le long de sa poitrine et il se mit a pelotter son sein droit tandis que sa main gauche caressait son entrejambe
Oh mon dieu vous avez vu l'heure?

Nombre de victimes : 37
Le plus chouette c'est Don!
Thème de Don
http://www.tourdejeu.net/annu/fichejeu.php?id=7595
N'oubliez pas de voter pour notre forum tous les 2 jours sur Tour de jeu si vous voulez que nous soyons connus rapidement!

Artwork par Louis Cyphre (Cliquez pour voir l'art complet)

Heilayne Daelys Minh

Humain(e)

Re : Funeste rencontre[Réservé]

Réponse 25 mercredi 28 octobre 2009, 18:59:56

 Un premier crie de sursaut et de douleur sorti des lèvres pincées de la comtesse alors qu’il vint gifler sa fesse tout juste martyrisée. N’ayant eue le temps de s’y attendre en serrant les dents, la comtesse venait de franchir une première porte de l’humiliation ; crier. Mais… N’avait-il pas un peu raison, au fond? À se promener habillée tel une catin dans les bas fonds, à quoi s’attendait-elle ? Peut être qu’inconsciemment, elle avait simplement eue envie qu’un homme la prenne comme Don lui-même le faisait. Sa tête se secoua lentement, comme pour chasser de sa tête ses pensées qui trahissait son air fragile, douce et gentille. Elle avait perdue la tête, c’était certain. Agissant comme, sans aucun doute la plus part des femmes qu’il violait, elle n’était en rien plus belle, plus gentille ; unique…

À vrai dire, la comtesse était sans doute la personne qui agissait de façon la plus clichée entre ses quatre murs, sans vouloir l’avouer. Comtesse des terres d’Ashnard, voulant garder un certain honneur malgré les tortures de cet homme. S’il était le cliché même de l’esclavagiste au cœur refoulé, elle n’en était pas moins une comédienne d’un films à deux sous…

Heilayne l’écouta, non pas d’une oreille pleine d’attention comme elle aurait voulue mais plutôt distraite sur ses propres réflexions. Il était vulgaire, fort, musclé, n’était-ce pas là les mêmes caractéristiques qu’Ares avait…?Tout en se laissant tourner tel une poupée de chiffons avec laquelle on s’amusait, la jeune femme se permit de venir détailler le visage du Don pour, sans doute, la première fois. La première fois qu’elle s’y attardait vraiment, surtout. Il avait des cheveux courts, un peu crépus sans pour autant avoir l’air malpropre. Des petits yeux dont elle était incapable de déterminer la réelle couleur dans la sombre pièce mais qui lui donnait, dans cet état, un air purement bestial. La peau bronzée, un visage marqué de toutes ses aventures… Il ne semblait, bien malgré son attente, pas réellement laid. Même, si elle aurait eue le courage de l’avouer, peut être aurait-elle dit qu’il était à la limite ; beau jeune homme.

Deuxième étape disait-il.

Elle ne pu rien dire que ses lèvres furent captivées une fois de plus par celles de son « maître ». D’abord surprise, elle releva ensuite les mains pour les poser près de son cou, tentent de le repousser subitement en reculant sa tête contre le matelas, l’y enfonçant presque. « A..arrêtez…! » Chignait-elle, le ton plus mélangé qu’agacée. L’avoir détaillé ainsi ne l’aidait pas réellement, maintenant, elle ne pensait plus qu’à tenter de trouver quelque chose qui la rebutait réellement.

Était-ce ce qu’il disait, par rapport à ses esclaves plus tôt?
Sottises !

Forçant pour le garder à une distance d’elle – assez modérée, Layne laissant ses iris se promener sur lui dans le noir, cherchant vraisemblablement, encore, quelque chose à dire pour lui faire arrêter son manège. Si elle était idiote par moment, on pouvait bien lui donner la qualité d’être téméraire. Ou… En fait, est-ce réellement une qualité dire de quelqu’un qu’il est téméraire? Non, pas vraiment…
Malgré tout, Don ne semblait pas avoir voulu s’arrêter au baiser. L’une de ses mains avait déjà commencé à toucher le corps frêle de la comtesse, son sein droit pour être plus précise. Les lèvres de la femme vinrent se pincer sous sa propre fragilité de sentir ce contact si simpliste la faire frissonner. Son autre main vint se glisser plus bas cette fois, près de son entrejambe. Il y glissa ses doigts et commença à la caresser. Un léger gémissement sorti des lèvres de la comtesse qui resserra ses doigts contre la peau de l’homme, tentent de trouver et le courage, et la force de le repousser une nouvelle fois.

Ses cuisses tentèrent de venir se refermer alors, forçant pour garder une maigre distance – mais suffisante – entre elle et Don.
« Modifié: samedi 31 octobre 2009, 13:38:03 par Heilayne Daelys »
''Et le printemps et la verdure
Ont tant humilié mon coeur,
Que j'ai puni sur une fleur
Toute l'insolence de la Nature.''

Don

Avatar d'Aphrodite

Re : Funeste rencontre[Réservé]

Réponse 26 dimanche 01 novembre 2009, 22:39:00

C'était pour ce genre de scènes qu'il faisait ce métier après tout. Découvrir quelqu'un, découvrir sa vie, sa personnalité, tout ce qui constituait l'individu qu'il était, ce que la vie, au cours de minutieuses rencontres et d'apprentissages élaborés, avait batti pour créer un être, un individu unique. Et ensuite le briser, le détruire, le réduire en morceaux, et tout repartir a zero, lui dire ce qu'il devait croire et ce qui était vrai, qui il devait haïr et qui il devait vénérer. La plupart des filles qui passaient par lui en ressortaient comme automatisées, beaucoup de personnes pensaient que Don était un magicien qui lavait le cerveau de ses victimes. Ils n'avait qu'a moitié raison, il était bel et bien capable de laver le cerveau de ses victimes, mais pourquoi compter sur la magie alors qu'il avait la psychologie ?La magie, celle ci n'était au final qu'une excuse des hommes quand ils ne savaient plus quoi inventer, et c'était bien pour ça qu'il teressait toujours les espers qu'il avait dominé : parce que sans leur pouvoirs ils sont incapables de faire quoi que ce soit et tombent encore plus facilement que les humaines, habituées a devoir se débrouiller sans magie. C'en était presque drôle. Après tout quiconque n'utilisait pas la magie n'avait rien a craindre de lui n'est ce pas ? Mais bien sur...Quand on a passé sa vie a lancer des sorts pour oui ou pour non, on deviens mou.

Il ne comptait plus le nombre d'esclave possédant des pouvoir destructeurs dans ses geoles, elles feraient a présent d'excellents boucliers humains si jamais il devait se rendre en Ashnard pour encaisser ses titres de propriété et devenir le nouveau Comte de Daelys, ou plutôt le compte Garan, ça sonnerais bien, mais il ne perdrais pas de temps a gérer sa propriété en Ashnard, il allait tout simplement mettre un homme de paille au poste qui mourrait surement rapidement après avoir été nommé, mais pendant que ceux ci passeraient leur temps a vouloir le comté, eh bien...Il aurait pillé ses ressources et serait reparti a Nexus. Être comte et risquer sa vie ne l'interessait pas, il avait encore tant de chose a faire. Il ne pouvait pas se permettre de mourir, comment ses chères petites protégées allaient elles survivre sans lui ? Se pourléchant les babines, il revint a ses moutons : Après tout il avait encore une cliente a satisfaire...Il eut un rire quand elle lui demanda d'arrêter, sa main descendit le long de sa hanche et se mit a la caresser.


"Et où est donc passée ta fougue ? Est ce que tu cède déjà ? Tu as compris qui était ton maître esclave ?"

Lança Don avant de s'asseoir sur le lit

"Arrêter ?Excellente idée, ça va être a toi de prendre les choses en main. Vois tu comtesse, je suis un galant homme. Celà aurait été une autre femme que toi, je l'aurais déjà aggripée par les cheveux et attirée vers moi, mais je pense que vous savez a présent assez où se trouve votre place pour que je n'ai pas a le faire moi même."

Fit il alors qu'a présent Heilayne pouvait voir sa virilité tendue devant elle, il lui lança alors avec douceur

"Vous allez vous approcher et vous occuper de satisfaire mon entrejambe en utilisant vos mains et votre bouche. Et ne pensez même pas a me faire du mal, vous savez a quel point vous vous en mordrez les doigt si c'est le cas, n'est ce pas ?"
Oh mon dieu vous avez vu l'heure?

Nombre de victimes : 37
Le plus chouette c'est Don!
Thème de Don
http://www.tourdejeu.net/annu/fichejeu.php?id=7595
N'oubliez pas de voter pour notre forum tous les 2 jours sur Tour de jeu si vous voulez que nous soyons connus rapidement!

Artwork par Louis Cyphre (Cliquez pour voir l'art complet)

Heilayne Daelys Minh

Humain(e)

Re : Funeste rencontre[Réservé]

Réponse 27 samedi 19 décembre 2009, 21:29:12

La fougue, l'intensité d'une femme dans un moment des plus vulgaire, des plus périlleux. Ou était donc passé le masque de cette femme qui, plus tôt, osait défier son agresseurs avec des mots écœurants et des gestes déplacés? Elle n'était rien de plus qu'une femme, non, en réalité, elle n'était rien de plus qu'une jeune femme douce, fragile et instable sentimentalement. Était-ce le destin réservé aux personnes succombant au charme autant physique que mental des dieux? Pourquoi repenser à tout ça, encore une fois... Elle était vêtue de sa simple nudité sous un homme qui n'attendait rien de plus qu'une journée de luxure et elle, elle pensait à l'amour incompris. Peut être était-ce la le signe qu'elle n'était que faiblesse... Perdue dans ses pensées, sitôt que l'homme se tassa un brin pour s'asseoir, la comtesse tira sur un drapé non loin pour se couvrir un tant soit peu. Ses doigts fins étaient pressés contre la dentelle de cette mince couverture, le regard baissé sur le lit, non loin des jambes de Don mais, bien sûr, par sur l'objet qu'il désirait qu'elle prenne, qu'elle amuse tel une catin à deux sous. Ses mires se glissèrent alors sur le visage de l'esclavagiste, cherchant vraisemblablement quelque chose à dire, les lèvres néanmoins closent. Réclamer la pitié d'une telle personne ne ferait sans doute que l'amuser encore plus ; elle était déjà dans un sale état, alors lui demander de la laisser partir serait idiot, sot. Il fallait néanmoins qu'elle bouge, qu'elle ose quelque chose, car ces tas de muscles ne restent que très rarement longtemps en place, à ce qu'elle savait. Et elle soupira petitement entre ses lèvres pincées, n'osant réellement faire entendre le bruit de sa défaite.

« Je ne sais comment m'y prendre, Don... Jamais je n'ai été... appeler à faire ce genre de choses.. » Souffla-t-elle à demi mots, bien qu'elle savait que ni son inexpérience, ni son air vaincu ne l'aiderait à quérir ne serait-ce qu'un once de pitié de cet homme.

...Et pourtant.

Elle relâcha calmement le drap pour le laisser retrouver son emplacement sur le matelas en glissant sa main près de son oreille dans ses cheveux, replaçant inconsciemment une mèche derrière celle-ci. Espérer l'amour d'un dieu, la pitié d'un monstre et la vie d'une femme banale... Était-ce trop demandé...? 

« J'ai conscience de votre ''gentillesse'' à ne pas me gifler, me tirer par la crinière ou … Enfin... Mais oserais-je vous demandez un peu plus de.. compassion, de douceur peut être..? »

 Quelque part, elle osait déjà le lui demandé. Néanmoins, son ton était toujours interrogatif et n'osait réellement lui ordonner quoi que ce soit. Il tirait les reines, oui, elle le savait et le comprenait. Mais peut être pouvait-elle... Ne serait-ce qu'un instant, lui demander d'être doux? Il n'était pas laid, il était même beau jeune homme. Si son caractère aurait pu lui plaire, dieu sait ce qui se tramerait dans la tête de la comtesse. Elle s'approcha très petitement de l'homme, sans pour autant commencer à toucher sa virilité. Sans doute savait-elle qu'il dirait non et que, bien malgré ses demandes, elle devrait se plier à ces souhaits. Donc, pour ne pas attirer encore plus de douleur, elle s'était approchée calmement et à quelques centimètres de Don pour, sans doute, osez après ses mots...
« Modifié: dimanche 20 décembre 2009, 18:24:18 par Heilayne Daelys »
''Et le printemps et la verdure
Ont tant humilié mon coeur,
Que j'ai puni sur une fleur
Toute l'insolence de la Nature.''

Don

Avatar d'Aphrodite

Re : Funeste rencontre[Réservé]

Réponse 28 dimanche 20 décembre 2009, 16:32:01

Déjà les premiers signes de faiblesse se faisaient sentir et Don les acceuillaient avec joie, néanmoins Heilayne pouvait tout a fait produire cette faiblesse compte tenu de deux facteurs indésirables :le premier étant l'intimidation du moment qui la poussait donc a obeir a Don car elle était a présent intimidée par sa présence et ne savait donc plus comment réagir ni comment échapper a son destin. Ce facteur était innacceptable car il laissait sous entendre qu'Heilayne developperait peut être au cours de son dressage des moments de courage où, blazée par l'approche de Don, elle réussirait a s'opposer a lui. Le second facteur était le fait qu'elle simule tout simplement sa soumission. Il doutait qu'il y ait a expliquer pourquoi ce facteur était innacceptable, après tout elle lui devait obeissance complète, surtout si celui ci devait par la suite jouer un rôle clef dans l'attribution de ses terres en Ashnard grâce a elle. Non, il devait passer par la domination ici et maintenant, Heilayne devrait ressortir de ce premier soir comme changée, après tout celui ci était le plus important de tous et si il rattait a faire une bonne impression elle risquait de ne pas avoir le cerveau assez lavé quand il faudrait passer a l'acte.

"Compassion ?Douceur ? Je veux bien accepter votre ignorance puisque vous n'avez jamais été formée a de telles choses, mais je crois que vous situez votre position un peu trop haut pour ce que vous êtes ma chère. Vous n'êtes pas en position de demander quoi que ce soit. Mais je suis un bon maître et si je suis satisfait de vous, j'accèderais a votre requête. Et pour commencer vous allez m'appeller maître."

Lança t'il alors qu'il saisissait son imposante verge et la pointait en direction de la bouche d'Heilayne. Bien conscient que des explications sur comment s'y prendre allait la géner il ne se priva pas de lancer sans détour

"Ma chère comptesse vous allez commencer par masser mon sexe en utilisant ces mains si blanches tout en léchant celui ci. Au moment où vous le jugerez bon vous le prendrez en bouche et commencerez a le sucer."

Lança t'il sans pudeur tout en ne quittant pas des yeux Heilayne pour guetter sa réaction
Oh mon dieu vous avez vu l'heure?

Nombre de victimes : 37
Le plus chouette c'est Don!
Thème de Don
http://www.tourdejeu.net/annu/fichejeu.php?id=7595
N'oubliez pas de voter pour notre forum tous les 2 jours sur Tour de jeu si vous voulez que nous soyons connus rapidement!

Artwork par Louis Cyphre (Cliquez pour voir l'art complet)

Heilayne Daelys Minh

Humain(e)

Re : Funeste rencontre[Réservé]

Réponse 29 dimanche 20 décembre 2009, 18:19:17

Faire une telle chose, comment pouvait-elle ne serait-ce qu'y penser? C'était écœurant et elle en était écœurée. Il fallait voir l'évidence, rien de ce qu'elle trouverait à dire ou à faire ne l'aiderait ou la sauverait d'une corvée – plutôt – dégoûtante. Néanmoins, sa tête, elle, était toujours posée sur ses épaules bien malgré les apparences. Si elle devait garder un once d'intelligence, il fallait donc agir, sans réagir. Plutôt complexe comme formule, mais gagnante. Après tout, une fois qu'elle aurait fait ce qu'il désirait ; elle en aurait terminé. Une légère mine dégoûtée pris le dessus un bref instant alors qu'elle écoutait les propos de son agresseur. Elle osa même jusqu'à glisser une œillade sur le sexe tendu, sans réellement s'en approcher, du moins, pour l'instant. Distraitement, elle écoutait, tout en gardant un petit air détaché qui réussissait à la tenir petitement consciente. Se fermer... Jouer la comédie, être une catin pour un soir et ensuite, ce serait terminé. Les douces lèvres de la comtesse vinrent se pincer l'une contre l'autre alors que sa raison persistait toujours bien malgré ses pensées avancées. Elle avala difficilement en déposant ses mains sur le matelas entre elle et Don en replaçant petitement son corps dans une position plus confortable pour ce à quoi elle devait s'atteler. Ses jambes, repliés vers ses fesses et son dos légèrement arqué vers l'avant, elle laissant sa longue chevelure, par le fait même, cacher un brin sa nudité qui, en ce moment, n'était pas son principal problème. Mais enfin, au moins, elle pouvait se réjouir d'avoir de tels cheveux pour la cacher un tant soi peu.

Mensonge, peut être? Sous ses airs de douces comtesse se cachait néanmoins une femme avec un lourd passé de luxure, derrière elle. L'apprentissage de l'homme lors de sa première sortie, son amour avec un dieu, ses câlineries avec un monstre... Peut être avait-elle simplement voulu avoir une raison de sa, peut être, inexpérience en ce domaine. Ou alors qu'il trouverait ça agaçant et la laisserait partir? Peut être, mais il serait faux de dire qu'elle n'avait jamais, ô grand jamais touché la virilité d'un homme, ni même la caresser...

En repoussant une mèche derrière son oreille, la jeune femme se pencha un peu plus dans sa position – bien malgré la situation – plutôt droite, voir même encrée dans la noblesse. Elle approcha tranquillement sa main frêle du sexe de Don, hésitant même un moment en tentent de se convaincre que non, elle n'était pas si faible et que, peut être, elle pourrait trouver une façon de partir... La vérité était qu'avec toutes ses capacités, il était certain que l'esclavagiste ne lui laisserait aucune chance. Mais... Une fois exténué...?

Le voilà, le plan.
Pour cela, il fallait néanmoins être une catin à deux sous et tenter de garder une certaine force vers la fin. Difficile, compliqué, mais peut être le bon moyen.

D'un geste glissé dans la douceur, la jeune femme posa sa paume de main contre la verge de l'homme en refermant tranquillement ses doigts contre ; glissant au passage, une faible caresse. Elle approcha petitement son visage du sexe en entrouvrant les lèvres, laissant sa langue venir tracer une ligne courbée du bas, jusqu'au dessus en commençant sitôt à faire des mouvements précis – quoi que toujours un peu incertain – dans la caresse charnelle de sa main contre sa verge. Elle le faisait, néanmoins, laissant parfois venir quelques autres lechouilles sur le sexe dressé dans sa main, déposant même, une fois, un doux baiser sur le dessus de la montagne avant de continuer sa tâche. Au bout de quelques minutes à passer sa main et sa langue sur le sexe, la jeune comtesse approcha sa bouche, laissant avec une infinie douceur la verge venir se glisser dans sa bouche, lovant sa langue contre le membre symbolique de sa virilité. Commençant alors à le sucer. Sans, néanmoins, dégager ses mains du sexe qu'elle massait du bout des doigts.
''Et le printemps et la verdure
Ont tant humilié mon coeur,
Que j'ai puni sur une fleur
Toute l'insolence de la Nature.''


Répondre
Tags :